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00:00 de la loi. Président Makissa le
00:10 président de la loi pour convoquer le corps électoral. Mais de faut se
00:15 conduit-il? Parce que. Des projets, propositions de loi, bouinco, bouinco,
00:18 je crois, beaucoup euh, Assemblée nationale, je crois. Prétexte-le. Lolo,
00:25 abrogé parce que abrogation loi de le corps électoral de fait avoir des
00:30 conséquences sur la tenue de l'élection à date. Or, le calendrier
00:36 de la loi. Lolo change. Change. Sauf circonstances, exceptionnelles,
00:41 circonstances. Ah mais Lolo, tu crises. Quoi? Mais l'immeuble. Mais
00:47 moi. Est-ce que l'immeuble? Ah mais. Mais qu'est-ce que tu poses la question? Mais si. La
00:53 loi. Corruption. Conséquences. Mais moi, candidat. Candidat. C'est-à-dire que je le connais.
01:13 Il m'a dit que
01:23 nique
01:34 heu! Au soir de sa carrière ou
01:36heu! Au soir de sa carrière ou
01:36 heu! Au soir de sa carrière ou
01:41 mais
01:44 non, non, non, non, non, non, non.
01:50 Mais je vous ai dit que vous pouvez parler de PDS ?
01:52 Peut être, peut être.
01:54 Je ne peux pas dire quelqu'un.
01:56 Je peux dire Cheikh Tidjane Koulibaly, mais je ne peux pas dire quelqu'un.
01:59 Ah bon ?
02:00 Je ne peux pas.
02:01 PDS ?
02:02 Oui, parlez-moi PDS.
02:03 Mais non.
02:03 Ne vous faites pas de PDS.
02:04 PDS, je vais vous dire.
02:05 Suivez-moi.
02:06 PDS Gawande, PDS de la Légue de Minnais.
02:07 PDS Gawande, le Président Abdel Abad l'a dit, il devait consulter avec nous.
02:12 Je ne suis plus dans son parti.
02:14 Non, mais tu sais que tu es dans son parti. Mais ce que tu dis, c'est Cheikh Tidjane Koulibaly, tu peux le dire.
02:20 Mais je crois que tu sais que si tu as un enfant dans le PDS,
02:24 Je ne peux pas dire quelqu'un.
02:25 Si tu as un enfant dans le PDS, pour que tu sois sûr que tu n'as pas besoin de Macky Salle,
02:29 mais il y a une raison, si tu as un enfant dans le PDS, tu l'auras.
02:32 Mais si tu dis que tu ne peux pas dire quelqu'un,
02:34 Je ne peux pas dire quelqu'un.
02:36 Mais pourquoi ?
02:37 Je ne peux pas le défendre, je ne peux pas.
02:39 Je ne peux pas.
02:40 Je ne peux pas.
02:43 Papa, si tu défends, tu peux défendre ce que tu veux, mais je ne peux pas le défendre.
02:46 Cheikh Tidjane Koulibaly, je peux le dire.
02:48 Et tu sais que, papa, nous tous, on est des magasins, des enfants.
02:54 Si il y a de la corruption, tu as ici, un début de preuve.
02:58 Mais tu ne peux pas le dire.
03:00 Tu fais un tribunal pour avoir la vérité, tu viens juste pour le dire.
03:04 Pour le dire, tu ne fais pas le procès.
03:06 Tu dis des preuves,
03:07 Voilà la preuve qu'il y a de la corruption, ou il y a un commencement de corruption.
03:10 Voilà une tentative de corruption.
03:13 Mais les magasins ont 40 ans de carrière.
03:16 Mais si demain, il y a de la corruption, il y a des corrupteurs.
03:21 Qui est le corrupteur ?
03:22 Je ne sais pas.
03:23 Est-ce que vous le décidez ?
03:24 Mais attends, mais tu as entendu, non ?
03:26 Tu sais que si il y a de la corruption, il y a des corrupteurs.
03:29 Est-ce que vous le soutenez ?
03:30 Mais non.
03:31 Mais tu l'as entendu ?
03:34 Mais tu sais que tu as entendu ce qu'on a dit ?
03:36 Non, j'ai entendu la rumeur.
03:38 Tu sais que je ne parle pas de rumeurs.
03:42 Tu sais ce que je veux dire ?
03:44 Que chacun d'entre nous fasse ce qu'il veut dire.
03:46 Parce que si on ne sait pas qu'il y a des corrupteurs, qu'il n'y a pas de justice,
03:49 contre les traités de corrupteurs,
03:51 les rapports de scènes-preuves,
03:53 c'est la vérité.
03:56 Ce qui est important, c'est que
03:58 le président Macky Sall ne devait pas
04:01 abroger le décret qu'il a pris.
04:03 L'Assemblée Nationale n'avait pas le pouvoir
04:05 de voter la loi pour fixer cette élection.
04:08 Ils n'ont pas ce pouvoir.
04:10 Ils n'ont pas.
04:12 Mais ce décret, le Conseil Constitutionnel,
04:14 il ne devait pas laisser les chambres administratives,
04:16 le Cours Suprême.
04:17 Mais c'est ce que tu as dit.
04:19 Mais si le Conseil Constitutionnel
04:21 avait dit, reconnaissait,
04:23 conformément à la loi qu'il organise,
04:25 qu'il y a une plénitude de juridictions,
04:28 qu'il y a un cours d'assises,
04:31 cours d'assises,
04:33 même si on a retiré
04:35 l'infraction de crime
04:37 pour qu'on puisse le saisir,
04:39 si on a le pouvoir de juger ce délire,
04:43 c'est la plénitude de juridictions.
04:45 Le Conseil Constitutionnel a dit,
04:49 que ce qui est arrivé dans l'élection,
04:51 du début à la fin du processus,
04:53 tout ce qui est arrivé, on peut l'appuyer.
04:55 C'est pourquoi, on a annulé
04:57 le décret du président de la République.
04:59 D'accord. Alors, les accusations,
05:01 si je t'écoute, tu ne le crois pas.
05:03 Je ne le crois pas.
05:05 Quand je vois des preuves,
05:07 je ne les crois pas.
05:09 Je ne crois pas à tout ce qu'on me dit.
05:11 Mais je ne les rejette pas.
05:13 Ok. Comment as-tu vu, M. Moumoudjou,
05:17 l'information judiciaire de l'OB-Kouti,
05:19 la commission d'enquête parlementaire,
05:21 l'autre jour? C'est ce que je lui ai dit.
05:23 Je lui ai dit,
05:25 je pense que c'était
05:27 le père d'Abou El Aïdaïr,
05:29 je lui ai dit, père,
05:31 ce qui s'est passé à l'Assemblée nationale,
05:33 ce qui s'est passé,
05:35 ça ne s'est pas passé
05:37 de façon délicate.
05:39 Parce que d'abord,
05:41 la discipline des magistrats
05:43 a des objectifs à organiser.
05:45 Ce n'est pas une commission d'enquête parlementaire
05:47 qui entend les magistrats nous reprocher
05:49 des délits de corruption.
05:51 Mais on a le droit. L'Assemblée nationale, non.
05:53 Si on annule les conséquences,
05:55 les prévocations...
05:57 L'Assemblée nationale n'a pas de signes, on ne vous entend pas.
05:59 Les magistrats sont là-dessus.
06:01 Les magistrats sont là-dessus.
06:03 C'est une discipline. C'est organisé.
06:05 C'est organisé.
06:07 Père, tu sais ce que je te dis?
06:09 Je ne te dis pas qu'on est fort.
06:11 Tu dois dire
06:13 que l'administration
06:15 a pris
06:17 un chèque de culibale,
06:19 on l'a emprisonné,
06:21 on ne l'a rien emprisonné.
06:23 Non, non, non,
06:25 c'est une loi.
06:27 C'est une loi.
06:29 Excuse-moi.
06:31 On ne parle pas d'honneur aux députés.
06:33 Non, non, non.
06:35 Je suis d'accord.