Pierre de Maere : "Le fait que je sois deux fois aux Victoires, ce n'est plus un hasard"

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Transcript

00:00 C'est rassurant d'y être d'une certaine façon parce que je me dis bon tout ça n'aura pas duré qu'un an

00:03 ou le temps d'une cérémonie tu vois ça aurait pu être une espèce d'accident

00:07 et en fait non parce que le fait que j'y soit deux fois c'est plus un hasard j'espère

00:11 et donc c'est rassurant.

00:12 Mais c'est vrai qu'il peut y avoir une malédiction c'est à dire que tu remportes comme ça la révélation

00:15 après on n'entend plus parler de toi.

00:16 On n'entend plus parler de toi, ça peut arriver et c'est pas le cas pour l'instant.

00:19 Maintenant je suis hyper hyper heureux d'être là, de chanter Enfant 2 en direct

00:23 c'est flippant mais c'est un truc que j'aime et ça va être très bien.

00:30 Avant qu'on écoute cette chanson, Enfant 2 qui est vraiment ma préférée de ce premier album,

00:33 je voulais savoir comment tu t'es préparé pour cette soirée des victoires ?

00:37 Il paraît que tu es allé faire du sport ?

00:38 Mais la bêtise d'une vie en fait.

00:41 Ce matin j'ai un colloque absolument vicieux qui me propose d'aller faire une séance de CAF

00:44 donc cuisse, abdos, fessiers.

00:46 Parce que j'ai jamais fait de ma vie, on dit CAF, c'est pas la CAF c'est le CAF cette fois-ci.

00:49 C'est cuisse, abdos, fessiers, c'est deux choses différentes.

00:53 Et donc il me propose ça, moi naïvement il me dit avec des grand-mères tu verras,

00:55 à 65 ans d'âge c'est pas compliqué.

00:57 C'est doux.

00:58 C'est très doux.

00:59 J'emmène ma colloque et on se retrouve avec un mec qui nous fait faire n'importe quoi pendant une heure.

01:03 J'ai des jambes qui ne sont plus des jambes en fait, j'ai plus de genoux,

01:06 je soutiens mes cuisses avec mes deux mains pour descendre un escalier, c'est atroce.

01:10 Et donc pour manger de jambes c'est emmerdant.

01:13 Parce que tu sais j'ai une corée dans laquelle je me dresse et je descends

01:16 et à un moment donné je suis dans une position accroupie, j'ai peur de plus me relever en fait.

01:20 Bref on verra.

01:21 Il faudrait des filins, il faut récupérer le lit d'Aftarac.

01:24 Absolument, on me file sur les épaules comme un pontin.

01:27 On va trouver un truc.

01:28 Et puis ensuite je me suis fait masser, ça c'était plutôt agréable.

01:30 Ah oui ?

01:31 Ah oui.

01:32 Je sais vivre tu sais.

01:33 Ah ça, il sait vivre, il sait chanter.