"Moi je ne sais pas, l'affaire n'est pas jugée" : Isabelle Mergault réagit à l'affaire Gérard Miller dans "C l'Hebdo"
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00:00 -Il y a aussi le MeToo de la télévision.
00:02 Vous faisiez partie de la même bande de Ruquier
00:04 avec Gérard Miller.
00:05 Comment vous regardez cette affaire ?
00:07 Maintenant, il y a plus de 67 femmes qui témoignent contre lui.
00:10 -Je ne sais pas.
00:11 -Qu'il accuse vous de violence ou d'agression sexuelle.
00:13 -Je lis sur les réseaux sociaux, comme vous,
00:15 que la bande à Ruquier ne pouvait pas l'ignorer, etc.
00:18 Mais si.
00:19 Moi, je ne sais pas.
00:21 L'affaire n'est pas jugée.
00:24 Il y a la présomption d'innocence.
00:27 C'est comme s'il y avait des grands criminels
00:30 qui vivent dans un immeuble.
00:33 Les voisins disent "Il était très gentil".
00:36 Je ne compare pas.
00:39 Mais moi, je passais mes vacances avec Miller.
00:41 J'ai fait des émissions avec lui.
00:44 Je n'ai rien...
00:46 Mais vraiment !
00:47 -Vous n'avez rien vu ?
00:48 -Non.
00:49 Et pour l'heure, rien n'est jugé, pour l'instant.
00:53 -Il y a plus de 67 femmes qui témoignent contre lui.
00:55 -Est-ce qu'il est rencontré dans le public
00:57 des émissions de télévision, au Vieux et au Sud ?
01:01 -Non, il était là.
01:02 Je l'ai vu.
01:04 Même moi, je l'ai fait avec des mecs qui n'étaient pas trop vilains.
01:08 Je déconnais.
01:09 Même avec des nanas.
01:10 On est là, on sort, on est un petit peu...
01:13 Tout le monde veut vous parler, etc.
01:14 Il y avait Miller, mais tout le monde...
01:18 Même Laurent Ruquier, des nanas venaient vers lui.
01:22 Je ne sais pas si...
01:25 Et puis il fascinait par son intelligence, peut-être,
01:29 par son analyse.
01:31 Il fascine, il fascine.
01:34 -Là, les faits dont il est accusé sont très graves.
01:37 C'est pas de la fascination.
01:38 -Moi, je peux vous assurer que je l'ai toujours vue papillonner.
01:42 Vraiment, non.
01:43 Moi, j'ai rien à dire sur Gerard, de ce que j'ai pu voir.