• il y a 10 mois
Fort d'un nouveau plan d'action pour faciliter l'accès aux soins, le directeur de l'hôpital public Nord Franche-Comté Pascal Mathis veut rassurer les patients récents passés par l'établissement, au-delà des critiques.

Category

🗞
News
Transcription
00:00 Le 6/9, France Bleu, Belleforme en Béliard, Stéphane Faure.
00:06 La question de l'hôpital public au cœur des débats ce matin.
00:10 Vous avez récemment été soigné à l'hôpital Nord-Franche-Comté.
00:13 Alors, quelles difficultés avez-vous vécues ?
00:15 Avez-vous constaté des manques de moyens ?
00:18 On attend vos témoignages au standard de France Bleu, Belleforme en Béliard à l'antenne.
00:22 L'antenne qui vous est ouverte, 0384 22 82 82.
00:27 La question, elle est simple. Faites-vous encore confiance à l'hôpital public ?
00:30 Dites-le franchement. On en parle avec l'invité d'ici matin, Alexandre Lepers.
00:34 Bonjour Pascal Mathis.
00:35 Bonjour.
00:36 Vous êtes le directeur de l'hôpital Nord-Franche-Comté.
00:38 Nous posons donc cette question centrale à nos auditeurs.
00:40 Faut-il encore faire confiance à l'hôpital public ?
00:42 Et avant d'entendre justement un premier témoignage, Pascal Mathis,
00:45 pourquoi faut-il faire confiance encore à l'hôpital public aujourd'hui ?
00:48 Plus que jamais.
00:50 Nous avons la chance d'avoir un très bel hôpital au sein de notre territoire.
00:56 4500 professionnels qui sont investis au quotidien,
01:02 qui font face à toutes les difficultés, qui font face également aux besoins de la population.
01:08 24 heures sur 24, 365 jours par an.
01:12 Engagement total.
01:13 Et donc sur toutes les activités médicales, chirurgicales, réadaptations, obstétriques, les EHPAD également.
01:20 Et donc la confiance doit être totale.
01:24 D'autant plus que nous travaillons en lien étroit également avec notre CHU de référence.
01:30 Ce qui nous permet d'avoir des missions d'expertise, de sur-spécialité au sein de notre hôpital.
01:39 Nous avons près de 50 médecins également, qui la nuit,
01:45 sur des périodes de permanence des soins, qui sont en capacité de répondre à toutes les urgences.
01:53 - A tous les besoins, en effet.
01:54 - Les professionnels également, les urgences, vous les avez citées.
01:58 Et donc ça nous permet de traiter environ 400 000 passages par an au total dans notre établissement.
02:07 - Mais vous avez donc quand même parlé de difficultés, Pascal Matisse,
02:10 avec des témoignages de l'Etat que je vous propose d'écouter.
02:13 Virginie qui a composé le numéro du Standard. Bonjour Virginie.
02:16 - Bonjour.
02:17 - Vous nous appelez de Belfort, vous avez récemment été hospitalisée à Trévenant.
02:20 Vous êtes donc en discussion avec Pascal Matisse, directeur de l'hôpital Nanfranche-Comté.
02:24 Qu'est-ce qui vous a marqué, Virginie, sur votre dernier passage à l'hôpital ?
02:28 - Alors donc moi j'ai été en fait, je suis allée aux urgences au mois d'août.
02:37 Parce que normalement je devais être suivie en hôpital de jour.
02:41 Et en fait j'avais une très grosse anémie en fer.
02:46 Et surtout j'avais un taux d'hémoglobie très bas.
02:51 Et en fait j'ai dû me rendre aux urgences parce que j'étais vraiment très très mal.
02:56 J'avais mal dans la poitrine, j'avais mon corps qui battait très très fort
03:01 et qui me faisait mal à cause justement de ce problème d'hémoglobie.
03:06 J'avais plus assez d'oxygène pour faire fonctionner mes organes.
03:10 Et donc sur le conseil de l'hôpital de jour, j'ai été directement aux urgences.
03:14 Donc je suis arrivée aux urgences à 13 heures.
03:17 Je n'ai vu un médecin qu'à 19 heures.
03:20 Donc j'ai passé 6 heures à attendre dans un couloir.
03:25 Donc il y avait énormément de personnes ce jour-là.
03:28 Tout les box étaient occupés.
03:30 Il y avait plus d'une cinquantaine de personnes sur les brancards dans les couloirs.
03:35 Ils étaient pleins partout.
03:37 Donc j'ai vu un médecin qui est arrivé à 19 heures
03:40 et qui a presqu'ensuite pris une prise de sang.
03:44 Comme en grande majorité de personnes qui rentrent dans le circuit des urgences,
03:49 le temps d'obtenir les résultats était déjà 21 heures.
03:53 Donc ça a pris 2 heures en plus.
03:56 Et ensuite j'ai dû avoir une transfusion sanguine
03:59 qui a eu lieu en plein milieu d'un couloir.
04:02 - Donc un temps d'attente qui vous a notamment marqué Virginie, je vous coupe,
04:06 mais peut-être avoir la réponse de Pascal Maty sur les temps d'attente.
04:10 Comment on peut les expliquer ?
04:12 Est-ce qu'ils se sont vraiment rallongés ces derniers mois ?
04:14 On a entendu le constat de Virginie de Belfort.
04:17 - Alors c'est toujours très difficile de répondre à ce genre de questions.
04:22 Pour autant, globalement, effectivement, les temps d'attente augmentent
04:27 parce que l'activité a augmenté très nettement depuis la sortie de crise épidémique,
04:34 donc depuis à peu près une année.
04:37 Après, ce qu'il faut bien regarder,
04:40 et ce à quoi effectivement nos patients parfois ne sont pas suffisamment informés,
04:46 certes il y a les temps de prise en charge directe avec un médecin,
04:51 avec une infirmière, voire une aide-soignante,
04:54 mais il y a toute la face cachée de la prise en charge des urgences,
04:59 puisqu'il s'agit d'envoyer des tubes au laboratoire,
05:03 donc suivant les examens demandés, les résultats peuvent être communiqués plus tardivement.
05:10 Il peut y avoir aussi des examens de biologie,
05:12 on a la chance d'avoir un plateau technique complet, d'IRM, de scanner,
05:18 on peut réaliser une échographie immédiatement au sein même de l'hôpital,
05:23 sans avoir à se déplacer, sans avoir à prendre un rendez-vous
05:27 qui ferait revenir le patient plus tardivement.
05:31 Et c'est vrai que quand on additionne l'ensemble des tâches de prise en charge
05:36 d'un patient qui est venu en urgence,
05:39 on peut dépasser aisément les 5-6 heures de prise en charge.
05:43 C'est l'identification en effet, Pascal Matisse, Virginie...
05:45 Après, juste si je peux me permettre...
05:46 Allez-y Pascal Matisse, on relancera après Virginie rapidement.
05:49 L'autre élément, ce sont les patients qui après une prise en charge
05:53 nécessitent une hospitalisation.
05:55 Et là effectivement, le temps peut être beaucoup plus long
05:59 puisqu'il s'agit pour nous de disposer de lits vacants,
06:03 ce qui est très difficile à l'échelle de l'établissement
06:07 puisque la totalité des lits de médecine, de chirurgie sont toujours occupés.
06:12 Donc le temps d'attente là peut être relativement long.
06:15 Ce qui fait que parfois au niveau des urgences,
06:18 on a une centaine de patients présents au même moment.
06:22 D'où les difficultés ressenties par votre auditrice.
06:25 Pascal Matisse, c'est le directeur de l'hôpital Nord-Franche-Comté.
06:28 Il répond à vos questions, on en dit que le franchement ce matin.
06:31 Faites-vous encore confiance à l'hôpital public ?
06:33 Moi ce que je vous propose, c'est de retrouver Virginie de Belfort
06:36 qui a peut-être une question à vous poser.
06:38 Pascal Matisse, dans un instant, le temps de faire une petite pause.
06:42 On se retrouve dans un instant, c'est ICI matin sur France Bleu et sur France 3.
06:45 A tout de suite.
06:47 ICI matin, revient dans un instant.
06:52 Du beau, du bon, du frais.
06:55 Du lundi au vendredi, vous avez rendez-vous en cuisine.
06:58 Chaque jour, parcourez les quatre coins de l'Hexagone dans une nouvelle émission.
07:02 C'était parfait.
07:04 Il y a du rabe ou quoi ?
07:05 Recette originale ou classique,
07:07 vos rendez-vous culinaires c'est du lundi au vendredi à 10h10 sur France 3,
07:11 Bourgogne-Franche-Comté.
07:14 [Musique]
07:21 Le 6/9, France Bleu Belfort Montbéliard.
07:25 Il est 8h moins le quart, l'invité d'ici matin sur France Bleu Belfort Montbéliard,
07:29 sur France 3 Franche-Comté, Pascal Matisse, directeur de l'hôpital Nord-Franche-Comté.
07:32 Il répond à vos questions 0384 22 82 82.
07:35 Alexandre Lepers.
07:36 Avec Pascal Matisse en effet, toujours Virginie au standard de France Bleu Belfort Montbéliard.
07:40 Vous avez entendu les réponses, les explications notamment sur ces temps d'attente Virginie.
07:44 Est-ce que vous comprenez ces réponses de Pascal Matisse ?
07:48 Alors oui, je comprends bien sûr.
07:51 Je tiens aussi franchement à donner tous mes encouragements aux équipes qui travaillent là-bas,
07:58 parce que je pense que c'est vraiment un métier passion,
08:01 vu les conditions dans lesquelles ils travaillent.
08:04 Moi par contre, j'avais vu un reportage sur, je crois que c'est l'hôpital Bichat à Paris,
08:12 qui a mis en place un système qui permet en fait de diminuer réellement ces temps d'attente,
08:20 avec pratiquement aucune personne en attente dans les couloirs.
08:25 Et j'aimerais savoir pourquoi si ce fonctionnement fonctionne dans un hôpital comme Bichat,
08:33 pourquoi il ne pourrait pas être dupliqué aux autres hôpitaux ?
08:38 Je vous propose Virginie d'écouter la réponse à ce sujet de Pascal Matisse sur une solution,
08:42 avant aussi d'évoquer les solutions de l'ARS dans le dispositif d'accès aux soins.
08:46 Est-ce que ce dispositif à Paris, qu'on a constaté à Paris avec Virginie,
08:50 est possible chez nous du côté trévenant Pascal Matisse ?
08:53 Oui, c'est une observation très pertinente.
08:57 Nous travaillons à ce qu'on appelle l'organisation de circuits courts de prise en charge.
09:04 Dans les circuits courts, on a deux types de prise en charge.
09:07 On a la traumatologie, qui permet effectivement une prise en charge rapide après un examen radiologique.
09:15 Et puis, on réfléchit également à organiser un accueil médical, un peu de type médecin généraliste,
09:25 qui permettrait effectivement, après une première orientation,
09:29 puisqu'il est toujours important au niveau d'un service des urgences,
09:32 d'évaluer l'état du patient et de faire en sorte que certains de ces patients,
09:39 on considère que ça peut aller jusqu'à 15-20%, c'est-à-dire sur nos passages,
09:45 on a 250 passages adultes en moyenne aux urgences,
09:51 ça pourrait faire une cinquantaine de passages qui pourraient être orientés vers une prise en charge
09:57 de type médecine générale directement après une admission aux urgences.
10:02 Un effet concret en effet.
10:04 On remercie Virginie d'avoir composé le numéro du Standard de France Bleu Belfort Montbéliard.
10:07 On accueille Jocelyne D'Anjoutez. Bonjour Jocelyne.
10:10 Oui, bonjour à toute l'équipe.
10:13 Allez-y Jocelyne.
10:15 Il n'y a pas que le service des urgences,
10:18 il y a quand on a des rendez-vous, par exemple à 10h et on passe à 14h pour un rendez-vous
10:24 qu'on avait pris pour 10h, on attend jusqu'à 14h, 4h d'attente pour faire une biopsie.
10:31 Et à chaque fois c'est pareil, quand il y a des rendez-vous qu'on n'a jamais pris,
10:38 je ne veux pas dire encore attendre une heure, mais il y a des fois où on attend voir jusqu'à 4-5h avant notre retour.
10:45 Avec les solutions que vous évoquez Pascal Mathis, on peut réduire, atténuer ce constat que fait Jocelyne sur les difficultés à l'hôpital ?
10:54 Alors déjà, on l'a dit en introduction, l'activité reste très très soutenue.
11:02 Et l'objectif d'un hôpital public c'est de ne pas récuser des patients.
11:07 C'est parce que nous accueillons tous ceux qui nous font confiance,
11:12 tous ceux qui arrivent en urgence, qu'effectivement certaines des activités peuvent être saturées.
11:18 Vous avez évoqué un acte délicat, une biopsie,
11:22 donc nous avons la chance d'avoir un plateau technique d'excellence pour réaliser ce type d'examen.
11:31 Il faut regarder aussi ce que peut être un programme,
11:35 puisque plusieurs patients ont bénéficié de ce type d'examen sur le créneau durant lequel vous aviez rendez-vous.
11:45 Parfois, les prises en charge peuvent être très compliquées.
11:50 Parfois, les médecins sont obligés de faire des investigations plus élargies.
11:57 Et donc, les temps d'attente peuvent s'allonger.
12:01 Sachant également qu'il faut rajouter qu'on peut admettre rapidement un patient en urgence absolue
12:09 qui nécessite d'être prise en charge et donc de reporter ou de décaler certains rendez-vous.
12:17 Vous avez récemment été soigné à l'hôpital Nord-Franche-Comté.
12:19 Quelles difficultés avez-vous vécues ? Avez-vous constaté des manques de moyens ?
12:23 Vous posez vos questions directement à Pascal Mathys, directeur de l'hôpital Nord-Franche-Comté, 0380 82 82 82.
12:30 Et aussi, avant d'accueillir Nicole de Grandvillard, au standard de France Bleu, Bellefort, Montbélin,
12:34 je vous propose Pascal Mathys d'aborder rapidement les quelques solutions mises en place par l'Agence Régionale de Santé
12:39 pour alléger la charge sur l'hôpital de Trévenan, votre hôpital.
12:42 Il y a notamment cette réserve sanitaire avec du personnel soignant en plus à partir d'aujourd'hui. C'est bien cela ?
12:48 Alors, on a la chance effectivement, compte tenu des difficultés rencontrées et des fortes tensions
12:56 au niveau de l'ensemble de nos activités de l'hôpital, de pouvoir solliciter via l'Agence Régionale de Santé
13:06 la réserve sanitaire qui est gérée par le ministère de la Santé et via une instance nationale qui est Santé Publique France.
13:15 Et donc, au regard de nos besoins, régulièrement depuis un mois et demi maintenant, nous sollicitons cette réserve.
13:27 Et depuis le début d'année, on a accueilli une cinquantaine de professionnels sur des séquences d'une à deux semaines.
13:35 Et à nouveau, au cours des prochains jours, l'annonce a été faite par le directeur général de l'ARS hier soir
13:44 que nous disposerons sur deux semaines de professionnels médicaux, infirmiers supplémentaires
13:51 pour venir en aide de l'ensemble de nos équipes de l'établissement.
13:56 Voilà, là aussi une solution. On va faire réagir Nicole de Grandvilleur avec nous au Standard de France Bleu, Belleforme, Montbéliard.
14:01 Bonjour Nicole.
14:02 Oui, bonjour.
14:03 Avez-vous entendu cette réserve sanitaire, cet effectif en plus pour l'hôpital ? Ça vous rassure, ça ?
14:09 Non, justement, je voulais vous dire... Bon, bonjour Stéphane, bonjour monsieur.
14:15 Bonjour.
14:16 Moi, je ne téléphone pas vraiment pour, comment dirais-je, au niveau du temps.
14:21 J'ai entendu qu'il y a beaucoup de personnes qui ont parlé que les temps d'attente étaient trop importants.
14:29 Moi, je pense de la qualité des soins.
14:32 Alors, quand j'entends par exemple que le directeur dit on a un très bel hôpital, alors certes, nous avons un hôpital qui est neuf, qui est joli,
14:43 mais l'important quand nous allons dans un hôpital, ce n'est pas la couleur des murs, excusez-moi, c'est surtout la qualité des soins.
14:53 Alors, je reconnais tout à fait, et là ce n'est pas le propos, de la pénibilité, évidemment on en a parlé pendant des années, ça on le sait, mais ce n'est pas ça.
15:06 C'est que moi, par exemple, j'ai eu une maladie auto-immune.
15:11 J'ai été soignée dans divers endroits en France, parce que j'ai pas mal bougé.
15:21 C'est la première fois, je suis revenue en Franche-Comté, parce que je suis de Franche-Comté, je suis du territoire de Belfort.
15:27 J'ai été vraiment extrêmement déçue de cet hôpital, à maintes reprises.
15:35 Personnellement déjà, et ensuite pour mes parents, pour vraiment pas mal de personnes.
15:43 Dernièrement, j'ai eu un problème de cheville.
15:49 Je suis allée aux urgences, parce que je ne pouvais absolument plus poser le pied par terre.
15:57 J'ai été reçue par un médecin, une dame très agréable, très gentille, etc.
16:04 Elle m'a fait faire des radios.
16:07 Par contre, le compte rendu a été...
16:12 - Nous avons perdu visiblement l'auditrice qui composait le numéro du Standard de France Bleu Belfort-Mombéa.
16:17 On a entendu, on a bel et bien entendu, Pascal Matisse, ce sentiment, ce lien de confiance qu'elle a travaillé rapidement
16:23 pour terminer cet entretien d'ici les prochaines semaines, avec les solutions proposées par l'ARS.
16:28 - Alors, nous avons différents canaux pour analyser la satisfaction des patients.
16:36 Nous avons la commission des usagers, d'une part.
16:39 Nous avons les lettres de plainte que nous recevons.
16:42 Nous avons également ce qu'on appelle les feuilles d'événements indésirables graves,
16:48 qui sont établies directement par nos professionnels, pour observer ce qui peut dysfonctionner.
16:55 Mais globalement, je dirais, sur les 400 000 passages au sein de l'hôpital,
17:01 si on a une lettre par jour, c'est vraiment le grand maximum.
17:08 Donc, on a une vraie tendance aujourd'hui, plutôt de la population, de nous dire,
17:16 voilà, on comprend, on comprend les difficultés, on comprend parce qu'on voit les tensions d'activité,
17:22 on voit la surcharge de travail, on voit l'implication de vos professionnels.
17:28 Par contre, effectivement, les parcours, lorsqu'ils se réalisent mal, il faut les étudier au cas par cas.
17:35 Et c'est pour ça qu'on travaille sur des médiations entre les patients et les professionnels.
17:41 - Je suis désolé de vos interropes sur ce constat, en tout cas pour l'hôpital Nant-Franche-Comté de Trévenon.
17:46 On aura l'occasion de vous réinviter et d'approfondir tout ce qu'on a discuté ensemble ce matin sur notre antenne.
17:50 Je vous remercie, Pascal Matis et tous les auditeurs, Stéphane, pour composer le numéro.
17:54 - Et Martine, il y avait Denise qui ont composé le numéro.
17:56 Ça fera l'objet d'un autre débat, bien sûr.
17:58 Retrouvez cet entretien sur l'application, ici, par France 2 et France 3.

Recommandations