Pierre-Henri Bovis estime que le «rapport sur l’enseignement privé tient juste à faire supporter l’échec de l’enseignement public»

  • il y a 5 mois
Pour l’avocat Pierre-Henri Bovis, le «rapport sur l’enseignement privé tient juste à faire supporter l’échec de l’enseignement public». Selon lui, Paris a les meilleurs établissements publics de toute la France.

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00:00 Que ce qui est préconisé là ?
00:02 Moi, pour moi, ce rapport sur l'enseignement privé
00:05 tient juste à faire supporter l'échec de l'enseignement public.
00:09 En clair.
00:10 En clair, l'enseignement public est un échec,
00:13 mais pour faire supporter cet échec, on va taper sur l'enseignement privé.
00:17 Et en plus, avec une sonnoiserie, je dirais, dissimulée.
00:22 Pourquoi ? Parce que Paris, qui est une ville privilégiée en France,
00:25 a les meilleurs établissements publics de toute la France.
00:29 Vous allez voir le lycée Henri IV, vous allez voir le lycée Louis-le-Grand.
00:33 Bon courage pour y rentrer si vous n'avez pas le niveau.
00:37 Pourtant, c'est un enseignement public.
00:39 Donc quand on entend dire de la part de ces députés,
00:43 parce que, parenthèse, on parle d'un député de la France insoumise,
00:45 d'un député Renaissance, mais un député des Français d'étrangers.
00:49 Bon, là aussi, c'est quand même pas mal de le préciser.
00:52 Lorsque vous avez ces établissements qui sont pointés du doigt,
00:59 l'enseignement privé, qu'est-ce que cela signifie ?
01:02 Premièrement, cela signifie qu'on écarte aujourd'hui le sujet de l'islamisme,
01:06 qui est quand même de la radicalité, qui est quand même un sujet aujourd'hui prégnant,
01:10 à mon avis, dans les établissements.
01:12 Qu'on ne retrouve pas dans les établissements privés,
01:14 mais qu'on retrouve dans les établissements publics.
01:16 Donc après, on nous parle de financement.
01:18 Mais ces établissements-là ont été contrôlés, les établissements privés.
01:21 Il y a des contrôles qui sont organisés.
01:23 La Cour des comptes contrôle d'ailleurs aussi les subventions qui sont accordées.
01:26 Allez, on y va.
01:27 [Musique]
01:30 [SILENCE]

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