L'indic de la rédac : L'emploi fictif de la semaine !

Touche pas à mon poste

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Transcript

00:00 [Musique]

00:03 Les chéris, restez avec nous.

00:05 Dans un instant, on reparlera de l'immobilier à Dakar.

00:07 Gilles Verdez est-il un pigeon ?

00:08 La réponse d'un agent immobilier dans TPMP,

00:10 ce sera dans un instant.

00:11 Gilles Verdez qui nous a dit hier que Dakar était aussi cher que Paris en immobilier

00:16 et qu'il avait trouvé une tour où c'était 12 000 euros le mètre carré.

00:20 Merci.

00:21 Le pigeon des pigeons.

00:22 Voilà, on lui répondra dans un instant.

00:24 Peut-être que l'agent immobilier va dire que Gilles Verdez a raison.

00:27 On ne sait pas, on ne sait jamais.

00:28 Maintenant, si Gilles Verdez a raison, c'est vrai que ce n'est pas arrivé depuis très très longtemps.

00:31 Ce n'est pas grave.

00:32 En tout cas, merci d'être là et je pense que ça va être un bon moment.

00:35 Voilà, merci.

00:36 - Sans doute.

00:36 [Rires]

00:37 - Merci.

00:38 - Comment ça va ? Bonsoir.

00:39 - Ça va bien ?

00:39 - Très content de te voir et j'aime bien ton style.

00:41 - Ouais.

00:42 - Vraiment ?

00:43 - Vraiment ?

00:44 - Vraiment ?

00:45 [Rires]

00:48 - Ça arrive là.

00:49 - Non, ne t'inquiète pas, je te regarde.

00:50 - Alors, je suis venu pour les off, tout ce qui se passe pendant les coulisses, pendant l'off.

00:54 Très beau débardeur aussi.

00:55 - Ses petits bras avec ses petits biceps, ça c'est très très beau.

00:57 [Rires]

00:59 - Comment ?

01:01 - Alors, est-ce que tu serais capable de...

01:03 - De lécher les aisselles ?

01:04 - Vous savez, le provédément, vous savez que j'avais léché les aisselles de la boule.

01:08 - La boule de Fort Boyard ?

01:09 - Ouais.

01:09 J'avais fait un pari avec un gars quand j'avais fait Fort Boyard, en off.

01:12 - Mais après une épreuve ou... ?

01:13 - Non, non, comme ça, il m'avait dit, il me donne 500 balles si je léche les aisselles de la boule.

01:17 J'avais léché les aisselles.

01:18 Et je vous l'avais dit, il m'avait donné après, il m'a dit je te donne 500 balles

01:22 si tu fais pipi du haut du fort et j'avais pissé du haut du fort la nuit, comme ça.

01:26 - C'était moins compliqué le deuxième truc, c'est pareil.

01:28 - Bien sûr, ouais. J'avais fait les deux, j'avais pris 1000 boules.

01:31 - Moi, je vais vous faire payer 500 balles pour lécher les vôtres si vous voulez.

01:34 - Quoi ?

01:35 - Oh, mais qu'elle lourd !

01:36 - Il est fou.

01:37 - Qui veut donner plus ?

01:38 [Rires]

01:40 - Non, par contre, moi, pour 500 balles, je vous léche les aisselles.

01:42 - T'es un fou, toi.

01:43 - Pour 500 balles...

01:44 - Non, mais les mecs, pour n'importe... Personne ne m'a léché les aisselles.

01:47 - Arrêtez, c'est vraiment quoi, non, les mecs ?

01:49 - Allez-y, allez-y, allez-y.

01:50 - Parce que je suis un peu récraqué.

01:51 - Moi, je veux juste enrouler votre poêle d'aisselle autour de moi.

01:56 - C'est pas possible, là, les gars. Vous savez qu'on fait une émission, les gars.

02:01 Allez, vas-y, vas-y.

02:02 - Alors, vous savez, je viens vous montrer tout ce qui se passe pendant les coulisses de l'émission.

02:08 Alors, vous savez, quand on critique de la ranaque, je dois...

02:12 - Les gars, je vous jure, je vous jure, c'est pas une banne.

02:16 C'est un cumh à WAL devant la tour Eiffel.

02:19 Un cumh que je connais pas, sur la tête de ma mère.

02:21 - Vous connaissez pas ?

02:22 - Je cache. Non, mais attends, je cache. Je peux pas.

02:25 - Vous pouvez pas.

02:26 - Non, mais t'es un fou.

02:27 - Vous connaissez pas ?

02:28 - Mais c'est un malade, ce mec.

02:29 - Ça vous dit rien ?

02:30 - Non, c'est un mec qui est venu en intervenant ici.

02:32 - Oh, non.

02:34 - T'es un taré, frère. C'est un fou, ce mec.

02:36 Allez, fais ton émission, là.

02:38 C'est un malade.

02:39 Tu t'es préparé la vanne ou pas ?

02:40 - Vous m'avez pégé la semaine dernière, chacun son tour.

02:45 - Vous savez qu'en tant qu'indic de la rédac,

02:47 je me dois de vous informer dès que votre argent est mal gaspillé dans la société.

02:52 - Allez, dépêche-toi.

02:55 - Vous devriez faire attention à votre argent, Cyril,

02:57 surtout avec Jean-Michel Maire.

03:00 Regardez.

03:01 - Moi, j'ai fini l'émission, là. J'ai été très bon jusqu'à présent.

03:09 Je peux me reposer.

03:10 A vous de bosser un peu, là.

03:13 - Ça veut dire que tout ce qui est...

03:15 - Le sujet sérieux, tout ça, non, c'est pas bon.

03:17 - Toutes les émissions qui font appel à l'internet et à la culture, c'est pas bon.

03:19 - Non, c'est pas bon.

03:20 - Voilà.

03:21 - Tout le monde est mourit, là, ouais !

03:23 - En plein fictif.

03:26 - Pas ouf.

03:27 - En plein fictif.

03:28 - C'est mieux, la suite ?

03:30 - Comment ?

03:31 - C'est mieux, la suite ?

03:32 - Bah non, mais c'était que pour votre argent, quoi.

03:34 - Non, mais...

03:36 - Si c'est pas mieux, on arrête tout de suite.

03:38 On fait Dakar, hein.

03:40 - Parce que, Cyril, quelqu'un est complètement amoureux de vous, dans l'équipe.

03:44 Il faut le savoir.

03:45 Quelqu'un... Vous excitez beaucoup la personne.

03:47 Est-ce que vous voulez savoir de qui il s'agit ?

03:49 - C'est Radouane.

03:50 - Comment ?

03:51 - C'est Radouane.

03:52 - Bravo. C'est Radouane.

03:53 Mais le gars est une bouillotte, là.

03:54 - Quoi que ce soit.

03:55 - Ah ouais, là, c'est très chaud.

03:56 C'est l'amoureux de la semaine.

03:57 - Vous pouvez pas tout mettre autour de la table ?

03:58 - Vous avez des pecs, hein, quand même.

04:04 Vous avez des beaux pecs, hein.

04:06 Moi, je vois d'ici parce que je vois en...

04:09 - Vous arrivez à les faire bouger séparément ou pas, les contacter ?

04:12 - T'as envie de toucher ? - Ouais.

04:15 - T'as envie de les toucher ? - Non.

04:17 - T'as envie, non ?

04:20 - C'est mieux, la suite ?

04:28 - Allez, allez, allez, allez !

04:30 - On va en crescendo.

04:31 - Allez, on démarre la chronique.

04:32 Allez, c'est parti.

04:33 On fait une entrée, on fait une entrée.

04:37 - Allez, on accueille tout de suite, il est 19h20, c'est une sociale base.

04:39 - Salut, Sacha.

04:44 - Salut, Lothar. - Bonsoir.

04:45 - Merci, Lothar, merci.

04:46 Merci, bonsoir, bonsoir.

04:47 - Comment ça va ?

04:48 - On va rentrer direct dans la chronique, Lothar.

04:49 - On rentre direct.

04:50 Il y a beaucoup de dossiers ce soir, Cyril.

04:51 - Allez, c'est parti.

04:52 - Et en plus, j'ai un très, très beau fond d'écran.

04:53 Et on commence par vous, Cyril.

04:54 - Dites-moi.

04:55 - Cyril, il y a beaucoup de dossiers sur vous, cette semaine.

04:56 - Ouais.

04:57 - Je suis sûr que vous, à la maison...

04:58 - J'ai fait un cauchemar.

04:59 Je vous raconte.

05:00 J'ai fait un cauchemar hier soir.

05:01 Je vous jure que c'est vrai.

05:02 Je me suis réveillé en pleine nuit.

05:03 J'étais en eau.

05:04 Je vous jure que c'est vrai.

05:05 Et j'avais fait un cauchemar qui l'arrivait.

05:06 Et sa chronique était catastrophique.

05:07 Il faisait un truc sur Jean-Michel Maire et un truc sur Adoine Amoureux de moi.

05:08 - C'est fou, les cauchemars.

05:09 - Et je me suis réveillé en eau.

05:10 Je fais...

05:11 On m'a dit...

05:12 C'est encore ce foutu cauchemar.

05:13 Je te jure que c'est vrai.

05:14 - J'espère que ce ne sera pas prémonitoire, mais je suis là pour déjouer vos cauchemars.

05:21 - Je suis sûr que ça va être beaucoup mieux.

05:22 - Ce soir, vous ferez un rêve.

05:23 Vous verrez.

05:24 Je suis sûr que chez vous, vous vous demandez de quoi Cyril peut bien parler pendant les pubs.

05:28 Eh bien, 3 propositions.

05:29 Réponse A, du monde de la téloche.

05:31 Réponse B, de l'histoire de la 3e République.

05:33 Ou C, l'autre.

05:34 - L'autre.

05:35 - C'est l'autre.

05:36 - J'adore.

05:37 - Moi, je connaissais un mec à Paris 2 qui avait qu'une couille.

05:45 Et on parlait...

05:46 Mais en fait, il était parfaitement valide.

05:50 Il était valide, le mec.

05:52 Il mordait bien.

05:53 - Oui, oui.

05:54 - Ah oui, ça se voit pas.

05:55 - C'est-à-dire que les meufs, elles vont pas compter tes couilles.

05:58 - Je pense que les meufs, ça les intrigue.

05:59 - Non, mais je n'ai jamais vu une meuf qui est en train de compter tes couilles.

06:02 - En soirée, tu peux dire "moi, j'ai une couille", tu peux être sûr qu'il te la tâche.

06:05 - Bien sûr.

06:06 - Je sens le mercredi, je ne sais pas pourquoi.

06:10 - Allez, c'est la fin de la chronique.

06:14 - On passe à Vélaire et Bénaim.

06:18 - Tu les regardes, les images, avant ?

06:20 - Oui.

06:21 Vous n'avez pas trouvé ça drôle ?

06:22 - Pour l'instant, oui.

06:23 - Non, mais parce que je montre aux gens ce qu'ils ne voient pas pendant les pubs.

06:25 Vous savez ce que vous avez dit pendant les pubs.

06:27 - Les extraits sont trop courts.

06:28 Il faut que tu fasses des extraits plus longs.

06:29 - Plus longs ?

06:30 - Oui, c'est ce que je t'ai dit.

06:31 - Alors là, ça tombe bien, j'en ai un qui est très, très long.

06:32 - Vraiment, il faut que je rentre dans une histoire.

06:33 C'est ça qui marche, les extraits courts comme ça.

06:35 - Tu me demandes si je suis ton producteur ?

06:36 - Oui, vous êtes mon producteur, vous êtes mon patron.

06:37 C'est vous qui me payez, c'est vrai.

06:38 - Oui, alors fais gaffe que je te paye.

06:40 - C'est vrai que vous me payez.

06:41 Alors là, vous allez être contents, Cyril, parce que l'extrait qui vous suive là,

06:44 je ne sais pas, je vous l'ai laissé dans la longueur.

06:45 Vous allez voir, c'est incroyable.

06:46 Vélaire et Bénaim, petite question.

06:47 Quand quelqu'un vous raconte quelque chose, mais que vous n'en avez rien à foutre,

06:50 qu'est-ce que vous faites ?

06:51 - Maintenant, j'écoute poliment.

06:53 - Oui, et vous ne vous servez pas de Cyril, par exemple.

06:55 - C'est vrai que les lancements sont plus longs que l'extrait.

06:57 - C'est quoi l'histoire ?

06:58 - Cyril, figurez-vous que...

06:59 - C'est vrai que les lancements sont plus longs que l'extrait.

07:00 - Vous êtes une porte de sortie pour Vélaire et Bénaim.

07:02 Vous êtes une issue de secours.

07:03 Regardez, c'est incroyable, c'est le jouement balèque de la semaine.

07:06 - Un truc comme ça, c'est ce que j'ai rêvé cette nuit.

07:13 J'ai rêvé que j'étais mort, mais qu'en fait, je n'étais pas mort.

07:17 - Merci.

07:18 - C'est-à-dire que le même jour, j'ai entendu un pas de pied de matin sur un groupe

07:22 où un mec expliquait, un professeur expliquait qu'ils avaient trouvé la capacité...

07:28 Par des essais, on n'en est pas encore au stade industriel,

07:32 mais ils avaient trouvé à réussir à bloquer certaines cellules qui vieillissent trop.

07:39 Et tu te projettes tout de suite quand tu entends des choses comme ça.

07:41 Tu te dis, putain, mais ça y est, on y est.

07:43 Dans 10 ans, 20 ans, 30 ans, 40 ans, on saura faire ça de façon...

07:47 - Moi aussi.

07:48 - Ah ouais ?

07:49 - Pas du tout.

07:50 - Ah bah si, avec ces...

07:51 - Eh, Cyril, on me dit que le fer de la Tour Eiffel, il vient pas du tout.

07:53 - Ouais, mais je...

07:54 - On est à mort.

07:55 - Pas du tout.

07:56 - En mode chasse...

07:57 - Ouais.

07:58 - Au terrain, pas.

07:59 - Du coup, là, c'était un peu long.

08:05 - Ouais.

08:06 - Alors, on va faire...

08:08 - C'est ta première connexion.

08:10 - C'est ma première.

08:11 - On va dire que c'est pas le pire, tu sais, parce que je serai pas revenu.

08:13 On va passer donc maintenant...

08:14 - Y a combien d'extrêmes, 20 ?

08:15 - Il en reste 2, mais attention, parce que ça arrive sur vous.

08:17 - C'est vrai, sans douane.

08:18 - Donc, dans la catégorie des 20, on retrouve Bernard Montiel.

08:22 Alors, Bernard Montiel, c'est bizarre, il est là ce soir.

08:24 Il a beaucoup d'années de carrière, mais plus les années passent,

08:27 moins les gens l'écoutent, moins ils captivent.

08:29 Regardez, ça s'est passé pendant une pub avec Soraya, la coiffeuse.

08:32 - Moi, pendant 10 ans, j'ai amené mon chien comme ça, dans le train.

08:42 Il a jamais... Il était mignon.

08:44 En revanche, il était pas au milieu.

08:46 Moi, il était contre moi.

08:47 Et il mettait sa tête, il dormait sur moi.

08:50 - On s'en bat les couilles, on s'en bat les couilles, on s'en bat les couilles.

08:54 - Elle démarre pas mal, cette chronique.

09:01 - Ça va, ça va quand même, ça va.

09:02 - Allez, dernier extrait.

09:03 - Dernier extrait, oui, c'est le dernier extrait.

09:05 - Repose-toi, ce week-end.

09:07 - Allez, mon pote.

09:09 - Repose-toi, ça va.

09:10 Y a pas quelqu'un qui veut me soutenir ici ou dans le santana ?

09:12 - Non, vous êtes une sacrée...

09:14 - Honnêtement, on peut pas.

09:15 - Même Mathieu, tu peux le soutenir ou pas ?

09:17 - Je sais pas.

09:18 - Même toi, tu peux pas.

09:20 - Il est gentil, en plus, Mathieu.

09:21 Il aimerait, mais il peut pas.

09:22 - Il est très gentil, mais...

09:23 - Ouais, voilà.

09:24 - Je rembourserai mieux pour la semaine prochaine.

09:25 Mais en tout cas, avant de repartir, et là, Cyril va en prendre pour son grade...

09:28 - Il va repartir pour toujours.

09:29 - Puisqu'on est dans l'intégralité des Jeux Bombalek.

09:32 Vous pouvez pas repartir sans montrer aux gens

09:34 à quel point vous êtes toujours aussi passionné par les chroniqueurs pendant les pubs.

09:38 - Allez.

09:39 - Vous êtes passionné ?

09:40 - Je ne crois pas.

09:42 Vous êtes le Tarbat de la semaine, voire peut-être même le gros Tarbat.

09:45 - On sait que dans l'histoire de la puce,

09:54 ensuite, tu peux récupérer la puce, tu peux la mettre dans un ordinateur,

09:58 et par des jeux de déduction, on peut savoir ce que tu penses.

10:00 - Putain, j'ai un chewing-gum, du coup...

10:02 - C'est ouf.

10:04 - Là, par exemple, si t'avais eu la puce,

10:06 t'aurais su que j'en avais rien à branler.

10:09 - C'est lui qui...

10:11 - Un bon point !

10:21 - On peut l'envoir.

10:23 - Regardez la tête de Jacques Cardoche, c'est magnifique !

10:25 Parce que... Ah ouais, d'accord, ouais.

10:27 - Et je t'ai sauvé la chronique, franchement.

10:29 - Voilà, on l'a sauvé.

10:31 - L'histoire de la puce, ensuite, tu peux récupérer la puce,

10:35 tu peux la mettre dans un ordinateur,

10:37 et par des jeux de déduction, on peut savoir ce que tu penses.

10:40 - Putain, j'ai un chewing-gum, du coup...

10:42 - C'est ouf.

10:44 - Là, par exemple, si t'avais eu la puce,

10:46 t'aurais su que j'en avais rien à branler.

10:48 - Vous avez gardé le meilleur pour la fin !

10:53 - On peut l'applaudir.

10:58 Sous-titrage Société Radio-Canada

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