Quelques mois après le « Rassemblement de la fraternité » organisé autour de Ségolène Royal, les socialistes retrouvaient le Zénith pour fêter le « Printemps des libertés ».Etranglement financier des collectivités locales, restrictions des droits de l’opposition parlementaire, redécoupage des circonscriptions législatives… En ce début de journée, les élus socialistes se succèdent sur scène pour dénoncer « les atteintes aux libertés politiques », avant de laisser la place, dans l’après-midi, aux acteurs de la société civile (représentants des secteurs associatif et syndical).
Quelque peu intrigués par ce rendez-vous que le PS a donné à ses militants, nous nous sommes rendus au Zénith avec quelques questions en tête : La politique de Nicolas Sarkozy justifiait-elle l’organisation d’une telle manifestation ? Le moment était-il bien choisi pour lancer un débat sur les libertés publiques, alors que toute l’attention des français se focalise sur la crise ? Le PS était-il hors débat ou jouait-il simplement son rôle ?
Jean-Marc Ayrault, depuis la scène du Zénith, ainsi que Martine Aubry, Benoît Hamon et Bertrand Delanoë ont tenté de nous réponde.
Un reportage signé Coline Vanneroy et Ludovic Castet
Quelque peu intrigués par ce rendez-vous que le PS a donné à ses militants, nous nous sommes rendus au Zénith avec quelques questions en tête : La politique de Nicolas Sarkozy justifiait-elle l’organisation d’une telle manifestation ? Le moment était-il bien choisi pour lancer un débat sur les libertés publiques, alors que toute l’attention des français se focalise sur la crise ? Le PS était-il hors débat ou jouait-il simplement son rôle ?
Jean-Marc Ayrault, depuis la scène du Zénith, ainsi que Martine Aubry, Benoît Hamon et Bertrand Delanoë ont tenté de nous réponde.
Un reportage signé Coline Vanneroy et Ludovic Castet
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