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00:00 On trouve que est-ce que j'ai vraiment une émotion de censure? Parce que c'est dans trois mois. Mais on est dans quand même par rapport à ce que vous dites.
00:12 Oui, parce que je crois que les députés qui sont dans l'Assemblée Nationale, que ce soit Aïwa, Aper ou les autres, je crois qu'ils sont des députés responsables.
00:22 Je crois qu'ils ne vont pas faire une boulotage pour que le gouvernement commence à s'en occuper.
00:30 Je crois qu'ils ont un intérêt à Sénégal.
00:35 Ce qui s'est passé ces trois ans, c'est que les Sénégalais ont été touchés.
00:40 On doit faire des choses comme ça. On doit être démocrate. Le président Osmonde Sonko et le président Diomaye ont dit qu'ils avaient confiance en Sénégalais.
00:53 Ils ont dit qu'ils allaient faire une boulotage. Je crois que les députés responsables de la boulotage et de la censure ont été touchés.
01:02 Vous pensez qu'ils ont fait ça pour booster le gouvernement et apporter des résultats?
01:08 Je crois que les Sénégalais ne peuvent pas détruire le peuple.
01:14 Parce que nous avons fait ça depuis trois mois.
01:17 Si on sait ce que Maxal a fait dans ce pays, il n'a pas nommé les ministres.
01:25 Il n'a pas nommé les ministres.
01:29 Le 25 février, on a nommé les ministres.
01:34 Toutes ces choses sont politiques.
01:39 Mais nous savons que les questions que nous soulevons, ce n'est pas le moment.
01:44 On a entendu le président Diomaye, le président du Conseil européen, parler de la transition.
01:54 Il a dit qu'il allait changer les procédures.
01:58 C'est une exigence par rapport à ce que nous avons entendu.
02:01 Bien sûr, je suis content de l'avoir entendu.
02:05 Parce que nous savons que nous travaillons avec les étrangers.
02:12 On a des contrats, tu comprends?
02:16 Tu as de l'or, tu as du zircuman.
02:19 Tu as des navires qui te font passer par tes portes.
02:23 Tu as des contrats, tu as des navires.
02:27 Il y a beaucoup de choses qui sont en cours.
02:31 Les forces étrangères viennent ici pour ces contrats.
02:37 Nous travaillons avec tous.
02:40 Je parlais avec un ami de la poste de Nathalie, il m'a dit que nous travaillons avec tous.
02:47 Mais nous n'avons pas de complexe.
02:50 Nous ne sommes pas là pour nous dépasser de ce maître pour aller à un autre.
02:55 Nous n'avons plus de maître.
02:58 Nous n'avons plus de complexe au Sénégal.
03:01 Nous travaillons avec tous mais nous sommes très nombreux.
03:04 Nous regardons notre intérêt.
03:06 Ce qui est plus important pour nous, c'est de le signer.
03:10 Mais il faut que tu viennes signer pour signer ou pour toi-même.
03:15 C'est l'intérêt qui est plus basculé.
03:20 Les forces étrangères viennent ici pour profiter de ce qui est en cours au Sénégal.
03:28 Tu as vu Nathalie Yambé, elle est très présidente.
03:31 Elle n'est pas une présidente, mais elle veut utiliser le tribut du Gafacac à une autre fin.
03:38 Même si elle a des réponses, elle est une parafricaniste.
03:43 Et ce qu'elle voit, elle l'apprécie.
03:46 Oui, elle a plein de droits.
03:50 Mais nous ne nous y mettons pas.
03:53 Nous n'existons pas.
03:56 Parce que Nathalie Yambé est ici ou il y a d'autres.
04:00 Ce n'est pas une parafricaniste, il n'y a personne d'autre qui est présente.
04:03 Nous n'avons pas de complexe.
04:06 Le président Diomaye est là pour nous aider.
04:13 Nous n'avons pas de complexe.
04:16 Mais nous avons aussi la pression.
04:22 Oui, mais c'est normal.
04:25 Ce sont des observations.
04:27 Je vous en prie, faites attention.
04:32 Parce que le président Diomaye est attentif.
04:37 Pas seulement au Sénégal, mais aussi aux Afriques.
04:41 Donc, nous avons besoin de ses soutiens.
04:44 Donc, il faut le prendre positivement.
04:46 Il faut savoir que nous sommes là pour vous.
04:50 Je ne sais pas où vous allez, mais vous avez des discussions au Sénégal.
04:56 Vous avez parlé de l'opposition.
04:59 Oui, peut-être que vous êtes des sympathisants.
05:03 Mais nous avons vu sur les réseaux sociaux.
05:06 C'est comme si nous n'acceptions pas de recevoir des critiques ou des oppositions.
05:14 Je vais vous dire ce qui m'est arrivé.
05:17 Si nous avons été attaqués, nous n'avons pas vu la vérité.
05:26 Nous avons été attaqués pour ce que nous voulions.
05:32 Mais nous n'avons pas été attaqués pour dire que nous n'étions pas démocrate.
05:37 Je crois que nous allons répondre à l'attaque avec des arguments.
05:44 Je crois à ça.
05:46 Je n'ai pas vu personne qui a été attaqué par le président Diomaye.
05:54 Je vais répondre directement à l'attaque avec des arguments.
06:01 Nous allons répondre comme eux.
06:03 Comme des hommes.
06:05 Nous sommes des démocrates.
06:09 On sait que les gens peuvent se faire des excuses.
06:13 Mais nous allons répondre à l'attaque avec des arguments.
06:20 Je vais vous donner une occasion pour répondre à une question.
06:30 Je vais vous donner l'occasion.
06:32 Je vais vous parler de Marème Diouf.
06:36 Marème Diouf est ma femme.
06:40 Elle a fait un poste de fournisseur pendant 4 jours.
06:44 des ans, mon jumeau-t'il. Euh, vous comptez, vous...