TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
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00:00 – J'en sais rien, je pense que les gens le savent, en tout cas,
00:03 on est les seuls débiles, le peuple n'est jamais au courant de rien,
00:07 mais je pense évidemment que les Chinois le savent, les Américains le savent,
00:09 les Russes le savent, les gouvernements le savent.
00:11 – Donc Emmanuel Macron par exemple, il le sait, son gouvernement le sait.
00:15 – Macron peut-être pas, mais en tout cas, Biden…
00:18 – Si les États-Unis et les Chinois, la France le sait.
00:22 – Ça veut dire que Biden le saurait, ou Trump le saurait, et nous on le saurait.
00:24 – C'est où tout le monde le sait ou personne ne le sait ?
00:26 – Oui, mais enfin, ils ont des alliés plus proches,
00:28 les Américains, les Anglais le savent.
00:30 – Ça ne tient pas deux secondes, ton truc.
00:31 – Soit les Chinois le savent et personne d'autre le sait,
00:33 mais à partir du moment où Trump le sait, Biden le sait, je ne sais pas, voilà,
00:37 tout le monde le sait, enfin en tout cas la France le sait.
00:39 – Tout le monde le sait, il n'y a même pas de crédit.
00:40 – Si ça se trouve, même Anne Hidalgo le sait.
00:41 [Rires]
00:43 – La France, dans le Conseil international, font une pinote,
00:46 ça ne compte pas de l'Angleterre,
00:47 à plus de place vis-à-vis des États-Unis que de la France.
00:49 – Mais alors, tu crois que… non, mais sinon ça se saurait.
00:51 – Ça se saurait, mais on est d'accord.
00:53 – Mais quand il y a des enjeux sanitaires sur des grosses maladies
00:55 avec des protocoles comme des cancers, comme le sida et tout ça,
00:58 excusez-moi, il y a quand même une unité mondiale
01:00 et les gens s'échangent des informations sur des recherches,
01:03 sur des protocoles pour des trucs très très graves,
01:05 donc je ne vois pas pourquoi là, tout d'un coup, là, c'est spécifique.
01:07 – Non, tu ne donnes pas des informations, parce que justement,
01:09 si tu donnes des informations, tu favorises la concurrence.
01:11 Les Américains n'avaient aucun intérêt à donner les informations qu'ils avaient,
01:14 ils voulaient que les laboratoires américains soient les premiers à sortir le vaccin.
01:18 – Votre théorie, elle est complètement… elle est irrecevable, je pense.
01:22 Je veux dire, à un moment, tout le monde le sait ou personne ne le sait.
01:24 – Moi, je pense qu'on nous prend pour des imbéciles, parce que…
01:26 – Ah, ça y est, la rentrée en tolère, on nous prend pour des imbéciles, là, oh !
01:30 – Mais bien sûr, ça a saigné dans… je ne sais plus quel est le nom de l'endroit,
01:34 un petit endroit, justement, où il y avait un laboratoire avec des virus respiratoires.
01:40 On sait que c'est parti de là, mais personne…
01:42 pourquoi on ne dit pas noir sur blanc qui sont les responsables ?
01:46 Parce que la Chine, évidemment, n'a pas intérêt
01:48 et les autres pays ne veulent pas entrer en guerre qu'entre la Chine,
01:50 parce que vous vous rendez compte, les enjeux financiers,
01:53 c'est-à-dire que c'est quand même la maladie qui a coûté le plus cher au monde, déjà,
01:56 en mort et aussi en argent.
01:58 – Ça a paralysé la planète pendant trois ans, imaginez-vous.
01:59 – On ne peut pas dire que c'est lui qui est responsable.
02:01 La Chine, évidemment, n'a aucun intérêt à le faire et les autres pays non plus,
02:04 parce qu'ils rentreraient en guerre avec la Chine.
02:06 Donc, on nous prend pour des imbéciles, moi, je pense.
02:07 – Moi, je trouve quand même ça fou, excusez-moi.
02:09 Je me dis, est-ce que si ça avait été un autre pays,
02:11 est-ce que ça serait passé pareil ?
02:12 – Évidemment que non.
02:13 – Une démocratie, non.
02:14 – Bien sûr que non.
02:15 – En Occident, non.
02:16 – En Occident, je n'aurais pas fait peur.
02:17 – Mais la Chine, il faut savoir que les enjeux d'une guerre bactériologique,
02:23 ce sera la guerre de demain.
02:24 – Bien sûr.
02:25 – Il y aura peut-être, on espère, pas une guerre nucléaire,
02:26 mais la puissance bactériologique, ça peut détruire des populations,
02:30 une planète entière, etc.
02:31 Donc, dans ce laboratoire où les Chinois faisaient des tests bactériologiques,
02:35 est-ce qu'ils ont créé, entre guillemets, effectivement, un nouveau variant,
02:39 une nouvelle maladie qui leur a échappé ?
02:40 En tout cas, dans cet endroit-là, ils tentaient d'avoir la maîtrise bactériologique,
02:46 c'est-à-dire la maîtrise de l'avenir.
02:47 Donc, il y a quand même, ce n'est pas un hasard,
02:49 à un moment les coïncidences veulent bien,
02:51 mais c'est à cet endroit-là où il y a le labo,
02:54 alors après on nous dit c'est le pangolin,
02:56 mais c'est à cet endroit-là où le Covid part.
03:00 Pour moi, c'est impossible que ce soit un hasard.
03:03 C'est impossible.
03:04 Dans l'humanité, ce serait une première incroyable.
03:06 – Et la Chine a longtemps menti, rappelons-nous quand même.
03:08 – Pendant longtemps, la Chine a fait rétention d'informations
03:11 en disant que c'était un problème absolument régional,
03:13 qu'elle était circonscrite et que tout allait bien dans le meilleur des mondes.
03:16 – Elle n'hésitait pas.
03:17 – Puis, il était gentil, mais tu dis que c'est de là qu'il sort.
03:19 Tu n'as pas vu de vidéosurveillance avec un virus qui sort avec un sac à dos du labo ?
03:22 – Tout le monde le sait.
03:25 – Ça sort d'où Jean-Michel ?
03:26 – De là.
03:27 – J'imagine.
03:28 – Le labo, il est là.
03:30 – Tu sais très bien que le vendredi, il n'est pas ouf.
03:33 – Après, avec des scies, on refait le monde de toute façon.
03:37 – Avec des scies, on mettrait Paris en bouteille et ça aurait été très bon.
03:41 Je te le dis.
03:42 Jean-Alain, qu'est-ce que vous pensez de tout ça ?
03:43 – Non, mais moi, je ne sais pas.
03:47 Non, mais je disais juste, on n'arrête pas de dire,
03:50 avec la guerre par exemple de la Russie contre l'Ukraine,
03:54 que finalement ça a bloqué l'économie mondiale
03:56 et que finalement c'est catastrophique pour la Chine,
03:58 qui est une sorte d'énorme puissance économique.
04:01 Donc en fait, le Covid, quand ça a bloqué le monde,
04:02 la Chine n'avait pas non plus intérêt à ce que le monde soit totalement bloqué.
04:05 – Ah ! – Ils ont eu une crise économique majeure.
04:08 – On n'a pas dit que c'était de ce qu'on a vu hier.
04:09 – C'est pas ce qu'on dit ici.
04:10 – On ne dit pas qu'il y a eu une crise ici.
04:11 – On dit que c'est un accident.
04:12 – On ne dit pas qu'il y a eu une crise ici.
04:13 – Valérie Benaym a bien dit que c'était un accident.
04:14 – Je ne dis pas qu'ils ont fait exprès.
04:15 – On n'est pas d'accord avec Valérie Benaym.
04:16 On ne dit pas qu'ils ont fait exprès.
04:17 – Je dis qu'il y a eu un problème et que face à ce problème,
04:22 on n'est pas dans une démocratie.
04:23 Donc la Chine, qu'est-ce qu'elle fait ?
04:24 Elle verrouille tout et elle dit "Circuler, il n'y a rien à voir".
04:26 – C'est ça que je dis.
04:27 Moi j'ai un avertissement.
04:28 À un moment, pourquoi je dis ça ?
04:29 On n'a pas envie que ça se reproduise, qu'il y ait un autre truc.
04:31 Donc à un moment, on veut savoir où ça vient, ce qui s'est passé.
04:34 – Qui est le responsable ?
04:35 – C'est la Chine.
04:36 – Qui est responsable ?
04:37 – Non mais Gilles, excusez-moi, mais Valérie a été très claire
04:39 et j'ai très bien compris et parfaitement compris ce qu'a dit Valérie et elle a raison.
04:42 Mais Gilles disait "Oui, les guerres bactériologiques en Chine,
04:46 ça il se prépare, il se prépare, il se prépare".
04:48 En fait, la Chine n'a pas du tout intérêt à ce qu'il y ait une guerre bactériologique
04:50 puisque la Chine est une puissance économique avant tout et uniquement économique
04:54 et quand le monde est à l'arrêt, la Chine crève.
04:56 Donc en fait, excuse-moi Gilles, je ne suis pas d'accord.
04:58 – Excuse-moi Géraldine, dans ce labo, tout le monde sait que les Chinois jouaient,
05:02 moi je vais le dire, les apprentis sorciers à manier des virus, etc.
05:06 C'était un laboratoire totalement secret, cloisonné avec des manipulations bactériologiques.
05:12 – Mais en France, on le fait.
05:13 – En France aussi, on le fait.
05:14 – Aux États-Unis aussi, on le fait dans tous les pays du monde.
05:16 – C'est juste que ce n'est pas une démocratie, c'est tout.
05:18 – Et alors, non mais on le fait, donc si on le fait en bas, le Covid…
05:21 – On le fait, il aurait pu y avoir un accident en France aussi,
05:23 ça aurait pu s'échapper de la France française.
05:25 – Oui, il y aurait pu, mais là il y a eu, c'est ça la différence.
05:28 – Oui d'accord.
05:29 – Bah oui, nous peut-être il y aurait pu, mais là il y a eu.
05:31 – Il peut y avoir un accident quand il y a une fissure par exemple dans un réacteur nucléaire,
05:33 et tout ça, pardonne-moi, ça peut se passer n'importe où.
05:35 – Tchernobyl, ce n'était pas en Russie, ce n'était pas en Chine, c'était en Ukraine,
05:38 il y a eu des accidents partout.
05:40 – Daniel, je pense qu'on n'aura jamais officiellement le responsable,
05:44 mais tout le monde le sait et personne ne peut le dire, parce que c'est la Chine.
05:47 Ça sera arrivé dans un pays autre, on le saurait depuis longtemps.
05:50 Il y a trop d'enjeux de toute façon financiers.
05:52 – Merci, en tout cas, ce n'était pas du tout prévu qu'on parle de ça.
05:54 – Oui, on est géopolitique.
05:56 – C'était intéressant, intéressant et Valérie vraiment,
05:58 tu nous as éclairé par ton savoir, mon bébé. J'y l'ai également.
06:02 – Prends, prends.
06:03 – Et moi ?
06:04 – Non, pas du tout, je radio aussi, merci.
06:06 (rires)
06:07 [Musique]