Bertrand Deckers : «Elle se protégeait des regards pour tenter de vivre ses premières semaines dans l’intimité la plus complète»

  • il y a 6 mois
Le chroniqueur royal, Bertrand Deckers, revient sur la maladie de Kate Middleton : «Elle se protégeait des regards pour tenter de vivre ses premières semaines dans l’intimité la plus complète».

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00:00 Et on ne comprend pas ce qui s'est passé. Honnêtement, même nous, en tant que spécialiste,
00:03 on a du mal à expliquer le fait qu'une photo a été retouchée à trois reprises,
00:06 qu'il y a douze poids qui posent vraiment problème.
00:08 On se demande pourquoi l'entourage n'a pas osé dire quand même au couple, il va y avoir un problème.
00:13 Bref, on sait maintenant que tout compte fait, c'était la volonté de la princesse de tenter de paraître au maximum normale,
00:20 puisqu'on voit quand même qu'elle est fortement amégrée tout de même.
00:23 Et que voilà, si elle avait réalisé un cliché sans le retoucher,
00:28 probablement que déjà on aurait eu des pistes.
00:31 Alors on la disait mourante, on la disait même morte, déjà il y avait des bruits incroyables qui circulaient.
00:37 On sait maintenant qu'elle se protégeait des regards pour tenter au maximum, je pense,
00:41 de vivre ses premières semaines dans l'intimité la plus complète et dans la cellule familiale.
00:46 Et c'est ce qu'elle demande aujourd'hui, puisque le palais de Kensington a indiqué qu'il ne divulguera pas le type de cancer,
00:53 ajoutant que la princesse a droit aux secrets médicaux comme nous tous.
00:57 C'est cette phrase qui est intéressante également, comme nous tous.
01:00 Ce n'est pas une famille comme une autre, c'est la famille royale.
01:03 Et je pense aux téléspectateurs qui nous regardent et qui se disent que depuis des semaines,
01:08 on essaye de comprendre, de rentrer dans l'intimité d'une famille qui vit une épreuve.
01:13 On ne connaît pas le degré de gravité du cancer.
01:17 Maintenant, la médecine fait qu'aujourd'hui, on guérit bien mieux de ces maladies-là qu'il y a 20, 30 ou 40 ans.
01:25 Donc il peut y avoir aussi un manque de pudeur, une forme d'indécence que de rester les yeux rivés sur ce palais,
01:32 sur l'état de santé de Kate Middleton.
01:34 Mais c'est la famille royale, c'est une famille hors du temps en quelque sorte.
01:42 Oui, oui, oui. En Angleterre, je rappelle quand même qu'ils sont tous les jours quasiment en une d'un tableau huit.
01:48 C'est rarissime quand il n'y a pas un jour où il n'y a pas rien fait sur la famille royale.
01:52 Donc c'est vraiment une onde de choc là pour l'instant qui va s'écouler sur le Royaume-Uni,
01:57 puisqu'ils connaissent mieux Kate Middleton très souvent que leur propre frère ou soeur.
02:01 Il faut quand même le savoir. Ils ont vraiment l'impression que les membres de la famille royale font partie de leur même famille.
02:06 Toute petite parenthèse peut-être pour vous dire aussi, je ne peux m'empêcher moi de me dire,
02:09 en tant que spécialiste royale, il y aurait presque une malédiction des princesses de Galles.
02:13 La précédente, c'était Diana. Ça a très, très mal fini. Là, maintenant, à 42 ans, un cancer.
02:18 Vous le disiez, elle est mère de jeunes enfants. Voilà, c'est très, très, très interpellant.
02:21 Elle est vraiment le numéro un en matière de popularité chez les Windsor, Kate Middleton.
02:25 Les Anglais l'adorent.
02:26 [Musique]
02:30 [SILENCE]

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