• il y a 8 mois
Trois défaites d'affilée pour le Bayern Munich d'un Thomas Tuchel en grand danger sur le banc bavarois. Pour Polo Breitner dans l'After Foot, les joueurs n'arrivent plus à suivre et "s'écroulent" lors de leurs dernières prestations

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Transcription
00:00 L'autre grosse info de ces derniers jours, c'est les performances ou les contre-performances de Thomas Tourelle au Bayern,
00:04 le Bayern qui s'inclinait 3-2 à Bourgmo, ce week-end.
00:06 Et cela après avoir perdu face à la Lazio en Ligue des Champions,
00:09 face à l'Evercusen au Bundesliga il y a une semaine, trois défaites de suite,
00:12 ce n'était plus arrivé au Munichois depuis 2015, près de 10 ans.
00:15 Alors mon Paulo, la question, c'est de savoir si Tourelle va sauter maintenant,
00:18 parce que c'est un peu les rumeurs qui traînent ici ou là.
00:24 Est-ce qu'il y a moyen que Thomas Tourelle perde sa place dans les prochains temps ?
00:28 Dans ces grands clubs comme ça, dès que tu as des mauvais résultats, c'est chaud pour toi.
00:32 Le personnage clivant de Thomas Tourelle fait que ça n'arrange pas les choses.
00:35 La guerre déclarée entre la chaîne médiatique Sky, Deutschland et Thomas Tourelle,
00:40 les déclarations à coups de communiqués, etc. n'arrangent pas les choses.
00:45 Moi, la première chose que je vais dire, c'est que Thomas Tourelle, je pense,
00:49 même si je ne suis pas dans son cerveau,
00:51 est quelqu'un qui est quand même un peu psychorigide sur différents sujets.
00:55 Sa relation avec Kimmich est compliquée aussi.
01:00 Je ne suis pas sûr qu'il... Vous avez vu que Kimmich est sorti du terrain
01:04 en s'engueulant avec l'assistant de Thomas Tourelle, Leuve.
01:08 Et tout ça a été un petit peu délicat.
01:10 Et même si le cas Kimmich pose question maintenant depuis quatre ans en Allemagne,
01:15 au Bayern Munich et son positionnement au poste de numéro 6.
01:19 Mais au-delà de la défaite, il ne faut pas oublier une chose,
01:22 c'est la rencontre, ce qui s'est passé pendant la rencontre.
01:24 Moussiala ouvre le score au quart d'heure de jeu
01:27 et cinq minutes après, fait un formidable extérieur du pied
01:30 où il y a l'un des meilleurs attaquants du monde, Arekhen, qui empilait les buts.
01:34 Il se retrouve tout seul devant Riemann, le gardien de Borum,
01:37 et met le ballon n'importe où.
01:38 C'est-à-dire que s'il y a 2-0 au bout de 20 minutes, le match, il est plié, c'est fini.
01:42 Or, ce qui se passe, ensuite, il y a un arrêt de jeu, évidemment,
01:45 on en parlera un peu plus tard, et le Bayern s'écroule.
01:48 C'est-à-dire que personne, il faut voir comment ils défendent sur les corners,
01:50 c'est un truc assez affolant, où Pamecano se fait expulser, etc.
01:54 Et là, tu te dis, je cite Goenska,
01:57 "mais tout fonctionne contre nous en ce moment".
01:59 C'est-à-dire que ça ne marche pas, il y a quelque chose d'étrange au niveau de ça.
02:02 Tous les joueurs s'écroulent, ne jouent pas à leur niveau.
02:04 Donc, évidemment, dans ces situations-là, Thomas Tourelle est en danger.
02:08 Maintenant, on est dans une situation très différente de quasiment un an en arrière.
02:12 Avec Nagelsmann, c'est qu'il y avait un plan B.
02:14 Le plan B s'appelait Thomas Tourelle qui n'était plus à Chelsea.
02:17 Là, c'est différent. Qui est sur le marché ?
02:20 C'est compliqué en milieu de saison,
02:22 enfin en deux tiers de saison, comme ça, de changer un coach.
02:25 Même si, je le pense, c'est compliqué de penser à long terme
02:30 quand tu vois l'état où se trouve le Bayern en ce moment.
02:32 J'ai vu, Polo, que Bilt avait dressé Nice 2-6, potentiel successeur à Tourelle.
02:37 Alors, dedans, il y a du Flick, il y a du Mourinho, du Xabi Alonso, du Sébastien Nunez.
02:40 On parle même d'un truc complètement dingue.
02:42 C'est Thomas Müller qui deviendrait entraîneur avec l'actuel adjoint.
02:46 Donc, c'est assez fou.
02:47 Oui, moi, je n'y crois pas trop à ces choses-là.
02:49 Mais le problème, je pense qu'on est dans une fin de cycle très longue,
02:52 déjà qui remonte, on va dire, après l'Héraclée,
02:56 que subissait le Bayern en 2011-2012 face au Borussia Dortmund.
02:59 Et puis le Super Bayern, moi, j'en parle depuis un peu plus d'un an.
03:01 Je pense que le Bayern, de toute façon,
03:03 de quel que soient les coachs, est moins bon maintenant qu'il l'a été encore il y a quelques années.
03:07 On peut dire d'ailleurs qu'en 2020, ce Wannsee Flick,
03:10 c'était un rebond et que finalement, c'était déjà moins bien.
03:14 Évidemment, le personnage où tu vois la liste,
03:17 mais là, aujourd'hui, est sorti comme quoi
03:19 Uli Hoeneß serait pas tellement chaud au retour d'un Wannsee Flick.
03:21 Pourquoi ? C'est parce qu'aussi, Wannsee Flick a beaucoup négocié en 2021
03:25 avant de prendre la sélection allemande et on ne sait pas trop quoi faire.
03:28 Les noms que tu cites, son neveu, évidemment,
03:31 lui, il est très bien à Stuttgart en ce moment.
03:33 Mais en fait, ce qui est intéressant, c'est quel profil de coach tu veux pour le Bayern,
03:36 au bout d'un moment ?
03:36 Les expérimentés, je pense, avant de chez Lotti, ça a été une réussite, le Bayern ?
03:40 Pas du tout.
03:41 Le supposé super champion qui allait tout révolutionner,
03:44 encore le football, jeune, etc.
03:46 L'ingénieur de demain, Nagelsmann ? Pas du tout.
03:48 Thomas Toro, le victorieux de la Ligue des champions ?
03:50 Non, ça ne fonctionne pas non plus.
03:51 Wannsee Flick, ça a fonctionné pendant un moment.
03:53 Un gars de la maison, pendant un moment,
03:55 Niko Kovac, qu'est-ce qu'il faisait ?
03:56 Hop, il est à Wolfsburg aujourd'hui, c'est compliqué pour lui.
03:59 Tout ça fait qu'au bout d'un moment,
04:01 est-ce que c'est un problème de coach ?
04:03 Ou de club ?
04:03 C'est un problème de club, de structure dans le club aujourd'hui.
04:06 Il y a beaucoup de changements au niveau du directeur sportif,
04:09 au niveau de ceux qui gèrent la formation.
04:11 Et puis, il y a un papier qui est passé un peu à l'as en Allemagne
04:15 et qui est très intéressant, qui dit,
04:17 mais est-ce que le Bayern, en ce moment,
04:18 n'est pas en train de payer, tout simplement,
04:20 sa politique salariale depuis des années ?
04:23 C'est-à-dire, on prend le cas d'Hernandez.
04:25 Il avait coûté 80 millions d'euros,
04:27 c'était le record à l'époque pour un défenseur central,
04:29 même s'il est polyvalent.
04:30 Il avait un salaire mirobolant.
04:32 Qu'est-ce qui s'est passé les années d'après ?
04:33 Les autres joueurs, qui ne sont pas forcément des ballons d'or,
04:36 ils s'alignent sur le salaire du joueur.
04:38 Ils demandent les mêmes choses.
04:39 Et aujourd'hui, le départ d'Alaba, gratos.
04:43 Accident industriel.
04:45 Je cite le Bayern.
04:46 Donc, tout cet argent qui n'est pas là au bout d'un moment,
04:49 peut-être que ça t'empêche de faire la restructuration que tu veux.
04:52 C'est peut-être pour ça que ce fameux six n'est jamais arrivé.
04:55 Mais ça n'explique pas tout non plus.
04:57 Parce que quand je vois l'effectif,
04:59 je dis, mince, on doit pouvoir faire quelque chose avec ça.
05:02 Donc, on peut trouver à Thomas Torel, évidemment,
05:05 toutes les responsabilités qu'on veut.
05:06 Mais je pense que c'est un peu plus complexe que ça.
05:09 Et qu'ils ont eu un tel succès pendant un moment,
05:11 n'oublions pas, on se titrera la suite quand même.
05:13 L'année dernière, ce n'est pas n'importe quoi.
05:15 C'est deux Ligues des champions, deux finales de Ligue des champions.
05:18 Je ne reviens même pas sur celle de 2012 contre Chelsea.
05:20 Mais toutes ces choses-là font que les cycles, ça existe.
05:25 Et je trouve qu'il a été très, très long.
05:27 Et il y a un moment où peut-être que,
05:30 même si c'est un club globalisé qui génère beaucoup d'argent,
05:32 tout ce qu'on veut, etc.
05:34 La concurrence européenne, elle est là.
05:35 Et je pense que c'est compliqué, mais ce sera compliqué,
05:38 quel que soit le coach qui arrive.
05:39 Même si, évidemment, on parle de plus en plus d'un Espagnol
05:42 l'année prochaine, Xabi Alonso, évidemment.
05:45 Mais est-ce que lui réussira aussi ?
05:48 Je n'en sais rien.
05:48 Ça me semble très compliqué.
05:49 - Justement, par rapport à Xabi Alonso,
05:51 mais en fait, le Bayern fait toujours les mêmes choses,
05:53 comme quand il y a un bon joueur dans un autre club, il l'achète.
05:56 Là, il y a un bon entraîneur qui marche dans un autre club,
05:58 il l'achète, il le prend. - En Allemagne, tu veux dire ?
06:00 - En Allemagne, qu'est-ce que je dis ?
06:01 Non, non, mais en Allemagne, je veux dire,
06:03 en fait, il n'y a pas un moment où il faut changer de modèle
06:06 parce que c'est toujours les mêmes trucs qui se répètent, en fait.
06:08 - Mais le Bayern, c'est un énorme paradoxe,
06:11 je vais encore me faire lyncher par les supporters du Bayern,
06:13 n'a jamais été un club novateur. Jamais.
06:16 Le Bayern est un club qui s'adapte
06:18 aux nouvelles concurrences,
06:20 aux lois financières spécifiques du football allemand.
06:24 Tous ceux qui critiquent les pros ou les contre-investisseurs,
06:26 le Bayern, pour la règle du 50+1, est un modèle de réussite
06:30 puisqu'il y a trois investisseurs,
06:32 les fameux 3A qui sont au capital de la société commerciale.
06:35 Donc, il s'adapte tout le temps,
06:37 mais il n'a jamais révolutionné le football.
06:41 Il a toujours attendu pour voir ce qui se passe.
06:43 Et là, on peut peut-être dire aussi,
06:44 c'est une crise de quelqu'un qui a la pence
06:46 complètement remplie par tous les titres qu'on a vus.
06:48 Sauf qu'en Angleterre, ça bouge.
06:50 Le Real et le Barça, même si le Barça est un peu compliqué,
06:52 c'est délicat.
06:53 Là, ils se sont pris la Lazio, c'était Villarreal il y a deux ans, etc.
06:56 Donc oui, c'est souvent comme ça que ça se passe.
06:58 Et puis, il y a les vieux de la vieille,
06:59 les Elephanton, les éléphants qui sont là-bas.
07:01 Sauf que tous les nouveaux qu'on met,
07:03 Oliver Kahn, bide.
07:05 Il est déjà plus là, Oliver Kahn.
07:07 Salim Icic, déjà plus là.
07:09 Donc, citez-moi un grand directeur sportif du Bayern.
07:13 C'est vrai qu'on ne l'entend pas souvent parler.
07:14 Mais non, le seul unique dans l'histoire, c'était Uli Hoeneß, c'est tout.
07:18 Et tous ceux qui viennent derrière n'y arrivent pas.
07:20 Donc, c'est quand même un club beaucoup plus compliqué,
07:23 qui parle toujours de son côté familial, le Mia San Migna, etc.
07:26 Mais pour être au top et rester au top,
07:29 souvent, il y a des crises et des crises qui entraînent des révolutions.
07:32 Maintenant, dans quel sens ça va aller ?
07:34 Là, je le sais à peu près, mais ça va être très délicat
07:37 parce qu'il y a une concurrence européenne au niveau des moyens financiers
07:41 qui devient délicate.
07:42 Et si dans quelques années, pour une raison x, y,
07:44 on apprend que le Bayern est déclassé sportivement
07:47 parce que financièrement, on ne peut pas suivre,
07:49 il y aura peut-être des questions à se poser.
07:51 Alors, il y a un joueur qui incarne la crise actuelle du Bayern,
07:53 c'est le Français Opa Meccano.
07:54 Il a été exclu deux fois quand même en quatre jours.
07:56 C'est assez rare pour être signalé ça.
07:58 Moi, je dirais même une troisième fois,
07:59 quand je pense à Manchester City l'année dernière.
08:02 C'est-à-dire que moi, qui suis un grand fan d'Opa,
08:05 c'est peut-être de se poser la question,
08:08 est-ce que c'est un grand défenseur en devenir
08:10 ou il va rester un des internels espoirs du football européen ?
08:15 Ce n'est pas la première fois qu'il fait des conneries quand même.
08:16 Non, et là, il n'y a rien à dire.
08:18 Je veux dire, là, il n'y a rien à dire.
08:19 Il y a les coups de tout ça, tu dois te faire expulser.
08:21 Et puis le match contre le Colasio, il n'y a même pas photo.
08:25 L'année dernière, c'est lui quand même qui plante,
08:26 même si City est supérieur, il y a un zéro.
08:28 C'est lui qui plante aussi Manchester City.
08:30 Donc, on a peut-être envie de dire que Konaté est à Liverpool,
08:35 et Koupa Mekano et les deux anciens de Leipzig sont au Bayern.
08:38 Et peut-être que l'inverse aurait été plus intéressant pour le Bayern Munich.
08:42 Mais maintenant, De Ligt, c'est pareil.
08:44 Moi, je ne leur jette pas la pierre, ils sont encore très jeunes.
08:46 J'allais dire, ces gamins.
08:49 Kim, enfin, Migné, j'adore Migné.
08:51 Mais bon, voilà, tu es au Bayern, maintenant,
08:53 tu ne peux plus faire d'erreurs, etc.
08:55 Et Mazraoui, on m'a vendu Mazraoui.
08:57 Bon, ok.
08:58 Davies, ça fait combien de temps qu'il ne fait pas un bon match ?
09:00 Il est blessé, mais ça fait combien de temps ?
09:01 C'est pour ça, Paulo, c'est peut-être plus structurel,
09:02 parce que Lucas Hernandez, ça n'allait pas.
09:04 Pavard, ça ne va pas.
09:05 Oupa Mekano, ça ne va pas.
09:06 Migné, ce n'est pas assez fort.
09:07 De Lirte, ça ne va pas.
09:09 Moi, je pense que là-dedans, il y a quand même beaucoup de bons défenseurs centraux.
09:13 Et je me demande, ce n'est pas plutôt structurel que des problèmes individuels.
09:17 Qu'est-ce que tu entends ?
09:20 Je ne sais pas, des structures d'équipe.
09:22 Moi, à chaque fois que je vois...
09:23 Entraîneur, alors ?
09:24 De choix, je ne sais pas, de composition, de profil.
09:30 Moi, je vois le Bayern, dernièrement, ça me fait flipper.
09:33 Oui, mais regarde ce que dit Paulo, il a raison.
09:34 Finalement, quand tu regardes, ça fait pas mal de temps qu'on dit ça.
09:37 Tu prends des entraîneurs avec des profils, des âges différents
09:39 et tu te rends compte qu'il y a toujours un truc qui ne va pas, finalement.
09:42 Ça fait un petit moment.
09:43 Pourtant, tu as des bons joueurs sur le papier.
09:44 Tu as investi comme jamais.
09:45 Je ne pense pas que Nagelsmann soit un mauvais entraîneur.
09:47 Je ne pense pas que Tourelle soit un mauvais entraîneur.
09:48 Donc, c'est encore en haut, tu crois ?
09:50 Je ne sais pas.
09:51 Moi, je trouve que le recrutement est quand même assez étrange depuis un certain temps.
09:57 Que Keynes, OK, d'accord, mais en même temps, tu prends des Eric Dyer,
10:01 tu prends des...
10:03 Comment il s'appelait le mec qui est venu de Leipzig aussi ?
10:07 Leimer ?
10:08 Leimer, c'est des bons joueurs.
10:09 C'est pas mauvais, d'ailleurs.
10:10 C'est pas ça qui...
10:11 Ah oui, c'est un bon joueur, mais c'est pas ça non plus.
10:13 Je trouve, dans le recrutement, je suis très étonné par les derniers marcatos du Bayern
10:17 qui se cachent aussi derrière le "nous, on dépense pas 100 millions d'euros,
10:20 mais bon, tu dépenses 90, tu dépenses 80, tu dépenses 70, tu dépenses 60".
10:24 Il y a quand même aussi beaucoup d'oseilles qui ont été mises du côté du Bayern.
10:27 Donc, je veux bien que la barre des 100, elle ne soit pas dépassée.
10:29 Je veux bien que la barre salariale ne soit pas dépassée.
10:31 Mais Keynes, il ne gagne pas comme Schuppelmuting.
10:34 Keynes, il a coûté un paquet d'oseilles.
10:35 Lucas Hernandez a coûté un paquet d'oseilles.
10:37 Mais Keynes n'est pas un échec.
10:40 C'est le premier buteur européen.
10:41 Il en est à 25 buts.
10:43 Le deuxième, c'est Mbappé, 21.
10:44 Après, c'est le Chat noir.
10:45 Partout où il passe, il ne gagne rien.
10:46 Oui, alors ça, je sais, j'en entends beaucoup parler.
10:49 Mais si tu veux, s'il faut faire du mysticisme maintenant pour expliquer...
10:52 Il faut, mon Paul.
10:53 La superstition dans le foot, franchement, ça existe.
10:57 Mais le truc...
10:58 Enfin, Keynes n'est pas un échec.
11:00 Non, mais tu vois, j'entendais qu'il voulait prendre Trippier aussi en janvier.
11:04 À un moment donné.
11:05 Il faut bien trouver des personnes sur les ailes.
11:10 À partir du moment où ceux qui sont là ne répondent pas forcément
11:13 avec des résultats sportifs ou sont blessés tout simplement.
11:17 C'est ça, c'est ça, c'est ça.
11:18 [SILENCE]

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