TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
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00:00 En 15e position, c'est le salaire mensuel brut, Gilles Verdez.
00:04 - Oui, absolument.
00:05 - Donc voilà, vous enlevez en arrière les impôts, les charges, etc.
00:08 Donc Bradley Barcola, du PSG, sachez d'ailleurs que dans les 10 premiers, par exemple, il n'y a que des joueurs du PSG.
00:16 - Hein ?
00:17 - Voilà, les 10 salariés.
00:18 - Ils l'ont fait quand même, c'est fort.
00:20 - C'est énorme ce que vous avez fait là, les gars.
00:22 - Oui.
00:23 - Pas mal, parce que là, l'infographie, comment ça nous a coûté cette connerie-là ?
00:27 [Rires]
00:29 - Parce que je veux bien qu'il se gave, hein ?
00:32 Je veux bien qu'il se gave et que ce soit pas sur mon dos non plus.
00:35 OK, les gars ?
00:36 Hein, voilà. Non, mais je vous le dis.
00:37 Donc Bradley Barcola, Barcolalic, 550 000 €.
00:42 - Non, mais...
00:43 - Par mois ?
00:44 - Par mois.
00:45 - Brut, par mois.
00:46 - Brut, 550 000 € bruts par mois.
00:48 - Et David est explosé, en plus.
00:49 - Oui.
00:50 - Sans les primes.
00:51 - Oui, c'est ça.
00:52 - C'est impossible.
00:53 - Taylor Navas, le 2e gardien du PSG, qui vendait sa voiture, d'ailleurs.
00:57 - Ah.
00:58 - Il vendait une voiture.
00:59 - Il coûtait cher ou pas ?
01:00 - Bah, c'était pas du tout...
01:01 - Cher, oui.
01:02 - OK.
01:03 - Il vendait une voiture qui commençait par un B et finissait par un T.
01:06 - Quoi ?
01:07 [Rires]
01:09 - Elle commençait par un B, la voiture, finissait par un T.
01:11 - Ouais.
01:12 - Et comment vous savez ?
01:13 - Noir, euh...
01:14 Noir, pas mal.
01:15 Noir, intérieur noir.
01:16 - Peu de kilomètres au compteur, je sais pas.
01:17 - Ouais, ouais, ouais.
01:18 - Vous êtes positionné ?
01:19 - Non, mais on me l'a proposé.
01:20 - Ah, ouais ?
01:21 - Ah, ouais.
01:22 - Donc, les gens vous appellent.
01:23 - Oui.
01:24 - On vous appelle et on dit qu'il y a Keller Navas qui vend sa B, les.
01:28 - Ouais.
01:29 - Et ça vous intéresse, monsieur Hanouna ?
01:31 - Pas si cher, pas si cher.
01:32 - Là, je dis, les mecs, vous m'avez pris pour un pigeon.
01:35 - Ah, voilà.
01:36 - Et là, je donne tout de suite le numéro de Gilles Verdez.
01:37 [Rires]
01:39 - Non, non.
01:40 - On peut juste dire aux gens, vite fait, que Kurzawa, Correa et Navas, ils jouent pas.
01:45 - Ils jouent pas.
01:46 - Ouais, ça, exactement.
01:47 - Kurzawa, il prend 500 000 euros, il ne joue pas.
01:48 - C'est sûr.
01:49 - Correa, il a joué 20 minutes depuis le début de la saison.
01:51 - Non, non.
01:52 - Si je me trompe, il a joué 20 ou 25 minutes.
01:54 - Alors, ici, 450 000 euros par mois pour jouer les concerts.
01:57 - C'est peu près le mois de septembre.
01:58 - Ils ont signé.
01:59 - C'est pas leur faute.
02:00 - C'est pas leur faute s'ils jouent pas.
02:01 - C'est pas leur faute.
02:02 - Oui, ils veulent jouer.
02:03 - Alors.
02:04 - Ça, c'est incroyable.
02:05 - Keller Navas, 572 000 euros 600.
02:06 - C'est précis.
02:07 - C'est très précis, ouais.
02:08 - Sans jouer.
02:09 - Là, lui aussi, il ne joue pas.
02:10 Mais Keller, il a dit, dans les 600 balles, c'est pour le...
02:12 [Rires]
02:13 - Non, c'est pour l'essence de la caisse qu'il voulait prendre.
02:20 - La ballée.
02:21 - Voilà.
02:22 Un joueur que j'adore.
02:23 J'adore ce mec.
02:24 C'est un amour de mec.
02:25 Prenell Kimpendi.
02:26 - Ouais.
02:27 - Qui est un excellent joueur.
02:28 J'espère qu'il va revenir.
02:29 - Ouais, on espère, ouais.
02:30 - Il a eu une grosse blessure, mais il revient.
02:31 Il se bat et je l'adore.
02:32 Ce mec, c'est un amour de mec.
02:33 640 000 euros.
02:34 - Il se joue pas non plus depuis un an.
02:35 - Quand il s'est blessé.
02:36 - Mais il est blessé.
02:37 - Mais il était titulaire.
02:38 - Il s'est blessé, il touche.
02:39 - Il était titulaire indiscutable au PSG.
02:41 - Pierre-Emerick Aubameyang, l'attaquant de Marseille.
02:44 650 000 euros brut par mois.
02:47 Il joue et il marque.
02:48 - Ça revient pas.
02:49 - Il a fait une très grosse saison, Pierre-Emerick.
02:50 Bravo à lui.
02:51 - Le meilleur buteur.
02:52 - Wissam Ben Yedder, très gros joueur aussi à Monaco.
02:54 Pour moi, c'est un talent incroyable.
02:56 650 000 euros par mois brut.
02:58 Tout ce qu'on vous donne là, les chéries, c'est les salaires bruts par mois.
03:01 - Ça peut pas exister, ça.
03:02 - Attention, on rentre dans le top 10.
03:04 - Attention.
03:05 - Attention.
03:06 - Attention.
03:07 - Déjà, on était bien.
03:08 - Nordi Mukele, PSG, bien entendu.
03:12 700 000 euros.
03:13 - Ah oui, il est plus grand que Barco.
03:15 - Il est remplaçant, Mukele.
03:16 - Il est remplaçant.
03:17 - En 9e position, Achraf Hakimi.
03:19 738 600 euros.
03:20 Lui aussi, les 600 euros, c'est qu'il a une belle voiture.
03:22 C'est pour l'essence.
03:23 Vous voyez que quand il a les 600 balles le plus, c'est vraiment...
03:26 - C'est coté par rapport aux autres.
03:27 - C'est pour la caisse.
03:28 - Bah oui.
03:29 - Ouais, je trouve aussi.
03:30 - Très sous-coté par rapport aux autres.
03:31 - Ah oui.
03:32 - Randall Colomagny.
03:33 750 000 euros par mois.
03:35 - Coté.
03:36 - Sur coté, sur coté par rapport aux autres.
03:38 - Ah, je suis pas d'accord, moi.
03:39 - Ah non, mais...
03:40 - Il a failli nous faire gagner la coupe du monde, quand même.
03:42 - C'est le problème.
03:43 - Toi aussi, t'as failli pécho Fatou.
03:44 - Par rapport à qui, ici ?
03:47 - Marco Asensio.
03:48 J'aime beaucoup ce joueur.
03:49 831 000 euros mensuels brut.
03:52 Là, on commence à rentrer dans le délire.
03:54 - On dit les sujets.
03:55 - Il joue pas une heure en plus.
03:56 - On en a vu avant, déjà, non ?
03:57 - Gianluca Donnarumma, le gardien du PSG.
04:01 849 000 euros.
04:03 500.
04:04 Les 500 sont importants.
04:05 - Les 500, c'est de la main à la main,
04:08 comme ça, il lui donne après le match.
04:10 Y a un gars qui arrive, tiens, frère.
04:13 "Prends les 500 balles et casse pas les couilles."
04:17 Par exemple, y a un Tunisien qui arrive à la fin du match.
04:19 "Tiens, frère, prends les 500 balles et casse pas les couilles."
04:22 "Ils t'ont fait le virement des 849 000 euros."
04:25 - Y a un gênant qui vient...
04:27 - C'est vrai.
04:28 Je te jure que c'est vrai.
04:29 C'est un gars, il lui donne de la main à la main, comme ça.
04:31 - Je te jure, c'est ouf, 500.
04:32 - En 5e position...
04:33 - Ah, il joue, lui.
04:34 - Le défenseur du PSG, Milan Skriniar.
04:36 Et là, les gars, ça commence vraiment à piquer.
04:40 1 100 000 euros par mois.
04:43 - Un braquage.
04:44 - Par mois. Brut.
04:45 - C'est une blague.
04:46 - Là, les mecs, je vois, ils sont tous comme des fous, là.
04:47 - Et il joue pas.
04:48 - Il joue pas.
04:49 - Arrête.
04:50 - Il ne joue pas.
04:51 - Il ne joue pas.
04:52 - Mais qui joue ?
04:53 - 1 100 000, il joue pas.
04:54 - Il est blessé.
04:55 - Il est blessé.
04:56 - Il a un ongle incarné.
04:57 (rires)
04:58 - Surcôté.
04:59 - 4e position...
05:00 Alors, je vous le dis, pas de commentaire,
05:01 parce que c'est un de mes...
05:02 - OK.
05:03 - Attention.
05:04 - OK.
05:05 - On dit, donne le montant, ferme sa gueule derrière.
05:07 - Stéphane Guimard.
05:08 - On dit juste, il les mérite.
05:09 - OK.
05:10 - On dit, il les mérite.
05:11 - Il les mérite.
05:12 - Je vais vous donner le montant, vous dites juste,
05:13 il les mérite.
05:14 - On va voir.
05:15 - On va voir.
05:16 - On le dit avant, du coup.
05:17 - Il les mérite.
05:18 - Dites-le maintenant.
05:19 - Il les mérite.
05:20 - Lucas Hernandez, 1 110 000 euros.
05:23 1 110 000 euros, Lucas Hernandez.
05:25 Il les mérite.
05:26 - Il les mérite.
05:27 - Incroyable joueur.
05:28 Par contre, les 10 000, le mec aussi, lui,
05:30 donne comme ça.
05:31 Il lui donne une enveloppe.
05:32 Lucas, fais-vous, allez, 10.
05:33 Les 1 100 000 sont déjà sur ton compte.
05:34 - C'est extraordinaire.
05:35 - Ah, là aussi.
05:36 - La folie.
05:37 - Il les mérite.
05:38 - Il les mérite.
05:39 - Il les mérite aussi.
05:40 - Il les mérite.
05:41 - Vous êtes obligé.
05:42 - Il les mérite.
05:43 - Moi, je suis obligé.
05:44 - C'est la famille, il les mérite.
05:45 - Il les mérite.
05:46 - Je suis obligé de dire...
05:47 - C'est obligé, c'est là, c'est...
05:48 - On s'en tirerait, oui.
05:49 - Ousmane Dembélé.
05:50 - Ah, il les mérite.
05:51 - 1 1 20 000 euros par mois.
05:54 - Il les mérite.
05:55 - Il les mérite.
05:56 - Bien sûr qu'il les mérite.
05:57 - Il est égalité avec Marquinhos, 1 1 20 000 euros.
06:02 - Oui, c'est pas normal.
06:03 - Et attention, alors là, les gars, là, vous avez le numéro 1.
06:06 Là, vous avez le numéro 1.
06:07 Ne le mettez pas tout de suite.
06:09 Vous allez essayer de trouver combien...
06:11 Ceux qui savent, ne le dites pas.
06:13 - Gilles et moi, on joue pas.
06:15 - Les gars, le numéro 1, bien entendu,
06:17 le plus payé du championnat de France,
06:19 c'est bien sûr Kylian Mbappé.
06:21 - Ah oui.
06:22 - Mais combien vous avez exactement 10 secondes
06:27 pour me donner le juste prix ?
06:29 - OK.
06:30 (Rires)
06:31 - Le juste prix, je vais demander à mamie.
06:33 - 2 500 000.
06:34 - Combien ?
06:35 - 2 500 000.
06:36 - Plus.
06:37 - C'est plus.
06:38 - 2 800 000.
06:39 - Plus.
06:40 - 2 900 000.
06:41 - Plus.
06:42 - 2 950 000.
06:43 - Plus.
06:44 - 3 000 000.
06:45 - Pas mal.
06:46 - Plus.
06:47 - 3 100 000.
06:48 - Plus.
06:49 - 3 8000 000.
06:50 - Plus.
06:51 - 3 900 000.
06:52 - C'est fini.
06:53 - 4 200 000.
06:54 - C'est fini.
06:55 - Plus, c'est terminé.
06:56 - C'est pas possible.
06:57 - C'était 6 millions.
06:58 - Oh !
06:59 - 6 millions d'euros brut par mois.
07:01 - 6 millions.
07:02 - Pour Kylian Mbappé.
07:03 - Par mois.
07:04 - Il peut rigoler.
07:05 (Rires)
07:06 - Je peux te dire, à ce salaire-là,
07:08 là, je peux te dire, j'ai la même tête que lui,
07:10 tout le temps.
07:11 (Rires)
07:12 - Tu sais quoi ?
07:13 Eh, les gars, eh, tu sais quoi ?
07:14 Moi, je prends 6 millions d'euros brut par an,
07:16 je suis content toute la journée, en fait.
07:18 (Rires)
07:19 Ça va très bon.
07:20 (Rires)
07:21 - Tout le temps.
07:22 (Applaudissements)
07:23 - C'est mon dîner.
07:24 - C'est mon dîner.
07:25 (Rires)
07:26 - C'est mon dîner.
07:27 - C'est comme ça.
07:28 T'es en fauteuil.
07:29 T'es en tellement je t'aime.
07:30 - Mon dîner.
07:31 - Comment ça ?
07:32 Quoi ? Ah !
07:33 Quoi ? Ah !
07:34 D'accord, oui, oui.
07:35 Quoi ? Toute ta famille est morte ?
07:36 (Rires)
07:37 C'est génial.
07:38 Je suis tout le temps content.
07:39 Je suis tout le temps content.
07:40 - 6 millions, tu veux bien avoir une tête de hamburger,
07:42 avant, moi.
07:43 - 6 millions, par contre.
07:44 (Rires)
07:45 - Il faut penser à Mohamed Elie.
07:47 - Oui.
07:48 - Sois pas méchant, soit pas aigri.
07:50 Sois pas aigri.
07:51 - Pour voir le tableau, si vous étiez footballeur,
07:53 vous seriez où, là, à peu près ?
07:55 (Rires)
07:56 - Vous savez ce qui me rend fou ?
07:59 C'est que je me suis posé la même question.
08:01 - Ah, voyez.
08:02 - Eh bien, je serais...
08:03 Moi, je serais joueur de frisbee.
08:05 (Rires)
08:06 Je serais frisbeeur.
08:07 - Oui.
08:08 - Non, non, franchement, non, non.
08:09 - Vu que c'est leur passion,
08:10 si on leur offrait 2 fois moins,
08:11 2 fois moins,
08:12 2 fois moins,
08:13 est-ce qu'ils accepteraient pour vous ?
08:15 - Mais c'est leur frisbee.
08:16 Sinon, ils iraient dans un autre club et se mettent en...
08:18 - Non, mais si tout le monde...
08:19 Si tout le monde...
08:20 - Ah, non.
08:21 - Si tout le monde...
08:22 - Mais c'est du gâchis.
08:23 Tout le monde, personne ne mérite ça.
08:24 - C'est le seul gâchis.
08:25 Tu veux que je te dise ce que c'est ?
08:26 C'est ta petite chemise que t'as mise aujourd'hui.
08:28 (Rires)
08:29 - C'est leur frisbee.
08:30 - Bien sûr, c'est leur frisbee.
08:31 Non, mais est-ce que...
08:32 Alors, à chaque fois,
08:33 est-ce que ça vous choque ?
08:34 Oui ou non ?
08:35 - Non, non.
08:36 - On rentre dans le débat.
08:37 - Oui.
08:38 - Non, moi, autant ceux qui...
08:39 - Oui ou non ?
08:40 - Non, oui, ça me choque pour ceux qui ne créent pas de valeur.
08:41 Effectivement, ceux qui ne jouent pas.
08:42 Alors oui, c'est pas de leur faute.
08:43 Ils ne vendent pas de maillots.
08:44 Personne ne les connaît.
08:45 En vrai, le grand public ne les connaît pas,
08:46 les remplaçants qu'on a cités, etc.
08:47 Je ne comprends pas dans quel modèle économique,
08:48 même si vous avez des dizaines, des centaines de millions,
08:49 500 000 balles par mois,
08:50 c'est quand même 500 000 balles par mois, quoi.
08:51 Soudain, il faut rajouter des charges, etc.
08:52 Je pense qu'ils peuvent faire cette économie-là.
09:06 Et pour moi, je trouve qu'ils ne les méritent pas.
09:07 Après, Mbappé, etc., c'est une autre discussion.
09:08 C'est une marque, voilà.
09:09 Mais 500 000 balles par mois pour un mec qui est remplaçant
09:10 que personne ne connaît et qui ne joue pas,
09:11 il y en a eu plein, comme ça, des mecs.
09:12 - C'est la même marque.
09:13 - Moi, ça me choque.
09:14 - Les modèles économiques...
09:15 - Moi, j'adore.
09:16 J'adore que le Hawaï, il mérite de jouer.
09:17 - Je sais, mais il y en a eu plein.
09:18 Choupo Moting, c'était pareil.
09:19 - Maintenant, il n'a qu'à retenir au bain.
09:20 - Bien sûr.
09:21 - Oui, parce que je comprends qu'il y a la pression,
09:22 l'image, les entraînements.
09:23 Je pense qu'ils devraient gagner beaucoup d'argent,
09:24 mais quand même moins.
09:25 Par exemple, 50 000 par mois, 100 000 par mois.
09:26 Je ne sais pas si c'est démesuré.
09:27 - 50 000 par mois, 100 000 par mois,
09:28 il n'a pas ce sourire.
09:29 Il est comme ça.
09:30 - Ça va ?
09:31 - Il est juste comme ça.
09:32 "Ça va, Kylian ?
09:33 Ça va, et toi ?
09:34 Et là, quand il est à 600 000, ça va, les gars ?
09:35 Oh, il y a une ambiance ou pas ?
09:36 Oui, ça vous choque ?
09:37 - Oui, je suis content pour eux, évidemment,
09:38 parce que je suis pour que tout le monde gagne beaucoup.
09:39 Mais voilà, ma fille, elle fait médecine, 12 ans d'études,
09:54 pour gagner 1 000 fois moins.
09:55 - Mais d'accord.
09:56 - Elle sait tirer des pénaltys ?
09:57 - Avec quel rapport ?
09:58 Elle sauve des gens, c'est mieux.
09:59 - Non, mais je rigole.
10:00 "Oh, ça va ?
10:01 Ne prends pas la mouche, hein ?
10:02 Ça va, là ?
10:03 Oh, hé !
10:04 C'est pas parce qu'elle a prescrit Dolly.
10:05 Prends la mouche, hein !
10:06 C'est pas parce qu'elle a prescrit Dolly.
10:07 Prends-la, tu vas me bouffer les noisettes, hein !"
10:08 - Non, mais ça n'a rien à voir.
10:09 - Avec des sommes comme ça, comment veux-tu que les jeunes aient envie
10:10 de faire professeur, des bonnes études ?
10:11 - Ça n'a rien à voir, là.
10:12 C'est un talent.
10:13 - Eh, ben voilà !
10:14 Rien n'a rien à voir avec vous.
10:15 Mais c'est un problème.
10:16 - Ah, raison.
10:17 Bravo, Jean-Claude.
10:18 - Qu'est-ce qu'il a, là, le vieil aigri, là ?
10:19 - Non, mais c'est pas parce qu'il gagne moins que ta fille gagne plus.
10:20 - Non, mais ça, c'est un talent.
10:21 - C'est pas parce qu'il gagne moins que ta fille va gagner plus.
10:37 - Non, bien sûr.
10:38 - Mais ta fille, de toute façon, c'est bientôt la retraite.
10:39 - Pour ma fille ?
10:40 - Ben, la caisse, elle doit en avoir 56, hein.
10:41 - Elle a 23 ans.
10:42 - Ah, merde.
10:43 Pardon, oui.
10:44 - Non, mais c'est un modèle économique, évidemment.
10:45 Quand on regarde ça, on a l'impression que c'est indécent.
10:46 Il y a des gens qui travaillent de 8h du matin à 21h à la chaîne
10:47 et qui travaillent pour...
10:48 - Bien sûr, bien sûr.
10:49 - Évidemment, éminemment pour les jeunes.
10:50 - Oui, évidemment, éminemment pour les jeunes.
10:51 - Oui, évidemment, éminemment pour les jeunes.
10:52 - Oui, évidemment, éminemment pour les jeunes.
10:53 - Oui, évidemment, éminemment pour les jeunes.
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10:55 - Oui, évidemment, éminemment pour les jeunes.
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12:12 - Oui, évidemment, éminemment pour les jeunes.
12:38 - Oui, évidemment, éminemment pour les jeunes.
13:07 - Et là, si on baissait, si on divisait par 10, par exemple, ce qui ferait effectivement des très bons salaires...
13:11 - Elle veut tout tout baisser. - Est-ce que du coup, les places ne seraient pas moins chères?
13:13 - Ils iront en Espagne, ils iront en Angleterre, ils iront en Belgique... - Non, mais je parle d'État...
13:16 - Yves, est-ce que ça te choque les salaires, toi, Yves? Yves, ce que ça fait?
13:18 - Non, pas du tout. - Ça ne te choque pas? Tu vois?
13:20 - Non, parce qu'en fait, comme le foot, ça fait rêver beaucoup de monde.
13:23 Dès qu'il y a la Coupe du monde, tout le monde s'arrête. - Oui.
13:25 - C'est vrai que ça paraît indécent par rapport au salaire normal de quelqu'un ou, comme on disait, des professions comme les pompiers, etc. Mais les footballeurs, ça fait rêver. C'est une image. Les salaires d'un bapé, 6 millions.
13:36 Mais il vend des maillots, il vend du rêve à des enfants. Je trouve qu'il y en a peu qui réussissent par rapport à tout ce qui attendent.
13:42 - C'est exceptionnel. C'est comme... Voilà, c'est le numé... Voilà, là, on parle des plus grands joueurs.
13:47 - Oui. C'est comme la Formule 1. Il y en a 20 au monde. - Exactement.
13:51 - C'est ça. Il y en a quelques... Non, sur les joueurs de foot, il doit y avoir 50 ou 100 joueurs dans le monde. Voilà.
13:57 On va dire 100 joueurs, une centaine de joueurs qui sont à ces niveaux-là. Oui. Raymond.
14:01 - Non, moi, souvent, je suis choqué par les salaires des gens, les hommes politiques, les machins, parce que c'est de l'argent public.
14:07 - Parce que toi, t'es choqué, par exemple, pour le salaire d'un ministre. Ça te choque ?
14:10 - Un ministre, ça me choque qu'il soit avec les publics des mandats à 10 000, 15 000 euros. Ça me choque.
14:15 Un Louis Boyard à 8 000 euros, ça peut me choquer. Par contre, un Mbappé comme ça... Vous t'avez tous dit, il vend des maillots, c'est une passion.
14:22 On lui a donné ce prix-là. C'est sa valeur. On va pas le payer moins. Là-dedans, il faut pas oublier qu'il y a 5 millions d'impôts.
14:28 Il y a 5 millions d'impôts, là-dedans. - Ah bah oui, je sais. - Est-ce que t'as déjà payé par mois 5 millions d'impôts ?
14:33 - Bah oui, je suis en train de dire que... - Et là, t'es en train de dire...
14:36 - Par contre, non, mais s'il gagne 1 500 euros par mois, il va pas payer 5 millions d'impôts.
14:41 - Non mais d'accord. C'est ce que je dis. Ça rapporte énormément d'argent. Et l'hypocrisie qu'on a tous ici, c'est de dire oui.
14:46 Comme Daniel, oui, c'est beaucoup, c'est beaucoup. Mais est-ce que toi, t'irais sur France Télé à 100 euros par mois, 100 euros par émission, par exemple,
14:52 tu resterais là ? - Ah oui. - Parce que tu... - Hé, hé, hé ! Tu crois que c'est l'équête ? Tu crois qu'elle pourrait te payer ses...
14:58 - Parce qu'elle dit... Elle dit c'est trop. - Hé, tu crois que la Fashion Week, là, ce serait comme ça tous les soirs, là ?
15:02 - Mais il faudrait revoir toute la société, pour moi. - Ah mais c'est... Bah oui, mais pourquoi tu prends autant ici, toi ? C'est quand même bappé.
15:06 Pourquoi il prend autant au PSG ? - C'est vrai. Rends-le aux ailes. Rends-le aux ailes. Rends-le aux ailes. Il a raison. Il a raison.
15:12 - Moi, j'assume, je suis une vieille aigrie comme Jean-Michel et... - Mais ça se dérange pas de prendre autant ?
15:17 - C'est indécent. - Laisse parler Mamie, là, s'il te plaît. - Non, mais c'est indécent que la société... - Attends, attends, attends, avant de te lancer.
15:21 - Ah oui. - Parce que là, je connais. Quand elle part trop vite, il y a le dentier qui se barre. La dernière fois, il a mordu quelqu'un du public, je veux le dire.
15:32 On a eu un gars mort sur, hein, là, comme ça, le bras éclaté. Le dentier est parti tout seul. Il courait encore, là, le mec. Il a eu le bras arraché avec ses conneries.
15:42 - Non, mais c'est toute une économie et toute une société à revoir. Ces chiffres sont indécents. Personne ne mérite ça. Je suis désolée.
15:47 - Je me rappelle d'aller insoumise. - Ouais. - Ah bah oui. - Alors, je peux te dire... - La seule chose... - Elle est insoumise, alors je peux te dire...
15:53 C'est comme ça qu'on l'appelle dans le milieu. - Non, mais moi, ça me fait mal. - Laissez parler Mamie, là. - J'ai toujours dit que je suis comme Mélenchon.
15:59 À partir d'une certaine somme, on doit mettre tout au revoir. - T'as le cuir à gauche et le porte-main à droite. - Ça ne devrait pas exister. C'est somme, c'est indécent, c'est à gerber.
16:05 Et j'imagine... Nous, on est privilégiés par rapport à... - Par contre, si tu germes, regarde-toi. - Si tu vomis, fais gaffe à Gilles, il fait le Ramadan, là.
16:13 - Voilà. Excuse-moi, Daniel. Alors, va jusqu'au bout de ton raisonnement, Cyril. Ça te fait gerber ? - Il a gerbé. - Alors, les mecs, me mettez pas dans cette chanson, les mecs !
16:21 - Le problème, c'est à partir de quel moment tu considères que c'est indécent. - Attends, attends, attends, attends. - Parle de moi, là.
16:27 - Non, tu m'emprends de gerber. - Non, toi, là, va prendre ton tutu, là, parce que là... Là, c'est bon, là. Tu mets le tutu, là, tu mets du Tchai Torsi, là, et tu fais...
16:35 - C'est Géraldine. À titre personnel... - Mais si j'étais à gerber, ne travaille pas avec Aline, je suis gerbée. - Attends, attends, attends. Qu'est-ce qu'elle est en train de dire ?
16:41 - Si vous voulez... Télé-spectateur, là, c'est une affaire entre mamie et moi. Je te demande juste un truc. Ne me mets pas un coup de dentier.
16:49 - Mamie, alors comme ça, je suis à gerber. - Mais non, mais c'est pas à titre personnel. Je n'en veux pas. C'est juste que je parle de la situation.
16:55 - Alors propose-lui la question au repas. - Tu dis qu'il faut remettre tout un plan. - Voilà. - J'imagine que Cyril gagne beaucoup, beaucoup, beaucoup de zones.
17:01 - Eh ben, je... - Par exemple, par un infirmière, par un chef-chef, voilà. - J'assume que... - Par rapport aux années de médecine que va faire par exemple la fille de Jean-Michel, bien sûr.
17:12 - Donc c'est indécent. - J'assume de dire que les salaires, à partir d'un certain niveau, je pense que Cyril est dedans. C'est indécent.
17:19 - Eh ben, laissez-moi une minute. - Je suis incohérente. - Laissez-moi une minute. - J'appelle Lionel Stan.
17:24 - Daniel, tu peux la mettre à 100 euros par émission. - Daniel Moreau, son contrat, il court jusqu'à quand ?
17:31 - Ça veut dire que tu dis comme Bélanchon que personne ne l'évite. - Non mais tu dis comme Bélanchon, ça veut dire que Cyril, il faut tout prendre.
17:37 - Bah oui. - Tout prendre à partir d'une certaine... - Bah moi, non. - Et la dette... - C'est un discours.
17:44 - Eh, t'es bien content de venir à la maison et de manger des petits fours, hein, connasse ?
17:48 - Hein ? T'as l'air de salaud à manger du saumon, là ! - La bérie de première qualité, elle dit pas ça !
17:56 - La soirée du 8 mars, elle est repartie de chez toi avec un kebab plein de canettes, alors. - Elle est repartie avec un sac à dos de masse.
18:05 - Elle a piqué tout la sandwich ! - L'indécence de la personne décédée ! Parce qu'elle est décédée, elle fait chier tout le monde !
18:14 - Non mais la soirée du 8 mars, je venais pas chercher d'argent, je venais chercher du sexe. - Elle a piqué tous les sandwiches !
18:19 - Et je suis repartie ! - Elle est repartie avec des sandwiches plein son sac à main, frérot, elle était comme ça !
18:25 - Elle se serait fait piquer son sac, le gars, il se serait dit "mais qu'est-ce qu'elle a, là ?" - Elle s'est barrée avec 24 salades César !
18:31 - Quelle honte ! Une honte ! Une honte ! Moro, une honte ! Une honte ! Une honte !
18:35 - C'est quoi le seuil, alors ? - Ça peut être déjà énorme, mais ça... - C'est de l'argent, frérot !
18:40 - Encore un truc dans la dent, là, ça m'en fout ! - On dirait qu'il y a des toutous 50 000 euros, ça ne choquerait pas !
18:43 - C'est de l'argent ! - Mais là, mais c'est... - Combien, combien, combien ? - Mais même pour eux, qu'est-ce qu'ils vont en faire ?
18:46 - Combien ? - 50 000 euros maximum ! - Mamie, écoute, s'il te plaît, mets ton appareil, là ! - 50 000 euros maximum !
18:51 - Calme-toi, s'il te plaît, respire ! Voilà, enlève tes chaussures ! - Non, non, on n'enlève pas tes chaussures !
18:57 - Mais l'économie, elle est mondiale ! - Oh, les mecs, les mecs, laissez-moi gérer ! - 50 000 euros !
19:01 - Laissez-moi gérer le forcené ! - César, il a vomi dessus, hein ! - Non ! Laissez-moi gérer le forcené !
19:05 - Gère le forcené ! - C'est quoi pour toi le maximum ? On parle brut, hein !
19:10 - 50 000 euros brut, c'est déjà énorme ! Tout le monde serait hyper heureux !
19:15 - Il te reste 19 000 ! Il te reste 19 000 ! - Non, mais c'est... A partir de là, tout le monde serait heureux !
19:22 - Il te reste 19 000 ! - Tu fais 25 bagnoles, tu vas déjà voir ce que ça coûte, toi, par mois !
19:27 - 19 000, hein ! - Le reste, on va le faire !
19:31 - Coussin ! Coussin ! Coussin ! Coussin ! Coussin ! Coussin ! Coussin ! Coussin ! Coussin ! Coussin ! Coussin !
19:35 - Je vais donner la parole à mon ami... Mon ami cher. - Merci.
19:42 - Mon ami cher. Mon ami qui sera là pour me défendre. - Objectif. - Zène et ongles.
19:50 - C'est un indice. C'est un indice. - Ce que j'ai entendu est honteux.
19:56 - C'est tout ? - Le Mbappé de la télévision est devant vous. Et vous n'êtes pas capable de le reconnaître.
20:04 - C'est ce que vous dites est absolument honteux. - Calme-toi, Mamytas ! C'est parlé pour aujourd'hui.
20:09 - C'est parlé pour aujourd'hui. - C'est parlé pour 2 heures. - Honnêtement, Daniel, je connais très bien Lionel Stann, intimement.
20:15 - Et la manière dont vous négociez âprement à chaque fin de saison, votre compte pour la saison prochaine... - Ouh !
20:20 - ...montre que vous prenez occupation financière. Ah oui ! Il faut dire la vérité. Il faut dire la vérité.
20:26 - Excuse-moi, j'ai payé pour faire cette émission pendant 2 ans. - Ouh ! Alors non, mais un mensonge ! On va de mensonge en mensonge.
20:32 - Je dépensais plus en aile à domicile qu'en venant. - Non, non, non. Ça, c'est... Ça, c'est...
20:36 - C'est un avocat. - C'est un avocat. - C'est ton problème, hein !
20:40 - Moi aussi, je paye plus en essence que le gars d'ici, hein ! Je ferme ma gueule, hein !
20:45 - C'est bien, mais c'est pour ça que gentiment... - Non, mais elle est devenue insupportable.
20:48 - Allez, venez. - Je te dis, je te dis. Je vais vous dire la vérité. Les chauffeurs cab ont raison. Elle est insupportable.
20:55 - Oui, bien sûr. - Non, mais elle est insupportable. Elle se croit toute l'armine.
20:58 - 37 matins. - Mamy, tais-toi un peu, là. C'est bon. - Avec ma tenue, là... Va vendre des pruneaux, là.
21:03 - C'est... - C'est sans déconner. Va vendre des pruneaux au marché, là.
21:06 - C'est le prix du rêve. Laissez-nous rêver. C'est le prix du rêve. - Mais on peut rêver.
21:09 - Mamy, tais-toi. - Daniel, si tu pouvais croquer 2 fois plus, tu croquerais 2 fois plus.
21:13 - Mais je ne croque pas. Mais bien sûr que je les prendrais. - Tu croques sur Europe 1.
21:16 - A 10 ans, personne n'est là. Je n'ai rien compris. - Mamy, t'as saoulé tout le monde.
21:20 - La société. - Arrête, la société. - T'as saoulé tout le monde.
21:23 - Mamy, alors, je vais revenir un petit peu sur Mamy. 2 minutes. - Allez, venez. Raconte-moi un peu.
21:27 - S'il vous plaît, je vais revenir sur Mamy. Parce que là, Mamy, elle est partie en cacahuètes totale, là.
21:31 - Non, mais Mamy, calme-toi un peu, là. Quand tu marmonnes, c'est insupportable.
21:34 En plus, il y a les dents qui parlent d'un côté et la bouche de l'autre.
21:38 On ne comprend rien. Non, mais c'est un déconner. Il y a les dents qui parlent, la bouche qui parle, on ne sait plus qui parle.
21:43 On ne sait plus si c'est les dents ou la bouche. On devient fou.
21:47 Madame. - Allons-y. - TPMP. Pratiquement tout le soir. Europe 1.
21:52 Elle mange à tous les râteliers. Avec Sophie d'avant. Sophie de Yakassra, comme on l'appelle chez nous en Tunisie.
21:58 Plus H2O. Ecoutez-moi bien. Elle s'en met plein les fouilles et elle vient, elle vient, elle vient me pointer du doigt.
22:09 - Que t'as gerbé. - Reste avec nous. Dans un instant, le procès de Daniel Morneau.
22:17 (rires)
22:18 [Musique]