Promotion de l'entreprenariat féminin - Malick Gackou "Damay créer banque des femmes"
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00:00 simplement pour de soutien à l'entrepreneuriat féminin.
00:03 Ça va se passer comment ? Parce que l'accès au financement,
00:06 on va dire que pour les femmes, ça pose problème.
00:08 On peut pas faire ça quand on va à l'élection,
00:11 quand on va parler aux femmes, elles ont des problèmes pour accéder au financement.
00:14 Comment tu vas faire ça ?
00:16 Tu sais, si tu vois que je crée une banque nationale
00:21 qui va topoter uniquement la promotion de l'entrepreneuriat féminin,
00:24 c'est une manière de dire que c'est pour entraver tous ces problèmes que tu parles,
00:28 parce que les femmes ont des problèmes d'accès au financement,
00:31 des problèmes d'autonomisation, des problèmes d'accès au crédit, etc.
00:34 Tout ça, ce qu'on appelle, c'est la manque de garantie.
00:37 Donc, la banque, c'est une banque des femmes.
00:40 La banque, c'est une banque où les femmes travaillent,
00:43 elles travaillent, elles travaillent.
00:45 Donc, si tu vois les pays,
00:48 moi, je suis un garçon,
00:49 c'est un mariage, c'est un enfant,
00:52 moi, je suis un garçon, sinon je serais un garçon,
00:53 je serais un garçon, je serais un garçon,
00:54 et si tu vois que ce n'est pas un garçon,
00:57 il y a des gens qui ne sont pas d'accord,
00:59 ils peuvent aller chercher un autre.
01:00 Donc, je pense que les femmes, si elles veulent aller,
01:03 c'est la raison pour laquelle je vais mettre en place une banque nationale
01:05 pour la promotion de l'entrepreneuriat féminin
01:07 de 100 milliards qui va garantir la promotion du développement de notre travail.
01:11 - C'est à l'heure, les fatigues vont entrer dans les femmes,
01:14 tu vas entrer dans les femmes,
01:16 et ça, ça va entrer dans la santé.
01:18 C'est un problème aujourd'hui au Sénégal,
01:19 surtout les infrastructures sanitaires,
01:22 dans le programme, où tu vas fêter et qu'est-ce que tu vas faire ?
01:26 - Tu sais, quand je dis "cinq", c'est parce que dans mon programme,
01:29 en dehors de l'industrialisation,
01:31 tu sais, je dois porter le développement économique,
01:33 je prends en compte immédiatement l'éducation et la santé.
01:38 C'est pour ça que je suis venu dans l'éducation.
01:40 Tu vois, Gégevê, je suis allé au Sénégal,
01:43 je travaillais, au lycée du Mamoulaye,
01:46 je suis le parrain du lycée du Mamoulaye,
01:49 pratiquement chaque année, j'aide le lycée du Mamoulaye.
01:52 Ensuite, je me suis créé un prix pour le lycée du Mamoulaye.
01:56 Pourquoi ? Parce que quand j'ai eu mon baccalauréat,
01:58 j'avais un an de chômage, pourquoi ?
02:00 Parce qu'il n'y avait pas la capacité d'aller à l'ambassade de France
02:04 et de payer les frais pour avoir une bourse étrangère.
02:07 Donc ce prix-là, le lycée du Mamoulaye,
02:09 il va permettre aux enfants de se faire un bac,
02:10 une mention, pour qu'ils puissent venir ici
02:13 pour avoir une bourse étrangère.
02:15 Et ensuite, mon département, le département de Gégevê,
02:19 tout le département sénégalais,
02:21 il y a eu un problème d'écolarisation des filles.
02:24 Je suis le parrain de la scolarité départementale de Gégevê.
02:29 Donc, l'éducation, je l'ai appris, je l'ai maîtrisée,
02:32 c'est la raison pour laquelle il n'y a pas de loi qui me permet de...
02:35 C'est le secteur du Sénégal, l'éducation.
02:37 Je ne sais pas pourquoi ils ont arrêté les syndicats de l'éducation.
02:42 D'ailleurs, c'est ce qu'ils ont mis en avant,
02:43 parce qu'ils ont toujours, dans leur édition,
02:45 un secteur qui prévient ou qui fait des candidats
02:48 pour qu'ils soient présidents de l'APU, qu'ils arrêtent les syndicats.
02:51 Le secteur de l'éducation est là-bas.
02:53 Et au-delà, ce que vous faites avec Gégevê,
02:56 avec les lycées, il y a des problèmes.
02:58 Mais de façon générale,
03:00 est-ce que vous savez que le système éducatif
03:04 est un problème national ?
03:06 Vous savez que le problème éducation national
03:10 est important parce que
03:12 c'est l'éducation qui est la base de l'avenir.
03:14 Absolument.
03:15 Parce qu'il faut qu'on fasse des enfants.
03:17 Et d'ailleurs, j'ai profité de l'occasion
03:19 pour rendre un hommage vibrant aux enseignants.
03:21 Sans qui, nous ne sommes rien du tout.
03:23 C'est pourquoi d'ailleurs, il faut mettre l'enseignant au cœur
03:25 de la politique sociale d'un gouvernement.
03:28 Parce qu'enseignant, quand il est à l'aise,
03:30 les enfants doivent être à l'aise.
03:32 Et ensuite, on sait qu'au Sénégal,
03:34 les enfants doivent se battre même sur des abris provisoires.
03:36 Aujourd'hui, au Sénégal, il y a 8 000 abris provisoires.
03:38 En 2024 ?
03:40 8 000 abris provisoires.
03:42 8 000 abris provisoires.
03:44 Ah ouais.
03:46 C'est inadmissible.
03:48 Ensuite, on sait que
03:50 au-delà des abris provisoires,
03:52 il y a seulement 4 000.
03:54 C'est 8 000.
03:56 Non, selon les chiffres du gouvernement.
03:58 D'ailleurs, je vais me battre dans ce débat.
04:00 Je vais voir l'économie.
04:02 Mais quand même, selon les chiffres du gouvernement, il y a 7 000.
04:04 Mais je sais que le gouvernement n'a pas ces chiffres.
04:06 Il y a seulement 9,7 millions.
04:08 Mais même s'il y a 1 000 abris provisoires,
04:10 même s'il y en a 100, c'est inadmissible.
04:12 Alors que, si vous voulez savoir ce qui nous arrive,
04:14 c'est que je vais me battre.
04:16 D'ailleurs, je veux vous dire quelque chose.
04:18 Vous savez, dans mon programme,
04:20 je dis que
04:22 si on prend tout l'argent du Sénégal,
04:24 on va le donner aux Sénégalais.
04:26 Le Sénégal a toujours des abris provisoires.
04:28 Donc, si on laisse les gens
04:30 qui sont en train de se battre pour l'argent du Sénégal,
04:32 c'est un loup à l'argent du Sénégal.
04:34 Dans l'État, je dirais que
04:36 le pays a des pauvres citoyens.
04:38 Donc, le Sénégal a des pauvres citoyens.
04:40 Vous savez, je dis que
04:42 dans mon programme, je veux dire
04:44 que j'ai deux aspects que je veux vous dire.
04:46 Le premier, c'est que
04:48 on a des pauvres. Parce que
04:50 quand je parle au Sénégal,
04:52 je dis que c'est une bonne industrialisation,
04:54 une bonne économie,
04:56 une bonne lutte contre le chômage,
04:58 mais il y a des gens qui sont en train de se battre
05:00 pour les pauvres.
05:02 Les pauvres, les pauvres, les pauvres.
05:04 C'est pourquoi, dans mon camp
05:06 électoral, je vous le dis,
05:08 je suis en train de me battre pour les pauvres.
05:10 Je suis en train de me battre pour les pauvres.
05:12 Je suis en train de me battre pour les pauvres.
05:14 Je suis en train de me battre pour les pauvres.
05:16 Parce que le Sénégal est en train de se battre pour les pauvres.
05:18 C'est vrai. Le Sénégal est en train de se battre pour les pauvres.
05:20 C'est vrai. Le chèque est cher.
05:22 Les déchets sont chers. Tout est cher.
05:24 Le sucre est cher. Le Sénégal est en train de se battre pour les pauvres.
05:26 C'est vrai. C'est pour ça que,
05:28 avant que rien ne se passe,
05:30 le 24 mars, il me fallait que je sois en Rium,
05:32 je vais prendre 4 000 milliards, vous savez,
05:34 je vais les prendre au Sénégal.
05:36 4 000 milliards.
05:38 Tu budget 7 000 milliards.
05:40 Oui.
05:42 Je vais mettre ça de côté parce que
05:44 je vais être en train de gagner du budget.
05:46 Le budget de 7 000 milliards,
05:48 le gouvernement est là-bas,
05:50 le gouvernement de Macky Sall,
05:52 il dit que le budget est de 7 000 milliards, etc.
05:54 Le Côte d'Ivoire
05:56 est à côté.
05:58 Le Côte d'Ivoire est à côté du Sénégal.
06:00 Il est en train de se battre pour les pauvres.
06:02 Dans notre zone, etc.
06:04 Le Côte d'Ivoire,
06:06 les pauvres, ils sont à peu près
06:08 28 millions.
06:10 Au Sénégal, on est à peu près 18 millions.
06:12 Le budget Côte d'Ivoire, 14 000 milliards.
06:14 14 000 milliards,
06:18 c'est le budget Côte d'Ivoire.
06:20 Et dans le pays, vous avez entendu,
06:22 on parle tous les jours, 7 000 milliards, etc.
06:24 Et ces 7 000 milliards, ils sont là-bas.
06:26 C'est les chiffres. Maintenant,
06:28 dans le programme d'urgence,
06:30 si vous voyez les candidats,
06:32 il y a une différence.
06:34 C'est bien beau que vous industrialisez.
06:36 C'est bien beau que vous faites ça, que vous gagnez.
06:38 Mais vous gagnez, ça peut prendre des années.
06:40 C'est vrai.
06:42 Mais les Sénégalais, ils ne vont pas attendre
06:44 des années pour aller se nourrir,
06:46 manger, dormir, se reposer,
06:48 se faire laver, se faire laver les enfants.
06:50 Mais pas d'autres détats.
06:52 Est-ce qu'il y en a d'autres? Parce que déjà,
06:54 beaucoup de détats sont en détail au Sénégal.
06:56 Je vais vous montrer.
06:58 Sur 4 000 milliards, il n'y a pas un drame qui est en détail.
07:00 Je vais vous dire, je vais vous dire.
07:02 4 000 milliards, il n'y a pas de problème.
07:04 4 000 milliards, il n'y a pas de problème.
07:06 Régler d'abord la problématique
07:08 de la chèreté de la vie.
07:10 Ensuite, l'occasion, il faut nous la donner.
07:12 De moitié au moins.
07:14 Maintenant, si vous voulez, même me subventionner,
07:16 je vais vous subventionner.
07:18 4 000 milliards, il ne faut pas le prendre.
07:20 Mais, vous savez, au Sénégal, la lutte
07:22 contre la corruption, c'est-à-dire que tant
07:24 que vous avez arrêté, vous savez au Sénégal, il y a
07:26 10 000 milliards
07:28 d'évasion fiscale par année presque.
07:30 C'est-à-dire,
07:32 pas une évasion fiscale dans le sens
07:34 de la fiscalité, mais
07:36 l'initialité d'exonération
07:38 aux multinationales
07:40 à peine 2 000 milliards.
07:42 Mais j'aime être référent à ces exonérations
07:44 parce que multinationales, ils sont venus ici,
07:46 ils ont travaillé sur nos soufs, ils ont fait
07:48 des bénéfices de 200-300 milliards
07:50 et après, je leur ai dit d'exonérer, ils ont payé l'impôt.
07:52 Très bien.
07:54 C'est inadmissible. Ensuite,
07:56 c'est-à-dire que
07:58 Madame,
08:00 je ne suis pas
08:02 président de l'Armée,
08:04 non seulement
08:06 mais j'ai créé un programme
08:08 pour les
08:10 les
08:12 les
08:14 les programmes
08:16 pour les
08:18 depuis l'indépendance
08:20 du Sénégal
08:22 du Sénégal
08:24 du Sénégal
08:26 qui que tu puisses être
08:28 et pourtant
08:30 selon les statistiques
08:32 je suis économiste, je travaille toujours
08:34 sur les statistiques, il y a au moins plus de
08:36 30 000 milliards qui ont été détruits depuis l'indépendance
08:38 30 000 milliards
08:40 de France Informe. Il y a moyen de prendre pour Pod Nangopop?
08:42 Maintenant, mais c'est très simple.