Podcast - Jalen Brunson et les Knicks, des candidats au titre ?
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00:00 *Musique*
00:07 Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans un nouvel épisode du podcast NBA Extra.
00:12 Comme d'habitude, on est ensemble pour 30 minutes, peut-être un tout petit peu moins si le temps nous presse.
00:17 Et je suis aujourd'hui, alors vous l'avez déjà entendu, avec Marie Patrux. Bonjour Marie.
00:21 Bonjour Nico. Bonjour à tous.
00:23 Et puis il y a le coach bien sûr, Jacques Monclart. Bonjour Marie, bonjour Nico, bonjour tout le monde.
00:29 On va parler aujourd'hui d'un homme qui ne cesse d'étonner, d'être flamboyant, Jalen Bronson.
00:34 Où le classé parmi les meilleurs joueurs de la ligue, a-t-il l'étoffe pour, pourquoi pas, peut-être pas cette saison,
00:39 mais dans le futur, mener New York vers le titre ?
00:42 On parlera aussi de Zion Williamson et des Pelicans qui sont la force du printemps,
00:47 qui pourraient être la force du printemps à l'Ouest.
00:50 Et puis on terminera, on s'amusera un peu à classer, à donner nos avis sur les meilleurs dunkers de match.
00:55 Anthony Edwards notamment, a choqué l'NBA avec ce poster sur John Collins cette semaine.
01:01 Vous avez le programme, on est parti.
01:03 Alors Jalen Bronson, cinquième meilleur marqueur de la ligue, quasiment 28 points par match, 6 passes,
01:12 40 points de moyenne sur les trois derniers matchs, et l'Enix qui ne s'effondre pas malgré les blessures.
01:18 Je commence pas par toi Jacques, je commence par Marie, sur Jalen Bronson.
01:22 Qu'est-ce que tu penses de la saison de Jalen Bronson et où est-ce qu'il pourrait porter son Enix ?
01:28 Parce que de semaine en semaine, Jalen Bronson, il s'arrête pas et on a même l'impression qu'il fait encore mieux qu'avant.
01:33 C'est ça qui est formidable, il a réussi quand même à porter cette équipe.
01:37 Il y a eu beaucoup de doutes autour de lui quand il est arrivé là-bas.
01:40 Il arrive de Dallas et tout le monde sait que c'est un bon joueur, mais est-ce que ça peut être un franchise player ?
01:45 Là, la réponse est claire. Il a répondu à beaucoup d'interrogations autour de son cas.
01:51 Et sur le terrain, c'est quelqu'un qui est de peu de mots, comme on dit, c'est pas quelqu'un de très bavard, mais il est All-Star.
01:58 Les Enix vont aller en play-off avec peut-être l'avantage du terrain.
02:01 Il est ultra régulier dans ses performances, c'est-à-dire que c'est une assurance touriste qu'aujourd'hui, Jalen Bronson,
02:07 on sait que quand il est là, les Enix vont sûrement faire quelque chose.
02:11 C'est un stabilisateur, c'est quelqu'un qui dégage une telle sérénité que moi,
02:16 je pense que les Enix vont pouvoir faire plein de choses un jour grâce à lui, en tout cas dans la Conférence Est.
02:21 Ils se sont bien installés et je pense que c'est la première étape de la progression qui n'est pas terminée pour ce joueur-là.
02:30 - Moi, Jalen Bronson, je le situe très haut, en tout cas sur la saison, parce que bien sûr, Luca Doncic, bien sûr.
02:39 Alors on ne va pas parler de Kyrie qui joue à un autre basket, Shea Gilles-Gouz, Jamal Murray, Drew Lydie à Boston.
02:49 Mais celui qui, à la limite, porte son équipe comme le fait Jalen Bronson en ce moment, c'est Tyrese Maxi, dans un autre registre, tout à fait.
02:58 Après, lui, c'est un pitbull, il le fait sur la saison, il est rarement blessé, il n'est pas grand, il est costaud comme tout.
03:04 Il a un jeu de gaucher, il remplit les cases de l'intensité demandée par Tom Tibodeau.
03:08 Il a un gros moteur, c'est valable pour Josh Hart et d'autres Onix, c'est un peu une caractéristique de cette équipe que d'avoir des gros moteurs.
03:16 Il est intense et puis il met dedans à trois points, il a un côté génial dans l'utilisation des appuis, il peut faire beaucoup de choses malgré sa petite taille, il a peur de rien.
03:27 Moi, c'est sur la saison, je le mets, et Dieu sait qu'il n'y a que quatre places, dans un des deux premiers All-Enemy, cinq.
03:35 Parce qu'il fait une meilleure saison que Curry, parce qu'il a plus d'influence que Jamal Murray, même si tu l'en fais faire un contre un, c'est une autre histoire.
03:43 Parce qu'il est à ce niveau d'excellence, et pour une équipe qui, oui, peut sans doute verrouiller une des quatre premières, mais la quatrième au deuxième tour, elle tombe sur l'hydre à multitêtes.
03:55 Donc à savoir Boston, aller pêcher la troisième aurait été sans doute l'ambition, s'il n'y avait pas cette vague de blessures.
04:05 - On va voir peut-être. - Quid du retour, il y a toujours une différence, même si les joueurs invitent et bien, et je parle de Randle et de Robinson.
04:15 - Il y a le Nobby aussi qui de nouveau a des soucis avec son coude. - Qui de nouveau est instable.
04:20 - Alors ça tire beaucoup sur les mêmes joueurs, mais quand t'as pas le choix, faut bien gagner le prochain match, ça c'est quand même la règle.
04:28 Donc oui, oui, parce que même si les joueurs reviennent bien, ils auront un petit coup de mou, et ça tombera dans une période où il faudrait au contraire monter en régime.
04:37 - Je pense que c'est le leader qui manquait aussi un peu à New York peut-être ?
04:40 - C'était ma prochaine question, ça fait combien de temps qu'on n'a pas vu un tel leader sous le maillot d'Enix ?
04:44 Parce que évidemment on pense tous à Carmel Anthony, mais Janet Brunson sur le parquet, il rassemble sûrement plus ses partenaires et ses coéquipiers que Mello à l'époque.
04:54 - Il y a un effet Villanova. - Oui, bien sûr, ça c'est une constante dans cette équipe depuis le début de la saison.
04:59 - C'est eux qui impriment le truc, Di Vincenzo, Josh Hart et... - Et ils ont apporté quelque chose, il y a une âme dans cette équipe, il se passe un truc quand même.
05:08 Il y a aussi la présence du père dans le staff de Thibodeau, qui est déjà beaucoup critiqué, Thibodeau, on peut dire ce qu'on veut,
05:15 mais moi je vois des coups de coaching, je vois des trucs. - McBride contre les Warriors.
05:22 - Voilà, tu diminues la taille contre les Warriors, à la limite c'est se moquer d'eux.
05:28 - Qu'est-ce qui manque à cette équipe de New York ? - D'être au complet, parce qu'on la verra peut-être.
05:32 - Est-ce que même au complet elle peut aller battre les Celtics ? - Pour moi elle vaudrait... Ah, battre les Celtics, ça c'est encore autre chose.
05:38 Mais elle est en finale de conférence, elle pourrait. Elle peut jouer Cleveland, à mon sens, elle peut jouer Miami, elle peut jouer toutes ses équipes poil à gratter.
05:46 - Déjà aujourd'hui je pense qu'elle peut jouer... - Oui, oui, elle joue mais elle n'a aucune marge. Elle n'a aucune marge, elle est sur le fil.
05:51 Elle est belle pour ça d'ailleurs. Moi, tu parles de leader, bien sûr, Melo, mais Melo ça a été un leader d'une période où déjà l'équipe avait été décapitée
06:01 avec le départ en masse de joueurs comme... Il y avait Mosgoff, Dallinari...
06:07 - En partie pour récupérer Melo, bien sûr. - Pour Melo, donc.
06:11 Moi j'irais plus avant, dans le lien qu'il y a entre cette équipe, ça ressemble presque à celle du début des années 2000,
06:21 qui avec Sprewell donnait cette impression de Houston et compagnie, la fin du Grand Pat, tout ce que tu veux, Marcus Cormie, voilà, tous ces mecs-là.
06:34 Il y avait quelque chose avec le Garden. Le Garden, cette année, il se régale. Quoi qu'il arrive, il se sera régalé.
06:39 Dans ce basket de gaucher... Parce qu'il aime le basket, le public du Garden, surtout quand c'est pas les matchs...
06:46 - C'est difficile, le public du Garden. - Quand c'est pas les matchs de vacances, de tourisme, parce que là, c'est devenu l'annexe des tours opérator, le Garden.
06:58 - Oui, mais bon, quand on va à New York... - C'est un développement magnifique, les gens ouvrent les yeux à un truc superbe,
07:05 mais pour les Knicks, c'est pas toujours facile à jouer. S'ils jouent les Warriors ou s'ils jouent les Lakers ce jour-là, ils auront la moitié de la salle contre eux.
07:13 - Voilà. - C'est ce que connaissent les Clippers, souvent, finalement, dans leur salle.
07:18 Mais voilà, Marie, t'as commencé à poser la question, qu'est-ce qui manque à cette équipe ?
07:21 Et moi, j'ai envie de vous demander, est-ce que Jalen Bronson, c'est un joueur, selon vous, en tant que leader, avec qui une franchise peut gagner le titre ?
07:29 Ou est-ce qu'il faut un joueur au moins aussi fort, voire plus fort à ses côtés, pour viser le titre ?
07:34 Je parle pas pour aller en finale de conférence. Est-ce que Jalen Bronson, c'est un leader sur qui on peut s'appuyer ? Est-ce que c'est un top 5 joueur de la Ligue ?
07:40 - Cette question, elle est venue comment ? - Bah, parce que je cherchais des questions et je cherchais à t'embêter, surtout.
07:45 Je vais te donner vite une réponse. Est-ce que Luca Doncic, qu'est-ce qu'il lui faut pour être champion ?
07:51 - On peut le dire avec plein de joueurs, il n'y en a qu'un. - On peut le dire avec plein de joueurs, mais c'est pour ça que je vous pose la question pour Jalen Bronson.
07:58 - Oui, il n'y en a qu'un. - Qu'est-ce qu'il faut à Jason Tatum pour être champion ?
08:01 Qu'est-ce qu'il faut à XYZ, à Heggyl Gouz pour être champion ? Qu'est-ce qu'il leur faut ?
08:07 On ne gagne pas tout seul à ce jeu-là. Et eux, dans le truc groupe, ils y sont.
08:14 Après, il faut le talent supérieur, mais tu ne le sais pas avant de l'avoir fait.
08:19 Dis-moi les mecs qui ont été aux finales NBA dans ce groupe.
08:24 - Joe Short ? - Joe Short, sans doute, oui.
08:27 - Il n'y en a pas beaucoup plus. - Divinchenzo, non ? Avec les Bucks ?
08:33 - Oui, vite fait. - Les Bucks, il était déjà parti. San Francisco, il est blessé.
08:41 C'est un joueur qui m'intrigue depuis l'université, depuis ce qu'il vit.
08:48 Il se réalise cette année, mais même si ses pourcentages ne sont pas bons.
08:51 Il va tirer la boue au record des vannes, à 3 points. Mais il ne devrait pas, enfin bref, on verra.
08:59 Il ne devrait pas le taper. - Et ce qui ne manque pas, du coup, c'est un poil de talent supplémentaire.
09:06 Quand il n'y a pas de blessés, est-ce qu'on peut gagner le titre avec Julius Randle en lieutenant de Bronson ?
09:11 - Moi, je pense que oui. - Tu penses que oui, d'accord.
09:15 - Maintenant, la bonne nouvelle, c'est que Pritchou a son choix à montrer des choses dans un autre giste qui sont hyper efficaces.
09:21 Donc, ça mettra la pression sur Randle quand il revient de blessure avec l'équipe à performer.
09:25 Sans toi, si tu n'es pas trop bête, tu vas t'adapter à ce que tu reçois en face de toi.
09:31 Et tu vas respecter ce qui a été fait. Et puis, si tu n'y arrives pas, il y a le pitbull à la bille à la guirou,
09:36 comme on disait hier avec Marie, qui va arriver, il va laisser la tondeuse à gazon au bord du truc,
09:42 et puis il va arriver et il va leur dire de mots. Voilà, si c'est la discipline, elle a l'air de régner dans cette équipe.
09:49 - Ouais, ouais, moi, c'est ça que je trouve fort. Malgré tout ce qu'ils ont vécu cette saison,
09:53 ils ont réussi à rester au même niveau. Ils ont quand même eu beaucoup d'ennuis, tous ces gars-là.
10:00 Donc, je trouve que quand même, il y a une stabilité qu'il n'y a pas toujours eue à New York.
10:04 Et je trouve que c'est souvent la stabilité, la sérénité qui permet aux équipes de bien terminer la saison régulière
10:10 et d'aborder les playoffs à la cool. Un peu comme les Pelicans.
10:14 Une certaine sérénité maintenant dans cette équipe, une stabilité. Ils jouent tous... Zayon joue plein de matchs, etc.
10:21 Donc, je trouve que c'est important et que le poids du coach, quand même, on n'en parle peut-être pas toujours assez.
10:28 Comme Tom Thibodeau, il a fait son taf comme il sait le faire, quoi.
10:32 - Il sait le faire, il y a quelque chose dans le groupe aussi, c'est très clair.
10:36 Un mec comme Mitchell Robinson, avant de se blesser, il était dominant.
10:39 Moi, j'en suis à me demander si Artenstein ne va pas aller aux Jeux olympiques, si M.Villier, il ne va pas.
10:45 Puis, il reste deux spots, je me dis, il leur faut des grands à 2'15 qui n'ont pas en masse à part Anthony Davis,
10:50 mais c'est un grand, un peu fluet.
10:53 Je pense qu'ils ne vont pas prendre un os comme Artenstein ou un 2'20 comme Holmgren.
10:58 J'en suis à penser ça. Donc, l'Artenstein, il fait une saison magnifique.
11:02 Et les mecs qui ne jouaient pas trop, Josh Hart, il fait des triple-doubles.
11:07 J'ai vu qu'il commence à se rapprocher de Michael Ray Richardson, puisque Michael a fait 7 là-bas et lui, il est à 4.
11:13 Voilà, mais c'est une équipe hyper sympa à avoir joué.
11:17 On peut me dire ce qu'on veut sur la simplicité des demandes de Thibaud Dau.
11:22 Bien faire les choses les plus simples, c'est un gage d'aller quand même un petit peu de loin dans la saison.
11:27 Et par contre, pour gagner, il y a des blue collars qui ont gagné.
11:33 L'année dernière, je te rappelle que Miami a été en finale,
11:37 qui, à ce moment de la saison, en fonction des talents dont tu me parles, prévoit qu'ils vont gagner l'Est.
11:43 - Franchement, il faut se méfier, je pense, quand même, de cette équipe.
11:45 - Ça va pas, les gens qui vont retrouver New York face à eux, les équipes, vont pas se dire "Ah trop cool, on a une bonne série".
11:52 - On parle de poids à gratter en play-off, New York, ça sera un gros poids à gratter.
11:55 - Mais oui, mais le truc, c'est qu'à l'Est, les Cavs, ça va être pas terrible non plus de les jouer.
12:00 Quand Donovan Mitchell va revenir, on va se dire...
12:03 Et puis quand Miami va sortir du bling, on va se dire "Ah mon Dieu, mais quelle horreur !"
12:08 - Voilà, le premier ou le deuxième, ils risquent de s'attraper Miami plein fer au premier tour.
12:13 S'ils font 7 ou 8...
12:15 - C'est tellement dense, en fait, c'est ça, il y a une véritable homogénéité, finalement, entre tout le monde.
12:20 Et puis il y a des équipes très fortes qui sont très basses, pour l'instant.
12:23 - Et qu'est-ce qui nous dit que la dynamique installée à Orlando, comme ça peut être le cas à l'Ouest,
12:28 est pas perturbée ? Orlando fait pratiquer complet, il y a beaucoup de joueurs.
12:34 Alors oui, il y a peut-être pas la superstar, même si Bankero peut porter cette pancage.
12:40 - Il le sera un jour, mais il ne l'est pas. Donc voilà, on est dans l'expectative pour tout le monde.
12:44 Sauf pour Boston, dont on va se souvenir rapidement, parce que tout le monde, à ce moment,
12:49 au moins le premier du Est, il devrait passer quand même, tu vois, tranquille.
12:54 Oui, ben voilà.
12:55 - Mais on parle de quoi ? Du premier tour au-delà de la demi-finale, après en finale de compétition ?
12:59 - Je te parle de gagner l'Est.
13:01 - Allez au bout de l'Est !
13:02 - On verra, on verra dans un match de play-off où il y a moins d'adresse en 3 points que le début de la saison,
13:07 moins de rythme, plus de pression, des mecs avec des défenses préparées, des répétitions match,
13:14 donc tout ça, c'est open bar.
13:15 - Mais Lennox, c'est peut-être aussi avec Boston et l'équipe qui a le plus de certitude dans son jeu,
13:20 dans ce qu'on dégage.
13:22 - Je trouve que les Cavs en ont pas mal quand même.
13:24 - Ah ouais, depuis le mois de janvier, je trouve que les Cavaliers, c'est une équipe bien construite,
13:29 il y a des gros joueurs, il y a des gens qui tiennent la baraque.
13:32 - Ils ont souvent meublé, ils ont souvent des blessés.
13:34 - Oui, comme Lennox.
13:36 - Différemment, Lennox a été sur de la longue durée, donc ils ont eu le temps de s'adapter et de créer autre chose.
13:42 Les Cavs, ils bricolent, là je vois Garland.
13:44 - Ils bricolaient en début de saison, ils re-bricolent en ce moment.
13:47 - Et puis il y a quand même un gros point d'interrogation à l'Est,
13:49 heureusement qu'ils ont pas de certitude parce qu'ils seraient quand même pas optimistes, ce sont les Bucks.
13:56 - Mais il y a un truc bizarre là-dedans.
13:59 - On en a déjà parlé pas mal de fois des Bucks, on a toujours pas vraiment à savoir quoi penser.
14:03 - Il y a un truc bizarre, c'est quand même que jouer avec Giannis c'est pas facile.
14:07 - Bah ouais. Oui mais c'est pas la première fois qu'on se dit ça quand même.
14:10 On s'était jamais posé la question.
14:13 - Bien sûr, bien sûr, parce que même si on avait vu à l'époque même des premiers tours de play-off,
14:18 ou deuxième, je crois, la demi-finale, c'était peut-être contre Orlando, ou je sais plus qui.
14:23 Brook Lopez en avait collé 33 en l'absence de Giannis, mais jouer à côté de stars, c'est un métier,
14:30 il faut faire abstraction de plein de choses que tu sais faire et te consacrer à d'autres.
14:35 Voilà, c'est ça l'histoire. Il faut qu'ils arrivent à trouver un équilibre.
14:38 Et que Giannis arrête de parler "on développe le jeu à deux" parce qu'il gagnera pas à deux.
14:43 - Ouais, il s'est perdu bien.
14:45 - Il gagnera pas à deux et il défendra pas à deux surtout.
14:49 - On passe à la conférence ouest avec une équipe un peu comme le Magic à l'Est,
14:55 qui monte de plus en plus en puissance et qu'on attendait peut-être pas aussi haut dans la conférence ouest.
15:02 C'est les Pelicans qui sont cinquièmes à l'ouest, qui se rapprochent de plus en plus des Clippers.
15:08 Pourquoi pas leur piquer l'avantage du terrain.
15:10 - Ils ont le même bilan.
15:11 - Ils ont le même bilan depuis cette nuit parce qu'ils ont gagné effectivement.
15:15 C'est quoi le bilan ? C'est 42-26 pour les Pelicans, 8-2 surtout sur les dix derniers matchs.
15:21 Et puis il y a cet homme, Zion Williamson, qui quand il joue, quand il est en forme,
15:26 quand il perd du poids, devient un joueur...
15:29 - Il paraît qu'il a perdu 10 kilos.
15:30 - 11 kilos, j'ai vu. 11,4 kilos.
15:32 - C'est quelle précision Nicolas !
15:34 - Depuis la NBA Cup, c'est depuis.
15:38 - Vous allez vous faire accuser de grossophobie.
15:40 - Non !
15:41 - Ça a déjà été notre cas, tous les deux.
15:44 Donc c'est très limite. Le débat c'est de dire "il a l'air mieux dans son corps, il a l'air fit".
15:50 - Moi je continue de dire "il a perdu 11 kilos donc ça lui fait du bien et il joue mieux".
15:54 - Il a perdu 4 ans aussi, à ce compte là.
15:57 - Quand on est sportif de haut niveau et qu'on joue à son poids de forme, à priori c'est mieux en NBA.
16:02 - Je suis d'accord avec toi.
16:04 - Oui, bien sûr.
16:05 - Je suis d'accord avec toi.
16:06 - Ah mais si, si ! Il y a des gens, tu peux... Oh là là !
16:10 - Bon, d'accord, on ne va pas développer.
16:13 Bon, alors, Zion Williamson, on parlait de Jalen Branson juste avant.
16:18 Zion Williamson, évidemment quand il est là, il transforme tout à New Orleans.
16:22 Et plus ça va, plus les Pelicans vont sûrement être le poil à gratter en play-off à l'Ost Marie.
16:29 - Là, on va le dire clairement. Oui !
16:32 - Oui, quand même. Et surtout avec l'effectif qui est autour de lui, les McCollum, les Ingram, les Valensunas,
16:36 String Murphy, Herb Jones, Willie Green.
16:38 - Moi je trouve qu'il fait un boulot incroyable ce garçon.
16:41 Qui a su quand même mettre un peu dans le droit chemin tous ces gars qui n'ont rien à voir entre eux au début.
16:48 Parce que Ingram, ça doit être quelque chose à gérer.
16:51 Zion, c'est un truc à gérer aussi.
16:52 Et McCollum, qui a eu des gros problèmes de santé.
16:55 Elle a des pneus motoraxe et tout ça.
16:56 Qui, je ne pense pas, ait le même état d'esprit que Zion Williamson et Brandon Ingram.
17:01 Mais Willie Green, il réussit quand même à ajuster ce puzzle avec beaucoup de réussite.
17:06 Et Zion Williamson a l'air d'être déterminé à bien faire son travail et à se donner les moyens de bien faire son travail.
17:13 Donc à perdre du poids, ce qui était important pour ne pas être blessé.
17:16 Et à s'attirer.
17:18 - Quatrième saison dans la ligue pour Zion Williamson.
17:22 - Alors, il a été drafté en 2019.
17:25 - 2019, point numéro 1.
17:27 - Ok, quatrième saison dans la ligue.
17:29 Il n'a toujours pas disputé l'équivalent de deux saisons.
17:32 C'est-à-dire 164 matchs.
17:34 Il est largement en dessous.
17:36 Il va cette année très probablement battre son record de match en une saison qui est à 61.
17:42 - Il en a fait 57.
17:44 57 de coups depuis cette nuit sur 68 matchs des Pelicans.
17:47 - D'accord.
17:48 Et il n'en avait jamais fait plus de 61.
17:50 Que de temps perdu.
17:52 Alors j'irai même plus loin.
17:54 Temps perdu à Duke.
17:56 Temps perdu depuis 5 ans.
17:58 On vit la vie d'un joueur depuis 5 ans avec frustration.
18:02 Cette année, c'est mieux.
18:05 Mais, tu sais que, il faut quand même parfois regarder des choses basiques.
18:11 Vous avez regardé ses stats ?
18:13 De base, les stats de base.
18:15 22-5, 5-5-5.
18:16 - De saison là.
18:17 - Ouais.
18:18 C'est faible.
18:19 - Oui, oui.
18:20 C'est sa pire saison.
18:21 Enfin, chiffre.
18:22 - C'est comme sa saison, Rookie.
18:23 C'est à quelques points, quasiment.
18:25 - Donc, c'est une renaissance.
18:27 Et bien, 5 ans.
18:28 Alors, je suis ravi de le voir comme ça.
18:30 Il est irrésistible à gauche.
18:32 Il est irrésistible sur transition.
18:34 Il est irrésistible sur certains endroits de boss-up.
18:36 - Près du cercle, il est.
18:37 - Près du cercle, il trouvera toujours quelque chose à faire et tout.
18:40 Il a trié son jeu.
18:42 Il ne prend quasiment plus aucun 3 points.
18:45 Alors qu'avant, il se perdrait à dribbler.
18:47 Alors qu'on sait tous qu'il va finir par arriver à gauche avec une force incroyable.
18:51 Ouais, il était temps.
18:53 Alors, quant au boulot de Willy Green, que j'apprécie,
18:55 qui a été l'assistant de mon petit Williams, qui est dans la douceur,
18:58 il a quand même eu la tête sur le billot pendant un moment.
19:01 On lui a mis comme adjoint collaborateur James Borigo,
19:07 qu'on aime ou qu'on n'aime pas,
19:09 mais qui a un passé qui est so-so.
19:12 Voilà, moi je trouve qu'au contraire, la chimie de groupe, elle est bonne.
19:15 Elle s'est faite presque sans lui.
19:17 Et lui, il y a collé depuis les vexations individuelles
19:19 de ne pas être All-Star, de ne pas ci, de ne pas ça.
19:22 Tu ne vas pas me dire qu'en 2 mois, un gonze qui perd 25 pounds,
19:25 il n'aurait pas pu le faire dans les 4 ans qui précédaient quand même.
19:28 Mais bon, il l'a fait.
19:30 Alors, s'il se remet à l'heure dans la tête, il peut être un des joueurs
19:33 les plus irrésistibles de la Ligue.
19:36 Mais il serait temps.
19:37 Bah oui, mais bon, il l'a fait.
19:39 Pour l'instant, on a l'impression qu'il le fait.
19:41 Mais dans la vie, quand même, il n'y a pas beaucoup.
19:43 Il faut vraiment être un talent surnaturel.
19:45 C'est le contre-exemple absolu.
19:47 Oui, mais je suis d'accord.
19:48 Alors, je ne dis pas qu'il faut le sanctionner à vie.
19:50 Je suis admiratif de ce qu'il fait.
19:52 Mais oh, si ça tenait qu'à ça,
19:54 il n'y a pas grand monde qui lui a expliqué,
19:56 à commencer par son coach, qu'il a failli se faire virer 15 fois
19:59 parce qu'il n'était pas opérationnel.
20:01 Oui, mais ce n'est pas le premier non plus à faire n'importe quoi
20:03 et à essayer de changer.
20:05 Aussi longtemps et un joueur aussi talentueux qu'on attend aussi haut.
20:08 Il était attendu comme victoire.
20:10 Je sais.
20:11 Dans l'impact.
20:12 Oui, oui, je sais.
20:13 C'était l'après Lebron.
20:15 Voilà, jusqu'ici, avec tout le respect que je dois aux joueurs ennemis en général,
20:19 un flop.
20:21 Oui, c'est vrai.
20:23 Et maintenant que les Pels qui surgissent au bon moment,
20:26 avec un vrai collectif qui s'est fait sans lui,
20:29 mais il est assez fort pour y coller.
20:31 Le coaching va matcher tout ça avec Mac Colum et José Alvarado,
20:36 avec des bons joueurs,
20:38 Legrand Jonas, Najee Marshall.
20:40 Ça joue et ça joue bien.
20:42 Herb Jones, Trey Murphy.
20:44 Il y a des sacrés joueurs.
20:47 Et bien sûr, Brandon Ingram,
20:49 on dit que c'est un peu un dépressif Ingram.
20:52 Mais globalement, c'est un attaquant comme on en a peu vu.
20:57 Tu peux le mettre nez à nez avec Kevin Durant.
20:59 Tu peux faire des trucs, il ne va pas tenir un moment.
21:03 Il fait des trucs, c'est un all-star.
21:05 Voilà.
21:06 Quant à Zayon, on est en attente de plein de choses.
21:11 Et tant qu'il est à 22,55...
21:13 Alors sur les sept derniers matchs, il est pas mal.
21:16 Il est mieux.
21:17 D'accord.
21:18 On ne juge pas un joueur du calibre de Zayon.
21:20 On verra.
21:22 Numéro 1 de draft, "generation player".
21:24 Tout ce qu'on veut d'une draft qui est relativement décevante d'ailleurs,
21:27 hormis si on va gratter en dessous.
21:29 Voilà.
21:31 Moi, Zayon, oui.
21:33 Les Pels, oui.
21:34 Je suis content de voir ça.
21:35 En plus, c'est une ville qui a besoin de basket,
21:37 parce que c'est une ville de foot et c'est dur pour eux là-bas d'installer...
21:41 Rivaliser avec les Saints.
21:42 Voilà.
21:43 Mais ils peuvent, oui, pouvoir la gratter.
21:47 De toute façon, à la conférence Est, c'est encore pire que l'Est.
21:50 Ça va être un porc-épique jusqu'à la dixième.
21:52 Ça va être l'enfer.
21:53 Même s'il faut finir premier ou deuxième finalement,
21:56 en sachant que tu vois ce qui arrive d'en bas.
21:58 Il vaut mieux avoir l'avantage du terrain en tout état.
22:01 Oui, c'est vrai.
22:02 C'est la base.
22:03 C'est quand même l'enfer.
22:04 D'Einberg, enfin...
22:05 Mais bon, peut-être que les Pels vont avoir l'avantage du terrain,
22:07 les Clippers s'ils ne sont pas bien en ce moment.
22:08 Au premier tour.
22:09 Mais on raisonne jusqu'à la finale.
22:11 Sans c'est une équipe, les Pelicans,
22:13 on voit ça sur le papier.
22:14 Moi, je pense qu'avec le calendrier...
22:15 Ça peut passer un tour.
22:16 Après, plus ça paraît...
22:18 Ça peut être dur à jouer.
22:19 Ça peut aller loin dans la série après.
22:21 Tu es dans le What If.
22:22 On ne sait pas.
22:24 Enfin, le What If s'est souvent passé.
22:26 Mais Zion, est-il capable de porter son équipe
22:30 et être MVP des finales ?
22:32 C'est ça.
22:33 Il y a un MVP des finales de conférences maintenant.
22:35 Est-ce qu'il peut être MVP de l'Ouest ?
22:39 C'est aussi simple que ça.
22:41 Ça va se résumer à ça, cette histoire.
22:44 Les mecs qui vont élever...
22:46 Jokic, il a montré qu'on avait des doutes.
22:48 Le Grand Toumou, la Panthère Rose...
22:50 Qu'est-ce qu'il va...
22:51 Il a montré.
22:52 Giannis, il l'a fait une fois.
22:54 Lillard, il ne l'a jamais fait.
22:55 Boston, il est arrivé plusieurs fois,
22:57 mais s'est évanoui.
22:59 Eh !
23:00 Eh !
23:01 Voilà.
23:02 C'est sûr qu'il y a...
23:03 David Booker, il a mené 2-0 aux finales NBA.
23:05 Pour l'instant, New Orleans ne joue pas dans la même catégorie que Denver.
23:09 Mais c'est vrai qu'entre le Thunder, Minnesota...
23:12 Il y a 3 ans, tu aurais dit ça.
23:13 Il y a 2 ans, tu n'aurais pas dit ça.
23:14 Les dernières, ils font le premier de conférence.
23:16 Denver avait plus de vécu collectif.
23:20 Il y avait des saisons...
23:21 Il est ressenti en MVP.
23:22 Il y avait MVP.
23:23 Et puis il y avait des saisons...
23:24 Il y avait plus de saisons au très haut niveau que les Pelicans.
23:26 Tu ne vas pas aux finales NBA.
23:28 Rarement.
23:29 Tu fais rarement un one-shot.
23:30 Miami, on est le contre-exemple,
23:32 même si on peut considérer Butler
23:34 sans une ou deux superstars.
23:36 Potentiellement avec Ingram et Zion, ils les ont.
23:40 Et ils remplissent beaucoup de cases autour.
23:43 Les tranches volatiles deviennent élégants, remplumés, magnifiques.
23:47 Les tranches volatiles vont faire de plus en plus peur.
23:50 On termine avec les meilleurs dunkers de match.
23:54 C'est là que tu voulais parler.
23:55 Les meilleurs dunkers sur l'homme, tu m'as dit.
23:57 Non, moi je vais dire, en ce moment, on voit Anthony Edwards
24:00 qui est monumental.
24:01 On a vu John Henson
24:04 qui en a déposé un.
24:06 La référence c'est Darrell Griffith
24:08 aux Universiades en 77.
24:11 Il y a des photos.
24:12 Pour ceux qui aiment ça.
24:14 Non, moi ce que je voulais dire, c'est qu'on en voit de plus en plus de magnifiques.
24:17 Paul George en son temps, LeBron.
24:20 On en déposait des monumentaux, sans parler de Sean Kemp
24:24 historiquement, qui est peut-être le plus violent de tout.
24:27 Je veux dire, le basket, il n'a pas été inventé il y a trois jours.
24:29 J'aimais bien Blake Griffin aussi.
24:31 Blake Griffin qui en était...
24:33 La saison Rocky de Blake Griffin.
24:35 C'est pas possible.
24:36 Là, c'est pas possible.
24:37 Je crois que c'est sur Mosgoff.
24:39 C'est sur Mosgoff ?
24:40 C'est sur celui de Mosgoff, oui.
24:41 Pas celui en LA ou pas en LA.
24:45 Et puis bien sûr, le plus absolu peut-être de tous
24:47 qui déposaient des horreurs, c'est le Shack.
24:50 Je crois qu'il faut se calmer.
24:53 On est, je sais, un week dunk de l'année.
24:55 On en a plusieurs par an, évidemment.
24:58 Il faut faire du clic, il faut faire des vues, Jacques.
25:00 Malheureusement.
25:01 Oui, mais il y a des gamins.
25:03 Il y a des gamins.
25:04 Il y a des tout petits.
25:05 Anthony Edwards, il n'est pas loin du dunk de l'année, Anthony Edwards.
25:08 Bien sûr, mais c'est parce que c'est le même jour.
25:12 Jalen Jensen, ce qu'il fait, c'est très fort aussi.
25:15 Et Jamoran, je ne sais pas, cette année,
25:18 alors qu'il a bien dû, avant de partir, en déposer un ou deux, si tu veux, à bien chercher.
25:21 L'instant fait oublier la réalité.
25:24 Il y a ceux qui restent dans l'histoire et que tu vois,
25:26 payer les vues, il y en a des violents dans les années 70, 80, 90,
25:30 90, 2000.
25:32 Anthony Edwards est un phénomène de foire de ce côté-là.
25:35 Il est petit, parce qu'il est petit.
25:37 Il n'est pas grand.
25:39 Il fait 1m95, 1m98, je ne sais plus.
25:42 Un petit 15.
25:44 Il est comme Rémi, il est à peine plus grand que moi.
25:48 Voilà.
25:49 Et d'ailleurs, il peut dunker sur la tête de Rémi.
25:51 L'inverse n'est pas vrai.
25:53 C'est à cause de ses genoux, c'est à cause des genoux de Rémi.
25:55 Jamoran, dans son registre, dépose des trucs inhumains.
25:58 Il y a plein de joueurs qui déposent des trucs inhumains.
26:01 Alors oui...
26:02 - 1m93, Anthony Edwards, pardon.
26:04 - Oui, donc ce qui veut dire avec les chaussures, il fait 90 le mec.
26:07 Et il va poser au milieu de tout le monde.
26:09 Et de face.
26:10 Alors oui, mais regardez Shun Kem qui est absolu,
26:13 regardez le Shaq, regardez le Brown John,
26:15 qui était quand même pas bon à prendre.
26:17 Et puis on ne va pas oublier les oppositions entre les Bulls et les Knicks.
26:20 Regardez ce que Pippen ou Jordan ont fait à Pat Uwing.
26:23 Regardez ce que John Stark a fait.
26:25 - J'allais parler de John Stark, oui.
26:27 - Et ça ce sont des dunks qui restent dans l'histoire.
26:29 Celui de John Collins, il reste de rester.
26:32 Il y sera.
26:33 Parce que je le trouve vraiment très très spécial.
26:35 C'est un sauteur en longueur qui fait 9 mètres.
26:39 - Il a des capacités physiques incroyables, John Collins.
26:43 - Et puis sur les dunks, il y a aussi qui fait le dunk et sur qui en fait.
26:47 Et John Collins, parce que John Collins il en a posé quelques-uns aussi.
26:50 - Oui mais ça reste John Collins.
26:51 - Janine Johnson, bon...
26:53 - Quand tu poses Thérèse Alonso-Morning ou Pat Uwing,
26:56 tu vois ça rehausse la note artistique.
26:58 Voilà, parce que quand tu poses Thérèse, toute la famille des Bulls,
27:02 tu restes plus dans l'imaginaire de John Collins.
27:05 Ouais, c'est un nom d'apéritif ça presque.
27:07 Donc...
27:08 - Bon, je crois qu'on a fait le tour.
27:13 Quelque chose à ajouter ou pas ?
27:16 Je vois qu'il reste quelques minutes.
27:18 - Qu'est-ce que tu veux qu'on ajoute ?
27:20 Il reste 14 matchs de saison régulière.
27:22 - 14 matchs, voilà, dans moins d'un mois on y est presque.
27:24 Là c'est la fin et après on va attaquer les gros morceaux.
27:27 - Les équipes qui ne vont pas faire les Play-Ins auront quand même
27:29 un petit moment pour se préparer en plus.
27:31 Ça va être important dans la...
27:33 Alors certes, quand tu sors des Play-Ins qualifiés,
27:35 t'es sur une dynamique, mais t'as eu ton risque de blessure et ton lot de fatigue.
27:39 Ou l'inverse d'ailleurs.
27:42 Mais ça va être intéressant les Play-Ins, c'est une belle invention.
27:46 Je constate que l'Euroleague s'est ajustée.
27:50 Et je me dis qu'en France, on devrait y penser aussi.
27:53 Parce que ça intéresse beaucoup, beaucoup, beaucoup d'équipes.
27:58 D'ailleurs en France, on réduit à 16.
28:00 Donc pour intéresser tout le monde, ce serait pas mal,
28:03 plutôt que, comme tu vas moins jouer dans l'année,
28:06 en tout cas les équipes qui ne font pas l'Europe,
28:09 ce serait pas mal de faire le Play-In aussi.
28:11 Voilà, tiens j'ai plaidé pour un truc, j'avais pas prévu.
28:14 - C'est une bonne idée.
28:15 - On lance le directeur.
28:16 - Il faut déjà avoir des idées, après on les dit.
28:19 - C'est déjà bien, bravo Jacques.
28:21 - Merci.
28:22 - Allez, on y va.
28:23 - Merci à Marie et merci à Jacques.
28:25 Merci à vous deux pour votre disponibilité, votre présence.
28:28 Et on se retrouve la semaine prochaine pour un nouveau numéro.
28:31 Ciao.
28:32 - Ciao, ciao.
28:34 Oh my goodness, oh my goodness.
28:36 Il faut l'enfermer.
28:37 C'est pas possible, c'est pas possible.
28:41 Sous-titrage Société Radio-Canada
28:45 [Musique]