«Présidentielle 2024, possibilité de 2nd Tour» Kader tacle l'opposition il faut ñu bayi manipulé bi
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00:00 Il y a un moment où il y a eu une élection à deux tours. Il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, et qu'il y a 25 jours après l'élection, on va se dire que c'est le bon choix.
00:28 Donc, il y a un moment où il y a eu une élection à deux tours. Il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, et qu'il y a 25 jours après l'élection, on va se dire que c'est le bon choix. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, on va se dire que c'est le bon choix.
00:38 Donc, il y a un moment où il y a eu une élection à deux tours. Il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, on va se dire que c'est le bon choix.
00:56 Donc, il y a un moment où il y a eu une élection à deux tours. Il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, on va se dire que c'est le bon choix.
01:14 Donc, il y a un moment où il y a eu une élection à deux tours. Il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, on va se dire que c'est le bon choix.
01:34 Donc, il y a un moment où il y a eu une élection à deux tours. Il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, on va se dire que c'est le bon choix.
01:54 Donc, il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, on va se dire que c'est le bon choix.
02:08 Donc, il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, on va se dire que c'est le bon choix.
02:30 Donc, il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, on va se dire que c'est le bon choix.
02:58 Donc, il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, on va se dire que c'est le bon choix.
03:04 Donc, il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, on va se dire que c'est le bon choix.
03:10 Donc, il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, on va se dire que c'est le bon choix.
03:20 Donc, il faut prendre le risque. Si on se retrouve avec des gens qui sont en train de se battre, on va se dire que c'est le bon choix.
03:34 Donc, le Parti démocratique sénégalais est un parti qui a un mouvement de confiance et qui a fait des preuves pour que nous puissions nous mettre en place.
03:52 On voit que les gens sont très courtisés. Est-ce qu'on peut dire que les gens sont des arbitres dans les élections qui vont se passer dimanche?
04:00 Je ne peux pas en dire. Je vous ai déjà dit que nous serions là dimanche.
04:06 Je pense qu'il y a un rapprochement entre le Parti démocratique et le Parti socialiste.
04:12 C'est vrai que vous l'avez dit.
04:14 Je pense que le Parti socialiste a un premier tour et un deuxième tour. Surtout dans le cadre du second tour, qui est le plus envisageable par rapport à son sondage.
04:28 Je pense que si le Parti socialiste veut faire une jonction, il faut y penser.
04:34 C'est très clair. Depuis 2019, nous avons eu deux élections présidentielles. Nous avons eu des candidats.
04:44 Tout le monde sait que les élections présidentielles doivent se faire, surtout pour un parti traditionnel comme le Parti démocratique.
04:50 C'est un moment fort de remobilisation, de conquête de territoire. Il faut profiter pour avoir des électeurs qui vont se faire.
05:04 Il faut aussi faire des démarches.
05:08 Si un parti a eu deux élections présidentielles, cela peut avoir une incidence sur l'électorat.
05:15 Peut-être que nous avons une chance, parce que c'est peut-être le maître Abou Laïwad qui est là.
05:22 Peut-être que ce qu'il a fait, et ce qu'on a voulu jusqu'à présent, tant qu'il est là, peut-être qu'on ne l'aura pas.
05:29 C'est pourquoi, si un autre parti avait eu des élections, nous aurions eu plus de chances.
05:36 Donc, aujourd'hui, nous avons préparé cette élection. Malheureusement, nous avons retenu le candidat.
05:43 Nous devons voir si nous pouvons l'appeler. Contrairement à 2019, où ils avaient choisi de ne pas soutenir de candidats.
05:53 Parce que, on se rappelle que le président Watt avait déjà fait les jeux.
06:00 Si vous allez aussi, vous allez gagner. Donc, finalement, nous ne l'avons pas appelé.
06:05 Mais peut-être que, dans ces deux situations, nous avons senti que le PDS est plus présent.
06:13 Surtout dans le processus, parce que, vous voyez, les initiatives que nous avons reçues après que le Conseil Constitutionnel ait écarté leur candidat.
06:21 Nous sommes au-devant de la scène. Nous avons presque dicté ce que vous savez, c'est le temps.
06:27 Nous avons dit que, si nous avons dit que nous ne pourrions plus avoir de candidats, je pense que Karim Watt a fait des postures pour dire qu'il a parlé, qu'il a appris la langue avec beaucoup de candidats.
06:39 Donc, je pense que, peut-être, il a pensé que ce n'était pas gratuit.
06:47 La précision.
06:48 Oui, la précision. Parce que, si vous avez beaucoup de candidats, c'est aussi significatif.
06:54 Mais, aujourd'hui, ce que nous avons vu aussi, c'est qu'au niveau de la base, nous savons que nous ne l'avons pas.
07:00 Ils sont en train, eux, de prendre leurs responsabilités pour s'aligner, soit à gauche ou à droite.
07:06 C'est un autre problème, parce que, si nous avons fait une erreur, en donnant une consigne de vote, ils risquent peut-être, voilà, qu'ils soient des gens qui ne veulent pas,
07:18 ou quelqu'un qui regarde ce qu'il arrange, et je pense que ce n'est pas souhaitable.
07:23 Ce qui est important, c'est qu'ils soient entre responsables, qu'ils regardent ce qui existe, qu'ils l'analysent par rapport à leurs convictions, pour déterminer une direction à prendre.
07:33 C'est la même chose aussi pour Gomsobop, que vous savez qu'on attend beaucoup, finalement, de savoir où ils vont.
07:42 Ce que je veux dire, c'est que ce que j'ai appris, c'est qu'ils peuvent donner le pouvoir, parce que nous avons clairement dit que,
07:50 quand nous allons faire recours au PDS, communiquer, c'est finir avec le régime actuel.
07:58 Donc, pour ça, ils ont redit leur ancrage dans l'opposition.
08:03 Maintenant, dans l'opposition, il y a plusieurs candidats de l'opposition.
08:09 Mais il y a un devoir qu'il faut faire.