Habitué des plateaux télé et en particulier de "Touche pas à mon poste", Marco Mouly, l’un des protagonistes de l’affaire de l’arnaque aux quotas carbone, annonce qu'il part en cavale, alors que la justice a demandé son placement en détention. Selon Médiapart, Marco Mouly a appris qu’une juge d’application des peines venait de décider de la révocation partielle de son sursis dans une ancienne affaire, dite du « Vendôme Trading » : une escroquerie à la TVA datée d’il y a 25 ans.
La magistrate a ordonné une révocation de son sursis à hauteur de 18 mois de prison ferme, à effet immédiat.
Apprenant cette décision, Marco Mouly a contacté Mediapart pour annoncer qu’il partait en cavale : "J’en veux à la société. Je me tiens à carreau et voilà qu’on me ressort une affaire de 1998 ! Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? Bah ouais, je défie la police… Jamais je retourne en prison. Et avec moi, la cavale, c’est dans les grands hôtels et les palaces !"
Le média n’a pu vérifier sa localisation, ni même s’il était réellement en fuite.
Si cette cavale est réelle, elle rappelle un autre épisode similaire du passé. En 2019, Marco Mouly s'était enfui après sa condamnation à huit ans de prison ferme et 285 millions d'euros d'amende pour avoir participé à l'escroquerie aux quotas carbone. Il avait été retrouvé en Suisse au bout de plusieurs mois, avant de purger sa peine en France.
La magistrate a ordonné une révocation de son sursis à hauteur de 18 mois de prison ferme, à effet immédiat.
Apprenant cette décision, Marco Mouly a contacté Mediapart pour annoncer qu’il partait en cavale : "J’en veux à la société. Je me tiens à carreau et voilà qu’on me ressort une affaire de 1998 ! Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? Bah ouais, je défie la police… Jamais je retourne en prison. Et avec moi, la cavale, c’est dans les grands hôtels et les palaces !"
Le média n’a pu vérifier sa localisation, ni même s’il était réellement en fuite.
Si cette cavale est réelle, elle rappelle un autre épisode similaire du passé. En 2019, Marco Mouly s'était enfui après sa condamnation à huit ans de prison ferme et 285 millions d'euros d'amende pour avoir participé à l'escroquerie aux quotas carbone. Il avait été retrouvé en Suisse au bout de plusieurs mois, avant de purger sa peine en France.
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