Michel Drucker a tenu à dire un mot à Michèle Torr en direct sur France Bleu Alsace.
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00:00 - Bonsoir Michel, bonsoir Candice.
00:03 - Alors est-ce que vous le reconnaissez Michel ?
00:05 - Bonsoir ?
00:06 - C'est un autre Michel.
00:07 - Oui ?
00:08 - Oui.
00:09 - Oui, c'est un autre Michel.
00:10 - C'est un autre Michel.
00:11 - Ah ! Salut Michel !
00:12 - Donc c'est Michel Drucker pour tous les autres qui nous écoutent.
00:20 - Mais bien sûr !
00:21 - Bonsoir Michel Drucker.
00:22 - Quand on m'a dit que tu étais sur France 2 Alsace, alors j'ai dit si je vais m'arranger
00:29 pour être libre pour te souhaiter un heureux anniversaire, nous avons tous les deux 60
00:33 ans de carrière.
00:34 - Mais oui, absolument, mon Dieu, mon Dieu.
00:38 Je te revois, j'étais en tournée et toi tu étais en tournée aussi avec, je me souviens
00:46 tu avais la jambe dans le plâtre, je ne sais pas si c'était du ski ou ce qui t'était
00:51 arrivé ou si tu avais trop tapé dans le ballon, je ne sais pas.
00:54 - Oui, j'ai eu pas mal de petits pépins.
00:57 - Tu étais au sport à l'époque.
01:00 - Oui, je m'étais fait casser la jambe par Claude Brasseur dans un match de foot.
01:04 - Ah bah d'accord !
01:05 - Voilà, c'était les polymusclés interminents et avec Belmondo, on jouait pour des bonnes
01:10 oeuvres le dimanche après-midi et là Claude Brasseur m'avait écrasé le pied, c'était
01:15 en 68, donc voilà.
01:17 Et puis après j'ai eu d'autres soucis, et puis là depuis deux ans j'ai eu des soucis
01:21 très graves, mais j'en suis sorti, la preuve.
01:23 - Mais oui.
01:24 - C'est que je suis là alors que j'ai cru que mon cœur s'arrêterait de battre.
01:28 - Non, non, tout le monde.
01:30 - Je suis content de t'entendre.
01:32 - Mais moi aussi.
01:33 - Vous savez Candice, avec Michel on a beaucoup de choses en commun.
01:36 - Je crois se voir.
01:37 - On a beaucoup de souvenirs en commun, on a la Provence en commun, on a l'amour du
01:42 public en commun, et voilà, et on ne voit pas le temps passer.
01:46 Et puis elle est comme moi, elle adore le public et le public lui rend bien et comme
01:51 elle me l'a souvent soufflé quand j'étais à l'hôpital avec l'eau de loulou pour
01:55 me remonter le moral, que les plus belles années de vie sont celles qu'on n'a pas
01:58 encore vécues.
01:59 - Bravo Michel.
02:00 - C'est beau ce que tu nous dis là, c'est beau à entendre.
02:05 - Alors continue à chanter.
02:07 - Bien sûr.
02:08 - Continuez de nous régaler tous les deux, merci beaucoup Michel d'avoir été avec
02:14 nous.
02:15 - Voilà Candice, voilà.
02:16 - Je voulais simplement vous dire que Michel occupe une place très particulière dans
02:21 ce métier.
02:22 C'est quelqu'un d'extrêmement populaire depuis toujours, tous les français connaissent
02:25 ses chansons et pendant des années et des années, ce n'était pas très bien vu d'être
02:30 trop populaire.
02:31 Et puis avec le temps, c'est devenu très à la mode.
02:34 - Absolument.
02:35 Quoi de plus beau que d'être populaire ? Pourquoi on est là ? Pourquoi on monte sur
02:40 scène, on fait de la télévision bien sûr ?
02:42 - Voilà et puis les seniors, ça ne compte pas pour du beurre les seniors.
02:46 - Et certainement pas Michel.
02:48 - Je pense souvent à toi, je pense à Christophe, je pense à ton fils, je pense à tout ce
02:57 que tu as vécu d'heureux et de moins heureux dans ta vie.
03:00 Et je voulais te dire, ça t'a simplement, sur France 2 Alsace, t'es dans un beau pays
03:06 où il y avait des petits embouteillages parce qu'il y avait des agriculteurs dans le coin.
03:10 - Un très beau pays, Alsace.
03:12 - Moi je suis avec eux bien sûr.
03:15 - J'espère te voir bientôt en Provence.
03:17 - Certainement Michel.
03:18 - Voilà Candide.
03:19 - Merci infiniment de ton appel, je suis très touchée et je t'embrasse fort.
03:23 - On vous embrasse Michel, merci beaucoup.
03:25 Je vous l'avais dit, c'est séquence émotion sur France 2 Alsace cet après-midi.
03:29 - C'est génial.
03:30 - Avec vous Michel Thor, bah oui, cadeau quand même.
03:33 Vous méritez.
03:34 - Absolument.
03:35 - Vous méritez totalement.