Cyclo-cross - Mondiaux : Le replay de la Course Elite dames
Retrouvez le replay de la Course Elite dames de cyclo-cross à Tabor du 03/02/2024
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00:00 C'est peut-être la grande favorite de ce championnat d'Europe Femme Vendemple que vous venez d'apercevoir.
00:12 Céline Alvarado évidemment fait partie de celle qu'on va surveiller aussi aujourd'hui.
00:17 Elle qui a remporté le classement général de la Coupe du Monde.
00:22 Lucinda Brand s'est imposée il y a trois ans maintenant sur le championnat du monde.
00:27 Elle qui a tout le temps ces dernières années été chercher au moins un podium depuis 2018.
00:32 Et voilà celle parmi les favorites qui n'a encore jamais été décrochée l'arc-en-ciel chez les élites.
00:37 Ni en cyclocross, ni en VTT.
00:39 Peut-être reste pour aujourd'hui du côté du cyclocrossing.
00:43 Vande Reiden ne sera pas parmi les grandes grandes favorites.
00:46 Mais évidemment elle peut totalement jouer dans la course comme toujours.
00:50 Pareil pour celle qu'on va voir au fur et à mesure.
00:52 Manon Bakker évidemment.
00:53 Il y a des françaises aussi au départ.
00:55 Hélène Clausell, la championne de France et Amandine Choucney également pour l'équipe Arkea.
01:00 Rebonjour Arnaud Jouffroy.
01:03 Rebonjour Claire, rebonjour à toutes et à toutes.
01:05 Alors Femme Vendemple, grande favorite aujourd'hui toujours ?
01:09 Oui Femme Vendemple, elle n'a pas perdu une fois dans la saison.
01:13 Forcément grande favorite.
01:14 Mais ça ne va être de pas grand chose parce qu'elles ont toute envie de gagner.
01:21 Allez c'est parti, le départ très important.
01:23 Attention on a vu des chutes notamment chez les Espoirs tout à l'heure, chez les Garçons.
01:27 Le départ de Céline Alvarado, elle a tout donné pour faire ce magnifique départ.
01:32 Ce n'est pas courant de la voir comme ça.
01:34 Bien réussir son départ ici.
01:36 Peck Peters derrière.
01:40 Grosse motivation comme vous le disiez là.
01:42 Alvarado les mains en bas qui a tout donné sur la première impulsion
01:45 pour vraiment bien partir directement.
01:47 Peck Peters qui va venir se replacer et à l'intérieur aussi Lucinda Brandt.
01:51 Les favorites sont à l'avant.
01:53 Côté de nos françaises, elles sont un petit peu plus à l'arrière
01:55 avec Amandine Fouquenet et Hélène Closel
01:57 qui sont là nos deux représentantes de la France pour la catégorie Elifam.
02:00 Et de suite Femme Vendemple qui repasse en tête à la descente de la passerelle.
02:05 Allez redécrivez nous le parcours pour ceux qui n'auraient pas été avec nous tout à l'heure
02:08 et c'est dommage parce qu'on a une championne du monde française.
02:12 Parcours très glissant, relativement technique.
02:15 On va le voir, toutes ses premières parties c'est la technique.
02:18 Alors le sol reste quand même dur à bord.
02:20 C'est jamais un gros chantier comme on dit dans le jargon du cyclocross.
02:24 Mais voilà assez glissant en surface où il faut être quand même très souple.
02:28 Il y a beaucoup d'ornières et après le haut du parcours là c'est beaucoup plus physique.
02:32 Pourquoi ? Parce qu'on a tout le dénivelé.
02:34 Regardez l'italienne Sara Casasola qui est présente, qui va mieux
02:38 et qui est là juste derrière, le Dosar14 derrière.
02:42 Toutes les néerlandaises, on a Laura Verdonschot également qui n'est pas très très loin.
02:47 On aperçoit Magali Rochette aussi pour les françaises amandines.
02:50 Et pour l'instant, 20ème.
02:52 Et là Nédoziab, elle est dans le top 10.
02:57 Elle est super bien remontée, elle a repris 10 places en moins de 2.
03:00 Allez, Femme Vendempoel de suite qui est en train de,
03:03 sur la technique, de faire une petite différence sur Alvarado.
03:05 Lucinda Brandt, Puck Peters sont bien dans la roue.
03:07 Manon Bakker est là.
03:08 L'italienne Casasola est aussi présente.
03:12 Pour l'instant en tout cas on a bien la hiérarchie qu'on attendait
03:15 mais Femme Vendempoel a décidé de ne pas attendre du tout
03:18 parce qu'on n'est qu'à la 2ème minute de course pour tenter quelque chose.
03:22 Celle qui est tenante du titre, bien sûr, qui n'a eu que 2 défaites cette saison
03:27 sur une vingtaine de courses disputées.
03:29 Incroyable, Femme Vendempoel, trentaine même.
03:33 Oh, une erreur là d'Alvarado.
03:35 Elle a bloqué complètement dans le virage,
03:37 elle a mis pas mal de temps à se relancer.
03:40 Du coup, elle a pris le vélo sur le dos
03:42 puisqu'elle sait que juste après il y a un petit portage.
03:44 En tout cas, gros gros start de Femme Vendempoel.
03:46 C'est assez rare de l'avoir directement durcée à la course
03:49 mais on est dans un championnat du monde
03:51 et si on peut prendre de l'avance, on se gêne pas.
03:54 Et vous l'avez dit tout à l'heure sur la course des espoirs,
03:56 Arnaud, on ne peut pas jouer sur un championnat du monde,
03:59 on ne peut pas prendre le moindre risque.
04:01 Et si on se sent très fort comme l'a été Femme Vendempoel quasiment toute la saison
04:05 avant d'avoir une petite blessure et puis de revenir encore à son meilleur niveau,
04:09 eh bien on tente tout, tout de suite.
04:10 C'est celle qui cherche à résister pour le moment, c'est Lucinda Brandt,
04:14 juste derrière elle, Alvarado toujours 3ème et Puck Peters 4ème.
04:20 Manon Bakker et Ngue Van der Heijden suivent.
04:22 Allez, 3 secondes d'écart, elle a une petite avance.
04:29 Voilà, c'est Femme Vendempoel, un gros start, ça blique bien sur la technique.
04:34 C'est Lucinda Brandt en 2ème position.
04:37 Puck Peters aussi sur toutes ses portions techniques, elle peut être redoutable.
04:41 Attention, elle disait qu'elle avait été un peu malade,
04:44 qu'elle avait un petit peu souffert du genou également ces derniers jours.
04:48 Mais évidemment, comme vous l'avez dit, on donne tout pour un championnat du monde,
04:51 donc elle sera évidemment présente.
04:53 Puck Peters, je disais, c'est la seule parmi les favorites
04:57 à ne pas encore avoir décroché l'arc-en-ciel,
04:59 sauf dans les catégories inférieures, bien sûr chez les espoirs notamment.
05:03 Elle le mériterait également, Puck Peters,
05:05 c'est-à-dire qu'elles l'ont toutes méritée sur une saison.
05:07 C'est presque étonnant finalement de ne jamais avoir vu Puck Peters avec ce maillot.
05:13 Oui, en plus on parle toujours d'une certaine façon,
05:17 on a l'impression qu'elle domine depuis des années,
05:19 parce que quand on gagne très souvent ou qu'on est devant,
05:22 on a l'impression que ça fait X temps.
05:23 Mais il ne faut pas oublier que Femme Vendempoel, Puck Peters,
05:26 ça fait que 2-3 ans qu'elle commence vraiment à dominer la discipline,
05:30 donc ça ne fait que 2 ou 3 championnats du monde.
05:32 Et qu'elles sont élites.
05:34 Et qu'elles sont élites, oui exactement.
05:36 Donc ça ne fait pas tant de chance que ça d'essayer d'être championne du monde élite.
05:39 Mais en tout cas...
05:40 Parce que Puck Peters a été championne du monde chez les espoirs en 2022,
05:43 c'est surtout ça qui explique tout ça.
05:46 Mais c'est vrai qu'avec ces résultats,
05:49 on peut se dire qu'elle aussi, elle mériterait l'Elysée de Reyes sur le côté un jour.
05:52 Allez, Femme Vendempoel !
05:54 Femme Vendempoel qui a pris très tôt le vélo sur le dos,
05:58 mais elle a raison, c'est un point fort à la course à pied pour Femme Vendempoel.
06:02 Elle est passée devant, Puck Peters, devant Lucinda Brandt.
06:05 Allez, on court assez loin dans cette montée.
06:11 Tout à l'heure, chez les espoirs garçons aussi,
06:13 on a vu qu'on ne pouvait pas remonter directement sur le vélo.
06:16 On prend pas mal d'élan.
06:18 Allez, là c'est Van der Eyde et Anne-Marie Worst qu'on a actuellement à l'écran,
06:21 6ème et 7ème position.
06:22 Et on revient sur la tête et Brandt qui reprend du temps là, j'ai l'impression.
06:26 Altur, cette montée-là, c'est la première fois qu'on a vraiment dû déniveler dans le parcours.
06:39 Amandine Foutenay qui est là, en 19ème position.
06:46 Et Hélène qui est 11ème, juste avec l'Italienne Cassa Sola.
06:52 Et Worst également, en fait elle est dans le groupe pour la 6ème place
06:56 pour l'instant Hélène Clausell.
06:58 Allez, Todd Peters qui est toujours devant pour l'instant,
07:02 cette partie compliquée également.
07:04 On utilise le dos Arnaud, beaucoup de force aujourd'hui dans ces montées.
07:08 Il y a très peu de plat finalement sur ce circuit.
07:11 Femme Van Empel qui est très impressionnante,
07:15 elle a déjà pris pas mal d'avance.
07:16 On a un écart de 6 secondes.
07:19 Moi à mon avis, il commence à être même supérieur sur cet enchaînement-là.
07:23 Elle a été très rapide.
07:24 Regardez, la caméra va dézoomer.
07:25 Ça commence à vraiment faire la différence d'entrée.
07:30 Brandt qui a forcé pour passer sur le vélo.
07:34 Regardez Alvarado qui était descendu, qui est passé bien plus vite.
07:36 Je ne sais pas si c'était une bonne tactique du côté de Lucie de la Brandt.
07:39 Elle verra au fur et à mesure des tours, elle va déjà changer de vélo.
07:42 Femme Van Empel.
07:43 On voit le circuit s'est encore plus dégradé par rapport à tout à l'heure.
07:50 Il y a encore eu quelques petites reconnaissances.
07:52 Donc on ne perd pas de temps à changer de vélo.
07:54 Dégradé, ça veut dire quoi ?
07:59 Qu'il est moins rapide, qu'il y a plus d'ornières, que la boue est plus présente.
08:05 Il y a plus d'ornières, il y a de moins en moins d'herbes.
08:08 À chaque fois quand on a du grippe, c'est dès qu'il y a un peu des racines et de l'herbe.
08:11 Alors quand il n'y a que de la terre humide, forcément ça glisse.
08:14 Et donc ça, c'est les reconnaissances et les entraînements avant et les courses qui
08:18 usent le circuit.
08:19 Et voilà, c'est un circuit qui n'est pas très, très rapide.
08:23 Donc il vaut mieux changer de vélo.
08:24 Allez, passage à pied.
08:26 Ça passe très, très bien.
08:28 Et oui, c'est ça, c'est que là, Todd Peters ne pourra pas non plus profiter de son avantage
08:34 sur les planches, de la façon de les passer, de la façon de se relancer également derrière.
08:38 Parce qu'aujourd'hui, on passe tout à pied.
08:40 Regardez, heureusement qu'il y a ce plan Arnaud.
08:48 Heureusement parce qu'on devine, on devine que c'est remonté sur les planches, mais
08:51 on ne voit pas vraiment à quel point finalement cette inclinaison est importante.
08:56 Imaginez l'effort quand même qu'on produit ici.
08:59 Allez, Hélène Clausel est là.
09:00 Hélène Clausel qui fait un gros, gros premier tour, là, comme à son habitude.
09:07 Elle était un petit peu plus derrière, elle était un peu gênée au départ.
09:10 Elle était à peu près à la 20e place.
09:11 Elle a repris déjà une dizaine de places.
09:13 Mais on a l'habitude de voir Hélène toujours faire des gros starts, aller gros ralenti.
09:18 Il assure la femme Van Ampel.
09:21 C'est le visage des bons jours pour femme Van Ampel.
09:24 Pas marqué, impassible comme toujours.
09:27 Et derrière, Puck Peters, Lucienne Dabrante.
09:30 Qui vont quand même tenter de résister.
09:33 9 secondes maintenant d'écart en faveur de celle qui est déjà championne du monde en titre.
09:39 Elle est championne du monde, elle est championne d'Europe également.
09:47 Bon Arnaud, qu'est-ce qu'on fait là ? Qu'est-ce qu'on essaie de faire ?
09:58 On fait ce que Lucienne Dabrante est en train de faire, repasser devant Puck Peters,
10:01 tenter de profiter de ses grandes parties.
10:04 On l'a déjà laissé s'envoler.
10:07 C'est impressionnant, dans ces conditions-là, comme ça rend le circuit ultra physique.
10:14 On est que dans le premier tour et de suite il y a d'énormes différences.
10:18 Évidemment c'est créé par femme Van Ampel qui est sur le papier pour l'instant, c'est la plus forte.
10:23 Mais souvent à Tabor, on l'a eu en début de saison où c'est relativement roulant.
10:27 Ou soit il fait très froid, c'est gelé, voire glacé avec la neige.
10:30 Mais dans ce genre de conditions, on l'a rarement eu, mais ça fait un parcours très physique.
10:35 Voilà pourquoi dans le premier tour, il y a autant d'écarts.
10:43 La dernière championne du monde ici, Arnaud en 2015, était française bien sûr.
10:48 Pauline Ferrand-Prévot qui s'était imposée devant Sankanté et Marianne Vos.
10:52 Différentes trajectoires pour Casasola.
10:58 Alvarado qui tente la trajectoire au milieu en sortant le pied.
11:02 Manon Bakker qui passe bien aussi.
11:04 Très beau passage à l'italienne.
11:09 Elle est remontée légèrement en dévers, ce n'est pas simple à négocier.
11:13 Femme Van Ampel qui enchaîne les virages.
11:15 Et là maintenant on a le duo Brandt-Peters qui se forme bien.
11:19 Exactement comme sur la course des Esports Garçons tout à l'heure.
11:23 On a quelqu'un largement en tête, mais un duo derrière.
11:26 Elle les a vraiment asphyxiés.
11:28 D'entrée, je ne pensais pas que Femme Van Ampel allait autant dès le premier tour attaquer.
11:35 Mais là c'est vraiment impressionnant. Gros gros premier tour de Van Ampel.
11:38 Qu'est-ce qui explique sur le terrain qu'on puisse faire de telles différences ?
11:42 Vous l'avez dit déjà sur les précédentes courses, mais c'est vrai que le terrain est coupé en deux.
11:47 On a deux parties différentes. On a une première partie qui ne se négocie pas comme la deuxième.
11:51 Qu'est-ce qui fait que sur la première on peut faire des différences ?
11:54 Techniquement on est un peu plus à l'aise.
11:58 Dès qu'on va arriver sur les premières grandes marches, on a les toutes petites marches en bas du circuit.
12:03 Mais les deuxièmes, un peu plus grandes, où on remonte sur le haut dans la montée,
12:07 là vraiment on peut commencer à faire la différence physiquement.
12:10 Et continuer à vraiment prendre de l'avance sur la deuxième partie.
12:14 Mais cette grosse première partie de circuit, c'est beaucoup de fluidité et de notion de trajectoire
12:19 que pour l'instant Femme Van Ampel réalise à la perfection.
12:22 Je suis même le premier étonné de voir autant de différences sur la technique.
12:27 C'est vraiment parfait ce qu'on fait de Femme Van Ampel.
12:30 16 secondes, ça ne cesse d'augmenter.
12:33 Et Brandt qui essaie de s'accrocher à ce que Puck Peters lui fait subir dans ses portions.
12:38 J'hésitais tout à l'heure, 20-30 courses pour Femme Van Ampel, et bien c'est sa 20ème.
12:42 Aujourd'hui, Arnaud imaginez, elle n'en a perdu que deux cette saison, Coupe du Monde à Hulst.
12:47 Parce qu'elle a eu des petits problèmes.
12:51 Et puis à Gabert également, pendant la coupure,
12:54 pendant notre petite trêve entre Noël et Lent.
12:57 Et puis également, elle avait terminé deuxième, derrière Puck Peters justement.
13:03 Puck Peters qui passe sur la ligne avec Lucinda Brandt.
13:08 On connaît le style de Brandt, c'est plutôt de monter en pression au fur et à mesure de la course.
13:14 Donc attention à ce qu'elle va faire en deuxième partie tout à l'heure.
13:18 Et Céline Alvarado qui est pour l'instant 4ème au pied du podium.
13:22 Les écarts sont impressionnants, Alvarado annoncé à bientôt 40 secondes.
13:27 20 tours, franchement c'est balèze, on va regarder sur la ligne, 37, 38.
13:32 Marie Norsk qui est ici.
13:41 Elle est là, Hélène Closel.
13:45 Elle remonte, elle est 9ème. Elle est dans le top 10 maintenant, Hélène.
13:51 Elle revient dans la route, la belge, Laura Verdonschot.
13:55 Elle parle de plus en plus, elle partait en première ligne, la belge.
13:59 C'est vrai qu'on parle à chaque fois de Sam Kant, qui est maintenant à l'écran,
14:02 on la voit arriver, qui est, je ne sais plus combien de fois championne de Belgique.
14:06 À chaque fois, elle arrive à regagner le titre.
14:08 Ancienne triple championne du monde, triple ou double en triple je crois.
14:11 Championne du monde de cyclocross.
14:13 Mais Laura Verdonschot qui monte en pression.
14:18 Amandine Foucneau passage sur la ligne en 19ème position.
14:22 La domination pour l'instant, c'est impressionnant.
14:31 Femme Van Empel qui ne faiblit pas, elle garde un super tempo.
14:35 Premier tour réalisé en 11 minutes et 18 secondes.
14:38 Allez là, on va bien chercher l'extérieur pour essayer d'aller trouver un maximum de grip.
14:46 On va citer aussi la canadienne Magali Rochette.
14:49 Oui, tout à fait, on va suivre la place d'Hélène,
14:52 parce que je regardais sa meilleure place en championnat du monde, c'est 8ème.
14:55 C'était à Fayetteville, donc là elle est clairement dans le coup de ce qu'elle a déjà fait sur un championnat du monde.
15:01 Et puis Amandine Foucneau qui dispute son premier championnat du monde avec les élites.
15:06 Arnaud, puisqu'elle était encore espoir l'année dernière.
15:09 Ce qu'on n'a pas vu à l'image, c'est que pourquoi Lucienne Dabronc n'est plus dans la roue de Puck Peter.
15:15 Il y a peut-être une petite erreur ou une attaque de Peter.
15:18 Je pense à mon avis que ce serait plus une erreur vu le bas du circuit, c'est assez technique.
15:23 Peut-être que petite erreur pour Lucienne Dabronc et Puck Peter maintenant à 5 secondes d'avance sur Lucienne Dabronc.
15:29 Vous voulez dire qu'il y a des choses qu'on ne nous montre pas à l'écran ?
15:33 C'est étonnant, depuis le début du championnat du monde de ces courses, je n'avais pas du tout remarqué ça.
15:37 C'est vrai qu'on ne voit pas tout.
15:41 On est assez frustré avec Arnaud, surtout moi depuis tout à l'heure.
15:45 Mais ça va passer.
15:47 Allez, Femme Vendempoel, toujours avec une petite vingtaine de secondes d'avance.
15:51 Ou une grande vingtaine de secondes d'avance si on considère qu'on est seulement dans le deuxième tour.
15:56 Et oui, on n'avait pas beaucoup de questions autour de Femme Vendempoel.
15:59 Peut-être quelques interrogations parce que finalement, elle ne dominait plus les courses.
16:03 Toutes les courses en tout cas, comme elle les avait dominées.
16:06 Même si elle a gagné sans arrêt depuis le 1er janvier de cette année.
16:12 Un recul en 2024.
16:14 En tout cas, là, elle est en mode démonstration.
16:17 Totalement, 19 secondes sur Pack Peters.
16:20 C'est dur mentalement Arnaud, elle les a complètement assommées.
16:26 En 19 secondes d'avance maintenant pour Vendempoel.
16:32 Après, c'est la bonne tactique et technique en championnat du monde.
16:36 Franchement, on se prépare, on est au top.
16:39 On part directement, on fait un super départ.
16:41 On essaye de faire la différence dès le premier tour.
16:43 Et si ça marche, tant mieux.
16:45 On ferait tous la même chose.
16:49 Finalement, c'est ce que Alvarado avait tenté également.
16:52 Puisqu'on l'avait vu faire un énorme start.
16:55 Mais elle n'a pas pu suivre ensuite le rythme de Femme Vendempoel
16:58 qui s'est envolée dès la première passerelle.
17:01 C'est un défi qui s'est passé tout à l'heure.
17:03 Allez, là on est avec Amandine Foucne.
17:06 Le groupe là, alors, il y a du monde dans ce groupe.
17:12 On est 5-6 là.
17:14 Elle est avec Alicia Frank et Anna Kehn notamment.
17:16 Marion Norbert-Riberol aussi.
17:18 Elle court pour la Belgique depuis quelques années maintenant.
17:21 Et puis là, le gros avantage de Femme Vendempoel,
17:25 c'est qu'elle va gérer bien sûr la course à son rythme.
17:30 Regardez cette foulée à chaque fois.
17:33 Allez, Puck Peters et sa technique.
17:42 Peut-être que ça peut parler aujourd'hui.
17:44 Il ne faut pas lâcher prise tout de suite en tout cas.
17:46 On ne sait jamais, on ne sait pas ce qui peut se passer finalement devant.
17:49 En tout cas, elle arrive à mettre un mal du cime d'Abraham pour le moment.
17:57 Sur les dernières marches, elles sont presque en train de marcher.
18:00 C'est très dur alors que Femme Vendempoel continue à garder un tempo
18:04 en mode course à pied.
18:06 Mais on ne se rend pas trop compte.
18:08 Elles sont hautes les marches, honnêtement.
18:10 Et elles sont dures.
18:24 Regardez, à chaque fois, les dernières marches font mal.
18:27 Allez, Alvarado, Cresasola aussi, qui passe bien là.
18:33 Bon tempo sur les marches.
18:36 Allez, on revient à la tête.
18:38 Ah, ça y est, ce virage, je me demandais est-ce qu'il allait passer à pied ou non.
18:43 Parce que c'était grave très vite.
18:45 Pour l'instant, Femme Vendempoel a décidé de passer à pied.
18:48 Sûrement que ça va plus vite maintenant.
18:52 On retrouve Hélène.
18:54 On a peut-être problème mécanique.
19:01 Ça a l'air d'être Elisabeth Brandao, qui était dans le top 20, juste derrière.
19:08 Allez, Puck Peters, toujours devant pour l'instant, Lucine Dabrante.
19:12 Femme Vendempoel changement de vélo sans aucun souci, évidemment.
19:17 Quand même un petit pansement sur le genou, Femme.
19:20 Elle est au changement de vélo, il faut bien...
19:23 Enfin, un peu forcer pour reclipser.
19:26 Il y a encore de l'humidité dans ce virage-là.
19:28 C'est normal, on n'est toujours pas train du poste,
19:30 des fois avec les cars chers, tout ça, il y a toujours de l'humidité.
19:32 Mais ça prouve que ça sèche un tout petit peu.
19:35 La boue doit commencer à coller.
19:38 C'est dans ces conditions-là qu'à chaque fois on a les circuits les plus physiques.
19:45 Elles sont terribles, ces planches, cette petite bosse juste avant.
19:48 La descente de vélo assez tôt, que vous aviez déjà souligné, Arnaud.
19:52 Et puis là, elle continue. Elle continue parce que c'est son atout.
19:55 Un de ses atouts, la course à pied, que c'est parfait.
19:58 Qu'elle sait que là, elle peut gagner du temps également.
20:01 On va regarder le passage de Puck et de Lucinda derrière.
20:05 On est à Tabor, bien sûr.
20:09 On aurait pu le voir, mais on n'a pas le temps.
20:12 On est à Tabor, bien sûr. En République tchèque.
20:15 C'est dur. J'ai l'impression que sur la course à pied, Puck Peters,
20:21 aujourd'hui, ce n'est pas la plus forte sur la course à pied.
20:25 C'est fou comme elle est coupée.
20:27 Elle a du mal un peu sur ces parties-là.
20:30 Je vais parler un peu des planches.
20:32 À chaque fois, dans le format Coupe du Monde, ce sont des écrans.
20:35 On le voit d'une certaine hauteur. Et elles sont larges.
20:37 C'est pour ça que des fois, on peut voir des athlètes chez les femmes,
20:40 comme Puck Peters, qui les sautent.
20:42 Des fois, elles se permettent même de poser la roue avant dessus
20:45 et juste de lever la roue arrière. C'est un peu la technique cabrée sautée.
20:48 Mais là, ce sont des planches en bois.
20:51 Il n'y a pas d'écran. Elles sont assez fines.
20:53 Elles sont bien à 40 cm, au maximum.
20:56 Alors que souvent, les écrans Coupe du Monde sont à peu près à 36-37 cm.
21:00 2-3 cm, ça fait quand même la différence.
21:02 C'est énorme. Vraiment.
21:04 Vous avez vu, Brunt est revenu en contact de Puck Peters
21:07 à la sortie des planches, justement.
21:10 Et la Casa Sola est avec Céline Alvarado.
21:12 Ça doit être dur d'être quatrième comme ça, Arnaud.
21:14 De voir l'écart devant. C'est-à-dire qu'il y a déjà 30 secondes
21:17 entre Alvarado, Brunt et Peters.
21:20 C'est fini quasiment pour le podium.
21:22 Déjà, on est dans le deuxième tour. Il y a encore une demi-heure à souffrir.
21:25 Et on a été en plus déjà championne du Monde.
21:28 C'est ça qu'il faut digérer.
21:30 On a gagné la Coupe du Monde.
21:32 Je pense qu'Alvarado venait aussi avec l'espoir d'un podium.
21:35 C'est un peu comme ça.
21:37 C'est un peu comme ça.
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38:17 C'est un peu comme ça.
38:19 C'est un peu comme ça.
38:21 C'est un peu comme ça.
38:23 C'est un peu comme ça.
38:25 C'est un peu comme ça.
38:27 C'est un peu comme ça.
38:29 C'est un peu comme ça.
38:31 C'est un peu comme ça.
38:33 C'est un peu comme ça.
38:35 C'est un peu comme ça.
38:37 C'est un peu comme ça.
38:39 C'est un peu comme ça.
38:41 C'est un peu comme ça.
38:43 C'est un peu comme ça.
38:45 C'est un peu comme ça.
38:47 C'est un peu comme ça.
38:49 C'est un peu comme ça.
38:51 C'est un peu comme ça.
38:53 C'est un peu comme ça.
38:55 C'est un peu comme ça.
38:57 C'est un peu comme ça.
38:59 C'est un peu comme ça.
39:01 C'est un peu comme ça.
39:03 C'est un peu comme ça.
39:05 C'est un peu comme ça.
39:07 C'est un peu comme ça.
39:09 C'est un peu comme ça.
39:11 C'est un peu comme ça.
39:13 C'est un peu comme ça.
39:15 C'est un peu comme ça.
39:17 C'est un peu comme ça.
39:19 C'est un peu comme ça.
39:21 C'est un peu comme ça.
39:23 C'est un peu comme ça.
39:25 C'est un peu comme ça.
39:27 C'est un peu comme ça.
39:29 C'est un peu comme ça.
39:31 C'est un peu comme ça.
39:33 C'est un peu comme ça.
39:35 C'est un peu comme ça.
39:37 C'est un peu comme ça.
39:39 C'est un peu comme ça.
39:41 C'est un peu comme ça.
39:43 C'est un peu comme ça.
39:45 C'est un peu comme ça.
39:47 C'est dur là pour Puck Peters.
39:49 J'ai l'impression qu'il repère encore du temps.
39:51 On ne la voit plus trop à l'image.
39:53 Mais Brandt est vraiment tout seul.
39:55 Puck Peters est seulement là.
39:57 Maintenant à plus de 20 secondes de Brandt.
39:59 On va vous rappeler les écarts
40:05 parce que Femme Vendempoel a 1 minute 04 d'avance
40:07 sur Lucinda Brandt, la deuxième.
40:09 1 minute 23 d'avance sur Puck Peters, la troisième.
40:11 Et 1 minute 55 d'avance
40:13 sur Alvarado
40:15 qui est au pied du podium.
40:17 Quatrième pour le moment.
40:19 Et si on remonte, la septième.
40:21 Magalie Rochette est déjà à 3 minutes.
40:23 Arnaud derrière.
40:25 C'est énorme de voir des écarts comme ça.
40:29 Mais à chaque fois, les mondiaux,
40:31 ça reste une course très particulière.
40:33 Et quand on est loin,
40:35 qu'on peut aller valider un podium,
40:37 on se met à 200% à bloc.
40:39 Et c'est souvent ça aussi.
40:41 Par exemple, la semaine avant,
40:43 on a toujours des petites surprises.
40:45 Par exemple, une Vendempoel
40:47 où je reviens à Mathieu Van Der Poel
40:49 qui a sorti d'un gros cycle d'entraînement
40:51 et il n'avait pas la même fraîcheur.
40:53 Du coup, ils ont couru intelligemment.
40:55 Et là, cette semaine,
40:57 ils ont fait énormément de fraîcheur.
40:59 Des petites intensités, mais beaucoup plus légères
41:01 par rapport aux semaines précédentes.
41:03 Et là, quand tout se passe bien,
41:05 c'est comme ça que ça fonctionne après l'entraînement,
41:07 la programmation.
41:09 Et après, on a accumulé tout ce qu'on a travaillé.
41:11 On a toute la puissance
41:13 et en plus, on a de la fraîcheur.
41:15 Et donc, voilà pourquoi on arrive
41:17 en super forme le jour de l'objectif.
41:19 Et qu'on peut avoir des écarts aussi conséquents aujourd'hui.
41:21 Elle est même en super, super, super forme,
41:25 femme Vendempoel,
41:27 sur le point d'aller chercher
41:29 en plus de son maillot de championne d'Europe,
41:31 le maillot de championne du monde.
41:33 À nouveau,
41:35 et vous voyez,
41:37 deux fois championne d'Europe,
41:39 championne du monde également.
41:41 Et Lucinda Brandt,
41:49 je voulais voir ça avec précision,
41:51 je vous ai dit qu'elle n'avait pas quitté le podium depuis un moment,
41:53 depuis 2018.
41:55 Donc là, elle est en train d'aller chercher son septième podium mondial,
41:57 consécutif.
41:59 Arnaud, alors le seul bémol, c'est qu'il n'y a eu qu'un seul titre,
42:01 finalement, un seul maillot arc-en-ciel dans tout ça.
42:03 Mais vous imaginez quand même la régularité
42:05 de Lucinda Brandt
42:07 qui voit arriver des filles de génération
42:09 derrière elle, parce qu'elle est plus que trentenaire,
42:11 Lucinda Brandt maintenant.
42:13 Et elle est toujours là,
42:15 elle ne le résiste pas toujours,
42:17 parce que le titre ne lui revient pas
42:19 si souvent que ça, finalement.
42:21 Mais elle est toujours là, dans ce paquet,
42:23 toujours dans le haut du paquet d'ailleurs,
42:25 toujours sur le podium. Franchement, ça c'est aussi très impressionnant.
42:27 Ouais, une longévité
42:31 incroyable,
42:33 et puis voilà, cette motivation
42:35 constante, et je pense que c'est dur aussi
42:37 psychologiquement de voir arriver
42:39 des jeunes et très vite
42:41 dominer la discipline,
42:43 alors que Brandt a vraiment mis
42:45 un peu, enfin, elle a mis quelques secondes.
42:47 Oh, la chute d'Alvarado !
42:49 Ah, la chute un peu sur la fatigue là.
42:51 Beau visage,
42:53 ça a l'air d'aller.
42:55 Ça a l'air d'aller, mais ça c'est vraiment signe de fatigue.
42:57 À chaque fois en fin de course, ces marchés sont
42:59 très durs, très hautes.
43:01 Mais on est en train de parler de Brandt,
43:03 c'est vraiment impressionnant
43:05 d'enchaîner autant d'années
43:07 sur le podium, mais seulement
43:09 un titre. C'est un peu comme
43:11 l'image de Sven Nys, on s'en souvient.
43:13 Il a toujours été sur le podium, alors qu'il a été que
43:15 deux fois champion du monde elite, alors qu'il a
43:17 gagné la Coupe du Monde pendant
43:19 très très longtemps.
43:21 Elle fait partie des grandes, en tout cas du cyclocross
43:23 féminin de ces dernières
43:25 années, très clairement, Lucinda Brandt.
43:27 Et on n'oublie pas, Arnaud, qu'elle s'est quand même
43:29 cassée le nez à Zonhoven, Lucinda Brandt.
43:31 Et Zonhoven, c'était le 7 janvier
43:33 dernier, on s'en souvient. Elle est allée chercher
43:35 son titre de championne nationale
43:37 des Pays-Bas, comme ça.
43:39 Elle a quasiment pas quitté le podium ensuite, sauf
43:41 à Benidorm, où elle a terminé 4e.
43:43 C'est vraiment une guerrière
43:45 incroyable. D'ailleurs, dans toute la saison,
43:47 sa pire place, c'est 4e
43:49 à Benidorm et à Gaverne
43:51 juste avant...
43:53 Oui, c'est ça, le 26 décembre,
43:55 donc deux semaines avant
43:57 le fait qu'elle se casse le nez.
43:59 Une saison énorme de Lucinda Brandt
44:01 également, mais voilà, elle est tombée sur
44:03 quelqu'un qui est bien au-dessus
44:05 cette année, Femme Van Empel.
44:07 Je regarde le parcours qui commence vraiment
44:11 à être beaucoup plus dur.
44:13 Tout à l'heure, on voyait Van Empel
44:15 porter le vélo dans
44:17 un virage, que moi, ce matin, ça passait
44:19 très très bien, sans aucun souci.
44:21 Et là, en trois courses,
44:23 ça passe plus, on est à pied.
44:25 Donc ça se dégrade
44:27 quand même très très vite.
44:29 La grimace sur le visage de Lucinda Brandt
44:31 pendant que vous étiez en train de dire ça.
44:33 On comprend à quel point il est
44:35 difficile ce circuit de tabord.
44:37 Tabord qui a l'habitude
44:39 d'accueillir les championnats du monde.
44:41 En 2010, c'est Marianne Vos
44:47 qui s'était imposée ici. Elle était allée chercher
44:49 son 3e titre de championne
44:51 du monde. Marianne qu'on n'a pas vue en cyclocross
44:53 du tout cette saison.
44:55 C'est dur pour Puck Peters.
44:57 Je vois que ce n'est plus le même rythme.
44:59 Elle est régulière dans ses tours.
45:01 Elle a fait le plus dur
45:03 parce qu'elle a creusé l'écart
45:05 sur Alvarado finalement.
45:07 Oui, c'est bon. Mais ça se voit.
45:09 La latitude, la foulée, tout ça.
45:11 Quand même, Puck Peters, d'habitude,
45:13 elle est quand même plus aérienne.
45:15 Là, j'ai l'impression qu'elle subit
45:19 quand même pas mal le parcours.
45:21 Et puis sa forme également
45:23 qui n'était pas à 100%
45:25 juste avant.
45:27 Ah, vous parlez de Marianne Vos.
45:33 Elle est quand même là.
45:35 Depuis 2020, les Néerlandaises
45:41 vont chercher le titre de championne
45:43 du monde. Il y a eu Sankant
45:45 pendant 3 ans, entre 2017 et 2019.
45:47 2016, c'était Talita de Jong
45:49 qui n'est plus sur les circuits.
45:51 Depuis 2015, Pauline Ferrand-Prévot.
45:53 Et puis juste avant,
45:55 de 2009 à 2014,
45:57 Marianne Vos, justement,
45:59 a tenté d'aller chercher
46:01 son 8e titre en 2022.
46:03 On l'avait commenté ensemble,
46:05 bien sûr.
46:07 Allez, une 17.
46:13 Une 44 sur Puck Peters.
46:15 C'est énorme.
46:19 Je vous rappelle,
46:21 il y avait à peine plus de 30 secondes
46:23 l'année dernière entre les deux.
46:25 Pardon Arnaud, je vous ai encore coupé.
46:27 Mais il y avait à peine plus de 30 secondes.
46:29 C'est énorme, c'est vraiment énorme
46:31 ce qu'elle est en train de faire là.
46:33 Vraiment, elle aura ultra-dominé
46:35 ce championnat.
46:37 On a rarement vu ça dans un championnat du monde.
46:39 Même toutes catégories confondues.
46:41 C'est parfait, la technique,
46:43 à chaque fois, les trajectoires,
46:45 le coup de pédale, la puissance,
46:47 le métronome,
46:49 et puis à chaque fois,
46:51 la changer de vélo, c'était nickel,
46:53 aucun souci, franchement.
46:55 La course est parfaite.
46:57 Ça y est, il est là le sourire.
46:59 Ça y est, il est là le sourire.
47:01 Ça y est, il est là le sourire.
47:03 Ça y est, il est là le sourire.
47:05 Ça y est, il est là le sourire.
47:07 Ça y est, il est là le sourire.
47:09 Voilà.
47:11 Ça y est, elle peut enfin lever le point.
47:13 Ça y est, elle peut enfin lever le point.
47:15 Une course parfaite, on a vu le regard déterminé complètement.
47:17 Ça y est, elle arrive sur cette dernière ligne droite
47:19 Pour aller s'offrir son deuxième titre
47:21 de championne du monde
47:23 chez les élites consécutives.
47:25 Vous l'irez sur les panneaux
47:27 à côté de la ligne d'arrivée
47:29 Femme Tastique.
47:31 Moi j'ai envie de vous dire qu'aujourd'hui,
47:33 elle est phénoménale.
47:35 Femme Van Empel qui vient s'imposer ici
47:37 sur la ligne. Il n'y avait pas faute.
47:39 Au bout de 100 mètres, on a compris
47:41 qu'elle allait s'imposer.
47:43 Eh bien oui, bravo, parce que franchement,
47:45 là on a tous eu le souffle coupé.
47:47 Elle a relégué Lucine Dabrante
47:49 à plus d'une minute.
47:51 Déjà, on va regarder ce qui se passe derrière
47:53 mais le podium avait l'air figé.
47:55 On aurait pu lui mettre 5 étoiles,
48:01 6 étoiles même tout à l'heure en partant.
48:03 Il est beau ce plan.
48:05 C'est bien rempli ici.
48:07 On attend autant de monde demain bien sûr.
48:09 C'est là qu'il fait partie de Visma,
48:17 elle est la Lucine Dabrante
48:19 qui va encore aller chercher
48:21 un podium
48:23 mais ce ne sera toujours pas l'arc-en-ciel
48:25 pour elle.
48:27 Elle aussi, elle s'est arrachée
48:29 pour venir à bout de Puck Peters derrière.
48:33 On a juste inversé
48:35 la deuxième et troisième place
48:37 mais finalement ce sont encore les 3 mêmes filles
48:39 sur le podium, les 3 mêmes que l'année dernière.
48:41 Une petite hiérarchie qui est quand même en train
48:43 de s'installer finalement.
48:45 Elle va finir
48:47 au sprint, celle qui brille également sur route.
48:49 Lucine Dabrante,
48:51 tous les drapeaux qui sont là
48:53 pour lui rendre hommage parce que franchement
48:55 aujourd'hui, c'était vraiment
48:57 pas une course simple.
48:59 Elle va terminer à 1 minute 20 secondes.
49:01 Une vingtaine de
49:03 Femme Vendemple derrière.
49:05 Et pour le podium,
49:07 on va attendre Puck Peters également.
49:09 Il est beau ce podium Arnaud.
49:13 Encore un podium 100% néerlandaise.
49:19 Puck Peters qui peut quand même être fière
49:21 de sa course, un troisième de la championnat du monde.
49:23 Femme Vendemple était vraiment
49:27 trop forte aujourd'hui.
49:29 Encore une fois, je l'ai dit,
49:31 elle n'a jamais eu l'arc-en-ciel en élite,
49:33 ni en cyclocrosse, ni en VTT.
49:35 Puck Peters, mais ça viendra.
49:37 Allez, on va regarder
49:39 les autres filles qui vont passer sur la ligne.
49:41 Céline Alvarado qui a remporté le classement général
49:43 de la Coupe du monde, qui a déjà été
49:45 championne du monde.
49:47 C'était il y a une éternité, maintenant en 2020.
49:49 Elle va passer sur la ligne en 4ème position.
49:53 Elle a réussi à se débarrasser de l'italienne
49:55 Sara Cassasola.
49:57 Et Cassasola qui va même
49:59 perdre sa 5ème place puisque Laura Verdun-Schott
50:01 visiblement est passée devant
50:03 elle également.
50:05 Et Hélène Closel, pour l'instant, toujours dans le top 10
50:07 dans ce groupe.
50:09 Il y a Hans Singer avec elle.
50:11 Vorst est bien devant, elle a bien creusé un peu.
50:13 Vander Heiden est derrière Hélène Closel.
50:17 On va l'attendre, bien sûr.
50:19 Et Amandine Fauconnet, toujours 19ème
50:21 pour le moment.
50:23 Mais oui, Laura, elle a passé
50:25 en Cassasola.
50:27 Elle finit fort, 5ème des championnats du monde.
50:35 Laura Verdun-Schott peut être très très fière d'elle.
50:37 Cassasola qui aura craqué un tour et demi
50:39 de trop on va dire, mais ça a été
50:41 dur, mais je pense que c'est quand même la bataille
50:43 avec Alvarado pour ne pas se mettre trop dans le rouge.
50:45 Et derrière, il manquait de fraîcheur.
50:47 Anne-Marie Vorst en 7ème place,
50:49 en 7ème position.
50:53 Et derrière, c'est donc le groupe
50:55 d'Hélène Closel qu'on va attendre
50:57 avec Hans Singer, Vander Heiden
50:59 et la championne de France.
51:01 C'est la 5ème, elle a un peu glissé.
51:11 Elle est en meilleure position.
51:13 Et oui, on l'attend, on l'attend derrière.
51:15 On les voit, on les voit.
51:17 Clara Hansinger est là, Hélène est derrière.
51:19 Allez, Hélène qui va tout donner encore pour aller
51:21 approcher ce top 10.
51:23 Ingevande Heiden est entre les deux.
51:25 Allez, attention Hélène,
51:31 Magalie Rochette d'un côté.
51:33 Magalie Rochette qui l'a eu.
51:37 Elle a pas vu, mais
51:39 je pense qu'elle est passée.
51:41 C'est ce que les classements
51:43 indiquent. C'est dommage
51:45 parce que ça aurait fait son 3ème championnat du monde
51:47 dans le top 10, mais elle est 11ème.
51:49 Hélène Clauzel qui reste quand même
51:51 un bon résultat.
51:53 Sainte-Cante ici, l'ancienne triple championne du monde.
51:55 Et Amandine donc
51:57 qui va terminer dans le top 20.
51:59 Merci beaucoup Arnaud Jouffroy d'avoir été là
52:01 toute la journée avec moi.
52:03 Bien sûr, on attend demain
52:05 juste un mot sur les ambitions de l'équipe de France.
52:07 Demain, il y aura bien sûr
52:09 la course élite à 14h30.
52:11 Mais je crois que juste avant,
52:13 on a pas mal d'ambitions, non ?
52:15 Oui, chez les juniors hommes, évidemment.
52:17 On est dans le même scénario qu'on a eu ce matin
52:19 avec Célia Gery, Aubin Sparfey,
52:21 qui est vraiment en favori.
52:23 Et un peu en offre.
52:25 Qui a fait un relais énorme,
52:27 qui a résisté à Cameron Maison,
52:29 un élite qu'il a battu même au sprit.
52:31 Donc il est en forme, mais il n'y a pas que
52:33 Aubin. Je pense à Jules,
52:35 Jules Simon qui va être là,
52:37 à tous les juniors qui vont essayer.
52:39 Ils sont tous capables d'être dans le top 10.
52:41 Et bien évidemment aussi
52:43 nos espoirs françaises qui peuvent
52:45 essayer d'aller faire de très belles places.
52:47 Donc voilà les ambitions de la France
52:49 demain. Donc ça va être à peu près
52:51 le même scénario qu'il s'est passé aujourd'hui.
52:53 Et on n'oubliera pas Clément Venturini
52:55 et David Meunier bien sûr pour la course
52:57 des élites également. Merci beaucoup
52:59 Arnaud, profitez bien, elle est là.
53:01 Hélène aussi, on va peut-être juste
53:03 terminer sur ce plan.
53:05 On voit, on voit
53:07 que c'était vraiment très exigeant.
53:09 Merci Arnaud d'avoir été
53:11 avec moi. Vivement demain
53:13 Vive le Cyclo-Press !
53:15 Merci, à demain.