Le PDS rejoint Amadou Ba - La réaction a chaud de Pape Djibril Fall

  • il y a 6 mois
Le PDS rejoint Amadou Ba - La réaction a chaud de Pape Djibril Fall
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00:00 Le parti démocratique sénégalais, vous savez que nous sommes tous malins, nous sommes tous malins. Nous avons tout ce que nous avons pour nous accueillir dans l'élection. Nous n'avons rien. Nous avons tout ce que nous avions pour nous accueillir. Aujourd'hui, nous allons soutenir Amadou Ba. Quelle est votre réaction à cela?
00:22 Déjà, je n'ai pas vu un communique officiel du parti démocratique sénégalais. Je l'ai entendu, mais je ne l'ai pas entendu. Donc, je vais attendre une communication officielle du parti démocratique sénégalais.
00:40 Donc, dans votre instance officielle, comme ça, demain, nous ne pouvons pas le prononcer. Mais je pense que, logique pour logique, le parti démocratique sénégalais peut nous soutenir Amadou Ba.
00:51 Pourquoi?
00:52 Parce qu'ils ont été témoins de la mort au Conseil constitutionnel. Je pense qu'on peut tout soutenir sauf l'inconséquence.
01:01 D'accord. Alors, je vous laisse avec les autres.
01:05 Alors, si c'est le cas, on va entrer dans le programme. Je sais qu'après, nous pourrons nous réunir pour la présentation.
01:12 La période est de deux semaines. Nous allons faire une campagne électorale. D'où une fois à Nouveau-Démarras, nous allons voter.
01:21 Alors, dans le programme, je dois parler de l'économie. Parce que l'économie est en colère au Sénégal.
01:26 Dans le programme, il y a un programme qui dit qu'il faut faire comme au Congo, on va produire plus que nous allons sortir.
01:36 Est-ce que cela nous donnera une économie introvertie?
01:40 Madame, vous avez dit cette économie extravertie. Parce que ce n'est pas ce que vous pliez ou fermez.
01:46 Vous savez, les étrangers ne vont pas venir au Sénégal. Alors, il y a des problèmes.
01:50 Alors, je vous remercie beaucoup, Fatou Abdou, pour la question que vous avez posée.
01:56 Je pense que cela doit être au cœur du débat politique.
01:59 Les choix économiques que nous faisons. Parce que nous avons tous les Sénégalais, depuis 64 ans, tous les choix économiques.
02:08 Il y a un chef de l'État qui dit qu'il ne sait pas de la développement. Il sait que nous devons manger de la nourriture avant de manger.
02:20 C'est l'autosuffisance.
02:22 Donc, la production, notre économie, déjà, il faut que forcément, nous renforcions notre secteur primaire.
02:29 Cela, je ne l'ai pas vu, je ne l'ai pas vu, je ne l'ai pas vu.
02:32 Mais, je pense que nous devons développer, nous devons venir au secteur primaire. Parce que ce qui se passe après, c'est très important.
02:38 C'est ce qui se passe. Il y a beaucoup de choses à gagner.
02:40 A gagner, il y a beaucoup de conséquences. Je vais vous dire trop plus tard.
02:44 Et je pense que c'est ce que le Sénégal a vécu ces dernières années.
02:48 Notamment avec la crise du Covid.
02:50 Avant qu'il ne revienne, nous avions une autre Covid.
02:53 Mais, le Covid est arrivé.
02:55 Et la guerre russo-ukrainienne nous a fait oublier notre urgence.
02:59 C'est notre priorité. Vous savez que nous devons le faire.
03:02 Et je pense que le vrai débat, c'est le développement de notre secteur primaire, dans sa globalité.
03:09 Et cela, nous ne pouvons pas le faire. Nous devons produire plus.
03:12 Si nous produisions plus, c'est tout de même.
03:14 Dans l'élevage, dans l'agriculture, dans la pêche, de manière très bien.
03:18 Après, nous allons ne pas sauter le secteur secondaire.
03:20 Nous allons aller dans la phase de l'industrialisation.
03:22 Parce que le Sénégal, il n'a vu que nous qui voulions sauter le secteur secondaire.
03:25 Nous allons faire ça avec régression. Je vais vous donner des exemples de ce débat.
03:29 Nous allons aller dans l'industrie.
03:32 Nous allons aller dans l'industrie. C'est pour cela que nous faisons le chômage.
03:35 Déjà, ici, tous les employés, non seulement ils ne peuvent pas travailler,
03:39 mais ils ne peuvent pas créer de la valeur, ils ne peuvent pas créer de l'emploi.
03:42 Parce que, aujourd'hui, je ne vous parle pas de l'industrialisation,
03:44 mais rien que le développement du secteur primaire,
03:46 ce secteur primaire, ce secteur primaire, avec tout ce que ça comporte comme métier.
03:51 Parce que l'agriculture, nous l'avons dit, et je ne vais pas vous laisser dire ce que je vais dire,
03:54 si nous parlons d'agriculture, il y a beaucoup de métiers.
03:56 L'agriculture moderne, je ne dis pas la paysannerie, c'est différent.
03:59 La paysannerie, c'est ce que nous faisons, c'est qu'on laisse manger, qu'on laisse dormir, qu'on laisse travailler.
04:03 C'est ça, la paysannerie, c'est ce qui se passe au Sénégal.
04:06 L'agriculture, c'est une vraie mécanisation,
04:09 il y a des ingrédients, même si c'est environnemental,
04:14 ici, on va le relativiser, mais en tout cas,
04:16 nous avons un système qui nous permettra de produire de la bonne qualité.
04:19 L'agriculture, elle a ce qu'on appelle les métiers de l'agriculture.
04:22 Vous savez qu'envers l'activité, il y a beaucoup de métiers.
04:27 Si nous les formalisons, nous pourrons déjà employer beaucoup.
04:30 Si on ne les formalise pas, nous n'aurons pas de place pour être un "bien-être".
04:34 Parce que nous savons que le bien-être,
04:36 moi, je ne suis pas là pour être un bien-être,
04:38 je ne suis pas là pour aller au bureau, je n'ai rien à offrir.
04:41 Au contraire, vous voyez pourquoi aujourd'hui,
04:43 le salon de l'agriculture de Paris,
04:45 qui est devenu une référence mondiale,
04:48 je ne suis pas venu pour d'autres choses.
04:49 Si vous regardez l'agriculture, le ministre de l'agriculture,
04:53 vous savez qu'il y a beaucoup de choses à faire.
04:57 C'est parce qu'ils ne sont pas là pour être dans la bureaucratie,
05:01 comme nous l'avons dit, mais ils ont un travail.
05:04 Ils font ça pour s'amuser, pour faire de la bonne chose.
05:06 Donc autour de l'agriculture, il y a énormément de métiers qui peuvent nous aider.
05:11 Parce que le Sénégal aujourd'hui, contrairement aux autres pays,
05:14 nous avons une très grande chance et nous devons en profiter.
05:17 Notre chance est de pouvoir aller à Ngozi,
05:20 qui est à l'extérieur de l'agriculture,
05:23 et de pouvoir aller à Ngozi, où je suis allé.
05:26 Un jeune, si Dieu le veut,
05:30 peut venir ici et faire de la bonne chose.
05:33 Vous savez ce que c'est notre activité ?
05:34 Je vous le dis, si on a un problème,
05:37 il peut venir ici, dans la maison,
05:39 pour nous surveiller, pour nous aider.
05:42 C'est notre activité.
05:44 Donc après, quand la période de Ngozi est terminée,
05:48 nous n'avons plus aucune activité à faire.
05:50 Donc on va arrêter de manger, de boire, de boire, de boire.
05:54 Et vous aussi, vous ne pouvez pas boire correctement,
05:56 parce qu'aujourd'hui, l'insuffisance,
05:59 l'insécurité alimentaire qui est dans la maison,
06:02 est plus forte.
06:03 Mais c'est ce que vous dites.
06:04 Je vais juste me calmer.
06:06 Pour qu'on puisse comprendre.
06:08 Je vais répondre à cette question.
06:10 Donc l'insécurité alimentaire qui est dans la maison,
06:15 est plus forte.
06:16 Elle vit de plus en plus dur.
06:17 Si le Nord commençait tout de suite,
06:20 si on ne les soutenait pas,
06:22 on ne pourrait pas vivre correctement.
06:24 Et tout ce qui est en train de se produire,
06:27 tout ce qui est en train de se produire,
06:28 c'est ce qui est en train de se produire.
06:30 Donc, si on développe cette agriculture,
06:34 si on la finance,
06:37 si on la mécanise,
06:39 si on la produit suffisamment,
06:41 on ne pourra plus vivre correctement.
06:43 Parce que l'agriculture coûte 1 300 000 tonnes par an.
06:48 Si on prend le blé,
06:51 238 milliards par an.
06:53 Le blé.
06:54 Tu vois, depuis la guerre russo-ukraine,
06:56 il y a eu des combats entre Russie et Ukraine,
07:01 pour pouvoir faire des choses qui pourraient aider.
07:04 Comme beaucoup de pays,
07:06 on peut le faire.
07:07 Alors qu'au moment où il y a des combats,
07:09 il y a des soucis,
07:10 je vais parler de la réforme foncière,
07:12 pour qu'elle nous permette quand même.
07:13 Dans le cadre de la période de la Dissidé,
07:15 on a mis en place un accord de trois mois.
07:17 Et pendant 365 jours,
07:19 on a eu ce qu'on peut faire
07:21 pour qu'on mette en place un accord de six mois,
07:22 sept mois, huit mois.
07:23 Depuis que je suis allé à Kauk,
07:25 le fils de la femme qui a été élevée,
07:27 c'est lui qui est invité aujourd'hui.
07:28 Donc, on sait que dans Kauk,
07:29 on a fait un accord.
07:32 Toutes les règles sont dans les règles.
07:34 Je veux juste vous dire,
07:37 je vous dis que le Sénégal est heureusement
07:39 qu'il y a eu une réforme foncière.
07:40 Parce que si on n'avait pas eu Dieu,
07:41 on n'aurait rien fait.
07:43 Parce qu'aujourd'hui,
07:44 quand vous allez au Sénégal,
07:46 vous verrez un monde qui ne finit pas,
07:48 mais on n'a rien fait.
07:49 Alors que si vous avez une option sérieuse
07:52 pour l'agriculture,
07:54 mais que vous n'avez pas le temps de venir
07:56 pour que vous arrêtez,
07:57 parce que vous avez des soucis,
07:59 il vous reste seulement une chose,
08:01 c'est toute la technologie nécessaire
08:02 pour que vous sortiez de ce monde.
08:04 Il y a un système de maîtrise de l'eau
08:06 qui vous permettra de laisser le nord
08:08 et de laisser le nord.
08:10 Donc vraiment, sur l'agriculture,
08:12 je souhaite,
08:14 et c'est ce qui est au coeur de notre programme,
08:16 la souveraineté.
08:17 Il faut d'abord qu'on ait la souveraineté.
08:18 Maintenant, sur les questions,
08:20 liées au type d'économie
08:22 qu'on a, extraverti, introverti,
08:25 - Vous avez tous dit que c'est la commune,
08:27 c'est là qu'on doit se mettre.
08:28 - Vous êtes des gens qui font du savantisme.
08:31 Et l'intellectualisme, vous le savez,
08:33 n'a pas de sens par rapport à
08:35 ce que vous savez,
08:37 pendant 64 ans,
08:39 nous n'avons pas entendu parler de ça.
08:41 Nous n'avons pas entendu parler de ça.
08:43 Nous n'avons pas de courant,
08:44 nous n'avons pas de raison d'être heureux,
08:45 nous n'avons pas de raison d'être enceintes,
08:47 nous n'avons pas de raison d'être correctes.
08:49 correctement.

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