Gabriel Attal à une agricultrice en larmes : «Ça va bouger»
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00:00 Pour nous écouter, c'est plus possible, on ne peut plus travailler comme ça, on est la quatrième génération.
00:08 Faire que là, on ne peut pas arrêter le lait parce que c'était plus possible.
00:12 Donc j'ai commencé à nous diversifier en achetant sept vaches limousines.
00:18 Là aujourd'hui, on arrive sur un cheptel avec 35 mères et aujourd'hui vous avez 105 bêtes sous un hangar.
00:24 Et c'est très dur, c'est très compliqué financièrement, on en est là. Il faut trouver une solution.
00:32 Nous, les petites exploitations, on craque et on a besoin de vous, de ce que vous nous entendiez.
00:43 On a besoin d'aide.
00:44 Je suis là pour ça. D'abord merci pour votre franchissement, c'était simple.
00:48 C'est dur, mais c'est aussi sur le terrain, en étant en contact avec vous, qu'on identifiera les bonnes solutions.
00:55 On a commencé à prendre des mesures, je vais y revenir tout à l'heure.
00:59 On va y arriver.
01:00 Ça va bouger.
01:01 [Musique]
01:05 [SILENCE]