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  • il y a 8 mois
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00:00:11 Ce départ, vous allez le vivre en intégralité et à l'intérieur.
00:00:15 Ouvrez grand vos chakras, montez le volume.
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00:00:20 C'est Romain Grosjean qui a pris le meilleur départ dans notre Grand Prix.
00:00:23 Il est en tête, le Français ! Exceptionnel en vol !
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00:00:30 Oh ! La délamination du pneu de Jean-Éric Vergne !
00:00:33 Un pneu qui a explosé dans le peloton !
00:00:35 Mais que se passe-t-il à Silverstone ?
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00:00:43 Oh ! C'était un accident !
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00:00:46 Alors ça c'est fabuleux !
00:00:47 Magnifique !
00:00:48 Cette image, vous n'êtes pas prêts de l'oublier.
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00:01:08 Que fait cette voiture sur la piste ?
00:01:10 C'est n'importe quoi !
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00:01:13 L'attaque de Sébastien Vettel dans les échappements !
00:01:15 Elles sont toutes à cause les deux Red Bull !
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00:01:25 C'est un instant historique vu la Formule 1 !
00:01:27 Il y a Schumacher, il y a Fangio, il y a Alain Prince, il y a désormais Sébastien Vettel !
00:01:33 Il est quatre fois champion du monde de Formule 1 !
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00:01:41 Cette année 2013 a été vraiment une année explosive.
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00:01:53 Renouer enfin avec ses plus belles années.
00:01:55 Se faire accepter par une nouvelle famille.
00:01:59 Revenir encore un peu plus dans la lumière.
00:02:03 Prouver une nouvelle fois sa supériorité.
00:02:07 Vettel, Alonso, Raikkonen, Hamilton.
00:02:11 Quatre façons d'aborder la saison, mais quatre hommes qui partagent un même objectif.
00:02:15 Le titre de champion du monde.
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00:02:22 Contrairement aux apparences, les 22 pilotes sont débordants d'énergie pour le début de la saison le 17 mars en Australie.
00:02:28 Sébastien Vettel en pole position, Fernando Alonso son éternel rival cinquième sur la grille, Kimi Raikkonen septième.
00:02:35 Mark Webber en première ligne manque complètement son envol.
00:02:41 Distancé par Vettel, dépassé par Hamilton, à gauche, Massa à droite, puis Alonso, Raikkonen et même Rosberg.
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00:02:53 Deuxième tour, premier duel de l'année entre champions du monde.
00:02:56 Kimi Raikkonen attaque Lewis Hamilton pour la quatrième place.
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00:03:02 Le Finlandais finit par passer.
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00:03:12 Incisif en piste, mais surtout excellent gestionnaire de ses pneus, Raikkonen effectue un arrêt de moins que ses principaux rivaux.
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00:03:34 Alors qu'il avait dû attendre 17 grands prix pour s'imposer avec Lotus en 2012, Raikkonen gagne dès la première course.
00:03:42 Ivre de bonheur, fou de joie, comme à son habitude.
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00:03:59 Les années ne le changent pas, quelles que soient les circonstances, Raikkonen parle toujours aussi peu.
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00:04:16 La victoire de Raikkonen en Australie, elle est forte, elle est en même temps sympathique,
00:04:21 parce que on s'attend peut-être déjà à une domination de Red Bull et de Vettel,
00:04:27 et puis c'est Raikkonen, on se dit, tiens, en fin de compte, cette saison, c'est peut-être pas tout à fait ce qu'on aurait pu imaginer,
00:04:35 et on peut avoir quelques surprises, avec sur le podium aussi Alonso avec la Ferrari, on se dit, tiens, c'est bien parti.
00:04:41 La semaine suivante, les pilotes sont déjà en Malaisie, sous la pluie, pour ce qui restera la seule course de la saison dans ces conditions.
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00:04:55 Alonso fait une faute au deuxième virage, contact avec Vettel, aileron avant cassé, mais l'Espagnol décide de ne pas le changer.
00:05:06 Grave erreur, l'aileron cède, sortie de route et abandon, dès le deuxième tour.
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00:05:16 La piste sèche, tous les pilotes chossent des pneus slick, Lewis Hamilton se trompe de stand en s'arrêtant chez McLaren son ancien écurie,
00:05:24 scène cocasse, amusante, mais pas pour tout le monde.
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00:05:31 A dix tours de la fin, Mark Webber est en tête devant Sébastien Vettel.
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00:05:37 L'attaque en tête de la course entre Sébastien Vettel et Mark Webber, il y a eu un léger contact entre les deux hommes.
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00:05:44 A fond au ras du mur des stands, une attaque dangereuse, surtout entre coéquipiers.
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00:05:56 "Oh là là, incroyable ce qui se passe en tête de la course, Vettel est passé !"
00:06:00 "Mais c'est scellé ça, comment ?"
00:06:02 L'équipe sermonne son pilote, Vettel s'impose, mais l'ambiance est irrespirable dans le clan Red Bull.
00:06:07 Plus que cette passe d'arme agressive, Webber reproche à Vettel de ne pas avoir respecté la consigne de conserver les positions.
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00:06:21 Multi 21, la voiture numéro 2 devant la numéro 1, Webber devant Vettel.
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00:06:42 En Chine, 15 jours plus tard, pas de bagarre entre Vettel et Webber, très vite l'Australien perd une roue, il abandonne.
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00:06:53 Parti en pole position, Hamilton est rapidement en difficulté.
00:06:56 A ce stade de la saison, les Mercedes usent trop leurs pneus en course, Alonso et Massa passent en même temps.
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00:07:05 Un peu plus tard, l'Espagnol double Vettel, qui est alors sur une stratégie décalée.
00:07:09 Alonso s'impose devant Raikkonen et Hamilton, 3 vainqueurs différents en 3 grands prix, la saison s'annonce indécise.
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00:07:27 Vettel, absent du podium, ça n'arrivera que 3 fois cette saison, mais l'Allemand reste l'homme dont tout le monde parle, 2 semaines après l'incident en Malaisie.
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00:07:42 3 jours plus tôt, Sébastien Vettel donne la conférence de presse la plus courue de l'année.
00:07:46 Après l'avoir joué profil bas sur le podium en Malaisie, le triple champion du monde attaque cette fois violemment son coéquipier hors de la piste.
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00:08:14 Il s'est d'abord excusé, l'équipe lui a dit que c'était vraiment pas bien ce qu'il a fait, donc on s'est dit tiens, c'est bien d'une certaine manière,
00:08:22 parce que publiquement il a été désavoué par son équipe, et puis après, une semaine après, il est revenu sur ses excuses, et là ça a été un petit peu limite.
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00:08:47 Je dirais que moi qui suis un fan de Sébastien Vettel, ça a été la période que j'ai pas aimé, la période floue.
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00:09:00 Je ne m'excuse pas pour gagner la course.
00:09:03 Un incident et une attitude contestées pendant des mois, un choix risqué peut-être, mais dès le début de la saison, l'Allemand réduit Weber au rôle de faire-valoir.
00:09:12 Je pense qu'il s'est imposé, qu'il a fait, il a fait, il a pris une décision pour, pour montrer à l'équipe en tous les cas qu'il n'y avait pas de demi-mesure,
00:09:20 et que c'était le leader, le roi, c'était lui.
00:09:24 Être considéré comme le patron par son équipe, prendre le dessus sur l'autre pilote de son écurie, une préoccupation évidente en début de saison, pas seulement chez Red Bull.
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00:09:43 En Malaisie aussi, duel entre Hamilton et Rosberg pour la troisième place, l'Allemand suit les consignes de Mercedes, laisse son nouveau coéquipier monter sur le podium.
00:09:52 Manifestement, à contre-cœur.
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00:10:00 Plus tard dans la saison, Rosberg sera sans souvenir. En Allemagne, il bouchonne son coéquipier pendant quelques tours, malgré les demandes insistantes de son muret.
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00:10:15 Lutte d'influence, bataille à fleur et mouchetée chez Mercedes. Chez McLaren en revanche, la guerre se termine souvent au corps-à-corps entre Perez et Button.
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00:10:33 Le Perez-Button, c'était un peu au-dessus des limites, parce que Perez, il n'arrêtait pas de donner des coups de roue à Button, il n'y avait pas de raison.
00:10:39 Ça ne ramène généralement pas du respect et surtout pas de la part de l'équipe.
00:10:42 Je pense que c'était un peu trop, c'était un peu trop, mais je pense que tous les équipes ont beaucoup à apprendre de nous, parce que à tout moment, même si l'équipe a vu que nous pouvions nous retirer, elles ne sont jamais venus me dire de quoi je parlais.
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00:11:11 Des combats d'égo pas toujours utiles chez les modestes aussi.
00:11:15 Sutil contre Diresta chez Force India.
00:11:18 Maldonado contre Bottas chez Williams.
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00:11:29 Des duels arbitrés à distance difficiles à gérer pour les équipes.
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00:11:35 Et pour les pilotes.
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00:11:44 Comme le face-à-face épique entre Romain Grosjean et Kimi Raikkonen en fin de saison en Inde.
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00:11:52 Pour moi, il y a quelque chose qui se casse parce que son geste en piste à 5 tours de l'arrivée, je ne l'ai pas compris.
00:11:59 Et voilà, après, clairement, dans l'équipe, il a expliqué qu'il courait pour lui, qu'il en avait un affiche de son coéquipier.
00:12:06 Je pense que je l'ai laissé passer suffisamment de fois en piste.
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00:12:13 Pour avoir le droit, une fois, de ne pas prendre un coup de roue.
00:12:17 Et si jamais, s'il avait fait ça plus tôt, peut-être que les choses auraient été différentes derrière.
00:12:21 Une hiérarchie qui évolue.
00:12:23 Une relation entre deux hommes qui conditionnent la vie dans chaque écurie et en piste tout au long de la saison.
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00:12:38 Grand prix de Bahrain.
00:12:40 Une semaine après son succès à Shanghai, Fernando Alonso tombe de haut.
00:12:43 Tout d'abord, l'Espagnol cède face à Sébastien Vettel.
00:12:46 Puis son DRS, l'aileron arrière mobile, reste bloqué en position ouverte.
00:12:50 La Ferrari perd énormément d'appui à aérodynamique.
00:12:53 Alonso rentre au stand.
00:12:55 Une réparation de fortune à la main.
00:12:57 Mais quand il reprend la piste...
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00:13:01 - Fernando Alonso, cette fois, l'aileroi arrière est abaissée.
00:13:04 Il se relève à l'instant même le DRS.
00:13:06 Va-t-il réussir à se refermer à la fin de la ligne droite ?
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00:13:10 Mais non, il ne se referme toujours pas l'aileroi arrière.
00:13:12 C'est une catastrophe pour Fernando Alonso.
00:13:14 L'aileroi arrière ne se ferme plus.
00:13:16 Nouvelle arrêt au stand.
00:13:18 Beaucoup de temps perdu.
00:13:20 Et au final, une 8ème place.
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00:13:27 Pendant ce temps-là, Sébastien Vettel se débarrasse de Nico Rosberg, parti en pole position.
00:13:32 Le pilote Red Bull s'impose, devenant le premier à décrocher 2 victoires cette saison.
00:13:37 Suivent les 2 Lotus.
00:13:39 Après 4 Grands Prix, Vettel compte déjà 30 points d'avance sur Alonso.
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00:13:49 Ferrari attend avec impatience et célèbre le retour sur le vieux continent.
00:13:54 5ème Grand Prix de la saison, en Espagne, sur les terres de Fernando Alonso.
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00:14:10 Alonso, Alonso !
00:14:13 Les plus petits de toutes les écoles d'Espagne qui viennent pendant les essais et qui crient tout ça toute la journée, c'est ça l'Alonso d'Espagne.
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00:14:31 Le double champion du monde sollicité sans arrêt pendant 4 jours, s'offre même un bain de foule à quelques minutes seulement du départ.
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00:14:42 Vainqueur désigné, espéré à Barcelone, mais sur la grille au moment de ses lancées, Alonso n'est que 5ème.
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00:15:21 Un départ brillant pour effacer Raikkonen et Hamilton, Vettel et Rosberg sont eux aussi incapables de résister.
00:15:28 Dans une ambiance de stade de foot, Alonso se détache en tête.
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00:15:35 L'Espagnol irrésistible pendant que les Mercedes s'effondrent une nouvelle fois en course.
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00:15:47 Le 12 mai, peu importe la concurrence, un seul pilote, une seule voiture attire la lumière.
00:15:53 Une victoire à domicile devant le public le plus enthousiaste de la saison.
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00:16:12 Un succès qui ranime aussi des espoirs de titres pour l'Espagnol.
00:16:16 [Applaudissements]
00:16:24 Monaco, deux semaines plus tard, son paysage de carte postale, ses têtes couronnées, ses inévitables stars du cinéma, du sport, de la télé, du clinquant, mais un lieu authentique pour Nico Rosberg.
00:16:41 C'est chez moi, Monaco. Le chemin du tunnel là où je vais maintenant à 300 à l'heure, c'est mon chemin que ma mère m'a amené à l'école tous les jours.
00:16:49 C'est drôle d'y passer de ce moment avec la F1.
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00:16:57 Sa maison, l'endroit où il a grandi et échangé des balles de ping-pong avec son père, le champion du monde, Keke Rosberg.
00:17:04 [Applaudissements]
00:17:08 Mais le petit enfant blond a bien changé. Pilote de course comme papa, des nerfs solides, parti de la pole position, Rosberg maîtrise un grand prix décousu marqué par trois interventions de la voiture de sécurité.
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00:17:27 Du contrôle pour finalement signer la victoire la plus émouvante de la saison.
00:17:33 C'est un rêve de petit gamin que j'avais et là d'accomplir ça, fantastique.
00:17:39 À un moment j'ai même pensé que je vais commencer à pleurer les trois derniers tours en conduisant. Et je me suis dit "non, non, non, c'est pas possible".
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00:17:52 Il y avait un peu de tout là. Et non mais fantastique, très très content, beaucoup d'émotion.
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00:18:06 C'était très symbolique. Son père avait gagné 30 ans avant. C'est quand même assez incroyable.
00:18:14 C'est un souvenir de vie qu'il n'oubliera jamais. J'ai vu sa mère d'ailleurs le soir. On a bu un verre ensemble. C'était magique.
00:18:23 On a l'impression de pratiquement dire "bon là, sans dire, je peux mourir tranquille".
00:18:30 On a vu quelque chose d'assez incroyable. Ça a été très très fort ce moment.
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00:18:52 Un succès unique pour Rosberg. Le deuxième de la carrière d'un pilote qui s'impose peu à peu comme une star du paddock.
00:18:59 Décontracté, souriant, polyglotte et blagueur. Capable de nous envoyer dans l'endroit le plus secret.
00:19:05 Il faut couper. Et le plus interdit du motorhome Mercedes cette saison.
00:19:10 Ça c'est le bureau de Ros. On va dire bonjour à Ros. Allez-y. Moi je suis pas là. Vous dites bonjour à Ros.
00:19:19 Juste un coup de filming dedans. C'est bon là c'est Ros.
00:19:23 [Rires]
00:19:32 Là il a rien compris là. Là il a rien compris du tout.
00:19:35 Moi je dis c'est Canal+ hein. Au moins c'était pas mon idée.
00:19:39 Gagné à domicile. Un moment à part. L'un des rares qui manque encore dans l'album de souvenirs de Sébastien Wettel au moment du départ au Nürburgring.
00:19:49 L'Allemand bondit de la deuxième place.
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00:20:03 Wettel s'installe en tête. Ne sera plus jamais inquiété malgré les décalages de stratégie.
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00:20:13 Un triple champion du monde une nouvelle fois impeccable. Une nouvelle course sans accro.
00:20:17 Pendant que son coéquipier Mark Webber attire comme toujours ou presque la malchance.
00:20:22 C'est beaucoup plus long que ce passe-t-il pour Mark Webber. La roue arrière droite. C'est la roue arrière droite qui pose problème.
00:20:28 Le mécanicien qui a tardé à laisser sa main. Oh il a perdu sa roue. Attention à cette roue. Oh la la mince. Un caméraman qui a été percuté.
00:20:35 Un caméraman blessé. Une erreur qui vaut une amende à Red Bull.
00:20:39 Mais ce jour-là l'écurie autrichienne offre aussi à son champion l'un des moments dont il rêvait le plus.
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