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00:00 -Franz Mühls, c'est à Sylvie Krüger.
00:02 Sylvie, tu as une pochette.
00:04 C'est beau. Qu'est-ce que c'est ?
00:06 -C'est une pochette que j'ai trouvée dans mon grenier.
00:09 C'est une collection de menus.
00:11 -Waouh !
00:12 -Dans ce temps-là, je fais une collection de menus.
00:15 Les gens me lentent.
00:16 Je les mets à l'intérieur de ma pochette.
00:19 J'ai dû le faire.
00:20 -Elle a eu des classes.
00:22 On n'a pas tous les menus.
00:23 Tu as un peu...
00:25 Avez-vous tous ces menus ?
00:28 -1898.
00:31 -Oh, le 10 mars 1898.
00:34 "Miskunnig kruvis".
00:36 Il y avait du poisson.
00:38 C'était l'été de l'Ostre.
00:40 -Je crois que oui.
00:41 -Au milieu de l'Ostre.
00:43 -Il y avait l'Ostre.
00:44 C'est pas le même date.
00:47 Mais c'était le mois de mars.
00:50 Et toujours avec des choses
00:52 que l'on trouve dans cette période.
00:55 Le vin, etc.
00:56 Et tout n'était pas fait de la main.
01:00 -C'est déjà fait de la main ?
01:01 -Oui.
01:03 -Avec de la belle couleur.
01:04 Un peu de l'or.
01:06 -C'est la bonne chose.
01:08 Les menus sont si beaux.
01:10 Ils sont un peu durs.
01:11 -Un beau papier.
01:12 -J'ai un qui est encore doux.
01:15 "Die Swiss-Hocke 80"
01:17 -Toujours une belle lettre.
01:19 Le date est toujours là.
01:21 C'est important.
01:22 -Certains menus,
01:24 je les ai écrits avec la main.
01:27 -C'est un peu la même chose.
01:29 "Norart" ont écrit avec la main.
01:31 -C'est la première fois qu'on les a écrits
01:34 avec la main.
01:35 -Au second sang.
01:36 -C'est la dernière fois qu'on les a écrits
01:39 avec la main.
01:40 C'est comme ça.
01:41 -C'est 1901.
01:42 -Ils ont même écrit "gold" sur le papier.
01:45 -Oui.
01:47 -Avez-vous un papier,
01:48 une histoire ?
01:49 Est-ce que la famille Rischi
01:51 a un autre papier ?
01:53 -Je ne peux pas le dire.
01:54 C'est "mail".
01:56 -Il y a des choses avec ça.
01:57 Il y a quelques flemmes.
01:59 -C'est normal.
02:00 -C'est la retour à la histoire.
02:02 -Oui.
02:04 -Qu'avaient-ils mangé avant ?
02:06 Comment on l'appelle ?
02:07 -Non, non, non.
02:09 On en mangeait 3 ou 4.
02:10 Il y en avait 8 ou 7.
02:12 Parfois 8.
02:13 Et en soirée, on mangeait encore.
02:15 -C'est pas un miracle
02:17 qu'ils aient été si gros.
02:19 -Ils ont bien vécu.
02:20 -Tu veux bien vivre avec 8.
02:22 -Oui.
02:23 -C'est pas un miracle.
02:25 -C'est pas un miracle.
02:27 -C'est pas un miracle.
02:28 -C'est pas un miracle.
02:30 -C'est pas un miracle.
02:32 -C'est pas un miracle.
02:34 -C'est pas un miracle.
02:35 -C'est pas un miracle.
02:37 -C'est pas un miracle.
02:39 -C'est pas un miracle.
02:40 -C'est pas un miracle.
02:42 -C'est pas un miracle.
02:44 -C'est pas un miracle.
02:46 -C'est pas un miracle.
02:47 -C'est pas un miracle.
02:49 -C'est pas un miracle.
02:51 -C'est pas un miracle.
02:53 -C'est pas un miracle.
02:55 -Alors, et comme tu le dis,
02:56 ils ont une histoire de menu,
02:59 comme frire et chauffer ça.
03:01 Là, on a beaucoup d'autres choses.
03:03 Mais comme tu le dis,
03:05 le menu était long, frire, chauffer.
03:08 -Ils sont restés tout le temps
03:10 dans le restaurant.
03:11 Ils n'ont pas eu de problèmes
03:13 avec le personnel de la Coupe.
03:15 -Ils ont fait tout le temps.
03:17 Et ils n'ont pas réclamé.
03:19 -Non, non.
03:20 -C'était frire.
03:22 -Et combien de cartes
03:23 ont-ils réclamées ?
03:25 -Non, je n'ai pas réclamé.
03:26 -Carte fulle ?
03:28 -300, 400.
03:29 Je n'ai pas encore...
03:30 -Quand quelqu'un en a,
03:32 ils sont toujours intéressés.
03:34 -Oui, ils sont intéressés.
03:36 Tous les menus sont là.
03:38 Pas de problème.
03:39 -On a communion menu,
03:41 on a aussi la haute-cité.
03:43 On va en parler dans quelques minutes.
03:45 Et France Buells,
03:47 on peut aussi faire
03:48 d'autres choses.
03:49 ...