Kimmer Coppejans a 30 ans !

Eloigné des courts pour au minimum six mois, Kimmer Coppejans souffle sa trentième bougie ce mercredi 7 février.

Transcript

00:00 30 ans, la vieillesse.

00:09 J'espère revenir dans six mois, si tout va bien. C'est ça un peu le but.

00:21 Mais en fait, je trouve pas que c'est trop grave d'être six mois chez moi avec ma famille.

00:28 C'est bien de fêter mes 30 ans comme ça.

00:31 Juste, le prix, c'est un peu ennuyant.

00:34 Je reste positif et je suis content que je sois chez ma famille.

00:39 Certainement, ça fait 25 années que je joue au tennis.

00:48 Honnêtement, très content de mon parcours que j'ai fait.

00:53 J'ai toujours été quelqu'un qui a dû travailler fort pour atteindre un bon niveau de jeu.

01:04 Mais je pense que j'ai toujours fait tout pour et je suis très fier de ça.

01:09 En junior, gagner Roland-Garros, c'était très spécial.

01:18 Toujours les quatre grands slams où je me suis qualifié, ça a toujours été très spécial.

01:25 Surtout, maintenant, Wimbledon, c'était très spécial parce que ça a quand même un « vibe » différent quand tu arrives sur le site.

01:35 J'ai aussi de très bons souvenirs de quelques coups de vis pour jouer pour ton pays.

01:44 C'est très spécial, même ici à Husselt, en septembre.

01:49 Même si j'ai perdu, c'était une atmosphère très bien et je me suis très bien amusé.

01:55 Mais pour vraiment prendre un, je n'ose pas dire.

02:01 Le but, c'est toujours d'aller dans le sang.

02:08 Je pense que c'est toujours quelque chose que je peux réaliser.

02:14 Je pense qu'avant d'être blessé l'année passée, j'étais vraiment sur une bonne route.

02:19 Je jouais très bien, peut-être pas les deux premiers mois de l'année, mais après, mon niveau de jeu a été très bien pendant très longtemps.

02:27 C'était très malheureux de me blesser après ça, mais je pense toujours que c'est un but qui est faisable.

02:38 Sur le circuit Challengers, ça reste quand même dur parce que souvent, les tournois ne sont pas dans de grandes cités.

02:51 C'est parfois dans des petites villes où c'est dur d'y aller, alors c'est déjà plus dur de prendre ta famille avec.

03:01 Alors oui, ça serait mieux si je jouais à 100% sur le circuit ATP.

03:06 Je pense que là, c'est vraiment possible de prendre ta famille avec, toujours.

03:12 [Musique]

03:15 [SILENCE]