Longtemps avant d'officier dans la Star Academy , en tant que professeur de théâtre , au début des années 2000, Oscar Sisto a eu des ennuis avec son gouvernement... D'origine argentine, il est arrivé à 20 ans en France, pour échapper à la dictature militaire de Videla. Et il a même eu droit à un court séjour en prison...
"Une résistance, comme pendant la guerre"
C'est ce qu'il a confié à Jordan de Luxe , ce 4 avril 2024, sur C8. Oscar Sisto s'est souvenu : "J'ai manifesté pour le droit à la liberté en tant qu'artiste. J'étais à la faculté d'architecture, et dans une troupe de théâtre. On luttait pour qu'on ne brule pas nos livres, qu'on ne brise pas nos disques, des grands poètes etc... En Argentine, c'était très difficile. On manifestait, on prenait des risques, on faisait des réunions, on était en résistance. Une résistance, comme pendant la guerre. Et j'avais 17-18 ans. Oui, c'était pas facile".
Oscar Sisto raconte avoir subi de mauvais traitements, derrière les barreaux : "Quand on était enfermés on était pas mal secoués, des coups de pied, oui oui, très violemment. Ils voulaient nous faire peur, et nous faire taire. C'était la survie". Et s'il n'a pas donné le nombre de jours qu'il a passé à l'ombre, Oscar Sisto assure à Jordan de Luxe : "Je suis resté pas longtemps mais suffisamment pour que je sache ce que c'est".
Aujourd'hui, il a bien "des souvenirs" de cette époque qui lui reviennent, mais l'homme de théâtre estime qu'il est préférable de ne pas en faire trop sur son cas. En effet, il préfère rester "discret par rapport aux personnes qui ont vécu des choses plus graves..." Et d'ajouter : "C'est trop facile de tomber dans cette facilité de devenir un héro grâce à ça, donc je reste assez discret. Là vous me posez la question, je vous réponds, mais sinon je n'en joue pas".
"Je n'étais pas un grand Che Guevara non plus"
Une histoire qui s'est terminée sur une ouverture... vers un nouveau pays, puisque l'ancien prof de la Star Ac se souvient : "Je suis venu en France, j'ai échappé à tout ça, le temps que ça passe. J'avais 17 ans, je n'étais pas un grand Che Guevara non plus. C'était un début d'une sorte de résistance, donc ils nous ont libérés".
"Une résistance, comme pendant la guerre"
C'est ce qu'il a confié à Jordan de Luxe , ce 4 avril 2024, sur C8. Oscar Sisto s'est souvenu : "J'ai manifesté pour le droit à la liberté en tant qu'artiste. J'étais à la faculté d'architecture, et dans une troupe de théâtre. On luttait pour qu'on ne brule pas nos livres, qu'on ne brise pas nos disques, des grands poètes etc... En Argentine, c'était très difficile. On manifestait, on prenait des risques, on faisait des réunions, on était en résistance. Une résistance, comme pendant la guerre. Et j'avais 17-18 ans. Oui, c'était pas facile".
Oscar Sisto raconte avoir subi de mauvais traitements, derrière les barreaux : "Quand on était enfermés on était pas mal secoués, des coups de pied, oui oui, très violemment. Ils voulaient nous faire peur, et nous faire taire. C'était la survie". Et s'il n'a pas donné le nombre de jours qu'il a passé à l'ombre, Oscar Sisto assure à Jordan de Luxe : "Je suis resté pas longtemps mais suffisamment pour que je sache ce que c'est".
Aujourd'hui, il a bien "des souvenirs" de cette époque qui lui reviennent, mais l'homme de théâtre estime qu'il est préférable de ne pas en faire trop sur son cas. En effet, il préfère rester "discret par rapport aux personnes qui ont vécu des choses plus graves..." Et d'ajouter : "C'est trop facile de tomber dans cette facilité de devenir un héro grâce à ça, donc je reste assez discret. Là vous me posez la question, je vous réponds, mais sinon je n'en joue pas".
"Je n'étais pas un grand Che Guevara non plus"
Une histoire qui s'est terminée sur une ouverture... vers un nouveau pays, puisque l'ancien prof de la Star Ac se souvient : "Je suis venu en France, j'ai échappé à tout ça, le temps que ça passe. J'avais 17 ans, je n'étais pas un grand Che Guevara non plus. C'était un début d'une sorte de résistance, donc ils nous ont libérés".
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00:00 Longtemps avant d'officier dans la Star Academy en tant que professeur de théâtre
00:04 au début des années 2000, Oscar Sisto a eu des ennuis avec son gouvernement.
00:08 D'origine argentine, il est arrivé à 20 ans en France pour échapper à la dictature
00:12 militaire de Vidla, et il a même eu droit à un court séjour en prison.
00:16 C'est ce qu'il a confié à Jordan Deluxe ce 4 avril 2024 sur C8.
00:20 « Oscar Sisto s'est souvenu « J'ai manifesté pour le droit à la liberté en
00:24 tant qu'artiste, j'étais à la faculté d'architecture et dans une troupe de théâtre.
00:29 On luttait pour qu'on ne brûle pas nos livres, qu'on ne brise pas nos disques,
00:32 des grands poètes etc.
00:33 En Argentine c'était très difficile, on manifestait, on prenait des risques, on faisait
00:38 des réunions, on était en résistance.
00:40 Une résistance comme pendant la guerre, et j'avais 17 à 18 ans.
00:44 Oui, c'était pas facile.
00:45 Oscar Sisto raconte avoir subi de mauvais traitements, derrière les barreaux, quand
00:49 on était enfermé on était pas mal secoué, des coups de pied, oui oui, très violemment.
00:54 Il voulait nous faire peur et nous faire taire, c'était la survie.
00:57 L'essai n'a pas donné le nombre de jours qu'il a passé à Londres, Oscar Sisto assure
01:01 à Jordan Deluxe « Je suis resté pas longtemps mais suffisamment pour que je sache ce que
01:05 c'est ». Aujourd'hui, il a bien des souvenirs de cette époque qui lui reviennent, mais
01:09 l'homme de théâtre estime qu'il est préférable de ne pas en faire trop sur son
01:13 cas.
01:14 En effet, il préfère rester discret par rapport aux personnes qui ont vécu des choses
01:17 plus graves, et d'ajouter « C'est trop facile de tomber dans cette facilité de devenir
01:21 un héros grâce à ça, donc je reste assez discret.
01:24 Là vous me posez la question, je vous réponds, mais sinon je n'en joue pas ».
01:27 Une histoire qui s'est terminée sur une ouverture vers un nouveau pays, puisque l'ancien
01:32 prof de la star assez se souvient « Je suis venu en France, j'ai échappé à tout ça,
01:36 le temps que ça passe.
01:37 J'avais 17 ans, je n'étais pas un grand chevara non plus.
01:40 C'était un début d'une sorte de résistance, donc ils nous ont libérés.
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