Fabrice Nguema Revue de Presse du mardi 12 mars 2024 en Français
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00:00 Ça c'est le point de vue de Tribune Quotidienne.
00:03 Entre caravanes, porte à porte, distribution de flyers, une campagne insipide.
00:08 Pourquoi elle est insipide ?
00:10 En tout cas, on pourrait peut-être réfléchir, philosopher autour de ce fait.
00:15 Et le fait est clair, c'est une interrogation de Tribune Quotidienne par rapport à justement ce volet.
00:21 Poutine ! Vladimir Poutine, à Blaisot.
00:24 Non, c'est grave, c'est que c'était...
00:27 Il y a les Ndiaye qui souhaitent bon courage à Simon.
00:33 Voilà.
00:33 Et ainsi qu'à tous les parents chrétiens pour le carême.
00:37 Voilà. Simon Poutine, d'accord ?
00:39 Oui, oui.
00:41 Ah !
00:42 Bon !
00:43 Ah ! Simon est trop beau.
00:44 La psychose de notre report.
00:48 Entre-t-il le sommeil des candidats ?
00:52 Est-ce que les candidats y vont à fond la caisse ?
00:56 Est-ce qu'on a eu droit à une campagne qui a démarré sur les chapeaux de roue ?
01:02 Je ne sais pas, les gars, ils sont là-bas pour les faire rire, ils ne veulent pas me dire.
01:05 En tout cas, les militants pas encore engagés.
01:09 Il n'y a pas d'engagement.
01:11 C'est que les gens, ils mobilisent, ils font tout ce qu'ils font, mais il n'y a pas l'odeur de la campagne.
01:17 C'est-à-dire l'atmosphère de campagne, on ne la sent pas encore.
01:21 L'air de campagne.
01:22 Voilà les faits, c'est-à-dire tout ce qu'on a, qu'on peut avoir dans une campagne pour la présidentielle.
01:29 Attends, c'est la mer des batailles électorales.
01:32 Mais on reste avec Tribune Quotidien qui lève un autre lièvre.
01:36 Le parti démocratique sénégalais, le parti démocratique des recours.
01:41 Décret convoquant le corps électoral.
01:45 Là, maintenant, on est dans ce qu'on appelle les dispositions légales.
01:49 Le droit, la loi.
01:52 Et vous savez, dans l'histoire du monde, les praticiens du droit ont joué de grands rôles, de beaux rôles.
01:58 Je n'ai pas à vous rappeler que par exemple, Nelson Mandela est avocat de formation.
02:03 Les gens l'oublient.
02:04 C'est un avocat.
02:06 Je ne vais pas vous rappeler que Gandhi est un avocat.
02:09 Je ne vais pas vous rappeler que Obama a été un avocat.
02:13 Mais je ne Barack Obama.
02:16 Bien entendu, et même Sarkozy.
02:18 Sarkozy.
02:19 Avocat.
02:20 Abdoulaye Fad, super avocat.
02:23 Alors, le PDS et le FDPEI déposent un recours en annulation du détail de Magui.
02:30 C'est pour vous dire que c'est des métiers, ils sont de faits, bras de lomistes.
02:36 C'est des libéraux.
02:38 C'est clair.
02:40 Alors, ils dénoncent un simulacre d'élection vers lequel les 19 candidats s'achènent.
02:47 En réalité, ce n'est pas une élection présidentielle, mais c'est un simulacre d'élection, à
02:56 leur avis.
02:57 Non, parfois, on y déjoue.
03:00 Lapsus.
03:01 Ah ouais.
03:02 Lengue.
03:03 Lengue.
03:04 Et quand c'est écrit, c'est lapsus.
03:05 Calamit.
03:06 Ah oui?
03:07 Oui.
03:08 On préfère dire foot.
03:09 C'est calamit.
03:10 Si.
03:11 Quand on m'a dit que je m'en fous, je me suis dit que tu es sauvé.
03:15 Il ne s'agit pas d'aller coûte que coûte vers une élection qui est à la base biaisée.
03:20 Est-ce que je peux être out?
03:23 Merci, laissez-le comme ça.
03:25 Parce qu'en réalité, pour être candidat, il faut être clean et le processus électorel
03:33 doit être clean.
03:35 Immaculé.
03:36 Immaculé.
03:37 Un candidat, un président de la République est immaculé.
03:44 Claire et transparent.
03:45 Immaculé.
03:46 Conception.
03:47 Alors, organisation de la présidentielle, vous avez ici Maroula Science qui apparemment
03:54 a déjà le pied à les crier parce que là aussi c'est un autre débat.
03:58 C'est le ministre de l'intérieur qui a en charge l'élection.
04:01 On parle d'un IGE.
04:02 C'est quand même un commis de l'État.
04:04 Super commis de l'État.
04:05 Et moi je considère que c'est même un super IGE.
04:09 Parce qu'il y a des IGE, il y a des super IGE.
04:12 Il y a des inspecteurs des impôts, il y a des super inspecteurs des impôts.
04:15 Pas inspecteur des impôts avec maison et avec ascenseur quoi.
04:18 Bon, on reste avec Tribute Quotidien qui affiche ce que dit Dr Baye si ses chercheurs
04:24 spécialistes en études de drogue comparées, les sept sages ont déjà relancé le processus
04:28 interrompu abusivement par Macky Sall.
04:31 Rappelons-le, Macky Sall doit être dans le mois de Ramadan.
04:35 Tout comme l'excellent chanteur Kéba Seck.
04:38 Le meilleur de sa génération.
04:40 Alors, le Dugoutigui, tu sais que lui, il va rompre le jeu aujourd'hui à Tabac.
04:47 Oui, première rupture Tabac avec El Hadj Batchakate.
04:51 Alors, spoliation dans la banlieue de Dakar, les victimes du foncier font bloc contre Macky
04:56 et son régime.
04:57 Bon, Macky est-ce qu'il est candidat, je ne sais pas.
04:59 Mais ce qu'il faut savoir, c'est Mohamedou Lamine Sali qui recale, bien entendu, Marie
05:06 Théo Nian, le professeur titulaire, Marie Théo Nian.
05:09 Alors, pour votre gouverne, ce n'est pas le président de la République qui a reporté
05:14 la présidentielle, mais point de suspension.
05:17 Donc, allez-y lire la réponse de Macky Salli par rapport à peut-être la position qu'a
05:23 Marie Théo Nian, le professeur titulaire, qui parle de coup d'État en marche.
05:28 Il parle de coup d'État en marche.
05:30 Il y a quelqu'un qui avait dit coup d'État à Rampala.
05:33 Bon, maintenant, là, il dit en marche.
05:35 L'autre avait dit, il en parle, il dit en marche.
05:38 Mais on va peut-être marcher vers l'actualité.
05:40 Et vous avez le point actuel qui parle de présidentielle 2024.
05:43 La Cour suprême, ultime espoir des poliers.
05:47 Mbaye Nian refait surface.
05:49 Pichou Ramatouk, Nare Boundaou, il refait surface.
05:55 Mbaye Nian, ministre du tourisme et des sports, les requêtes déposées à la Cour suprême
06:00 sont fondées.
06:02 Le Conseil constitutionnel a outrepassé ses droits.
06:05 Il se comporte comme une cour constitutionnelle.
06:08 Voilà une situation.
06:11 Situation oblige.
06:13 On a ici Mouamadou Mbakar Sissé, ministre de l'Intérieur, Marou La Science.
06:19 Le Sénégal est au-dessus de nos égos et intérêts particuliers.
06:24 Il rejoint un peu Bougadla.
06:26 La présidentielle doit se dérouler dans le calme et la sérénité.
06:31 Poursuivre le cheminement des buteurs et des isoloires dans les bureaux de vote.
06:36 Ils sont en train de le faire.
06:38 Et ça part d'où ? De l'école de police.
06:41 Ils sont en train de le faire. En tout cas, l'administration est prête.
06:46 Maintenant, le reste, on ne sait pas. On attend.
06:50 De toute façon, l'élection aura lieu le 24 mars.
06:54 À être attendue.
06:56 S'il plaît à la Cour suprême.
06:58 Et les 900 000 électeurs ?
07:01 Et les 900 000 électeurs, bon, mais...
07:04 Ils seront bûtourés.
07:07 Les 900 000 électeurs, parce que le droit de l'électeur est inaliénable.
07:12 C'est-à-dire que si une personne ne vote pas, personne n'a le droit de voter.
07:17 Si on comprend bien le mot inaliénable.
07:20 Alors, on va essayer de voir un peu l'actualité.
07:23 Mais Direct News, annulation du décret convoquant le corps électoral.
07:27 Dissolution du conseil constitutionnel en gestation.
07:30 Une interrogation.
07:32 Mais la semaine de tous les renversements.
07:34 Cette semaine-ci ?
07:35 Des bouleversements insoupçonnés pourraient se produire sur impulsion du PDS.
07:39 La situation est là dans Direct News.
07:41 Mais Direct News nous parle de Bougane Gaye d'Abi.
07:44 Présidentiel 2024, Bougane Gaye dans les habits d'un faiseur de roi.
07:48 Entre guillemets.
07:49 Donc, il faut, attention, il faut compter avec Bougane.
07:52 Mieux vaut aller à Cité-Cœur-Gourdie.
07:54 Signez là-bas un accord. Pas de protocole, accord.
07:57 Alors, deux principes.
07:59 Alors, Bougane Gaye d'Abi reste une figure politique emblématique du pays.
08:03 Courtisée par tous les candidats, le leader de Gomsobob se donne le temps de voir.
08:09 Claire.
08:10 Parce qu'il faut aller avec science et conscience.
08:14 Et science sans conscience, ruine de l'âme.
08:18 Alors, l'observateur, l'observateur de Maki Amadou.
08:21 Les revers d'un coup, bah, bah.
08:23 Comme Amadou.
08:24 Amadou, Amadou.
08:26 Yes, mon.
08:28 La vérité sur les zones d'ombre.
08:30 Les grèves contre le candidat et la débat suicidaire du président.
08:33 Mais vous avez Sédou Gaye et Maëlle Thiam, parlent du malaise.
08:37 Sédou Gaye et Maëlle Thiam parlent déjà du malaise.
08:40 Les gens commencent déjà à parler du malaise, hein, entre les deux hommes.
08:44 C'est les voix autorisées.
08:45 C'est les voix autorisées.
08:46 Malaise.
08:47 Voilà la situation.
08:50 La situation oblige.
08:51 Vous avez quelle actualité ?
08:53 Le quotidien, le quotidien.
08:55 Et chauffer un apériste et prodiomail.
08:57 La violence par campagne.
08:59 Après, ne pas s'impliquer.