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URGENT - Convocation de Amadou Ba avec deux juges du Conseil Constitutionnel par l'OFNAC pour fait de corruption

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Transcription
00:00 Je pense que c'est la patrie qui est la plus importante.
00:02 Oui, il a raison. Je suis d'accord avec lui sur la pollution. Je suis d'accord avec la pollution. La pollution est très importante. Je pense qu'il faut penser à la patrie avant les partis.
00:14 Et moi, entre nous, en prison, vous avez dit, je vais vous le dire, Al Zad, je suis frustré et inquiet.
00:22 Je ne peux pas me défendre. Depuis des années, je ne peux pas me défendre. Je suis inquiet.
00:28 Parce qu'on ne pense pas à la nation.
00:33 On ne pense pas à la nation.
00:35 On ne pense pas à la nation.
00:37 On ne pense pas à la nation.
00:39 On ne pense pas à la nation.
00:41 On ne pense pas à la nation.
00:43 Parce que c'est la patrie.
00:45 Parce que c'est la patrie.
00:47 Parce que c'est la patrie.
00:49 Mais on ne peut pas se défendre.
00:51 Mais on nous annonce la convocation de l'ex-premier ministre avec des deux juges du conseil constitutionnel pour fait de corruption par l'OFNAC.
01:02 Loi portant création d'une cour constitutionnelle.
01:05 Ce que vous dites, ce que je vois, ce que je vois, ce que je vois, c'est que nous allons analyser.
01:10 Tout se passe très vite.
01:12 Ce que je vois, pour vous dire, parce que c'est ce que je veux dire dans mon deuxième argument, dans mon deuxième paragraphe, c'est qu'en réalité, l'élection n'a pas été faite.
01:20 D'accord. Alors, on me demande de de de répéter.
01:23 Donc, pour pour euh préciser on nous annonce la convocation de l'ex-premier ministre et les deux juges du conseil constitutionnel et pour fait de corruption.
01:36 Donc euh, euh, convoqué. Ce qui veut dire que quand même euh, ce qui veut dire autrement aussi que madame élection
01:47 euh, il y a des choses qui sont en train de se passer. Il y a des choses qui sont en train de se passer.
01:53 Tu sais que moi, je vais te dire quelque chose, je vais te dire ça, ça passe inaperçu. Mais moi, moi, tout le monde de ce moment-là, moi, il a fait si on n'est pas bien organisé.
02:02 D'autres forces plus organisées que nous pourrons prendre le pouvoir. Lamine. Mais on n'est pas organisé. Ça fait ça fait des mois que euh, l'anglais n'est organisé.
02:16 Donc, c'est pour ça que ça vient de le prouver. Moi, t'as une idée de mon convocation. Ancien premier ministre. À Moudouba.
02:24 C'est la lune. Mhm. Deuxièmement, en suspens euh, élections. Benboussy, moi, je connais pas.
02:38 C'est ce qui est en train de se passer. Lamine aussi, il faut en parler. Parce que comment on peut, on peut, on peut éliminer carrément parce que
02:59 c'est pas le cas. Mais Sénégalais, il y a des raisons. Est-ce que moi, mais moi, je vais dire qu'il y a des conséquences, on a devoir baser aussi sur l'honneur.
03:14 Comment? Comment? Comment?
03:16 Comment?
03:22 sur le papier sur le terrain
03:39 avec des voix. Ouais, ouais, ouais, ouais, Abici. Comment vous pouvez comprendre que Abici est canada? Abici est canada. Il veut prendre le palais. Il veut être un président du Sénégal. Il y a une coalition qui s'est formée. Comment vous pouvez comprendre ça? Comment vous pouvez comprendre que c'est un candidat qui veut prendre le palais, il veut être un président, il y a une coalition qui s'est formée. En réalité, nous ne sommes pas organisés. Il veut qu'il y ait une élection, qu'on aille voir, mais ce que je vois, c'est que l'élection n'est pas encore venue parce que je vois juste la source.
04:09 Et puis sur ce A, je vous annonce qu'il a pris une centime pour financer le campagne.
04:21 Pourquoi le président a-t-il fait ça? Il a pris une centime pour financer les élections.
04:26 - Qu'est-ce que vous savez de ce qui s'est passé? - On n'a pas fait de commité.
04:31 Ce n'est pas organisé. Je ne sais pas qui a organisé ça mais je suis dégoûté et inquiet.
04:41 Si les politiciens veulent des solutions, ils n'en ont pas.
04:47 Ils n'ont pas la carte entre leurs mains.
04:50 On est fatigués de dévacuer la politique au Sénégal.
05:01 Les Sénégalais sont des hommes. Ils ont perdu leur emploi.
05:06 Ils ont perdu leur études. Ils ont perdu leur emploi.
05:10 Ils ont arrêté tous leurs projets.
05:14 Il nous faut une élection parce que les investisseurs sont en Sénégal.
05:22 Ils ont arrêté leurs investissements parce qu'ils ne savent pas où ils vont.
05:28 Ils ne savent pas quand il y aura une élection.
05:34 En réalité, ils ont arrêté l'Assemblée.
05:36 Ils n'ont pas la carte entre leurs mains.
05:38 Si on arrête l'Assemblée, personne ne va arrêter.
05:43 Mais personne n'a arrêté.
05:45 Il y a des gens qui ont des projets et d'autres qui n'ont pas.
05:48 Il faut une élection pour que les investisseurs s'enlèvent.
05:50 Malheureusement, ils ne s'enlèvent pas.
05:52 Ils ne se sont pas engagés depuis des mois.
05:54 Ils ont arrêté leurs projets parce que les politiciens ont arrêté leurs projets.
06:00 Ils ont arrêté leurs projets et ils ont arrêté leurs investissements.
06:07 Ils n'ont pas de projets.
06:09 C'est dommage.
06:11 Je n'ai plus envie de parler de ça.
06:13 C'est la tristesse réelle.
06:15 C'est compliqué.
06:17 C'est compliqué.
06:19 C'est compliqué.
06:21 Je vais vous donner un message.
06:23 Un jour, un russe m'a dit que le droit de recours doit être tenté.
06:29 Le PDS n'a pas de chance pour que le droit de recours soit tenté pour qu'il prospère.
06:34 Personne ne peut le faire avec un recours pour un acte administratif unilatéral.
06:41 Je dis que le décret porte le préjudice aux spelliers.
06:45 Les candidats doivent aller à l'élection.
06:49 Ils doivent faire le choix entre deux.
06:51 Ils doivent voir où ils vont.
06:56 Ils doivent déposer leur recours.
06:58 Le PDS n'est pas le candidat.
07:01 Le PDS doit déposer son recours.
07:03 Nous le savons.
07:05 Il y a un candidat derrière qui va créer la surprise.
07:11 Il va déposer son recours.
07:15 Il va avoir l'air de venir.
07:20 Il ne va pas sortir.
07:24 Il doit sortir.
07:26 Parce que cela est sérieux.
07:29 Une élection présidentielle est sérieuse.
07:31 Tout peut se passer.
07:34 On avait fixé la date.
07:36 Il ne peut pas sortir.
07:38 Il y a plusieurs cas dans cette élection présidentielle.
07:42 Je vais parler à Abipsy.
07:44 Il est candidat.
07:46 Il doit avoir un programme.
07:49 Je pense qu'il a un programme.
07:51 Je pense.
07:53 Il bat campagne à côté de Basse-Uruguay.
07:58 Il a eu des parents.
08:01 Il a eu des parents.

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