#ChristopheDechavanne #alcoolodépendance #soutien #santé
Christophe Dechavanne évoque la perte de son père
En plein processus de promotion de son autobiographie Sans transition, Christophe Dechavanne était invité sur le plateau de l'émission C à vous animée par Anne-Elisabeth Lemoine. L'occasion pour lui de revenir sur l'un des drames de sa vie, la disparition de son père en 1984 à l'âge de 54 ans.
L'absence de son père
Durant l'interview, Christophe Dechavanne a partagé des souvenirs personnels de son père. Il a expliqué que même avant son décès, il n'était pas souvent présent dans sa vie. Deux moments marquants se sont néanmoins démarqués dans sa mémoire. Le premier était un match de boxe entre Bouttier et Monzon auquel ils avaient assisté avec des billets peu chers, mais où ils ne voyaient que deux petites taches noires se déplacer sur le ring. Le deuxième souvenir était une sortie à la chasse, qui s'était terminée de manière périlleuse et avait failli tourner au drame. Ce n'est que plusieurs années plus tard que Christophe Dechavanne a compris la raison de ces moments particuliers.
Un père alcoolo-dépendant
Sans détour, Christophe Dechavanne a également évoqué la "maladie" dont souffrait son père. Il a révélé que son père était alcoolo-dépendant, une maladie qu'il qualifie de très triste. Le presenter a également remis en question l'usage du terme "alcoolique" lorsqu'on parle à quelqu'un, car il considère cela comme blessant. Selon lui, il est préférable d'employer le terme "dépendance". Il a souligné le besoin d'aide de ces personnes, car cette maladie est difficile à surmonter seul, à moins d'être un "mutant". Christophe Dechavanne insiste sur l'importance de ne pas plaisanter avec ce sujet sensible.
Plaidoyer pour les services d'addictologie
Dans un élan d'émotion, Christophe Dechavanne s'est indigné de la diminution des budgets alloués aux services d'addictologie. Selon lui, ces services permettent de sortir des milliers de personnes du système de l'alcoolo-dépendance, évitant ainsi des situations de violence conjugale, des accidents de voiture, et bien d'autres drames. Il exprime son incompréhension face à cette réduction budgétaire qui se produit chaque année, qualifiant cela de véritable scandale.
#ChristopheDechavanne #alcoolodépendance #soutien #santé
Christophe Dechavanne évoque la perte de son père
En plein processus de promotion de son autobiographie Sans transition, Christophe Dechavanne était invité sur le plateau de l'émission C à vous animée par Anne-Elisabeth Lemoine. L'occasion pour lui de revenir sur l'un des drames de sa vie, la disparition de son père en 1984 à l'âge de 54 ans.
L'absence de son père
Durant l'interview, Christophe Dechavanne a partagé des souvenirs personnels de son père. Il a expliqué que même avant son décès, il n'était pas souvent présent dans sa vie. Deux moments marquants se sont néanmoins démarqués dans sa mémoire. Le premier était un match de boxe entre Bouttier et Monzon auquel ils avaient assisté avec des billets peu chers, mais où ils ne voyaient que deux petites taches noires se déplacer sur le ring. Le deuxième souvenir était une sortie à la chasse, qui s'était terminée de manière périlleuse et avait failli tourner au drame. Ce n'est que plusieurs années plus tard que Christophe Dechavanne a compris la raison de ces moments particuliers.
Un père alcoolo-dépendant
Sans détour, Christophe Dechavanne a également évoqué la "maladie" dont souffrait son père. Il a révélé que son père était alcoolo-dépendant, une maladie qu'il qualifie de très triste. Le presenter a également remis en question l'usage du terme "alcoolique" lorsqu'on parle à quelqu'un, car il considère cela comme blessant. Selon lui, il est préférable d'employer le terme "dépendance". Il a souligné le besoin d'aide de ces personnes, car cette maladie est difficile à surmonter seul, à moins d'être un "mutant". Christophe Dechavanne insiste sur l'importance de ne pas plaisanter avec ce sujet sensible.
Plaidoyer pour les services d'addictologie
Dans un élan d'émotion, Christophe Dechavanne s'est indigné de la diminution des budgets alloués aux services d'addictologie. Selon lui, ces services permettent de sortir des milliers de personnes du système de l'alcoolo-dépendance, évitant ainsi des situations de violence conjugale, des accidents de voiture, et bien d'autres drames. Il exprime son incompréhension face à cette réduction budgétaire qui se produit chaque année, qualifiant cela de véritable scandale.
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