Le JT - 18/04/24 - Blanchisserie CHUGA, Alain Bernard, UGA, Gardiens de troupeaux

  • il y a 5 mois
Chaque jour ce sont près de 19 tonnes de linge qui passent par la blanchisserie du CHU Grenoble Alpes, installée à l'hôpital sud. Draps, taies, serviettes mais aussi tenues professionnelles. 4500 mètres carrés de bâtiment où s'activent 80 salariés. Objectif, que tout ce qui arrive sale le matin reparte propre le soir. Grimper, courir, sauter, et nager...Le campus transformé en parcours d'initiation sportif à l'occasion de la 1ère Rencontre de tous les sports qui s'est tenue il y a quelques jours à l'initiative du Crous. Et pour motiver les plus réfractaires à l'activité physique, le double champion olympique de natation, Alain Bernard. Oubliés de la crise agricole, les gardiens de troupeaux dénoncent l'arrêt des négociations avec la FNSEA et demandent de meilleures conditions de travail. A la veille de participer à la foire de Beaucroissant, Tomas Bustarret, membre du syndicat des gardiens de troupeaux de l'Isère est l'invité du JT

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00:00 *Musique*
00:09 Chaque jour, ce sont près de 19 tonnes de linge qui passent par la blanchisserie du CHU Grenoble Alpes,
00:14 installée à l'hôpital Sud, drap, thé, serviette, mais aussi tenue professionnelle.
00:18 4500 m2 de bâtiment où s'activent 80 salariés.
00:22 Objectif, que tout ce qui arrive sale le matin reparte propre le soir.
00:28 Grimper, courir, sauter, nager et même faire de la boxe,
00:32 le campus transformé en parcours d'initiation sportif à l'occasion de la première rencontre de tous les sports.
00:38 C'était il y a quelques jours à l'initiative du CRUSS pour motiver les plus réfractaires,
00:42 un double champion olympique de natation Alain Bernard.
00:46 Et puis oublié de la crise agricole, les gardiens de troupeaux dénoncent l'arrêt des négociations avec la FNSEA
00:51 et demandent de meilleures conditions de travail.
00:53 A la veille de participer à la foire de Beaucroissant, Thomas Bustaret, membre du syndicat des gardiens de troupeaux de l'Isère,
00:59 est l'invité du JT.
01:01 Bonsoir à tous, ravi de vous retrouver dans ce JT du jeudi 18 avril 2024,
01:08 du lundi au vendredi à partir de 18h, l'essentiel de l'actualité du Grand Grenoble.
01:13 C'est du propre à l'hôpital.
01:16 La propreté fait aussi partie des soins et tenues et draps se doivent d'être irréprochables.
01:22 Pour laver le linge sale des autres, il sont plusieurs dizaines d'employés à la blanchisserie du CHU
01:28 pour traiter le linge des 12 établissements du groupement hospitalier du territoire arque alpin.
01:34 Ça en fait des draps et des tenues.
01:36 Alors ici, les machines peuvent laver jusqu'à 2,5 tonnes chaque heure en broc rosé.
01:41 Des montagnes de linge.
01:44 Chaque jour, la blanchisserie de l'hôpital sud reçoit près de 19 tonnes de tissus,
01:49 des draps, des blouses blanches ou encore des tenues professionnelles.
01:53 Et quand les baluchons arrivent, certaines surprises peuvent s'y cacher.
01:58 Ce qu'on trouve très régulièrement, des lunettes, des dentiers, des portefeuilles.
02:03 On retrouve de tout, des badges professionnels.
02:06 Les 80 employés s'activent, chacun à leur poste,
02:10 tel une ruche d'abeilles dispatchées sur les 4 500 m2 du bâtiment.
02:16 Un métier de l'ombre, mais pourtant, la blanchisserie représente un maillon essentiel pour la vie d'un hôpital.
02:23 Aujourd'hui, l'enjeu pour nous, c'est vraiment de répondre aux besoins patients.
02:28 Parce que le patient, nous, la prestation qu'on fait aujourd'hui,
02:32 on lui livre les draps, les têtés, les couvertures, tout ce qui est dans sa chambre.
02:38 Mais aussi, on livre tout ce qui est tenue professionnelle.
02:41 On est vraiment dans l'obligation de livrer et on ne peut pas se permettre de ne pas livrer du linge.
02:47 Sinon, on met en difficulté les services.
02:49 En plus du traitement des tissus, aux premières heures du matin,
02:53 5 tournées de chauffeurs transfèrent le linge dans plus de 250 points de livraison en Isère.
02:59 La blanchisserie entièrement autonome doit tenir de façon rythmée ce va-et-vient permanent.
03:05 On est sur un débudget quand même important.
03:07 On est sur des budgets de 800 à 900 000 euros par an d'achat de linge.
03:11 Donc, ce n'est pas anodin.
03:13 Donc, on essaie de fournir une prestation.
03:16 Mais il faut aussi que les services nous aident parce que nous, on n'a pas de matière première.
03:19 C'est le linge qui est sale, qui rentre tous les jours et on n'a pas beaucoup d'avance.
03:25 Un objectif donc important, sensibiliser patients et professionnels de santé à prendre soin du linge utilisé.
03:32 Il y a des demandes des écoles, des écoles d'infirmières
03:35 ou les écoles aussi des étudiants qui viennent aussi visiter.
03:39 Et ça nous permet de leur faire connaître notre métier et puis de leur dire aussi qu'il faut faire attention au linge.
03:46 Lavage, séchage et pliage dans le plus grand soin pour les quelques 30 000 textiles traités chaque jour.
03:53 La blanchisserie tente aussi de réduire son impact environnemental avec moins de produits chimiques.
04:00 Et les machines à laver utilisent aussi trois fois moins d'eau qu'une machine ordinaire.
04:05 La consommation d'eau, l'un des sujets au cœur de la concertation mise en place par la Commission nationale du débat public
04:13 concernant le projet d'extension de ST Microelectronics à Król qui vise à doubler la production.
04:19 Cette concertation s'achèvera demain vendredi.
04:22 Le fabricant de puces électroniques a annoncé ces dernières semaines
04:25 qu'il mettait en place une ligne pilote de recyclage de l'eau pour se rapprocher de 60% d'eau recyclée dans son processus industriel.
04:34 Il vous reste quelques heures pour déposer vos contributions sur le site stmicroelectronics.je-contribue.com
04:42 Et à quelques mètres de la Seuiltec, spécialiste des semi-conducteurs annonce qu'il reporte la construction de sa nouvelle usine de Bernins
04:50 et l'achat d'un terrain de 11 hectares, attenant à celui qu'elle possède déjà.
04:54 L'entreprise suspend son projet de 600 millions d'euros pour raisons économiques.
04:58 Elle avait surévalué son chiffre d'affaires alors que le marché des smartphones a chuté au plus bas niveau depuis 10 ans.
05:06 C'est aussi dans l'eau qu'il a gagné ses plus beaux titres à son jour des Jeux Olympiques.
05:12 Le double médaillé d'or de natation Alain Bernard était sur le campus grenoblois récemment.
05:18 Pas pour se mettre en maillot mais pour encourager les étudiants et les aider à trouver leur voie au milieu de diverses disciplines.
05:25 Camille Avon.
05:26 C'est le moment pour eux de décompresser des examens et de se mettre en mouvement.
05:31 Ici à la résidence Ouest sur le campus de Saint-Martin d'Aire, 200 étudiants ont participé à la première édition de la rencontre de tous les sports
05:39 organisée par le Crous de Grenoble.
05:41 Boxe, skateboard, escalade ou encore golf, plusieurs activités sont proposées pour les initiés.
05:48 Et pour les motiver encore plus, Alain Bernard, double champion olympique en natation, est venu leur partager son expérience.
05:56 Je sens qu'il y a un vrai engouement à quelques mois des Jeux Olympiques et Paralympiques où il faut faire rayonner ces valeurs-là.
06:03 Dans le sport, il n'y a pas de religion, il n'y a pas de frontière, il n'y a pas de barrière.
06:07 C'est ça qui est génial, on est pris à s'affronter et derrière on doit se féliciter, s'encourager.
06:14 Les étudiants peuvent aussi concocter leur propre smoothie à la force de leurs jambes en pédalant sur un vélo.
06:20 La Faculté de Grenoble est l'une des plus sportives de France avec notamment 600 étudiants sportifs de haut niveau.
06:27 Cet événement est l'occasion pour eux de bouger tout en s'amusant.
06:31 J'ai entendu parler de cette journée du sport et quand je suis venu pour rentrer chez moi, vu qu'il y avait pas mal d'activités proposées, je me suis dit pourquoi pas tester.
06:39 Déjà on a fait le wall climbing, c'était cool aussi. On a fait un petit peu de boxe.
06:44 I won by the way. He did not.
06:48 Là on est un petit peu nuls au golf mais bon c'est cool.
06:53 C'est le sourire aux lèvres que les étudiants passent d'activité en activité, un moment qui a pour but de leur faire oublier le stress du quotidien.
07:01 On est dans une période où il y a beaucoup de sources de stress.
07:05 Là c'est une période d'examen mais en termes géopolitiques, en termes internationaux, même en termes climatiques,
07:11 beaucoup d'étudiants expriment un vrai mal-être, une vraie inquiétude.
07:15 Je pense que ces moments-là participent à créer de la cohésion, de la rencontre, de l'échange.
07:19 Cet événement est financé par la contribution à la vie étudiante que paye chaque élève lors de l'inscription à la faculté.
07:25 Le Crous pense pérenniser cet événement.
07:28 Un nouveau départ au Brûleur de Loue. Le défenseur international Lucien Honneau quitte le club.
07:34 Agé de 25 ans, formé à Grenoble et originaire de Villars-de-Londres.
07:39 Il avait été blessé depuis l'automne dernier et n'était reparu que pour la finale.
07:43 Il est actuellement en stage de préparation avec l'équipe de France avant les Mondiaux.
07:48 En campagne et à la campagne, Marc Fesneau est attendu samedi après-midi à Sessiné-Parisais
07:54 pour un temps d'échange dans le cadre des élections européennes.
07:57 Mais avant cela, le ministre de l'Agriculture sera à la foire de la Beaucroissant à la mi-journée
08:02 pour rencontrer notamment les organisations syndicales.
08:05 Ce sera donc le moment pour mon invité de faire du bruit.
08:09 Bonsoir Thomas Bustaret.
08:11 Bonsoir.
08:12 Vous êtes membre du syndicat des gardiens de troupeaux de l'ISER
08:16 et vous serez donc présent avec votre organisation ce week-end à la Beaucroissant
08:20 pour parler de vos conditions de travail et mettre en avant un certain nombre de revendications.
08:26 On va en parler tout de suite.
08:27 D'abord, un gardien de troupeaux, ce n'est pas forcément propriétaire du troupeau.
08:31 Vous êtes salarié. On fait appel à vous. Plutôt l'été, c'est un CDD saisonnier. C'est bien ça ?
08:36 Voilà, il y a quelques gardiens de troupeaux qui travaillent aussi en hiver, notamment dans le sud.
08:41 Mais là, on va dire ici en ISER, la plupart des gardiens de troupeaux travaillent en estive.
08:45 En alpage, l'été, sous 4 mois environ de contrat CDD.
08:50 Donc il y a une bourse de travail et puis vous allez postuler sur différents secteurs
08:56 selon vos compétences et les envies des propriétaires aussi ?
08:59 Voilà, effectivement, il y a comme des annonces.
09:01 Et donc nous, on est très mobile.
09:03 Donc on va bosser autant dans le Carat, autant dans le Nord des Alpes.
09:10 On est très mobile pour trouver les conditions de travail les meilleures,
09:14 sachant qu'elles sont souvent problématiques malheureusement.
09:18 Alors justement, normalement, vous négociez avec le syndicat majoritaire des agriculteurs, la FNSEA.
09:24 Vous fixez ensemble vos conditions de travail, mais pour l'instant, les négociations n'avancent pas tellement.
09:29 Ouais, effectivement, il y a un an, on avait fait un mouvement devant la Chambre de l'Agriculture
09:35 pour déclencher des négociations spécifiques sur les gardiens de troupeaux.
09:39 Nous, on a un souci dans nos conditions de travail, mais aussi un souci par rapport à la réglementation
09:43 qui n'est pas très bien faite pour notre cas de travail en alpage,
09:48 isolé, avec des charges de travail sur 14 heures par jour, etc.
09:53 Et du coup, on a besoin de ces espaces pour faire évoluer au mieux la réglementation,
09:58 pour qu'elle soit déjà mieux applicable et aussi qu'elle nous permette de nous projeter dans ce travail.
10:05 Alors depuis quelques mois, la grogne monte.
10:08 On a fait un clip de rap pour soutenir votre mouvement, qu'on peut retrouver sur YouTube, notamment.
10:14 Aujourd'hui, vous demandez donc la réouverture des négociations.
10:17 Vous voulez être payé pour les heures que vous effectuez.
10:20 Voilà, il y a plusieurs rendications, notamment celle-ci.
10:23 On a un souci d'horaire de travail.
10:25 On a accès à des contrats entre 35 et 44 heures de travail par semaine.
10:29 Et nous, en fait, on fait entre 55 et 90 heures de travail par semaine, du fait de la nature du travail.
10:35 Quand il faut s'occuper des troupeaux, il y a un moment, c'est maintenant.
10:39 C'est une astreinte par rapport aux êtres vivants, par rapport aux animaux qu'on ne peut pas déroger.
10:45 Et du coup, ça nous met vraiment en difficulté.
10:48 Et on n'est pas payé, en fait.
10:50 Donc c'est une situation illégale qui, aujourd'hui, met en difficulté tout le monde, les éleveurs compris.
10:56 On aimerait bien faire avancer la réglementation pour permettre d'être payé tout simplement toutes nos heures.
11:04 – Il y a aussi la question du logement.
11:06 – Effectivement. En fait, les cabanes, les logements en alpage, il y a un parc de logement,
11:12 je crois qu'ils ont référencé 181 cabanes en Isère.
11:15 Il y en a une bonne partie qui est vraiment en état insalubre.
11:19 – Pour vivre, alors qu'il peut pleuvoir, neiger, avoir du vent, faire très chaud.
11:24 – Voilà, effectivement.
11:25 Et en plus, comme on a des grands temps de travail,
11:28 on a aussi des moments où on doit pouvoir sécher nos affaires, se laver.
11:33 On travaille avec les animaux, donc il y a des zoonoses, etc.
11:36 Donc on a besoin d'une hygiène, on a besoin d'un logement décent.
11:41 – D'accord.
11:42 Et également, votre équipement, les frais liés à votre chien, tout ça, c'est pas pris en compte non plus ?
11:47 – Effectivement. Alors, à l'inverse de, on va dire, les travails normaux,
11:52 normalement, quand on va à l'usine, l'usine nous fournit nos équipements de travail.
11:57 En fait, aujourd'hui, nous, quand on monte en alpage,
11:59 on monte avec nos équipements de travail personnels, que l'on achète.
12:03 Donc ça va des chaussures jusqu'à des parapluies à antifoudre.
12:09 Et aussi les chiens, les chiens de conduite qu'on utilise, c'est nos chiens,
12:13 parce que c'est une paire, en fait, on les dresse, c'est vraiment un duo,
12:17 comme les chiens de travail pour les avalanches, etc.
12:21 Mais, en fait, tous les frais, c'est nous qui les avançons,
12:24 et sur des métiers qui sont déjà très précarisés, avec, on va dire, pas très bien payés,
12:29 ça correspond à peu près, sur un alpage, l'ensemble de ces frais,
12:32 ça correspondrait à 1 500, 2 000 euros.
12:35 – Par mois que vous n'avez pas ?
12:37 – Pas par mois, par alpage.
12:38 – Par alpage, pardon.
12:39 Et il y a une différence entre les gardiens qui bénéficient du plan loup et les autres, je crois, aussi ?
12:44 – Alors, le plan loup, il s'applique sur des zones, notamment en Auvain,
12:47 sur des zones où il y a des fortes prédations.
12:49 Ce plan loup, il permet, au niveau de l'équipement de travail,
12:53 enfin, l'équipement utilisé, par exemple, les clôtures, etc.,
12:56 il permet aux éleveurs d'être largement soutenus financièrement,
13:01 et il permet aussi, au niveau des salaires des gardiens de troupeaux,
13:06 sur ces zones-là, ils sont soutenus à 80%.
13:09 Et donc, nous, quand on demande, par exemple…
13:11 – C'est plutôt pour les Auvains.
13:12 – Donc ça, c'est pour les Auvains, voilà.
13:14 En Isère, c'est presque, je crois que c'est tous les alpages Auvains
13:17 qui sont concernés par le plan loup.
13:19 Et du coup, derrière, par exemple, quand nous, on demande d'être mieux payés,
13:23 par exemple, de 200 euros, en fait,
13:26 eux, ils ne vont être concernés que de 20% de cette somme, en fait, au niveau des employeurs.
13:32 Donc, les moyens, il y en a pour nous assurer des meilleures conditions de travail,
13:37 notamment sur les Auvains, voilà.
13:40 – Donc, il faudrait qu'il y en ait un petit peu, il faudrait tout remettre à plat.
13:43 Vous estimez que la précarité de votre situation, ça fait qu'il y a moins de candidats,
13:46 et ça fait que le pastoralisme, les pâturages, sont moins bien entretenus,
13:51 ce qui peut avoir aussi, évidemment, des conséquences,
13:53 surtout les pratiquants de la montagne l'été,
13:55 on est de plus en plus nombreux à y même marcher l'été, en montagne.
13:58 – Oui, effectivement.
13:59 Alors, nous, il faut imaginer que, du fait de ces mauvaises conditions de travail,
14:03 aujourd'hui, il y a une population de bergers, déjà, qui…
14:06 il y en a de moins en moins, et elle n'est pas très qualifiée,
14:09 dans le sens où… elle n'est pas très expérimentée,
14:11 dans le sens où elle reste, en moyenne, 5 ans dans le métier,
14:14 et tous les ans, il y a 60% des bergers qui changent d'alpage,
14:18 notamment pour des raisons de conditions de travail.
14:20 Donc, c'est une sorte de turnover infernal, qui est préjudiciable pour tout le monde,
14:25 et aujourd'hui, il y a beaucoup de gens qui s'emploient à définir comment,
14:29 pour des raisons écologiques, pour des raisons de gestion des espaces
14:34 avec les loisirs, etc., il y a beaucoup de gens qui essayent de trouver des solutions,
14:38 mais en fait, si derrière, les opérateurs, les acteurs sur place,
14:42 en fait, changent tout le temps…
14:45 – C'est tout un écosystème…
14:46 – Voilà, et bien en fait, derrière, c'est extrêmement problématique,
14:49 en fait, on ne résout pas les problèmes liés au pastoralisme
14:51 et liés aux grands espaces d'altitude.
14:54 – Merci beaucoup Thomas Buscarré,
14:56 je rappelle que vous êtes membre du syndicat des gardiens de troupeaux de l'Isère,
15:00 et que vous serez, ce week-end, sur La Beaucroissance,
15:02 si on veut en savoir plus et vous poser plein de questions.
15:05 Merci beaucoup.
15:06 Quelques idées de sorties également, dans le cadre des Allées Chantes,
15:09 vous pourrez découvrir vendredi soir au musée de l'Ancienne Évêchée de Grenoble,
15:12 le trio Nota, un concert de musique hongroise a cappella,
15:15 proposé par trois chanteuses, Cathy Delolme, Gabrielle Varbetian et Mélissa Zantman.
15:21 Le terme de Nota est utilisé en hongrois pour désigner un genre de chanson populaire
15:25 où variation et improvisation sont essentielles,
15:28 l'entrée libre dans la limite des places disponibles.
15:31 Le festival Sa Cinéma, les rencontres internationales du Cinéma étudiant,
15:36 se déroule toute la journée de vendredi à la Cinémathèque de Grenoble.
15:39 Une quinzaine de courts-métrages d'étudiants internationaux sont programmés,
15:42 du cinéma documentaire aux films d'animation en passant par la fiction.
15:46 Certains réalisateurs et réalisatrices pourront être présents pour échanger avec le public,
15:51 et là encore, l'entrée est libre.
15:53 Le seul qui puisse réconcilier Racine et Nabila, c'est lui.
15:58 C'est l'un des éléments de défense que François Guédon vous soumettra
16:01 cette fin de semaine à la base-cour de Grenoble à l'occasion du procès Guédon.
16:05 Allions à l'intelligence à la vanne, à la démonstration, à la parole,
16:08 le comique clame son innocence et prône le mélange des cultures.
16:12 A l'issue de cette audience mouvementée, on s'interroge.
16:14 Derrière ces pitreries, le but inavoué de François Guédon
16:17 ne serait-il pas plutôt de nous faire réfléchir ?
16:21 Retour de l'actu dans une heure et en replay sur telegrenoble.net.
16:24 Excellente soirée à tous !
16:26 (Générique)
16:29 ---

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