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NewsTranscription
00:00 [Générique]
00:19 Bonsoir à tous et bienvenue au 20h30.
00:22 À la une, la police municipale.
00:24 Assurer le bon ordre et la sécurité dans les communes,
00:27 la consigne est très claire. Les experts proposent même
00:30 une formation plus rigoureuse et une sélection méticuleuse des agents
00:34 pour plus d'efficacité.
00:36 [Générique]
00:39 Hémophilie. Le 17 avril était journée mondiale de sept maladies
00:43 aux sons incurables et héréditaires qui se manifestent
00:46 par la non-coagulation du sang. Nous faisons connaissance
00:49 avec l'hémophilie dans ce journal pour mieux vivre avec elle
00:52 et accompagner les personnes affectées.
00:54 [Générique]
00:56 RDPC, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais,
00:59 se mobilise à Bamenda pour appeler les camarades du parti
01:02 et les populations à la paix et au développement.
01:06 Voilà pour les titres.
01:08 Merci pour votre fidélité. Mesdames, messieurs, bonsoir.
01:12 La police municipale a pour mission d'assurer le bon ordre
01:17 et la sécurité dans une commune selon le décret présidentiel
01:22 de 2022, un corps spécialisé dans la lutte contre l'incivisme,
01:26 sauf qu'elle transgresse la plupart du temps les limites
01:29 fixées par cet écret. Contrôle d'identité, arrêt des usages,
01:33 ce n'est pas leur rôle, mais celui des forces de l'ordre.
01:35 La police municipale les limite à ne pas franchir.
01:39 Agnès Solange Abesolo.
01:42 S'assurer du bon ordre d'une cité, de la sûreté
01:45 et de la tranquillité d'une commune sur un territoire précis
01:49 n'est pas synonyme de répression.
01:51 Pour la plupart, c'est eux qui ont des motos.
01:53 Quand on a confié la moto à un jeune homme,
01:56 quand on l'interpelle, on vous dit que c'était ma moto de service.
02:00 Le rôle de la police municipale ne devrait donc pas être répressif.
02:04 Au titre des articles 218 et suivant du Code général
02:09 des collectivités territoriales décentralisées,
02:12 la police municipale a pour mission d'assurer le bon ordre,
02:16 l'hygiène, la tranquillité et la salubrité publique.
02:20 Sensibiliser les usagers de la voie publique sur les règles à respecter
02:24 sans déborder sa marge de manœuvre.
02:26 La police municipale a le devoir de rendre compte des constats
02:31 qui ont été menés sur le terrain et au besoin,
02:35 référer pour ceux qui ne concernent pas leur activité
02:38 à la police nationale ou à la gendarmerie nationale
02:42 qui, elles, ont la responsabilité sous l'autorité
02:46 du représentant de l'État, notamment le préfet de Séan,
02:50 d'assurer tout ce qui concerne les contrôles et la répression.
02:54 Sauf qu'en l'absence de la police municipale ce jour,
02:58 les deux roues, en l'occurrence, se sentent poussées des ailes.
03:02 Et ça se voit.
03:03 Ça se voit, effectivement.
03:05 Alors il faut changer la dynamique, faire émerger une nouvelle
03:09 génération de policiers municipaux.
03:11 Et les ESPER propose de passer par la formation
03:14 et le respect strict du décret présidentiel
03:16 pour tant organisation de ce métier.
03:19 Franck Evina nous en dit plus.
03:21 Sa dénomination pourrait prêter à confusion.
03:25 Autant le préciser, la police municipale assure le bon ordre urbain,
03:29 mais pas le maintien de l'ordre.
03:31 Si les policiers municipaux rencontrent des difficultés
03:34 dans l'exercice de leur mission, qui appellent au maintien de l'ordre,
03:38 ils font appel aux policiers nationaux
03:40 qui seuls peuvent assurer des missions de sécurité des personnes.
03:44 Une activité au demeurant noble et ô combien utile
03:47 dans nos villes en pleine expansion.
03:49 S'assurer qu'à travers leur comportement,
03:52 les citoyens respectent les fondamentaux
03:59 pour qu'on vive bien en société.
04:03 Les derniers événements tragiques impliquant ce corps de métier à Yaoundé
04:06 imposent un retour à l'orthodoxie de la profession.
04:10 C'est des équipes de collaborateurs, des magistrats municipaux
04:15 pour les aider à maintenir la tranquillité dans l'espace communal,
04:19 notamment sur la voie publique, sur les espaces publics.
04:25 Former, définir un profil de carrière,
04:28 la National School of Local Administration a à faire.
04:31 Le policier municipal n'est pas ce rebut de la société,
04:34 le policier municipal n'est pas ce repris de justice,
04:37 le policier municipal n'est pas ce neveu, ce cousin
04:40 qui entre guillemets est consommateur de stupéfiants
04:43 que le maire veut absolument intégrer, à qui il faut trouver de l'emploi.
04:47 Le policier municipal peut être un diplômé de l'enseignement supérieur.
04:51 Il faut tracer un profil de carrière,
04:53 il faut définir un critérium permettant d'accéder à cette fonction qui est noble.
04:57 La police municipale est assujettie à la police nationale.
05:02 Ça ferait partie des notions que nous allons inculquer à la police municipale,
05:06 c'est-à-dire celle de la collaboration et de la subordination à la police nationale.
05:12 Objectif, faire émerger une nouvelle génération de policiers municipaux,
05:16 professionnels et conscients de la délicatesse de leur activité.
05:20 Et à propos, le ministre de l'administration territoriale
05:24 appelle les mairies à organiser la police municipale.
05:28 C'était lors d'une réunion de crise jeudi dernier à Yaoundé.
05:31 Paul Atangadji a insisté sur les modalités de recrutement des personnes de bonne moralité.
05:37 Je vous propose d'écouter au micro de Augustin Gizana.
05:40 Il m'est revenu que les agents de la police municipale
05:46 font les cotisations journalières, hebdomadaires et mensuelles.
05:51 Et les fonds pour ces cotisations proviennent du racket organisé
05:55 qui consiste à exiger un certain montant aux conducteurs de mototaxi chaque jour
06:01 pour leur accorder le passage dans la ville, y compris dans les zones interdites par le préfet.
06:08 Ce racket organisé doit cesser dès aujourd'hui.
06:12 Il y a trop de récrimination contre la police municipale.
06:21 Il faut recadrer les choses le plus rapidement possible.
06:25 La police municipale doit nous aider à lutter contre le désordre urbain.
06:32 Elle ne doit pas encourager le désordre urbain.
06:35 C'est contraire à ses missions.
06:37 Nous comptons sur la collaboration des maires qui vont, d'orénavant, encadrer la police municipale
06:46 et recruter sur la base d'une bonne moralité les agents de la police municipale.
06:53 Car nous constatons qu'il y a beaucoup de repris de justice
06:57 qui exercent le métier de la police municipale.
07:00 C'est inacceptable.
07:02 Ce n'est pas prévu dans le décret du chef d'Etat.
07:05 Et comme je vous ai dit, le décret du chef d'Etat créant la police
07:09 ne sera respecté rigoureusement dès aujourd'hui.
07:14 Bon entendeur, salut.
07:16 Le Centre d'éducation, de formation et d'appui aux initiatives de développement,
07:20 ces FED, et le ministère des Affaires sociales unissent leurs efforts
07:24 pour l'insertion socio-économique des populations locales
07:27 dans les régions de l'Est et du Sud au Cameroun.
07:30 Une convention de trois ans renouvelables vient d'être signée dans ce propos à Yaoundé.
07:35 Je vous propose d'écouter les acteurs au micro de notre reporter Elviri Balé.
07:41 Cette convention nous permet, dans une mesure plus restreinte,
07:45 de mettre en place le projet que nous appelons le projet Bengo,
07:49 qui est mis en place dans la sous-région Afrique centrale,
07:53 dans la République centrafricaine, la République démocratique du Congo
07:58 et la République du Cameroun à travers justement notre organisation, le CFAID.
08:02 Et nous pensons qu'au terme de la mise en œuvre de cette convention,
08:07 nous allons trouver justement des éléments qui nous permettent d'aller de l'avant,
08:12 non seulement par rapport au projet Bengo,
08:14 mais par rapport à la dynamique d'accompagnement des communautés locales et autochtones au Cameroun,
08:19 avec l'appui du Minas.
08:21 Le CFAID travaille sur l'accompagnement et l'amélioration des conditions de vie
08:27 des peuples autochtones d'une part et des communautés locales de beaucoup plus vulnérables.
08:32 Cela fait partie des objectifs et des missions de l'organisation CFAID.
08:37 Parlons d'économie à présent, Cameroun Investment Forum à Douala dans le littoral,
08:42 la quatrième édition, débutée mercredi dernier, s'est achevée hier vendredi.
08:46 En mettant en évidence les filières à relever pour optimiser l'équilibre, la balance commerciale,
08:52 en l'occurrence le riz, le maïs, le lait et le poisson,
08:56 entre autres, l'employant Bertrand Danefo sur les retombées de ce forum.
09:01 Par des conventions signées, des échanges B2B, B2G ou des pléniers,
09:08 le Cameroun Investment Forum 2023 aura tracé la voie idéale de la réussite
09:14 de l'implémentation de la politique de l'import-substitution.
09:18 Le rapport général des travaux a notamment inscrit parmi les priorités
09:22 le type-tique disponibilité, accessibilité et attractivité.
09:27 Les terres, les sémences, les infrastructures routières de transformation et même le financement
09:33 doivent faire l'objet d'un meilleur suivi et des réajustements.
09:37 Il faut augmenter le flux global de ce produit, riz, poisson, blé et consomme,
09:43 et augmenter le flux global du quiffage des entreprises.
09:45 Il faut amener une véritable culture de l'entrepreneuriat au Cameroun,
09:48 depuis la jeunesse jusqu'à la classe mature des personnes.
09:51 Au CIFF 2023, de nombreux autres acteurs impliqués dans la politique de l'import-substitution
09:57 se sont investis pour obtenir les appuis nécessaires à leur projet.
10:02 Je suis satisfait parce que ça m'a ouvert l'esprit à comprendre beaucoup de choses.
10:07 Durant ce forum, ils nous ont rassurés qu'en se rapprochant de leur institution,
10:15 nous aurions des réponses à tous ces besoins.
10:21 Le marché de l'investissement a ainsi permis la sélection de 22 projets.
10:26 Un moment de réflexion sur l'essor économique du Cameroun, mais aussi d'engagement patriotique.
10:33 On a une fonde d'investissement qui est en Allemagne, qui voulait venir au Cameroun investir.
10:38 Et je pense qu'avec tous les projets qu'on a vus, on est très très content
10:44 de venir avec ce fonds au Cameroun, de voir comment on peut investir et supporter l'État
10:51 dans son démarche de promouvoir l'import-substitution.
10:55 De l'avis des officiels, plus de 1000 personnes ont participé à ce CIFF 2023.
11:01 Une édition qui s'achève par une nuit des investisseurs, avant le prochain rendez-vous à Yaoundé.
11:08 Partons du littoral pour l'ouest. Le ministre du développement urbain et de l'habitat,
11:14 Célestine Ketia Cortes, et l'ambassadeur de France au Cameroun, Thierry Marchand,
11:18 viennent de constater la réalisation à 100% des projets financés par le programme CDD Urbain Capital Régional Abafoussam.
11:26 C'était hier vendredi. Gisela Pierre et Sono nous en parlent.
11:31 2019, des infrastructures routières ambitieuses sortent des terres pour bercer la canne inter-cambrounaise.
11:37 C'est dans ce vaste programme Pôle Abafoussam Région de l'Ouest que va s'inscrire la construction d'un tronçon de 24 km
11:45 sur l'itinéraire Taube-Karefour-Kam-Stade-Kwekong, sur financement du budget de l'État.
11:51 Alors que la période de garantie arrive à terme le 10 mai prochain, la maîtrise d'ouvrage est toujours tenue
11:57 d'effectuer des visites d'évaluation de ces travaux d'aménagement.
12:01 En ce 19 avril 2024, la ministre Célestine Ketcha Kourtes, du Développement urbain et de l'habitat, s'y investit.
12:09 Objectif, sécuriser les infrastructures routières et en appeler au civisme des riverains dont certains ténants des plantations agricoles
12:16 sont participés à la gestion du patrimoine et donc à la durabilité des routes.
12:21 Alors s'invite la guerre contre l'incivisme des populations riveraines et les ravines qui menacent la chaussée.
12:28 A chaque étape, la ministre Célestine Ketcha Kourtes, aux côtés de qui le gouverneur de la région de l'Ouest,
12:34 Awafonka Augustine, s'imprègne, instruit pour une meilleure exportation autant qu'une bonne maintenance de l'ouvrage.
12:42 Ce n'est pas seulement l'ouvrage qui compte, sa pérennité aussi.
12:46 Tout à fait. Couverture santé universelle dans le littoral, les responsables en charge de la santé publique évaluaient sa mise en œuvre
12:55 pour accélérer et faciliter l'accès de tous à des soins sans difficulté.
12:59 C'était ce jeudi dernier en Konsamba, dans le Mungo, au cours d'une réunion de coordination régionale des structures sanitaires du littoral.
13:07 Etienne Pascal Azegue, reportage.
13:10 Les acteurs de la santé publique dans la région du littoral saluent l'initiative du gouvernement
13:16 qui a déjà permis d'enrôler plus de 374 000 personnes dans le cadre de la couverture santé universelle, phase 1.
13:24 Les chiffres sont d'ailleurs très parlants. Nous sommes exactement à 373 509 personnes enrôlées,
13:32 parmi lesquelles 17% de personnes vivant avec l'EVIH, 60% d'enfants, 19% de personnes vivant avec la tuberculose,
13:44 dont en fait ce pourcentage-là nous permet de dire qu'il y a une bonne évolution.
13:48 La réunion de coordination de Konsamba a permis aux responsables des structures sanitaires du littoral d'évaluer la mise en œuvre
13:55 de cette couverture santé universelle dans cette partie du pays.
13:59 Je fais des rappels par rapport aux notions de bonne gouvernance,
14:02 c'était la pièce maîtresse pour pouvoir avoir de bonnes perspectives.
14:05 La phase 1 concerne beaucoup plus les enfants de 0 à 5 ans, les femmes enceintes dans certaines localités.
14:12 La région du littoral, nous devons les enrôler, mais il n'y a pas de cause d'activité véritable par rapport à elle,
14:18 c'est les personnes vivant avec l'EVIH, c'est les tuberculeux.
14:22 Autour du délégué régional de la santé publique, Mathurin Bidjan, un accent est mis sur la gouvernance hospitalière
14:28 à l'heure de la décentralisation pour une meilleure réussite de la CSU.
14:32 Le diagnostic de la situation sanitaire du littoral n'est pas satisfaisant.
14:36 Des efforts doivent être consentis pour améliorer le nombre de personnes enrôlées dans le cadre de la couverture santé universelle en 2024.
14:45 Et nous restons en santé pour parler de l'hémophilie, une maladie héréditaire et incurable
14:51 qui était au cœur des réflexions de santé publique le 17 avril 2024.
14:56 La journée mondiale dédiée à cette maladie du sang et son déficit de coagulation affectent plus le genre masculin, c'est-à-dire les hommes.
15:03 Ruth Marcel-Gombon a rencontré un hématologue. Elle nous dit tout.
15:07 En guérir, non. Mais vivre avec, c'est possible.
15:13 L'hémophilie est une maladie héréditaire du sang qui se traduit par l'incapacité de ce dernier à coaguler normalement.
15:20 Rare, grave et pas connue, elle attaque à 99,9% le garçon et se transmet par la mère de façon génétique ou par simple mutation de chromosome.
15:30 C'est une maladie dans laquelle il manque un facteur de coagulation qui peut être le facteur 8 pour l'hémophilie A ou le facteur 9 pour l'hémophilie B.
15:43 A l'origine de cette maladie, honnêtement, c'est une dérégulation au niveau génétique.
15:49 La personne atteinte d'hémophilie ne saigne pas plus qu'une autre, mais plus longtemps.
15:54 On a des crises hémorragiques internes, des complications osseuses, je veux dire, articulées par exemple.
16:02 Je saigne de mes articulations, j'ai même connu des déformations.
16:05 Les facteurs de coagulation, ultime traitement pour refermer ses plaies en cas de crise.
16:11 Les facteurs anti-homophiliques, en fait, c'est des médicaments faits à base des dérivés du sang.
16:19 C'est des médicaments très onéreux que nous recevons au jour d'aujourd'hui sous forme de donations.
16:26 Selon les spécialistes, la prévalence de l'hémophilie devrait être entre 2500 et 3000 minimum.
16:33 A date, moins de 300 hémophiles ont été recensés au Cameroun.
16:37 Mettons maintenant le cap sur la région du Sud pour parler de ces secrétaires et assistants de direction du Cameroun qui ont célébré leur métier.
16:46 C'est un crédit qui a été créé hier vendredi dans l'Océan.
16:49 Pour cette 24e édition consacrée à leur profession, deux thématiques.
16:53 L'une sur l'adaptabilité et la flexibilité dans leurs fonctions ainsi que les maladies auxquelles ils sont exposés.
17:00 Le préfet de l'Océan, Mouho Bélo, préside la rencontre.
17:03 Dieu Doné Noir se souvient de la sténographie.
17:06 Deux thématiques au cœur de cette célébration de la 24e édition de la journée internationale des secrétaires et assistants de direction au Cameroun.
17:15 La première sur l'optimisation de la fonction, vu ici comme un impératif pour l'adaptabilité et l'agilité.
17:23 La deuxième sur la prévention et la prise en charge du mal de la secrétaire, une pathologie qui se manifeste par des tensions dans le dos et des poignets.
17:32 Il faut s'adapter à chaque patron, s'adapter à l'environnement et la flexibilité est un très grand atout.
17:39 Plus de 200 participants venus des 10 régions du pays pour célébrer leur métier de secrétaire et assistant de direction.
17:45 Réception des usagers, gestion de la communication, classement des dossiers et correspondances, préparation et planification de l'agenda de la hiérarchie, respect du secret et de la confidentialité.
17:57 Une tâche importante et sensible.
18:00 Merci au top management qui nous a permis d'être ici aujourd'hui.
18:03 En tant que secrétaire, je ne peux qu'être heureuse, je ne peux que dire merci à Dieu qui nous a permis de faire ce métier.
18:11 Le profet du département de l'Océan qui avait notamment à ses côtés le parrain de cette célébration, Norbert Beringa, chef sectaire de Droite du Sud 2, leur a demandé de persévérer dans cette quête de l'excellence.
18:23 Le portrait d'expérience qui sortira de ces rencontres permettra à chacune et à chacun des secrétaires à faire mieux.
18:31 Une belle célébration à Cribi pour un métier noble, tenu par des professionnels dévoués et talentueux.
18:38 On retourne dans les Grassfields.
18:41 Le chef de la délégation permanente départementale du comité central du RDPC, Wollamomo Roos Mba Atcha Fomundam, appelle les maires, présidents de sections, sous-sections et responsables des cellules du RDPC dans le Momo.
18:55 Région du Nord-Ouest a rentré dans leur base respective pour amener les militants à s'inscrire sur les listes électorales.
19:02 Elle a échangé hier à vendredi à Mbamenda avec ses responsables du parti à l'effet de préparer les militants à travers les inscriptions pour un vote massif en faveur du RDPC.
19:13 Regardons.
19:15 Un échange franc et sincère sur les acquis, les difficultés et les solutions possibles pour permettre aux militants du RDPC et de la Momo de s'inscrire massivement sur les listes électorales.
19:27 Mais pour y arriver avant les échéances électorales à venir, Mba Atcha Fomundam a prescrit le retour à la base de tous les responsables du parti qui se sont éloignés de leur village.
19:39 Il faut qu'ils rentrent dans le chef lieu des arrondissements pour voir à ce que les gens sont inscrits.
19:45 C'est là-bas qu'on va voter. Ce n'est pas ici en Ville, ce n'est pas à Yaoundé, ce n'est pas à Boya. C'est là-bas que les bureaux de vote sont programmés.
19:53 Entre autres difficultés soulevées par les maires, présidents des sections, sous-sections et simples militants à la base figurent en bonne place la problématique de l'insécurité et l'établissement de la carte nationale d'identité.
20:06 Ce sont des préoccupations auxquelles Rose Mba Atcha Fomundam a promis d'apporter des solutions aux plus pressés.
20:12 Ces exhortations au cours de cette discussion ont été bien reçues par les acteurs.
20:16 Même ceux qui n'ont pas les militants de RDPC, ils vont faire l'effort pour qu'on s'inscrive, pour qu'après on va faire la campagne pour voter pour RDPC.
20:28 La Momo n'entend pas jouer le second rôle lors des prochaines consultations électorales. Ce département qui milite depuis longtemps pour le RDPC veut une fois de plus apporter une contribution significative pour le compte du renouveau.
20:42 On prend la direction de la région de l'Est pour parler du ministre de la décentralisation et du développement local George Elangaobam qui a officiellement inauguré ou met en service l'hôtel de ville et la cité municipale.
20:58 C'était dans la commune d'Angusas dans le département du Ognon. Notre reporter Eli Ome Oundo nous en parle.
21:05 335 millions de francs CFA, c'est la valeur monétaire globale de ces deux ouvrages fruits de la décentralisation inaugurée à Angusas par le ministre de la décentralisation et du développement local George Elangaobam.
21:20 Ce qui nous a été donné de voir ce soir ici à Angusas, est-ce qu'il faudrait monter de la décentralisation en marche.
21:26 Je vous mets au défi de dire que cet hôtel de ville n'est pas beau, qu'il est fonctionnel, qu'il est agréable à voir.
21:31 Il s'agit aussi de la mise en service d'une cité municipale construite par la commune d'Angusas avec le concours du crédit foncier et du FECOM.
21:41 L'hôtel de ville est un R+1 construit en matériaux locaux avec le concours du MIPROMALO.
21:47 Il est constitué d'une vingtaine de bureaux, une salle de réunion, une salle des actes, une salle d'archives, une salle d'attente et quatre magasins entièrement équipés.
21:55 Tandis que la cité municipale est un ensemble de trois blocs de deux appartements chacun.
22:00 Nous sommes dans une petite cité mais qui a appelé à grandir très vite.
22:04 Et l'offre en logement avec la première tranche de six logements qui sont rendus disponibles aujourd'hui,
22:09 donne à montrer qu'on pourrait s'orienter vers cette manière de faire les choses en permettant aux collectivités de doter nos cités d'équipements, d'habitations.
22:16 Le ministre Georges Elanga Obama, en présence de l'élite gouvernementale du ONION, a invité les responsables des structures financières
22:23 à emboîter le pas au FECOM et au Crédit français du Cameroun pour accompagner les communes dans le domaine du développement local.
22:31 Travaux de réhabilitation de l'axe routier à Tinzam au Koga Ngomdap dans le sud.
22:38 Les militants du RDPC disent merci au président de la République pour les fonds débloqués pour ce faire.
22:44 714 millions de francs CFA, c'était ce vendredi, autour du président de la section RDPC Océan Est, Ambroise Owotoro Ongané.
22:52 Stéphane Ndo, dans la Maréot.
22:55 C'est un véritable périple semé d'embûches. L'axe routier Mwenge Ngomdap, situé dans le département de l'Océan Région du Sud, fait tourner la tête des habitants.
23:05 Boubiers, creux, flats d'eau, rétrécissent le chemin.
23:09 Tu paies la moto 3000, allez, retour 3000, allez retour 6000, on souffre beaucoup.
23:16 Les cris de détresse des habitants ont été entendus par le président Paul Biya.
23:20 En effet, le chef de l'Etat vient de débloquer la somme de 714 millions de francs CFA pour les travaux de réhabilitation de ce tronçon long de 27 kilomètres.
23:28 Les militants de la section RDPC Océan Nord Est et les résidents de la région exultent.
23:34 Cette route vient à Pointe-aux-Mers parce que la transition et les échanges vont se fluctuer, vont se densifier et les populations auront beaucoup d'économies.
23:49 Les discours enflammés incitent les militants à s'inscrire massivement sur les listes électorales afin de soutenir le parti lors des élections de 2025.
23:57 Ce que nous disons aux populations, c'est d'avoir confiance au RDPC, en son président, son excellence Paul Biya.
24:06 C'est l'homme qui met en exécution ce qu'il a promis.
24:10 L'ancien des souffres traditionnels et les prières adressées vers les cieux posent les fondations du succès de ce projet, symbole du développement de Mwenge.
24:19 Toujours en politique, la présidente de la section OFRDPC du Maïodanaï est sur le terrain.
24:26 Zakia Toubako a rencontré les militants des 103 sous-sections de Yagua.
24:30 Principal message, s'inscrire massivement sur les listes électorales pour reconforter le RDPC lors des prochaines consultations électorales.
24:39 Reportage Djamoua Man de CRTV Est-Ramenor.
24:45 103 sous-sections patient revues par la présidente.
24:49 Prendre le pôle de la santé du parti, donner des orientations et apprécier l'état d'esprit des militantes.
24:55 Nous sommes venus à la rencontre de la base.
24:58 Déjà nous présenter aux femmes, aux présidentes de sous-sections qui ont répondu présentes.
25:05 Nous avons profité de cette tournée pour remobiliser les femmes.
25:10 Leur dire de ne pas se laisser distraire par les vendeurs d'illusions.
25:15 Surtout de venir, d'aller s'inscrire.
25:19 Le message que nous leur avons passé, c'est de publicité le RDPC à 100%.
25:24 Parce que nous avons des échéances électorales qui se pointent à l'horizon.
25:28 Au-delà de la mobilisation militante, les responsables du parti ont abordé des sujets aussi importants que variés.
25:35 Les femmes qui sont le pilier du RDPC.
25:39 Les militantes de la section OFRDPC du Médenay Est 1 se disent très confiantes pour les résultats prochains lors des consultations électorales.
25:49 Autre chose à présent. Guten Abend, savez-vous dire bonsoir en allemand ?
25:55 En tout cas ceux qui savent le faire dans les clubs allemands de la région du centre viennent de le démontrer à Yaoundé.
26:01 C'était ce samedi matin au collège Mgr Henri Vieter, le père principal à L'Angislem, Lefebvre.
26:07 Le reportage de Faye Ngoti est merveilleux.
26:11 Sous un ciel ensoleillé de samedi, des voix s'élèvent et des rires fusent.
26:18 La langue allemande, comme un chant d'oiseau, prend son envol.
26:28 Au vu des prestations de différentes écoles, on peut remarquer l'enthousiasme des élèves par rapport à la langue allemande.
26:37 Sur scène, les jeunes talents s'épanouissent. Leurs mains dessinent des histoires, leurs voix s'élèvent pour chanter la maîtrise de cette langue.
26:45 C'est une aubaine pour nous enseignants et élèves apprenants germanisants de démontrer notre savoir-faire et notre savoir-être.
26:54 Le collège Mgr Henri Vieter, tel un phare, guide ses élèves sur le chemin de la découverte.
27:00 Les dispositions qui sont mises en place par notre collège, c'est d'abord la création d'un club allemand qui se veut une vitrine.
27:10 Notre bibliothèque scolaire est assez fournie pour leur permettre de s'exprimer en allemand.
27:20 Cette année, la 10e édition de la journée culturelle des clubs allemands a célébré la richesse des cultures camerounaises et allemandes.
27:28 Un véritable kaleidoscope de traditions, un hymne à l'ouverture d'esprit et à l'unité.
27:34 Peut-être que les Allemands consomment beaucoup de bâtons de manioc, on sait donc jamais.
27:39 Culture, beauté et charme à présent. Miss Culture, région camerounaise diaspora.
27:44 La région du Sud connaît désormais les candidats pour la suite de la compétition. Elle vient d'être sélectionnée.
27:50 Aibolo va au cours d'un casting présidé par la déléguée régionale des arts et de la culture pour le Sud.
27:56 En présence de l'orable Faustine Fosso, promotrice de l'initiative.
28:00 Anissé Sestière-Essiane se laisse séduire.
28:03 Atmosphère électrique pour un moment de retour aux sources et d'exaltation de la beauté naturelle.
28:11 Le Sud dévoile ses représentantes pour le concours Miss Culture région camerounaise diaspora.
28:17 Je suis très contente des prestations de nos candidats tout de suite.
28:21 Mais avant le choix des 10 parmi les 19 candidats inscrits, le casting a d'abord donné à voir et à entendre.
28:29 Devant le jury et un public enthousiaste, elles se sont succédées en tenue de ville et traditionnelle.
28:35 Le concept Miss Culture région camerounaise diaspora promeut la beauté naturelle.
28:40 Aujourd'hui il faut retrouver des jeunes filles capables de porter les couleurs de notre culture camerounaise et qui soit entièrement naturelle.
28:49 La finale c'est dans les jours à venir et la caravane va se déporter dans les autres régions.
28:57 De ces 10 sortira donc la Miss Culture Sud appelée à poursuivre la compétition sur le plan national.
29:04 Une célébration de la beauté naturelle, du talent oratoire et de la maîtrise des us et coutumes du terroir.
29:12 Véritable front contre l'artificiel.
29:15 Bonne chance à toutes.
29:18 En religion, église et célébration 1964 à 2024, 60 ans avec Saint Vincent Palouti à la suite du Christ.
29:27 Quel héritage ? Tel est le thème du soixantenaire de la paroi Saint Vincent Palouti de Nglangkak à Yaoundé.
29:33 Les fidèles renouent leur lien d'engagement et de chrétienté en séjour d'anniversaire à Yalotu et ténor à la chorale.
29:41 Symphonie entre choristes cette nuit de vendredi à la paroi Saint Vincent Palouti de Nglangkak.
29:51 Des voix se mêlent et s'entremêlent pour former une harmonie musicale puisée dans le résiste de la foi chrétienne.
29:57 L'heure est au résucence du soixantenaire.
30:00 La chanson se fait ensemble.
30:03 La chanson se fait ensemble.
30:06 Nous avons été invités à prendre part à la célébration de la fête des 60 ans de la paroi Saint Vincent Palouti de Nglangkak.
30:16 Il est question pour nous d'essayer de voir ce que nous pouvons apporter en ce qui concerne la musique pour rendre cette fête davantage belle.
30:26 Comment ne pas rendre grâce au Seigneur pour tous ses bienfaits durant toutes ces années de dure labeur.
30:31 C'est tout simplement une action de grâce. Un temps où nous nous arrêtons pour dire merci à Dieu pour tout ce qu'il a accordé à notre paroisse.
30:40 Une ambiance festive en nouvelleture d'une série d'activités de commémoration.
30:44 L'applaudit du soixantenaire est prévu dimanche prochain par une messe solennelle meublée par un repas fraternel de déplacés sous la protection du Dieu Tout-Puissant.
30:55 Grand Prix Général Ouseni Djibo. Le maillot bagno s'est déporté à l'hypodrome de Kawzad pour célébrer l'équitation.
31:02 A la manoeuvre, le commandant de la cinquième région de gendarmerie accompagné de la Fédération Carbonelle de Sport et Kestra.
31:09 Le spectacle de la deuxième édition du Grand Prix Général Ouseni Djibo capté par Alexis Guijarto.
31:18 Le Grand Prix Général Ouseni Djibo a tenu son engagement. L'événement qui a permis à l'assistance de découvrir le lien fort qui existe entre l'homme et le cheval est un réel motif d'émerveillement.
31:30 Satisfaction complète pour toute la population de Bagno. Nous souhaitons que cet événement ait un caractère, pas seulement national, mais international.
31:39 Tout le monde est comblé par cet événement et on va améliorer encore plus l'organisation.
31:49 L'oeuvre qui s'inscrit dans le développement touristique et social vise aussi la lutte pour la promotion de la jeunesse et son parrain. Au-delà de la satisfaction, entend aller plus loin dans son action.
32:02 Je veux donner du sourire à ce village. Je veux donner du sourire aux jeunes. Parce que les jeunes aujourd'hui sont sans espoir. Et quand les gens sont sans espoir, ils sont prêts à tout.
32:12 Je compte aller de l'avant et je ne peux rien faire seul. Je tends la main à la Fédération et puis je tends la main à d'autres partenaires.
32:20 Pour l'instance fêtière du sport et Kestra au Cameroun, il y a des petites choses à régler et elle se doit de rendre pérenne cette activité. Pense son vice-président.
32:30 On va aujourd'hui investir dans au moins un semblant d'hypodrome pour que les chevaux puissent s'exprimer.
32:39 La piste qu'on a vue est petite par rapport aux pistes que nous avons à Garoua et à Maroua qui font à peu près 1200 m chacune.
32:52 Mais c'est une très belle initiative déjà d'inviter l'Afekaz et l'Afekaz est prête à accompagner pour la troisième édition.
33:06 L'organisation de l'événement de Bagno s'est aussi déclinée en des moments culturels forts, symboliques.
33:13 Treuve d'infos hier soir à la rédaction centrale de la télévision nationale. Reporters, secrétaires, monteurs, infographes ont déposé caméra plume et ont sauté d'un studio pour une piste de danse.
33:27 Le temps de se relâcher, de se déstresser et renforcer l'esprit d'équipe autour du staff.
33:32 Le directeur général de la CRTV représenté par Emmanuel Ngogbi et Christelle Beyina.
33:39 Un look raffiné mais décontracté, de la bonne humeur, un soupçon d'originalité.
33:45 Festival de saveurs et de couleurs, le cocktail explosif d'une soirée détente dont seule la direction des rédactions TV de la CRTV a le secret.
33:56 Nous célébrons l'esprit d'équipe, nous célébrons nos efforts.
34:01 Ce travail exceptionnel mérite d'être salué, nous méritons de souffler un peu ce soir, loin du stress, au service de la nation.
34:10 Un after-work mais surtout une opportunité de team building.
34:14 Pour le top management, ces journalistes, caméramen, monteurs, réalisateurs entre autres doivent davantage crever l'écran au cœur de la nation.
34:26 Une standing ovation pour Alain Bois, preneur de vue Globetrotter, dans l'objectif de sa caméra 37 années au service de l'office, une retraite bien méritée.
34:36 Avec l'élégance du continent 237, la bonne vibe est au rendez-vous.
34:46 Au-delà du tourbillon des artistes locaux, les invités spéciaux ont eu droit à une envolée exceptionnelle.
34:52 Avec Aimé Roubert-Biina dans la peau d'un codo Sithoni.
34:57 Evelyne Munga-Kung, Alvin Giselle Zé.
35:04 L'ambiance est électrique, les émotions à vif et quand ceux qui font l'info se déchaînent sur le dancefloor, ça donne ça.
35:15 (Musique)
35:39 On a réussi à briser les barrières de la rigidité administrative.
35:46 C'est une première expérience, ce genre de mouvement, vraiment c'est un ouf de soulagement.
35:51 On oublie un peu, maladeux, en attendant de retomber encore dans ces moments de stress.
35:58 Loin de la salle de rédaction, des bancs de montage et studios, cette cohésion ravivée à l'armature solide d'une équipe au taquet qui vous amène là où l'info les appelle.
36:09 Autre chose, soutenance des travaux de fin de formation à l'Institut Universitaire des Grandes Écoles des Tropiques de Douala.
36:19 Une nouvelle cuvée d'élèves de cette école vient d'être évaluée par un jury composé d'enseignants-chercheurs.
36:25 Les travaux de ces mémoires étaient axés sur les sujets d'actualité.
36:29 Joseph Itote, certificate oral, derrière le jury.
36:32 Que ce soit en sciences infirmières, en métatronique ou en logistique et transport entre autres,
36:39 les travaux de recherche des étudiants de l'Institut Universitaire des Grandes Écoles des Tropiques de Douala,
36:45 arrivés en fin de formation, ont un fort ancrage scientifique indéniable.
36:50 Les thèmes qui portent sur la prévalence des insuffisances rénales chez les patients diabétiques,
36:55 l'évaluation des facteurs à risque de survenue des maladies cardiovasculaires
37:00 et la perception que les populations de Mambanda à Douala ont des personnes ou des enfants atteints d'autisme,
37:07 parmi tant d'autres, ont permis aux différents juries de se faire une idée de la pertinence pratique des dites recherches.
37:13 Le but était de sensibiliser les patients diabétiques sur les facteurs de risque de l'insuffisance rénelle,
37:20 pour éviter une complication diabétique.
37:23 En banque et finance, de nombreux étudiants ont essayé de combler les lacunes observées dans ce secteur d'activité.
37:30 La procédure de recouvrement des croyances dans un établissement de microfinance.
37:35 Et ce que j'ai eu à démontrer là-bas comme difficulté, c'était au niveau des clients qui ne respectaient pas les délais.
37:42 Une suggestion que j'ai eu à faire, c'était de faire un recouvrement, le recouvrement doit se faire au jour le jour.
37:52 A l'Institut universitaire des grandes écoles des tropiques, le souci permanent est de tout mettre en œuvre
37:58 pour parvenir à une adéquation parfaite entre la formation et le marché de l'emploi.
38:03 L'IUJET est un institut universitaire qui a en son sein trois écoles différentes,
38:07 une école de commerce, une école d'ingénieurs et une école de santé.
38:10 Nous avons à la fois des soutenances qui portent sur les sciences de gestion,
38:13 des soutenances qui portent sur des filières d'ingénierie comme la mécatronique, le bâtiment, la topographie et les sciences de la santé.
38:20 Les écoles qui se créent aujourd'hui obéissent forcément aux instructions de l'État.
38:24 Et la science évoluant très rapidement, nous avons en ce moment un gros focus sur les sciences, les nouvelles technologies,
38:30 notamment le génie logiciel qui en ce moment est très développé dans notre établissement.
38:33 Le chemin de réussite de cette ambition noble passe par la qualité de la professionnalisation des enseignements.
38:40 À l'IUJET, on y est engagé depuis belle lurette.
38:43 Et c'est la fin de cette édition du 20h30, préparée avec la collaboration d'Augustin Guizana et des stagiaires Salome Ogonantama et Marie-Huguette Obounou.
38:55 Passez derrière moi, accompagné des programmes de Ciertvi News.
38:59 Merci.
39:01 [Musique]