TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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TVTranscription
00:00 -Michel, bien sûr, je sais que t'es d'accord. -Non, je suis pas d'accord.
00:02 -Rémy, on n'est pas d'accord. Rémy, il est mi figue, mi raisin.
00:05 -Moi, je vais vous expliquer. -On attend ton explication.
00:07 Quand on a un génie comme toi, on attend qu'il parle.
00:10 T'inquiète pas. Si on a un qui peut sauver la France, on sait que c'est toi.
00:13 -Merci.
00:14 [Rires]
00:18 -C'est extraordinaire. -Il est délicieux.
00:22 -Tu veux parler avant ou après, Gilles Vernez ?
00:24 -On va faire avant, mais je reprendrai après.
00:26 -Allez, vas-y.
00:27 -Je suis d'accord, parce que quand on a des enfants, c'est du boulot,
00:30 c'est des contraintes, c'est des soucis.
00:32 -C'est un boulot. -C'est un boulot.
00:34 -Mais quand on décide d'en avoir, on assume et on gère.
00:38 On ne fera pas croire que des enfants qui traînent à 2h du matin dans la rue
00:42 quand ils ont 13-14 ans, les parents n'y sont pour rien.
00:45 On peut très bien empêcher ces enfants d'être dans la rue.
00:47 -Je vais te dire une histoire.
00:48 Je vais donner un chiffre, ce n'est pas un vrai chiffre,
00:50 mais de ce que je pense.
00:52 Je suis persuadé que j'ai raison.
00:54 -Au moins, 20% des mineurs délinquants n'ont peur que d'une seule personne.
00:58 -Leurs parents. -Leurs parents.
01:00 -Leurs pères. -Ils ont plus peur de leur père.
01:02 -Que des flics. -Exactement.
01:04 -La première chose qu'ils disent aux pères...
01:06 -Au père ou à la mère.
01:08 -Il y a des familles aussi monoparentales.
01:10 Il y a des mamans qui sont...
01:12 C'est bon, c'est bon, les deux, c'est bon.
01:14 Ce n'est pas la peine de me faire des têtes comme ça, comme ça.
01:17 Si vous avez un torticolis, vous sortez et vous allez chez le kiné.
01:20 Ils sont comme ça, les deux, sans rien.
01:22 Le cerveau, David Niven, c'est bon.
01:24 -Ils ont peur de leur père.
01:26 -Toute l'émission, il est comme ça.
01:28 Le film avec Bourvil et David Niven, il est comme ça.
01:31 -Les émissions, le seul truc, c'est qu'ils disent
01:33 "N'appelez pas mon daron". -Exactement.
01:35 Première chose qu'ils disent, "N'appelez pas mon père".
01:38 En vérité, une fois de plus, et je le dis,
01:40 c'est un petit peu au cas par cas.
01:42 Mais je pense qu'une famille monoparentale,
01:45 une maman toute seule qui a énormément d'enfants
01:48 et qui ne s'en sort pas,
01:50 on peut limite le comprendre.
01:52 Quand les enfants ont un père, une mère,
01:56 je peux vous dire que si les parents
01:58 leur mettent la pression et leur disent
02:00 "Si tu fais des conneries, on va nous enlever les alopes",
02:03 je peux te dire que le gars, il ne va pas bouger une oreille.
02:05 Je vous le dis, je suis sûr et certain.
02:07 C'est une mesure pour moi qui doit être prise
02:09 un peu au cas par cas.
02:11 Mais dans le cas où les parents sont présents,
02:16 je suis désolé, c'est une mesure qui est indispensable.
02:19 Je vous le dis, ça va enlever énormément
02:22 de délinquance des mineurs.
02:24 Je le pense vraiment, je suis sûr et certain.
02:27 La première chose que dit un mineur
02:30 quand il se fait arrêter, il dit
02:32 "S'il vous plaît, n'appelez pas mes parents".
02:34 Je ne veux pas que mes parents le sachent.
02:36 - Cyril, je suis complètement d'accord avec vous.
02:38 C'est pour ça que j'avais dit non.
02:40 Je suis vraiment complètement d'accord avec vous.
02:42 Mais comment on fait concrètement le distinguo
02:44 entre une mère qui est dépassée
02:46 et une mère qui n'en a rien à foutre ?
02:48 - C'est pas du tout ce que j'ai dit.
02:50 Une fois de plus, tu ne m'as pas écouté.
02:52 Tu étais encore vacciné.
02:54 Le vaccin t'a rendu sourde.
02:56 - Il y a des familles qui lâchent prise complètement.
02:58 - Il n'y a pas de famille qui lâche prise.
03:00 Quand tu as ton père et ta mère,
03:02 je suis désolé, tu ne lâches pas prise.
03:04 Tu sais quoi ? Avoir des enfants, c'est un boulot.
03:06 Si je fais mal mon boulot, je le dirai.
03:08 Si mes enfants ont fait une connerie,
03:10 je dirai que je suis le responsable.
03:12 C'est un boulot. Je suis désolé, les gars.
03:14 Après, ça dépend s'ils sont séparés ou pas.
03:16 Il y a des parents séparés qui s'occupent
03:18 très bien de leurs enfants.
03:20 Il faut arrêter ça aussi.
03:22 Il y a des parents séparés qui s'occupent
03:24 très bien de leurs enfants.
03:26 Il y a 50 % des couples séparés.
03:28 Il n'y a pas 50 % de mineurs délinquants.
03:30 Il faut arrêter de dire des conneries aussi.
03:32 Les excuses aussi, à un moment.
03:34 C'est ce qui va arriver.
03:36 Le problème, je dis que c'est au cas par cas,
03:38 mais à mon avis, c'est des mères dépassées
03:40 qui vont se retrouver, s'il y a une mesure comme ça,
03:42 qui vont dire que c'est injuste.
03:44 Il faut toujours voir dans une mesure...
03:46 Excusez-moi, Gilles Verlaize, une fois de plus,
03:48 tu vas encore dire n'importe quoi.
03:50 – Je n'ai rien dit encore.
03:52 – Oui, mais on sait que tu vas dire n'importe quoi.
03:54 Dans une mesure et dans des décisions,
03:56 je vais vous dire pourquoi,
03:58 et après, peut-être que je vais dire une connerie,
04:00 pourquoi le pays n'avance pas.
04:02 Parce qu'à un moment, on ne peut pas faire plaisir
04:04 à tout le monde, les gars.
04:06 On ne peut pas, à chaque fois que tu vas prendre une mesure,
04:08 te dire "je vais faire plaisir à 100 % de la population".
04:10 Ce n'est pas possible.
04:12 Une mesure comme ça, je peux vous dire,
04:14 elle va arranger les choses à 90 %,
04:16 je suis sûr et certain,
04:18 mais il va y avoir 10 % de gens
04:20 qui vont se dire "oui, moi, je suis dans la merde
04:22 avec cette mesure".
04:24 – Ils vont mieux dans ce sens que dans l'autre.
04:26 Ils vont mieux que 10 % qui croient
04:28 que 90 % sont dans la merde.
04:30 – Je suis d'accord avec toi.
04:32 Et peut-être qu'il y aura moins de délinquances mineures.
04:34 Parce qu'aujourd'hui, tout ce qu'on voit,
04:36 on marche sur la tête ici, des mineurs,
04:38 aujourd'hui, la délinquance,
04:40 c'est les années 80.
04:42 Je veux dire, les délinquants de 14 ans,
04:44 ce n'est pas les délinquants des années 80
04:46 qui avaient 14 ans, je te le dis.
04:48 Donc aujourd'hui, c'est eux qui sont envoyés en plus,
04:50 en première ligne, parce que les mecs savent très bien
04:52 qu'ils ne prendront rien du tout et qu'ils vont sortir
04:54 au bout de deux jours.
04:56 Mais un mec de 14 ans, il peut te planter aujourd'hui.
04:58 Tu le sais, tu l'as bien vu.
05:00 Donc aujourd'hui, il faut stopper ça, je te le dis.
05:02 Moi, aujourd'hui, rappelez-vous le papa qui est venu ici.
05:04 Le papa qui est venu, son fils,
05:06 qui l'avait fait en gel.
05:08 Son papa, il était dépité.
05:10 Mais en vrai, c'est quoi l'histoire ?
05:12 Si son père, on lui avait dit,
05:14 je peux vous dire aussi,
05:16 on va arrêter les allocs, les trucs.
05:18 Là, il a beaucoup de mal aujourd'hui à travailler,
05:20 même sur le marché, maintenant, ça a repris.
05:22 Au début, il avait beaucoup de mal à travailler
05:24 parce que les gens lui en voulaient, etc.
05:26 Je peux vous dire, son fils, il a dû lui dire,
05:28 il a dû lui dire, oui, mon chéri,
05:30 j'arrive un peu plus à travailler,
05:32 regarde, on est dans la merde à cause de toi.
05:34 Il faut responsabiliser les mineurs.
05:36 Si les mineurs, ils veulent aller faire des conneries,
05:38 ils sont responsables aussi pour en payer les pots cassés.
05:40 Désolé, je vous le dis.
05:42 Donc les mineurs de 14, 13, 14 ans, 15 ans,
05:44 qui font n'importe quoi, qui frappent des vieilles dames,
05:46 qui sont avec des couteaux,
05:48 qui vont dans des fêtes aller planter des mecs,
05:50 ça, il faut les casser.
05:52 Et pour les casser, aujourd'hui, la police,
05:54 elle ne peut pas faire le travail des parents.
05:56 Je suis désolé. Le premier travail doit être fait par les parents.
05:58 C'est ni les profs, ni l'école qui doit faire ce travail
06:00 parce que les professeurs, les instituteurs,
06:02 ils ont autre chose à faire.
06:04 – L'école, c'est l'instruction.
06:06 – L'école, c'est l'instruction.
06:08 C'est les parents qui doivent le faire.
06:10 Le travail, c'est les parents qui doivent le faire.
06:12 Si le travail est mal fait, je suis désolé.
06:14 Je suis d'accord avec Jordan Bardella, cette mesure.
06:16 Et je peux vous dire que je pense
06:18 que grand nombre de Français sont d'accord
06:20 avec cette mesure, à part, bien sûr, les...
06:22 – La prison exsorciste, ça ne fait peur à personne.
06:24 Frapper au porte-monnaie en revanche,
06:26 c'est vrai, Gilles.
06:28 – Le seul qui va dire que c'est une mauvaise idée,
06:30 à peu près, c'est Gilles Vernez,
06:32 puisque même Valérie, elle est plutôt d'accord avec moi.
06:34 Et Raymond aussi, je crois que c'est pour les mêmes raisons que moi.
06:36 Il va en parler dans un instant.
06:38 Mais Gilles Vernez, c'est comme ses copains,
06:40 les gugusses de la LFI.
06:42 – Ce ne sont pas mes copains.
06:44 – C'est tes copains.
06:46 – Il va nous dire que c'est impossible.
06:48 – Si c'est pour dire que c'est impossible,
06:50 ce n'est pas pareil, ce n'est pas la peine.
06:52 Je te le dis parce que, tu sais quoi ?
06:54 C'est impossible, c'est le mot qui a mis la France dans la merde.
06:56 C'est des gens comme toi qui disaient "tout, c'est impossible".
06:58 Sache-le que c'est possible.
07:00 Tu ne peux pas faire plaisir à tout le monde.
07:02 Quand tu es élu président, quand tu es au gouvernement,
07:04 tu ne peux pas faire plaisir à tout le monde.
07:06 À un moment, je te le dis, il faut que tu prennes des décisions.
07:08 Si tu ne prends qu'une décision, quoi qu'il arrive,
07:10 tu ne le feras plaisir à personne.
07:12 En voulant faire plaisir à tout le monde,
07:14 tu ne fais toujours plaisir à personne.
07:16 Sache-le. En prenant une direction, tu feras plaisir.
07:18 Essaye de prendre toujours la direction qui fera plaisir au plus grand nombre.
07:20 C'est tout. C'est aussi simple que ça.
07:22 Donc, dis-nous ce que tu as à dire
07:24 et je vais te dire, on va tous se boucher les oreilles.
07:26 – Gentil, merci.
07:28 – C'est pas vrai, c'est pas vrai, c'est absurde.
07:30 Tous les travailleurs sociaux.
07:32 – Excuse-moi. – J'ai dit deux mots.
07:34 – Mais vous êtes qui ?
07:36 Écoutez-moi bien, je ne me balade pas un jour dans la rue
07:38 où les gens ne me disent pas
07:40 "Mais Gilles Vernez, il est absurde ou il le fait exprès ?"
07:42 Mais je dis "Non, malheureusement, il est comme ça".
07:44 Mais alors, dis-nous pourquoi.
07:46 Tu sais quoi ?
07:48 Déjà, encore une fois, tu dis "Cette mesure est impossible".
07:50 – Non, non, je n'ai pas dit impossible.
07:52 – C'est pareil.
07:54 Tu veux que je te dise "Tu es tellement dans la France qui recule".
07:56 Tu sais quoi ? Mets-toi un radar derrière toi.
07:58 Parce qu'à un moment, quand tu vas prendre le mur,
08:00 ils s'espèrent qu'on va te prévenir. Je te le dis.
08:02 Non mais je te le dis, parce que tu es en train de prendre le mur
08:04 et tu es vraiment, encore une fois, je te le dis,
08:06 tu es vraiment l'image de l'échec de la France.
08:08 Je te le dis. Voilà.
08:10 Dis ce que tu as à dire, mais une fois de plus.
08:12 Tu sais quoi ? Non mais je te le dis.
08:14 Non mais c'est vrai, excuse-moi, mais je t'adore.
08:18 – Heureusement remarqué.
08:20 [Rires]
08:22 – Merci.
08:24 J'aimerais qu'on voit le sondage avant que tu répondes.
08:26 – Ah d'accord.
08:28 – On va voir.
08:30 – C'est évident.
08:32 – Non mais vas-y, maintenant réponds.
08:34 Alors, tu en étais à "absurde" et "dangereuse".
08:36 Tu vois ce que je dis ?
08:38 "Absurde" et "dangereux", c'est deux adjectifs qui vont très bien.
08:40 Ça te va très bien.
08:42 – Je connais plein de travailleurs sociaux.
08:44 – Mais tu connais quoi ?
08:46 – Mes parents étaient éducateurs spécialisés toute leur vie.
08:48 J'ai contôlé des jeunes en difficulté.
08:50 – J'ai vu ta mère, franchement, elle a l'air beaucoup plus lucide.
08:52 – Lucide ?
08:54 – Oui, elle est plus sensée.
08:56 – Et je peux te dire, j'aurais préféré...
08:58 Ta mère, elle est beaucoup plus sensée que toi.
09:00 – Oui, elle serait d'accord avec vous, d'ailleurs.
09:02 J'aimerais pas être en désaccord avec ma mère.
09:04 [Rires]
09:06 – Vous savez pourquoi vous dites ça ?
09:08 Parce que votre mère, vous avez peur qu'on enlève les allocations à votre mère
09:10 avec les conneries que vous faites.
09:12 [Rires et applaudissements]
09:14 – Donc Jordan Barbella, il dénonce les familles
09:16 qui ont fait preuve de carence éducative manifeste.
09:18 – S'il te plaît, réponds à la question
09:20 et répèche-toi.
09:22 – C'est absurde et dangereux, parce qu'il dénonce ça.
09:24 Et tous les travailleurs sociaux, tout le monde vous dit
09:26 que ces familles-là sont des familles qui ont besoin d'être aidées.
09:28 Ce sont des familles en grande difficulté.
09:30 – Arrête de dire des bêtises.
09:32 Arrête de dire n'importe quoi.
09:34 Le monsieur qui est venu la dernière fois, Bouchaib,
09:36 qui est super en plus, il n'a pas besoin d'être aidé.
09:38 Il était dépité devant ce qu'avait fait son fils sur Mme Angel.
09:40 – Il faut les reconnaître.
09:42 – Donc qu'est-ce que tu racontes encore comme bêtise ?
09:44 – Il y a énormément de ces familles qui sont en difficulté.
09:46 Vous l'avez dit, des familles monoparentales.
09:48 On va supprimer les allocations familiales.
09:50 L'étape d'après, ces familles n'auront pas l'argent.
09:52 Étape suivante, elles vont être expulsées de leur logement,
09:54 qu'elles payent avec les allocations familiales.
09:56 – Suspendre, suspendre, suspendre.
09:58 – C'est pareil, suspendre.
10:00 Au bout de deux mois, le bailleur le dira.
10:02 Et le loyer, vous allez mettre à la rue des mères avec leurs enfants
10:06 et vous allez créer une nouvelle paupérisation.
10:08 C'est absurde le système.
10:10 Par ailleurs, je voudrais juste vous dire qu'aujourd'hui en France…
10:12 – Chut, calme-toi.
10:14 – … il y a un message très important.
10:16 Gilles Vernez représente la France de la délinquance.
10:18 Je suis complètement d'accord. – Ça, ce n'est pas vrai.
10:20 – Si, c'est vrai. Je te le dis, je suis d'accord avec cette personne.
10:22 – Échec, délinquance, ça fait beaucoup quand même.
10:24 [Rires]
10:26 – Si on jouait à mot de passe avec toi ou à pyramide, on dirait échec.
10:28 Délinquance, Gilles Vernez.
10:30 – Cyril, en France, les familles sont civilement responsables de leurs enfants.
10:34 Si vos enfants font des bêtises, vous payez les indemnités.
10:36 – Je suis responsable.
10:38 – Voilà, donc c'est déjà le cas.
10:40 – Arrête de dire des bêtises.
10:42 – Les indemnités, tu parles de conneries, tu dis n'importe quoi.
10:44 – C'est pas de bêtises.
10:46 – Quand un mineur, il a poussé en gel, l'espèce de roc-mal que tu es.
10:48 – Oui, c'est la famille qui est responsable des indemnités.
10:50 – Arrête un peu, mais alors, mais pas de bêtises.
10:52 – Donc, Cyril, en France, on est déjà frappé au portefeuille.
10:56 – Mais pas du tout.
10:58 – Est-ce que ça règle la délinquance ? Non.
11:00 – Mais oui, tu dis n'importe quoi.
11:02 – Mais non, je dis la loi.
11:04 – On est civilement responsables.
11:06 – Je te dis la vérité, les allocations familiales,
11:08 écoute bien le nom, allocations familiales déjà,
11:10 c'est une récompense pour ceux qui ont fait des enfants et qui s'en occupent bien.
11:16 Si tu fais des enfants et que tes enfants sont des délinquants
11:20 et qu'ils font, et qui commettent des méfaits en France,
11:24 je suis désolé, tu n'as pas le droit aux allocations familiales,
11:26 c'est, je vais te dire, tu vois ce que je te dis, c'est dans le titre.
11:30 – Droits et devoirs.
11:32 – Droits et devoirs, c'est tout.
11:34 Tu ne peux pas toujours avoir le beurre et l'argent du beurre.
11:36 Je suis désolé, Gilles Verdez, une fois de plus,
11:38 tu es encore à côté de la plaque, on n'en peut plus de toi.
11:41 – Il y a des familles qui ont plusieurs enfants, Cyril,
11:44 il y a des familles qui ont plusieurs enfants, je vous les mettais à la rue
11:46 parce qu'il y a un des enfants qui a fauté, c'est ça que vous voulez ?
11:48 – Non, pas du tout.
11:49 – Déjà tu enlèves la part de cet enfant.
11:50 – Non mais ça c'est différent, mais ce n'est pas ce qui est prévu.
11:52 – C'est bon, ne crie pas, s'il te plaît, il y a Daniel à côté,
11:54 tu vas faire sonner son sonotone.
11:58 – Là où je pourrais te rejoindre effectivement,
12:02 c'est que pénalement, aujourd'hui c'est deux ans d'emprisonnement pour les parents
12:07 et 20 000 euros d'amende je crois, mais ce n'est jamais appliqué.
12:11 – Quand c'est appliqué, ils ne paient pas.
12:12 – Donc il faudrait que ce soit appliqué pour qu'on n'ait pas à recourir
12:14 à cette suspension des allocations familiales.
12:17 – Vous pouvez appliquer la loi sans avoir besoin de supprimer les allocations familiales.
12:20 – Ecoute-moi bien, c'est parce qu'elles ont besoin aussi des allocations
12:22 que les familles vont réagir.
12:23 Après, je vais te dire, comme je l'ai dit, il y a des cas,
12:27 et ça nous fend le cœur, de familles où ils n'y arrivent pas, ils sont dépassés.
12:32 Mais je vais te dire, le plus grand nombre pour moi, je suis désolé,
12:36 je peux te dire que les délinquants mineurs, ils ont peur de leur père, de leur mère.
12:40 Crois-moi, je peux te dire.
12:42 Et il y a un autre truc aussi, il y a aussi les parrains,
12:48 les parrains qui envoient les délinquants faire du trafic de drogue,
12:51 les délinquants mineurs faire du trafic de drogue, etc.
12:53 parce qu'ils se disent, de toute façon, eux, ils vont faire le travail pour nous,
12:56 derrière on va leur donner un petit billet et nous on va récolter le gros du butin.
13:00 Donc voilà, ça aussi, c'est aussi un truc dans lequel il va falloir se mettre le nez dedans.
13:06 D'ailleurs, on le voit, Gérard Darmanin a fait l'opération Place Net,
13:10 et je pense que c'est aussi pour ça qu'il l'a fait.
13:12 Je vous le dis, parce qu'aujourd'hui, il y a plein de délinquants mineurs
13:15 qui se font embrouiller par des pseudo-parrains,
13:18 qui les envoient vendre de la drogue à leur place,
13:21 et qui se disent, de toute façon, avec eux, on risque rien, ne t'inquiète pas.
13:23 De toute façon, c'est ce qu'ils se disent, ils se disent, de toute façon,
13:25 tu sais quoi, tu vas faire deux jours, même pas, tu vas être en garde à vue 24 heures
13:28 et tu vas retourner au bon domaine, tu pourras recommencer.
13:30 Et c'est pour ça qu'ils prennent des mineurs.
13:31 Déjà, ça aussi, c'est un autre sujet, mais ça, il faudra que la justice change aussi pour les mineurs.
13:35 Parce que, comme je le dis, les mineurs de 1980, ce n'est pas les mineurs de 2024.
13:39 Donc forcément, la justice aujourd'hui n'est plus du tout adaptée, je vous le dis, aux mineurs délinquants.
13:44 Elle n'est plus du tout adaptée.
13:45 Aujourd'hui, on le voit ici, j'ai l'impression, moi, que, je vais vous dire,
13:50 trois faits de délinquants sur dix sont commis par des mineurs.
13:56 Je ne sais pas les chiffres, mais j'ai l'impression de ce que je sens comme ça, moi, ici.
13:59 Donc c'est énorme.
14:00 Je vous dis, c'est inadmissible.
14:02 Gilles Verdez, une fois de plus, tu es dans la France du rien,
14:05 dans la France qui n'avance pas, dans la France immobile, dans l'immobilisme.
14:09 Et quand on n'avance pas, on recule.
14:11 Goethe, merci.
14:13 Oui.
14:14 – Moi ?
14:15 – Oui, bah oui, pas ma mère, derrière.
14:17 [Rires]
14:19 – Alors, moi, il y a quelques années, j'étais mineure, et du coup, ça m'est arrivé de faire des bêtises.
14:22 Et c'est vrai que quand les sanctions n'aient touché que moi, je m'en foutais un peu.
14:25 Et quand ça a touché à mes parents, j'avais trop peur.
14:27 Et même, par exemple, vu comment mes parents, ils aimaient les allocations familiales,
14:30 si on leur enlevait, alors là, j'allais me faire défoncer.
14:32 – Bien sûr.
14:33 – J'avais jamais osé faire quelque chose.
14:34 – Voilà.
14:35 – C'est vrai que moi, je ne sais pas de l'extraordinaire.
14:36 – Non, et puis, Gilles, tu as dit qu'il faut appliquer la loi, mais elle n'est pas appliquée, la loi.
14:39 Les peines, d'abord, ne sont pas dissuasives, déjà.
14:41 Et puis, entre le temps du méfait qu'il y a eu, entre la condamnation et l'application de la peine,
14:45 il y a un laps de temps qui est beaucoup plus grand.
14:47 Tu vois, les mecs, il fait un truc, une connerie, il est en garde à vue, on le libère.
14:51 Et après, il sera jugé dans 6 mois.
14:53 Mais dans 6 mois, les mecs, tout le monde a oublié.
14:55 Enfin, je veux dire, c'est rien, c'est n'importe quoi.
14:57 Là, il y a un vrai problème auquel, j'espère, M. Dupond-Moretti va s'attaquer.
15:01 – Oula !
15:02 – J'espère, j'ai dit.
15:03 – On espère.
15:04 – Mais il a prévu de durcir l'article 227 ?
15:06 – Oui, mais le premier article existe déjà, il n'est pas appliqué.
15:09 – Mais en 2024, ça va un ministre…
15:11 Ça fait combien de temps qu'il est ministre, Eric Dupond-Moretti ?
15:14 Il n'est pas ça ? Il y a déjà une loi qui existe et qui n'est pas appliquée.
15:16 – Il va durcir la loi, sauf que la loi n'est jamais appliquée.
15:19 Donc c'est une annonce électorale.
15:21 Parce qu'il voit bien qu'évidemment, les gens ont envie de voter pour le RN
15:23 parce que le RN dit qu'il fera ça.
15:25 Donc c'est de la poudre aux yeux, ça ne sert à rien qu'on fasse appliquer
15:28 cette loi qui existe, ça suffit largement.
15:30 – Jean-Michel, est-ce que tu veux répondre à Gilles Verdes ?
15:33 – Non, mais une fois de plus, il me sidère, parce que c'est une fois de plus,
15:36 les arguments, genre c'est trop compliqué, c'est difficile.
15:40 Il faut oublier cette pnéologie qui fait que c'est trop difficile,
15:44 c'est des cas par cas.
15:45 Non, il y a des méthodes simples, alors il y aura des dommages collatéraux.
15:47 – Ah oui, ah ben voilà.
15:48 – Mais voilà, mais on est les mêmes.
15:49 – Dans toutes les mesures, ça.
15:50 – Dans toutes les mesures.
15:51 – Qu'est-ce que tu as dit tout à l'heure ?
15:52 – Il a dit tout à l'heure, tu ne fais rien.
15:54 – Mais je ne sais pas, mais je ne sais pas si c'est un dommage collatéral.
15:57 – Chaque mesure ne peut pas convenir à 100% des Français.
16:02 – On peut mettre un système en place aussi,
16:04 où les parents qui se sentent dépassés par leurs enfants
16:06 se signalent d'eux-mêmes aux services sociaux,
16:08 à ce moment-là, on ne le retire pas.
16:10 Ça ne se dirige jamais.
16:11 Et comment tu peux justifier qu'il y ait des parents
16:13 qui laissent leurs enfants dehors à 2h du matin ?
16:15 – Parce qu'ils sont déballés, parce qu'ils sont en perte d'autorité.
16:17 – Parce qu'ils s'en foutent.
16:18 – Ce n'est pas la majorité, crois-moi, ça n'est pas la majorité.
16:21 – Et c'est une insulte pour ceux qui éduquent bien leurs enfants.
16:23 – Exactement.
16:24 – Et même les mamans seules, au moins.
16:25 – Exactement, il y a plein de mamans seules qui éduquent leurs enfants très très bien.
16:27 Je suis désolé à la raison Géraldine.
16:28 – C'est bien sûr.
16:29 – Il faut qu'il arrête de dire d'énormes bêtises comme ça.
16:31 Tu dis encore toujours des bêtises.
16:33 Tu sais quoi ?
16:35 Tu es en train de faire des minorités.
16:38 – C'est ça.
16:39 – Tu parles de cas mineurs et tu essaies d'en faire des généralités.
16:42 Avec des gens comme toi, on n'avancera jamais.
16:44 Écoute-moi bien, pour l'instant, va chez le coiffeur
16:46 et après tu verras dans la vie.
16:48 – Et ça serait mieux de retirer ceux qui ne le méritent pas
16:50 pour donner plus à ceux qui méritent.
16:52 – Bien sûr, je suis complètement d'accord.
16:54 Moi, quand je vois des familles, des mères seules,
16:56 qui élèvent leurs enfants, qui travaillent bien à l'école,
16:58 qui sont incroyables.
17:00 Moi, je vois des dames de ménage qui sont toutes seules,
17:04 qui travaillent, qui font parfois trois foyers
17:06 pour essayer de s'en sortir,
17:08 et qui payent des études à leurs enfants.
17:10 Elles ne font rien, les pauvres, elles ne font que travailler.
17:12 Et elles, tu veux que je te dise, elles ne gagnent pas.
17:15 Et je suis désolé, pour moi, elles doivent gagner plus.
17:17 Moi, je suis désolé.
17:18 Moi, je te dis, je suis pour la France du mérite.
17:21 Toi, tu es pour la France de l'assistanat.
17:23 – Je suis d'accord avec vous.
17:24 – Tu es pour la France de l'assistanat.
17:25 Arrête de dire que tu es d'accord avec moi.
17:26 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:28 – Tu es d'accord avec moi.
17:29 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:30 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:31 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:32 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:33 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:34 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:35 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:36 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:37 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:38 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:39 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:40 – Non, mais je ne suis pas d'accord avec toi.
17:42 – Tu ne parles exactement à un enfant délinquant.
17:43 – Qu'est-ce que vous en savez ?
17:44 Si vous vous éduquez bien et qu'il devient délinquant parce qu'il a un mauvais entourage,
17:47 vous vous rendez compte de ce que vous dites ?
17:48 – Oui, mais on se rend compte de ce que vous dites.
17:49 – Est-ce qu'on peut revoir le sondage, s'il vous plaît, pour me mettre dans la gueule de Vernez ?
17:52 – Merci.
17:53 – La farce est perdue.
17:55 Ça monte depuis que tu parles, en fait.
17:56 – Bien sûr, mais dès qu'il parle, de toute façon, ça monte.
17:58 – 91 % des Français sont des cons.
18:01 – Oui, 91 % des Français.
18:02 – Mais on est tous cons.
18:03 – Mais il ne dit que des bêtises.
18:06 – Non, mais le problème, c'est que ça a été dit par Jordan Bardella, en fait.
18:09 – Bien sûr, c'est ça.
18:10 – Ça aurait été Mélenchon qui l'aurait dit.
18:11 Mélenchon l'avait dit, il aurait dit que c'était extraordinaire.
18:13 – C'est pas possible, idéologiquement, tu ne peux pas…
18:14 – Une nouvelle référence, ça me va.
18:15 – Non, mais…
18:16 – Elle n'a pas dit que c'était une nouvelle référence, on ne peut pas dire que tout a été dit.
18:19 – Monsieur Dior l'avait déjà…
18:21 – Oui, mais le problème, c'est que quand il y a un constat implacable
18:24 sur la violence inouïe aujourd'hui des mineurs, en fait, on doit trouver des solutions, on doit agir.
18:28 – Mais Gilles Vernez ne trouve aucune solution à rien.
18:30 La seule solution qu'il trouve, c'est d'essayer de dire des bêtises, d'essayer de reculer.
18:35 Il est en moonwalk perpétuel.
18:37 Non, mais sans rigoler, ce n'est pas possible.
18:39 – Est-ce que ce n'est pas le principal d'une démocratie
18:42 de faire des lois qui correspondent à ce que veulent les Français ?
18:44 – Exactement.
18:45 – 30% ? – Bravo.
18:46 – Tu veux faire une loi qui correspond à 10% des Français ?
18:48 – Mais exactement.
18:49 – Ça ne va pas, ça ne va pas.
18:50 – Mais c'est ça, France.
18:51 – On recule, ça ne fait pas de loi.
18:52 – Il ne dit que des bêtises.
18:53 – Moi, je vais vous dire, le gars qui, en 2027, va être pour la France du mérite,
18:58 je vous dis, c'est pour moi la clé.
19:00 Les Français, ils en ont marre d'être pris pour des guignols.
19:03 Je vous le dis, ils en ont marre.
19:05 Ils en ont marre de travailler toute la journée, d'être en difficulté,
19:08 de s'occuper des enfants, de ne plus avoir de loisirs,
19:11 et de se dire qu'il y a des mecs comme Gilles Vernez, comme ceux que tu défends,
19:15 qui sont des assistés.
19:16 – Moi ?
19:17 – Oui, tu les défends, bien sûr que tu les défends.
19:19 Arrête, arrête.
19:20 Mais ils sont des assistés que tu défends à longueur de journée,
19:22 et qui s'en sortent mieux que ceux qui travaillent,
19:24 et qui se font chier à avoir plusieurs boulots,
19:26 et qui se font chier pour aider leurs enfants à faire des études,
19:29 à avoir des cadeaux, et à pouvoir vivre une vie correcte.
19:31 Donc je peux te dire, les gens comme toi, Gilles Vernez, tu sais quoi ?
19:34 Tu es exactement, tu es la LFI.
19:36 Tu es tout ce que dit la LFI, c'est-à-dire qu'ils veulent faire plaisir à tout le monde.
19:39 Et je vais te dire, maintenant, en plus, la LFI, ils ont trouvé un nouveau truc,
19:42 qui est fou, tu vois, c'est l'antisémitisme électoral.
19:48 Maintenant, c'est vrai, c'est un nouveau truc aussi, maintenant.
19:51 Ils deviennent antisémites pour être élus.
19:54 C'est-à-dire que je pense qu'ils ne savent même pas ce qu'ils disent,
19:56 tu vois, je te le dis comme dans toutes leurs mesures,
19:57 ils ne savent même pas ce qu'ils disent, ils ne savent même pas,
19:59 ils sont au gré du vent, et ils disent "ah tiens, là il y a une brèche,
20:02 comme là personne n'y va, ah bah qui, les mecs, qui est antisémite comme parti ?
20:06 Personne ? Ah bah on va y aller alors, maintenant, vous voyez ou pas ?
20:08 Le RN, non, le FN c'est fini, donc c'est le RN maintenant,
20:12 donc ouais, bon ils ne sont plus là-dessus, on va y aller nous, d'accord ?
20:14 Bah les mecs, vous allez voir, et tu sais quoi ?
20:16 – Ah non mais ne me mêlez pas à ça, ne me mêlez pas à ça.
20:21 – Thierry, je ne te mêle pas à ça.
20:22 – Pas à l'antisémitisme électoral, j'ai toujours défendu…
20:25 – Je sais, je sais, je te parle juste de…
20:28 Tu essaies de faire plaisir à tout le monde,
20:32 on ne peut pas faire plaisir à tout le monde.
20:33 Aujourd'hui, je vais vous dire, la priorité c'est de faire plaisir
20:37 et d'aider ceux qui travaillent, les agriculteurs, les infirmières,
20:40 les professeurs, les femmes de ménage, les gens qui sont dans le domicile,
20:43 qui sont dans l'entretien, qui font du travail,
20:46 je vous dis les travailleurs indépendants, les entreprises,
20:49 les petites entreprises qui n'arrivent pas à s'en sortir,
20:51 les commerçants qui ne s'en sortent pas parce qu'ils ont des charges
20:54 qui sont impossibles à assumer, c'est ça, la priorité c'est ça,
20:59 ce n'est pas ce que tu racontes toi, avec des gens qui ne foutent rien,
21:03 qui ont leurs enfants dehors et leurs enfants qui commettent des délits.
21:06 Je te le dis, ces gens-là, pour l'instant, ce n'est pas la priorité
21:08 pour les aider en France, crois-moi, d'accord ?
21:12 Donc je veux te dire, tu dis d'énormes bêtises et une fois de plus,
21:15 tu représentes la France de l'échec, excuse-moi.
21:18 – Est-il besoin de rappeler que Mélenchon n'a jamais travaillé de sa vie ?
21:21 – Qu'est-ce qu'il y a ?
21:22 – Est-il besoin de rappeler que M. Mélenchon n'a jamais travaillé de sa vie ?
21:25 – Voilà, merci, merci Bernard Montiel, bravo, c'est toi qui es…
21:28 – C'est Montiel qui dit ça !
21:29 [Rires et applaudissements]
21:33 [Musique]