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00:00 – Bernard Mabille.
00:01 – C'est celui avec qui je partirai jamais en vacances.
00:03 – Ah oui ?
00:04 – Je vous l'avais dit.
00:05 – Oui c'est vrai, oui.
00:06 Mais ça s'est apaisé ou pas du tout ? Non plus ?
00:08 – Non.
00:09 – C'était quoi le souci avec lui ?
00:11 – Il est… enfin je ne vais rien dire.
00:14 – Ah ben si, vous êtes avec moi, une fois par an, dites-moi.
00:18 Jean-Jacques…
00:18 – Il vole les bons mots des autres.
00:20 – Ah il vole les bons mots des autres ?
00:22 – Voilà.
00:23 – D'accord, ok.
00:24 Et vous avez eu le souci, vous ?
00:25 – Oui, aux grosses têtes, un jour.
00:27 – D'accord.
00:27 – Aux grosses têtes de bouvard.
00:29 – D'accord, il vous avait pris vos phrases ?
00:31 – Avec Laurent, on était le matin.
00:34 – D'accord.
00:34 – Moi j'attendais trois quarts d'heure et après j'enregistrais les grosses têtes.
00:37 – Oui.
00:38 – Donc on avait le direct à 8h30, 2h20.
00:43 On fait les grosses têtes, je suis à côté de Bernard,
00:48 il sort un truc, on l'avait fait le matin même.
00:53 – Oui, ça c'est dur parce que…
00:54 – Alors j'ai dit à Bouvard, attendez,
00:56 il s'est fourni à la première épicerie ouverte le matin,
00:59 l'épicerie que j'ai rapé Renier.
01:00 – Ça me fait rire ces histoires !
01:02 Donc vous avez gueulé, vous vous êtes dit…
01:03 – J'ai gueulé, j'ai dit "vous coupez ça".
01:06 – Oui, et ils ne l'ont pas coupé.
01:07 – Si, ils l'ont coupé.
01:08 – Ah d'accord.
01:08 – Non, si.
01:09 – Ah, mais vous rigolez pas, vous avez été faire couper la séquence.
01:14 – Bouvard était d'accord quand même.
01:16 – D'accord, ok.
01:17 – Bon alors ?
01:18 – Mais il y avait eu le vol !
01:19 – Ben oui, à l'étalage.
01:21 – À l'étalage, donc plus jamais de…
01:23 parce qu'après vous aviez l'air copains sur les photos et tout,
01:25 enfin de manière générale.
01:26 – Parce qu'on est tous des faux-culs.
01:29 – Ah ouais ?
01:29 – Oui, voilà.
01:32 – Au gros, c'est tous des faux-culs pour vous ?
01:35 Vous pensez qu'ils sont tous ?
01:36 – Ah oui, ça là, ce que j'ai quitté, oui.
01:39 – D'accord, les nouveaux ?
01:42 Mais parce qu'entre eux, ils parlent de l'émission ?
01:44 – J'en sais rien.
01:45 – Ben vous dites qu'ils sont tous des faux-culs.
01:46 – Mais je vous l'ai déjà dit précédemment,
01:49 il n'y en avait pas avec qui j'avais envie d'aller boire un coup après.
01:53 C'est bien un signe.
01:54 – Oui.
01:56 Autre personnalité, car j'en ai gros tête, c'est Yoann Rioux.
01:59 Est-ce que pour vous, quand même, c'est une bonne recrue ?
02:02 – Mais vous pensez que…
02:05 Là aussi, c'est une fausse sceptique que vous me montrez là.
02:07 – Oh non, quand même, il est sympa Yoann Rioux.
02:09 Moi, je l'ai mis en plus, j'en regarde avec Jean-Luc Lebois.
02:10 – La première fois qu'il m'a vu, il s'est précipité sur moi
02:15 pour me parler de mon père, il avait fait des recherches sur Internet.
02:18 – Et ?
02:19 – Ben c'est sympa, non ?
02:21 – Mais c'est des méthodes de mange-merde.
02:23 – Ben pourquoi vous dites ça, Jean-Jacques, c'est sympa,
02:25 il s'est renseigné sur votre père.
02:27 – J'ai interdit qu'on en parle à l'antenne.
02:30 – Ah d'accord.
02:32 Ah aussi, vous avez fait couper aussi ?
02:34 – Non, je n'ai pas fait couper.
02:35 Enfin si, il en avait parlé à l'antenne, oui.
02:38 – D'accord, vous avez fait couper derrière.
02:39 – Et le réalisateur m'a dit, t'inquiète pas, c'est déjà fait.
02:41 – D'accord, ok.
02:42 Mais vous, vous avez des sacrés techniques.
02:44 – Comment ça ?
02:44 – Vous ne rigolez pas, vous faites couper les séquences et tout par derrière.
02:47 – D'accord, mais qu'est-ce qui vous a dérangé ?
02:49 C'est le fait que…
02:51 – Puis c'est un gros mauvais.
02:53 – D'accord, il n'est pas bon.
02:54 – Non.
02:55 – On enchaîne avec Christina Cordula.
02:56 Bon, elle, on l'aime bien, elle est sympa, Christina Cordula.
02:59 Elle est sur M6 en plus,
03:00 sa cardone, elle va d'ailleurs faire danse avec les stars.
03:04 Jean-Jacques, Christina.
03:05 – Cette affligeance que vous me montrez là.
03:08 – Il y en a bien qui va vous plaire quand même là-dedans.
03:10 – C'est quand même un désastre.
03:12 – Ah ouais, vous trouvez ?
03:13 – Ah ben oui.
03:14 – Donc c'est vraiment là, en fait vous n'êtes plus du tout en phase…
03:16 Mais est-ce que vous n'êtes pas aussi…
03:18 Est-ce que, pardon Jean-Jacques,
03:19 mais est-ce que vous n'êtes pas hors société maintenant ?
03:21 Est-ce que vos bons mots, tout ça, ce n'est pas passé de société ?
03:24 Et peut-être que la nouvelle télé, la nouvelle radio, c'est eux ?
03:27 – Tout ce que vous m'avez montré là,
03:29 trouvez-moi un seul qui a fait un seul bon mot.
03:33 – Hum.
03:35 – Vous allez avoir du mal, même sur Internet.
03:37 – Et vous n'avez pas du tout…
03:38 Qui a pris contact avec vous quand vous êtes partis ?
03:41 Est-ce qu'il y en a au moins un ?
03:43 – Il y en a un qui m'a envoyé un gentil mot, c'est Stevie.
03:46 – Ah ouais ? – Ouais.
03:47 – Alors là, je suis étonné.
03:49 – J'étais à ses copains avec lui, ce n'est pas un gars désagréable.
03:52 – Et il est toujours…
03:55 Donc il est toujours lui, je crois.
03:57 – Ah, je ne sais pas, peut-être, oui.
03:58 – Vous ne vous écoutez plus du tout, vous ?
03:59 – Plus du tout.
04:00 – On vous en parle quand on vous croise dans la rue ?
04:01 – Les chauffeurs de taxi, beaucoup.
04:03 – Ils vous disent quoi ?
04:04 – On n'écoute plus.
04:06 "Oh, vous êtes Péroni, oh…"
04:09 Je me disais bien, j'ai reconnu la voix, oh là là.
04:12 – Là, Jean-Jacques.
04:13 – Celui qui m'a amené là, tout à l'heure aussi, il m'a dit.
04:15 – Il vous a dit qu'il ne vous écoutait plus.
04:17 Bon, ça marche quand même bien pour RTL et on les embrasse, évidemment.
04:20 Bon, après, Jean-Jacques, vous avez un petit passif
04:22 parce que vous n'étiez pas content d'être dans cette équipe.
04:25 Tout du moins, voilà, on embrasse toutes les équipes.
04:27 Moi, je ne veux pas que ce soit une émission quand même à charge.
04:28 Et il y a quand même un esprit qui reste sympathique sur RTL,
04:31 vous êtes d'accord avec moi ?
04:33 – Mais je ne sais pas, je n'y mets plus les pieds.
04:34 – D'accord, ça veut dire oui dans la bouche de Jean-Jacques Péroni.
04:37 – Le seul gars avec qui j'ai des contacts très amicaux, c'est Georges Lang.
04:42 – Georges Lang, d'accord, ah oui, donc c'est…
04:44 – Vieux camarade avec qui j'ai fait les nocturnes.
04:48 Et le rock'n'roll nous rapproche énormément.
04:50 – Et Laurent Ruquier, vous avez envoyé un petit message
04:52 quand vous étiez reparti, vous aviez fait comprendre
04:54 que ça lui avait fait un peu de peine que vous partiez.
04:59 – Je ne me souviens pas.
05:00 – D'accord, alors les questions caches, c'est parti,
05:01 on y va avec Jean-Jacques Péroni.