• l’année dernière
Transcription
00:00:00 Débat rencontre qui va débuter par une présentation de Corinne Lalaud qui va nous remettre en perspective de ce traité de pandémie.
00:00:07 Honneur aux dames, Corinne Lalaud vous êtes journaliste, grand reporter, vous avez travaillé pendant des années dans des grands médias, télé, radio, presse écrite
00:00:16 et vous avez couvert de nombreux sujets qui étaient liés à la santé.
00:00:19 Grippe H1N1, vaccination contre l'hépatite B, le sujet du nuage de Tchernobyl, vous êtes l'auteur de plusieurs ouvrages dont vous allez nous parler.
00:00:28 Merci pour ça et bravo à vous.
00:00:30 Premièrement ce qu'il faut savoir c'est que l'OMS n'est plus ce qu'elle était. On voit que jusque dans les années 90,
00:00:38 l'OMS était financée par les états
00:00:41 d'une façon
00:00:43 presque à 100% et à partir des années 90
00:00:47 il y a eu un changement et il y avait un directeur général qui était japonais à l'époque, qui s'appelait Hiroshi Nakajima,
00:00:54 qui a accueilli les intérêts privés et depuis ça n'a fait qu'empirer.
00:01:00 Donc entre les années 93 et maintenant, quelle est la différence ? C'est qu'il y a
00:01:06 actuellement une entrée
00:01:09 massive des entreprises privées
00:01:12 directement ou indirectement
00:01:15 et parfois et surtout avec ce qu'on appelle un outil qui s'appelle PPP,
00:01:21 c'est à dire les partenariats publics privés. C'est un outil qui permet de
00:01:28 drainer, d'aspirer, de siphonner l'argent public
00:01:33 tout en laissant la direction et la gestion de cet argent au privé. Donc l'OMS est actuellement sous influence
00:01:41 et les traités, on va parler des traités, mais avant de parler des traités on va faire un zoom arrière
00:01:49 pour voir comment on en est arrivé là et après on fera un zoom avant pour voir qu'est ce qu'il y a dans les traités
00:01:54 et qu'est ce qui nous attend. Donc d'abord l'OMS est sous influence du privé à travers un organisme qui s'appelle le GPMB
00:02:03 parce que ce traité il vient pas de nulle part.
00:02:07 Il a été préparé et si on regarde ce GPMB qui est le
00:02:12 Global Preparedness
00:02:15 Monitoring Board, ça c'est en anglais et en français ça donne
00:02:20 Conseil mondial de suivi de la préparation. Ils sont pas tellement foulés pour la traduction. En fait c'est la préparation
00:02:26 aux pandémies
00:02:29 parce que ce qui les intéresse c'est de préparer
00:02:32 les flux financiers
00:02:35 qui vont arriver grâce à une déclaration de pandémie comme on l'a vu dans la vidéo. Alors ce groupe,
00:02:43 ce Global Preparedness Monitoring, c'est un bureau quoi. Et bien ce bureau il a été constitué d'ailleurs par
00:02:50 l'OMS et la Banque mondiale
00:02:53 mais il est en gros dirigé par
00:02:55 Bill Gates et Bill Gates a placé
00:02:59 comme directeur de ce groupe, de ce bureau
00:03:04 la personne qui est le président, le directeur de sa fondation Bill et Melinda Gates.
00:03:11 Et si on regarde maintenant qui fait partie de ce bureau,
00:03:14 et bien vous avez là
00:03:17 ces trois là.
00:03:19 Anthony Fauci, vous devez le connaître, c'est le monsieur
00:03:22 vaccin de la Maison Blanche, c'est lui qui a géré toute l'affaire Covid pour les Etats-Unis.
00:03:28 Mais pas que pour les Etats-Unis parce que regardez, il était dans le bureau global. On va appeler ça le bureau global, c'est plus simple.
00:03:35 Ici vous avez
00:03:37 le chinois George Gao qui lui aussi était en
00:03:41 en tête
00:03:44 et qui était chargé de la réponse pandémique pour la Chine.
00:03:47 Et ici vous avez
00:03:50 Jeremy Farrar qui est le patron de la Wellcome Trust qui est aussi une fondation fiscalo-financière.
00:03:57 Moi je ne les appelle pas des fondations philanthropiques, je les appelle des fondations fiscalo-financières. Et donc
00:04:05 Jeremy Farrar, c'est la cheville ouvrière de toute l'affaire Covid.
00:04:09 Il n'est pas très connu, le Wellcome Trust, mais c'est anglais et c'est l'équivalent
00:04:14 en gros de la fondation Bill Gates mais pour les anglais. Et eux, ils ont géré toute l'affaire Covid
00:04:21 centralement au niveau mondial. Et ils ont eu l'écoute des gouvernements, l'écoute de l'OMS.
00:04:27 Et actuellement ils ne font plus partie du bureau parce qu'ils sont partis chacun dans leur
00:04:35 mission puisqu'ils ont fait ce qu'on leur avait demandé pour le Covid. Et donc lui maintenant, il était trop impliqué
00:04:42 Fauci, donc on lui a demandé de laisser la place. Gao, il est toujours en Chine. Et Farrar, lui, il est devenu
00:04:50 le scientifique en chef de l'OMS.
00:04:54 Il avait tellement bien réussi que du coup on lui a demandé, il a fait en sorte, parce que c'est lui qui décide en gros,
00:05:03 d'être le scientifique en chef de l'OMS. Et maintenant dans le nouveau bureau, vous avez des personnes très importantes qui sont
00:05:10 de la Chine, monsieur Feng, et puis aussi
00:05:14 des Etats-Unis,
00:05:17 directeur de l'Académie de médecine.
00:05:20 Ce Conseil mondial de la préparation
00:05:23 avait en 2019
00:05:26 fait un rapport,
00:05:29 donc avant la pandémie, on est d'accord, avant le Covid, ils ont fait un rapport pour dire tout ce qui devait changer
00:05:36 au niveau de la réglementation et des lois et au niveau mondial.
00:05:42 Or, je vous invite, je vous ai mis le lien ici, je vous invite à aller lire ce rapport,
00:05:47 il y en a eu d'autres après, mais dans ce rapport de 2019, vous allez retrouver
00:05:52 tout ce qui va être appliqué ensuite dans le nouveau traité de pandémie.
00:05:58 Donc ce nouveau traité de pandémie, il vient pas de nulle part,
00:06:01 il est sorti du chapeau comme ça, pour nous, mais en réalité il était déjà bien préparé et depuis longtemps.
00:06:08 Donc, hop, voilà.
00:06:11 Donc on voit la pénétration et la porosité
00:06:14 entre le public et le privé, entre le privé et le public, et c'est déjà ce qu'avait dénoncé le sénateur Hautain
00:06:21 après le scandale de la grippe H1N1, qui était une fausse pandémie.
00:06:26 Il y avait eu une enquête du Sénat, qui était dirigée par le sénateur Hautain, et qui avait dénoncé le fait que finalement,
00:06:33 les États et l'OMS, il y avait une telle porosité entre
00:06:39 le privé et le public, que les décisions publiques finalement étaient sous influence des intérêts privés.
00:06:48 Donc là,
00:06:51 qui finance l'OMS ?
00:06:54 Alors on peut être étonné, parce que voilà le budget, ça c'est le budget.
00:06:58 En premier, on voit l'Allemagne.
00:07:00 Pourquoi l'Allemagne ?
00:07:02 On peut être étonné,
00:07:04 mais moi, avec un peu de réflexion,
00:07:07 je me suis dit, la seule explication que je vois, c'est que BioNTech
00:07:12 se situe en Allemagne, et BioNTech a beaucoup récolté
00:07:18 avec la pandémie.
00:07:20 Ils ont récolté, moi j'appelle ça la rente, et effectivement, on voit que l'Allemagne finalement finance pas mal.
00:07:28 Ensuite, Bill et Melinda Gates Foundation.
00:07:32 Deuxième financeur de l'OMS.
00:07:35 On voit l'influence qu'il peut avoir.
00:07:38 Troisième financeur, Grande-Bretagne.
00:07:42 Ensuite, Commission européenne,
00:07:45 avec l'argent de nos impôts.
00:07:49 Mais aussi avec l'argent de Bill Gates,
00:07:52 qui finance aussi la Commission européenne.
00:07:56 Et ça, ça devrait être interdit.
00:07:58 C'est pas normal que la Commission européenne reçoive des millions
00:08:04 d'une entreprise privée.
00:08:07 Ensuite, les Etats-Unis.
00:08:10 À un moment donné, Trump avait sorti les Etats-Unis de l'OMS.
00:08:15 Finalement, ils sont revenus avec Biden.
00:08:19 Et enfin, Gavi,
00:08:22 The Vaccine Alliance.
00:08:25 Donc, c'est l'Alliance des vaccins, qui est aussi dirigée par Bill Gates,
00:08:32 et qui est un PPP, un partenariat public-privé,
00:08:36 qui permet de récolter l'argent public
00:08:42 pour payer des vaccins qui vont profiter au laboratoire.
00:08:48 Donc, le Gavi, la Gavi Alliance,
00:08:51 c'est en fait un instrument qui aspire.
00:08:54 C'est du siphonnage, c'est aussi, on peut appeler ça une pompe à fric, si on veut.
00:08:59 Mais ce qui est inquiétant, c'est que si vous additionnez
00:09:03 la fondation Bill Gates, une partie de l'Europe,
00:09:10 et la Gavi, vous voyez qui décide à l'OMS.
00:09:14 Et ça, ce sont les 6 premiers financeurs de l'OMS.
00:09:22 Budget de 6 milliards de dollars.
00:09:28 Vous trouvez ces chiffres dans le rapport financier de l'OMS.
00:09:34 Vous ne le trouvez pas facilement,
00:09:36 parce que si vous allez sur le site,
00:09:40 c'est très difficile d'avoir ces chiffres-là.
00:09:42 Il faut aller sur le site, et ensuite aller chercher dans le rapport financier annuel.
00:09:48 Et là, vous allez trouver ça.
00:09:50 Parce qu'ils évitent soigneusement de dire qui finance vraiment l'OMS.
00:09:57 Et là, là aussi, c'est dans le rapport financier,
00:10:01 c'est encore plus difficile à trouver.
00:10:03 C'est la répartition du financement entre les États et le privé.
00:10:10 Alors, je vous avais dit tout à l'heure que les États,
00:10:14 avant, ils finançaient à 100%.
00:10:16 Désormais, ils sont quand même plus ou moins à la moitié.
00:10:20 Mais l'autre moitié, ce sont les fondations fiscales ou financières,
00:10:26 qu'on trouve ici,
00:10:28 les partenariats publics-privés, qu'on trouve ici,
00:10:32 et les financeurs privés directs, comme les laboratoires,
00:10:37 qui sont ici, voilà.
00:10:39 Et les ONG, donc organisations non gouvernementales,
00:10:46 mais qui sont souvent financées par des intérêts privés,
00:10:49 et en particulier par la fondation Bill et Melinda Gates.
00:10:53 Et officiellement, 30% des contributions volontaires
00:10:58 sont canalisées ou viennent du privé.
00:11:03 Alors, là où on voit l'importance de Bill Gates,
00:11:08 de la fondation Bill Gates, voyez,
00:11:10 il est au milieu, il finance l'OMS,
00:11:14 il finance ici la Commission européenne,
00:11:17 ce qui est un vrai scandale,
00:11:19 parce que ça s'appelle de la corruption.
00:11:21 Il finance également les CDC,
00:11:24 qui est l'organisme américain qui gère le contrôle des maladies infectieuses.
00:11:30 Il finance également l'Institut d'Antony Fauci,
00:11:35 qui est normalement un institut public,
00:11:38 donc évidemment que ça lui donne du pouvoir.
00:11:40 Alors Gavi, c'est lui qui décide tout à Gavi.
00:11:45 Et ensuite les États payent, les États financent.
00:11:50 Et en France par exemple, ça passe,
00:11:53 le financement est un peu détourné, un peu caché,
00:11:56 parce qu'il passe par l'Agence française du développement.
00:12:00 Voyez ?
00:12:01 Et ça va au vaccin.
00:12:03 Et il y a une partie d'ailleurs de l'argent de Gavi
00:12:06 qui retourne chez Bill Gates.
00:12:09 Voilà.
00:12:10 Qui dirige également United,
00:12:15 et tout ce qui est le Sida.
00:12:16 Tout ça c'est lui.
00:12:18 Et d'ailleurs c'est lui qui dirigeait,
00:12:22 qui finançait le Global Fund,
00:12:24 le fonds global pour le Sida.
00:12:26 Et qui était le directeur du fonds global pour le Sida,
00:12:31 qui était donc l'obligé, le salarié de Bill Gates ?
00:12:37 Monsieur Tedros Ghebreyesus,
00:12:41 qui est le directeur général de l'OMS,
00:12:44 qui est l'ancien employé de Bill Gates.
00:12:47 C'est son homme-lige.
00:12:50 Et donc là, il finance aussi ID2020,
00:12:54 qui devient maintenant tout ce qui est portefeuille numérique
00:12:57 et passeport numérique,
00:12:58 c'est-à-dire le fichage numérique de toute la population mondiale.
00:13:03 Alors oui, pour continuer un petit peu le tour du panier,
00:13:08 il finance également des journaux, des médias,
00:13:11 donc anglo-saxon et tout,
00:13:13 mais aussi français, Le Monde, par exemple.
00:13:16 Il finance également l'AFP,
00:13:19 qui est supposée quand même être indépendante.
00:13:22 Donc comment voulez-vous que Le Monde et l'AFP
00:13:24 puissent ensuite écrire des articles objectifs
00:13:28 concernant Bill Gates,
00:13:31 concernant les vaccins,
00:13:33 concernant l'OMS
00:13:34 et concernant tout ce qui tourne autour de cette sphère ?
00:13:38 Il finance aussi tous les anglo-saxons, Oxford,
00:13:41 et également les personnes qui ont,
00:13:44 comme Neil Ferguson.
00:13:46 Mais Neil Ferguson, lui,
00:13:48 c'est un statisticien épidémiologiste anglais
00:13:52 qui a été le premier à lancer l'affaire du Covid
00:13:56 en disant que ça allait faire des millions et des millions de morts.
00:13:59 Et évidemment, il avait tort.
00:14:01 Bon, il s'est complètement trompé.
00:14:03 Il avait dit qu'en Grande-Bretagne,
00:14:06 ça ferait des millions et des millions et des millions.
00:14:08 Ça ne l'a pas fait.
00:14:09 En France non plus.
00:14:10 Et non seulement ça,
00:14:11 mais ce monsieur Neil Ferguson,
00:14:14 c'était déjà lui qui avait induit la planète en erreur
00:14:18 au moment du HANA.
00:14:21 Donc, il y a une grande continuité
00:14:24 dans cette préparation pandémique.
00:14:26 Et le professeur Autain disait
00:14:29 « Est-ce que c'est une préparation à la pandémie
00:14:32 ou est-ce que c'est une préparation de la pandémie ? »
00:14:36 Voilà ce que disait le sénateur Autain.
00:14:40 Ensuite, il finance également
00:14:42 tout ce qui est les exercices de simulation des pandémies.
00:14:48 De Johns Hopkins, John Homskins,
00:14:51 qui sont des répétitions, des simulations.
00:14:54 Et après, il arrive ce qui est répété.
00:14:57 Préparation 1 ou préparation 2.
00:15:00 Les fondations fiscalo-financières
00:15:03 font des affaires avec l'argent public.
00:15:06 Qu'est-ce qui se passe ?
00:15:07 Ici, on a les trois principales fondations.
00:15:11 Eux, ils s'appellent philanthropiques,
00:15:13 mais ce n'est pas vraiment philanthropique.
00:15:14 Vous allez voir pourquoi.
00:15:16 Avec 5% seulement de leur budget
00:15:20 consacré à des œuvres de salut public
00:15:24 ou d'intérêt public,
00:15:26 ils peuvent avoir une exonération totale des impôts.
00:15:31 Exonération fiscale.
00:15:33 Avec 5%, ils vont diriger en plus
00:15:37 à faire de la com' et à avoir des obligés.
00:15:40 Par exemple, ils vont donner ça au Monde
00:15:43 ou même à l'AFP.
00:15:45 Donc ça va faire du lobbying,
00:15:47 c'est de la communication,
00:15:48 et en plus, finalement, c'est déduit.
00:15:51 C'est déduit de leurs impôts
00:15:52 et ça permet en plus de déduire tout le reste.
00:15:54 Parce que ces fondations,
00:15:56 il y a 5% seulement qui est consacré à l'intérêt public
00:15:59 et tout le reste, il y a un gros trust financier,
00:16:02 à but lucratif,
00:16:04 qui s'appuie sur le philanthropique qui est à 5%,
00:16:09 et qui, lui, a le droit de faire des affaires,
00:16:12 de rapporter beaucoup d'argent,
00:16:14 et on va le voir ici, d'aller en bourse
00:16:17 et de faire beaucoup de revenus et de dividendes,
00:16:20 et de ne pas être fiscalisé,
00:16:22 de ne pas être imposé.
00:16:24 Donc ça, c'est de l'argent qui est volé aux contribuables,
00:16:29 parce que c'est de la super optimisation fiscale.
00:16:33 Donc comment ça se passe ?
00:16:35 Je vous ai montré les trois principales fondations.
00:16:39 Rockefeller, la plus ancienne,
00:16:43 ensuite Bill Gates,
00:16:45 et là, je vous ai dit,
00:16:46 le Welcome Trust de Jérémy Farrar.
00:16:50 Donc, premièrement,
00:16:52 ils prennent 5% pour leurs dépenses,
00:16:55 ils dépensent aussi pour la recherche,
00:16:59 orientation la recherche,
00:17:02 et ils orientent la recherche vers les outils vaccinaux,
00:17:05 et vers les médicaments rentables,
00:17:07 et vers les virus,
00:17:09 et vers les coronavirus.
00:17:11 Ils ne vont pas orienter la recherche
00:17:14 sur les bienfaits de la vitamine D, par exemple.
00:17:17 Vous voyez, ça, ça les intéresse, mais pas du tout.
00:17:20 Ni le zinc, pas du tout non plus.
00:17:23 Donc, trois,
00:17:27 avec cet argent,
00:17:29 les chercheurs poussent l'OMS
00:17:32 à recommander les outils vaccinaux
00:17:34 et les médicaments rentables.
00:17:37 Ensuite, interviennent les PPP.
00:17:43 Alors, dans les PPP,
00:17:45 donc les partenariats publics-privés,
00:17:48 il y a l'alliance Gavi, qu'on a vue,
00:17:51 qui va acheter plein de vaccins.
00:17:54 Il y a le CEPI, qui va permettre de financer ces vaccins.
00:17:59 Et il y a le COVAX,
00:18:01 qui va permettre de diffuser les vaccins
00:18:04 vis-à-vis des pays.
00:18:06 Donc, ces trois PPP sont les plus importants.
00:18:09 Ces partenariats vont ensuite pousser les laboratoires
00:18:14 et faire fabriquer, donc, les vaccins
00:18:17 qui ont un intérêt pandémique pour eux.
00:18:21 Et ces laboratoires vont ensuite, évidemment,
00:18:24 être cotés en bourse.
00:18:25 Et quand ils sont cotés en bourse,
00:18:27 à ce moment-là, le trust, lui, il peut investir.
00:18:31 Et si, ici, il déclare une pandémie, là,
00:18:35 eh bien, l'investissement qui est là,
00:18:38 il va exploser
00:18:41 et être multiplié par 20.
00:18:44 Donc, Bill Gates, quand on lui a dit
00:18:47 "Mais vous êtes très philanthrope",
00:18:49 il dit "Oui, de toute façon, il n'y a pas de souci,
00:18:52 "parce que les vaccins, c'est le meilleur investissement
00:18:55 "que j'ai jamais fait,
00:18:57 "et j'ai multiplié par 20 mes investissements."
00:19:01 Donc, c'est très intéressant.
00:19:03 Effectivement, parce que l'argent, là,
00:19:06 parce que les laboratoires, comme Moderna ou Pfizer,
00:19:10 évidemment, l'action en bourse a grimpé.
00:19:15 Et donc, ensuite, eux, ils récupèrent les dividendes.
00:19:19 Et c'est comme ça.
00:19:20 Et ça, c'est défiscalisé.
00:19:22 C'est comme ça que ça marche, les fondations financières.
00:19:26 Et c'est pour ça que tous les labos
00:19:27 sont aussi des fondations financières.
00:19:29 Le Covid-19 a été l'aubaine pandémique
00:19:32 pour le complexe pharmaco-industriel.
00:19:36 Ici, vous avez les chiffres d'affaires de Pfizer.
00:19:39 Donc, vous voyez que jusqu'en 2020, ça stagne.
00:19:43 Et c'est le problème de toute l'industrie pharmaceutique,
00:19:46 jusqu'en 2020.
00:19:48 L'industrie pharmaceutique ne crée plus de médicaments.
00:19:51 Les pipelines, comme ils les appellent, sont vides,
00:19:55 et les médicaments ne sont plus assez rentables.
00:19:58 Donc, ça, c'était le professeur Ewen
00:20:00 qui a écrit là-dessus et qui l'a très, très bien montré.
00:20:03 Alors, donc, comme les laboratoires pharmaceutiques
00:20:07 n'ont plus assez de revenus,
00:20:09 ils ne dégagent plus assez de plus-value,
00:20:11 il fallait qu'ils se repositionnent.
00:20:13 Et donc, le repositionnement idéal,
00:20:16 ça a été les produits pandémiques.
00:20:18 Et si on regarde ici, voilà, 2020, la pandémie.
00:20:22 2022, il a multiplié par deux le chiffre d'affaires.
00:20:26 C'était 41 milliards, on est maintenant à 100 milliards.
00:20:31 Ça, ça s'appelle la rente pandémique.
00:20:34 Et si on regarde les produits qui ont produit justement cette rente,
00:20:40 vous avez le vaccin,
00:20:42 et vous avez également un antiviral qui s'appelle Paxlovid,
00:20:48 et qui a été promu, évidemment,
00:20:50 par tous les personnages qu'on a vus au début de la conférence.
00:20:55 Donc, la logique, quelle est-elle ?
00:20:59 La logique de marché, c'est une logique de marché à la Dr. Knock.
00:21:03 Les médicaments nouveaux pour les malades sont insuffisants et pas assez rentables.
00:21:09 Donc, les bienportants sont plus nombreux que les malades,
00:21:15 et tout bienportant est un malade qui s'ignore.
00:21:19 Voilà, comme disait Dr. Knock.
00:21:21 Un médicament pour un bienportant s'appelle un vaccin.
00:21:26 Les épidémies et pandémies vaccino-centrées,
00:21:30 parce qu'on n'est pas obligé non plus de ne penser que vaccin quand on parle d'une épidémie,
00:21:35 entretiennent les ventes, il faut pouvoir les déclarer le plus souvent et le plus facilement possible.
00:21:42 Et enfin, comme il faut pouvoir le faire le très souvent et très facilement,
00:21:49 il faut un traité nouveau, pandémique,
00:21:53 qui donne plus de facilité pour pouvoir déclarer ces pandémies.
00:21:57 Et donc, il faut modifier le traité existant.
00:22:03 Donc c'est ce qu'on va voir maintenant.
00:22:05 Est-ce que pour autant, c'est ce qu'il y a d'important ?
00:22:08 Les pandémies ? Pas du tout.
00:22:10 J'ai juste mis ça à regarder.
00:22:12 Pourquoi changer les traités ?
00:22:14 Quels sont les vrais problèmes de santé ?
00:22:16 Est-ce que les vrais problèmes de santé, ce sont les épidémies et les pandémies ?
00:22:19 Pas du tout.
00:22:21 Les vrais problèmes de santé, voilà, 74%,
00:22:24 selon les chiffres de l'OMS qui sont aussi très très généreux
00:22:29 vis-à-vis de ces maladies infectieuses qui sont évaluées à 14%.
00:22:34 Là, c'est la mortalité.
00:22:36 On est sur la mortalité mondiale.
00:22:38 Donc selon les chiffres de l'OMS pour la mortalité mondiale,
00:22:43 74% sont dues à des maladies cardiaques, cancers, maladies environnementales,
00:22:49 pollution chimique, pesticides, nourriture industrielle, médicaments, malnutrition,
00:22:54 obésité, tabac, alcool.
00:22:57 Voilà, c'est le gros contingent de la mortalité.
00:23:02 Les gros problèmes de santé, ils sont là.
00:23:05 Mais ce n'est pas là-dessus que l'OMS va légiférer.
00:23:09 Ce n'est pas là-dessus qu'ils vont faire des traités.
00:23:11 Non, non, non, non.
00:23:12 Ils vont faire des traités sur les maladies infectieuses.
00:23:15 C'est 14%.
00:23:17 C'est parasitaire.
00:23:19 Vous avez les parasites dedans.
00:23:21 Vous n'avez pas seulement les "virus".
00:23:24 Donc c'est encore moins que 14% si on veut,
00:23:27 la mortalité due aux virus et aux épidémies.
00:23:30 C'est moins que 14%.
00:23:32 Et pourtant, c'est là-dessus qu'ils vont légiférer.
00:23:36 Donc, il fallait des explications officielles pour changer les traités, pour légiférer.
00:23:41 Alors, quelles sont les explications ? Pourquoi ?
00:23:44 Ce que disent non seulement Tedros,
00:23:48 mais aussi les autres dirigeants du Conseil européen.
00:23:51 Alors, ce qui est dit, c'est qu'il y a eu une mauvaise gestion du Covid.
00:23:56 Et c'est pour ça qu'il faut changer les traités.
00:24:01 Sauf que, qui est-ce qui a géré le Covid ?
00:24:05 C'est l'OMS.
00:24:07 Et en particulier, les trois personnages qu'on a vus au début de la présentation,
00:24:13 Fauci, Farrar et Gao, le Chinois.
00:24:18 Ensuite, l'OMS dit que s'il y a eu une mauvaise gestion du Covid,
00:24:24 c'est la faute des États.
00:24:26 Ce n'est pas la faute de l'OMS.
00:24:28 Sauf que les États ont appliqué les consignes de l'OMS.
00:24:34 Donc, les États, avec le traité qui existe déjà,
00:24:38 avaient déjà pour mission d'appliquer les consignes de l'OMS.
00:24:42 C'est ce qui s'est fait.
00:24:44 Et c'est pour ça qu'au début,
00:24:47 tous les États ont adopté les mêmes pratiques,
00:24:51 qui sont tout à fait questionnables et tout à fait douteuses.
00:24:55 Et, bon, il y a eu le confinement, il y a eu le masque,
00:24:59 il y a eu... Bon, on voit tout ça.
00:25:01 Et ils faisaient tous la même chose, la distanciation sociale.
00:25:05 Et on se disait, mais pourquoi ils font tous la même chose ?
00:25:08 Et il y a des gens qui disaient, ben oui, les Français disaient,
00:25:11 ah oui, mais si les Allemands font pareil, voyez que c'est comme ça,
00:25:15 on a raison puisque les Allemands font pareil.
00:25:17 Et on a raison parce que les Anglais font pareil.
00:25:19 Et on a raison parce que les Allemands et les Américains font pareil.
00:25:23 Et dans le monde entier, ils font pareil.
00:25:25 Donc, vous voyez bien que nous, en France, on a raison de le faire.
00:25:28 Bon, évidemment. Sauf qu'ils suivent tous les consignes de l'OMS.
00:25:33 L'OMS elle-même qui suit les consignes du Global Bureau,
00:25:37 qu'on a vu tout à l'heure.
00:25:39 Ensuite, l'OMS... Alors ça, par contre, c'est dit,
00:25:44 l'OMS doit devenir l'autorité mondiale en matière de santé.
00:25:47 Voilà, ça, ils le disent.
00:25:50 Voilà. Avec plus de pouvoir.
00:25:52 Et alors, à travers la bureaucratie et l'OMS,
00:25:55 c'est donc le privé qui va avoir encore plus les mains libres
00:26:00 et les coudes et franches pour diriger la politique mondiale de la santé.
00:26:05 Alors, l'objectif qui était écrit dans le projet zéro de négociation,
00:26:10 mais qui a disparu après, parce que c'était trop visible,
00:26:16 eh bien, il disait, le rôle central doit être à l'OMS,
00:26:20 en tant qu'autorité directrice et coordinatrice en matière de santé mondiale
00:26:24 et chef de file de la coopération multilatérale de la gouvernance mondiale de la santé.
00:26:30 L'OMS joue un rôle fondamental dans le renforcement de la prévention, de la préparation, de la riposte
00:26:35 et du relèvement des systèmes de santé face aux pandémies.
00:26:39 Ça a l'air de rien, là.
00:26:41 Mais vous voyez, il y a renforcement, il y a prévention,
00:26:45 mais ils ont rajouté préparation.
00:26:48 La fameuse preparedness qu'on a vue tout à l'heure.
00:26:52 Et le global bureau pour la préparation.
00:26:55 Donc là, ils l'ont rajouté.
00:26:57 Ça permet de drainer des financements avant même qu'il y ait une pandémie.
00:27:02 C'est ça qui est important.
00:27:04 Après, il y a la riposte et après, il y a le relèvement.
00:27:06 Et pas le relèvement de la santé publique.
00:27:08 Il faut regarder la nuance.
00:27:10 Il y a une petite nuance.
00:27:11 Le relèvement des systèmes de santé.
00:27:14 Ça veut dire qu'ils vont s'octroyer le droit d'intervenir dans les systèmes de santé.
00:27:23 Donc la conclusion, c'est que l'OMS a failli avec le COVID et elle veut pouvoir faire pire.
00:27:33 Donc, qu'est-ce qu'ils ont décidé ?
00:27:35 Ils ont décidé qu'ils vont changer les traités.
00:27:40 Bon, mais il y a deux traités.
00:27:42 Il y a un traité qui existe et il y a un traité qui va exister.
00:27:47 Et donc, le traité qui existe, ça s'appelle règlement sanitaire international.
00:27:52 Et donc, lui, il avait déjà commencé la mise sous tutelle des États.
00:27:58 Mais comme ce n'est pas suffisant, ce règlement va être modifié de façon très profonde.
00:28:05 Et c'est ce qui se passe.
00:28:06 Ils sont en train de négocier.
00:28:08 Chaque amendement va être modifié.
00:28:11 Ensuite, ils ont décidé que ce n'était pas suffisant.
00:28:16 Et donc, ils vont créer un nouveau traité qui est un accord cadre.
00:28:22 Et qui n'est rien d'autre qu'un chèque en blanc pour la mise sous tutelle des États.
00:28:28 Pourquoi un accord cadre ?
00:28:30 Parce qu'un accord cadre, il donne le cadre, comme son nom l'indique, et il ne précise pas les moyens.
00:28:36 Et ils disent, une fois que vous avez signé, les moyens, nous, on les définit.
00:28:43 Donc on définit ce qu'on veut.
00:28:45 Est-ce que vous avez signé l'accord cadre ?
00:28:48 Et donc, c'est peut-être une explication du pourquoi ils ont eu besoin de faire un accord cadre nouveau,
00:28:55 en plus de la modification du règlement sanitaire international qui existe déjà.
00:29:02 Parce que celui-ci n'était pas assez contraignant.
00:29:05 Donc, ils vont rendre le règlement existant encore plus contraignant pour les États.
00:29:12 Et ils vont créer un nouveau traité qui, lui, sera très contraignant pour les États.
00:29:19 D'abord, le délai prévu, par exemple, ici, au règlement sanitaire international,
00:29:25 le délai prévu pour un État, s'il veut refuser un amendement,
00:29:29 il avait 18 mois, maintenant, semble-t-il, il en a plus que 10, plus que 10, plus 12 mois.
00:29:36 Donc ça lui laisse quand même un peu de latitude.
00:29:39 Si on regarde le nouveau traité, lui, délai prévu pour refuser les amendements, 90 jours.
00:29:47 Donc les États auront 90 jours s'ils ne sont pas contents, s'ils ne sont pas d'accord.
00:29:52 Les délais pour l'entrée en vigueur sont de 24 mois pour le règlement sanitaire.
00:29:59 Pour le nouveau traité, le délai pour entrer en vigueur est de 30 jours après la ratification, 40 États, après 12 mois.
00:30:09 40 États sur 196 États, c'est vite atteint. Vous l'atteignez tout de suite.
00:30:16 Donc l'entrée en vigueur, elle va être très très rapide.
00:30:19 Ensuite, le règlement sanitaire international, un État peut faire des réserves,
00:30:26 c'est-à-dire s'il n'est pas d'accord sur un aspect, il dit "moi je ne suis pas d'accord".
00:30:30 Et il a le droit de l'inscrire et d'appliquer ce en quoi il n'est pas d'accord.
00:30:36 Sauf que là, maintenant, ce nouveau traité indique qu'il n'y aura aucune réserve possible. Aucune.
00:30:45 Alors, un exemple de réserve, par exemple, du règlement sanitaire international, qui n'est pas rien,
00:30:54 dans les réserves, il n'y a que les États-Unis, c'est l'État fédéral qui a signé et qui a dit "écoutez, nous on signe,
00:31:03 mais il y a des États qui ont la prérogative sur la santé chez nous, donc nous, l'État fédéral,
00:31:11 on ne peut pas empêcher les différents États d'avoir leur propre politique de santé".
00:31:16 Donc, on le marque dans les réserves. Et on marque aussi dans les réserves que tout ce qui concerne l'armée,
00:31:25 vous n'y touchez pas. Parce que ça nous concerne, donc on décide ce qu'on veut.
00:31:30 Donc, intéressant, ce nouveau traité. Une fois qu'il est signé par les États des autres États, vous, alors vous, c'est autre chose.
00:31:41 Si vous signez, admettons qu'il y ait un président qui est un petit peu léger, qui signe, et qu'après il soit destitué, par exemple,
00:31:52 ou qu'il ne soit pas réélu, eh bien, le pays ne pourra pas quitter le traité dans les trois ans qui suivent l'entrée en vigueur.
00:32:05 Ou alors, il faut aller au clash. Le clash, c'est la Cour de justice, par exemple.
00:32:14 Mais une fois que c'est signé, vous êtes engagé pendant trois ans. Vous ne pouvez pas partir.
00:32:21 Alors, l'accord cadre laisse donc une grande latitude pour l'application par étapes. Ils le disent eux-mêmes.
00:32:31 C'est-à-dire que vous leur donnez le cadre et eux, ils se débrouillent pour les étapes.
00:32:36 C'est ce qu'on appelle d'ailleurs pour l'Union européenne la technique du saucisson.
00:32:41 Ils commencent par vous prendre une prérogative, vous dépouiller de votre souveraineté d'État.
00:32:48 Tranche par tranche, ils arrivent à la fin du saucisson.
00:32:53 Et donc, il faut savoir également que pour ces traités et pour ces amendements, les États, dont la France, ont délégué la capacité de négocier à la Commission européenne.
00:33:07 Donc, qu'est-ce qui va se passer après pour la ratification ?
00:33:11 Selon les spécialistes, normalement, selon la Constitution, ça doit être voté par le Parlement.
00:33:23 Mais comme on voit que maintenant, ils s'affranchissent de tout, on peut avoir des doutes.
00:33:31 Ce qu'il faut savoir, c'est que les crises épidémiques ont beaucoup d'intérêt.
00:33:41 Chaque crise artificielle, comme celle de H1N1, a été dénoncée comme une crise artificielle par le Conseil de l'Europe.
00:33:52 Chaque crise artificielle est une opportunité de traité pour limiter la souveraineté des États.
00:33:59 C'est ça qui compte. L'objectif, c'est la limitation de la souveraineté des États et donc, effectivement, aussi le protectionnisme pour en arriver à une direction globalisée.
00:34:16 Donc, ce n'est plus de la spéculation, c'est de l'observation.
00:34:22 Et donc, que se passe-t-il ?
00:34:25 La première crise artificielle est arrivée en 2003. C'est ce qu'on avait appelé le SARS.
00:34:35 Le SARS en français ou SARS en anglais. C'était le syndrome aiguë respiratoire qui était en 2003.
00:34:46 C'était une pneumonie atypique qui avait, ce n'est pas explosé, mais qui était apparue à Hong Kong, qui avait contaminé des personnes dans un hôtel.
00:34:59 Et ensuite, le bilan officiel de l'OMS a été qu'il y a eu 700 morts.
00:35:06 On commence maintenant, dans les milieux qui réfléchissent, à se poser des questions sur le côté artificiel du virus du SARS.
00:35:21 On savait très bien à l'époque que les biologistes, en particulier des armées, savent fabriquer des virus artificiels.
00:35:32 Le SARS, il y a eu 800 morts. C'est regrettable, mais ce n'est pas une pandémie.
00:35:38 Il y en a qui, maintenant, appellent ça une pandémie, des experts.
00:35:42 Mais il a permis quoi ? Il a permis de lancer des financements.
00:35:48 Et depuis 2003, énormément de laboratoires sont sur la lancée du SARS, utilisent le SARS qui était un coronavirus déjà, qui est du rhume en gros.
00:36:01 Utilisent cet épisode du SARS pour tout ce qui arrive après, et préparent des vaccins pour la suite.
00:36:12 Le SARS a été le prétexte de départ en 2003.
00:36:17 C'est très important à comprendre, parce que le virus du SARS s'appelait SARS-CoV, coronavirus.
00:36:25 Et quand il y a eu COVID-19, ils ont dit que c'était aussi un coronavirus, donc on va l'appeler SARS-CoV-2.
00:36:34 Et le premier, on va l'appeler SARS-CoV-1, alors qu'il était SARS-CoV tout seul.
00:36:40 Donc celui-là a été le modèle de celui-là.
00:36:44 Et depuis 2003, les laboratoires de biologie moléculaire, équi- et virologique s'amusent à fabriquer des virus artificiels de plus en plus virulents.
00:36:56 En faisant des expériences très dangereuses, ce qu'on appelle des expériences de gain de fonction.
00:37:01 C'est-à-dire que des virus qui ne sont pas virulents, ils arrivent à les rendre virulents.
00:37:06 Ou s'ils n'attaquent pas les voies respiratoires, ils arrivent à les rendre virulents pour les voies respiratoires.
00:37:13 Et c'est ainsi que le SARS de 2003 a déclenché des monceaux de financement pour les laboratoires.
00:37:21 Donc il a été le prétexte, en 2003, pour changer le règlement sanitaire international.
00:37:30 Donc ce règlement a déjà été changé en 2005, à la suite du SARS de 2003.
00:37:39 Et ensuite, une autre crise, le COVID-19, va être le prétexte pour changer encore une fois le règlement sanitaire international et pour créer un nouveau traité.
00:37:51 À chaque fois, une crise, une opportunité, un changement de traité.
00:37:58 Qui, comme par hasard, donne toujours plus de pouvoir au privé par rapport au public.
00:38:06 Alors, si on regarde maintenant comment en 2005 ont été faites les modifications sur le règlement sanitaire international, qu'est-ce qui a changé ?
00:38:18 Ça a pas mal changé en fait. Le SARS a permis en 2005 de faire évoluer l'étendue des maladies qui étaient supposées être prises en compte par ce traité.
00:38:33 Donc avant, il y avait 3 maladies concernées, seulement 3. C'était la fièvre jaune, la peste et le choléra.
00:38:43 Arrive le règlement sanitaire et hop, ils inversent la vapeur. Et c'est cette fois toute affection potentiellement nocive pour l'être humain.
00:38:53 Ça veut dire tout. Donc grippe, SRAS, ébola, variole, polio, polio sauvage. Pas la polio vaccinale, parce qu'il faut savoir qu'il y a la polio sauvage et la polio qui est provoquée par les vaccins de la polio, qui est la polio vaccinale.
00:39:11 Bon, alors c'est pas la polio vaccinale qui est concernée, c'est la polio sauvage. Et là c'est la dingue.
00:39:18 Donc voilà comment a évolué le règlement sanitaire. Eh bien, il va encore évoluer maintenant.
00:39:24 En 2024, les nouveaux traités changent radicalement l'équilibre des pouvoirs entre les États et l'OMS associée au privé.
00:39:36 Est-ce qu'on ne pourrait pas appeler ça l'OMS privatisée ? À vous de voir. Donc avant 2019, Covid-19, on a vu quelle était la définition.
00:39:47 Toute affection potentiellement nocive pour l'être humain. Là, ce qui est important, le terme important, c'est l'être humain.
00:39:56 Parce que ce qui va changer maintenant, c'est que ça va plus concerner seulement les êtres humains.
00:40:03 Ça va être donc toutes ces affections potentielles plus les animaux, les plantes et les écosystèmes.
00:40:16 Ensuite, ça va concerner également l'information, comment elle est diffusée. Ça va concerner également les systèmes de santé.
00:40:26 Et ça va concerner les produits pandémiques, y compris les produits pandémiques génétiquement manipulés, donc les OGM.
00:40:33 Et donc ça va concerner quoi ? Ça va concerner la totalité de la planète.
00:40:40 Et dans ce nouveau traité, il y a un concept qui adore l'OMS qui s'appelle le One Health. Une seule santé.
00:40:52 Une seule santé, c'est-à-dire une santé totale, planétaire.
00:41:00 Alors, ce concept de One Health, c'est un concept totalitaire parce qu'il concerne la totalité de la planète.
00:41:11 Et donc totalitaire, ça veut dire quoi ? Il peut y avoir des dictatures, c'est différent de dictatorial totalitaire.
00:41:19 Une dictature, elle ne laisse pas de place à la démocratie. Mais elle n'est pas automatiquement totalitaire.
00:41:26 Elle devient totalitaire quand elle va s'intéresser à tous les aspects de la vie privée des individus.
00:41:33 C'est là où elle devient totalitaire, totale. Toute la vie des individus est concernée.
00:41:39 On va prendre par exemple le projet Zéro, celui qui avait été écrit en premier.
00:41:45 Et dans le projet Zéro, il était écrit qu'une seule santé allait concerner aussi les conséquences du changement climatique.
00:42:01 Donc également les moyens de freiner ou d'agir sur les changements climatiques.
00:42:09 C'est-à-dire tout. Si vous dites "ah ben non, ça concerne les changements climatiques et les moyens de lutter ou pas",
00:42:16 et bien donc ça concerne tout puisqu'on va juger les États en fonction de ce qu'ils feront sur les changements climatiques
00:42:23 qui lui-même sont susceptibles de provoquer des pandémies.
00:42:28 Donc ça nous donne le droit à nous, aux HMS, d'intervenir sur tous ces aspects-là, c'est-à-dire toute la politique de l'État.
00:42:35 Bon. C'était un petit peu trop visible. Ils avaient écrit "changement climatique". C'était trop visible dans le projet Zéro.
00:42:42 Donc il a disparu après. Ils ont été un petit peu plus soft et ils ont dit "l'interface humain/animal/environnement en identifiant ou en intégrant des interventions dans les plans utiles de prévention des préparations aux pandémies".
00:42:58 Ils ont enlevé le changement climatique parce que ça faisait "too much".
00:43:03 Tout ça, vous avez les sources en bas.
00:43:07 Donc il y a une totalité des domaines abordés, mais il y a aussi une totalité du temps.
00:43:18 Le temps est transformé de façon à être soit une pandémie, soit inter-pandémie, de nouveau pandémie et inter-pandémie.
00:43:30 Donc on n'est jamais tranquille. Vous ne serez jamais tranquille et on ne sera jamais tranquille.
00:43:35 Et puis juste avant la pandémie, c'est pré-pandémie. Juste après, c'est post-pandémie. Après, c'est inter-pandémie. Et après, ça recommence.
00:43:45 Donc ça permet une constance dans le temps. On a vu une étendue dans l'espace des pouvoirs, une étendue dans la profondeur des pouvoirs qui sont donnés à l'OMS, et maintenant une étendue dans le temps.
00:43:59 Alors voilà ce que changent les traités, si on visualise un petit peu. C'est la façon dont je le visualise.
00:44:07 Avec les deux nouveaux traités, parce que ces deux nouveaux traités sont modifiés en parallèle, on est d'accord.
00:44:13 Donc moins de souveraineté et plus d'obligation pour les États. Les États deviennent les vassaux de l'OMS.
00:44:22 Donc ici sont les États. C'est avant et ils se coordonnent au sein de l'OMS. Mais avec les changements de ces deux traités, l'OMS devient toute puissante.
00:44:39 C'est elle qui va décider. Et c'est écrit dans les textes. Elle va décider, mais elle va aussi obliger les États à créer des entités qui sont des systèmes de surveillance et de contrôle.
00:44:57 Donc les États devront rendre des comptes à l'OMS. Et ils obligent les États à intégrer dans leur législation les décisions qu'elle va prendre.
00:45:10 Et ces États, au niveau de chaque État, y aura aussi une autorité d'application et de contrôle du traité.
00:45:18 Donc ce sont des espèces de commissaires. Des autorités, des commissaires du peuple.
00:45:25 Un petit changement quand même. Dans le règlement sanitaire international, il est question des États partis. Mais dans le nouveau traité, il est question des partis.
00:45:41 Les États ont disparu. On ne parle que des partis. Et dans les partis, vous avez les États, mais vous avez aussi les organisations supranationales comme l'Union européenne, la Commission européenne, régionale.
00:45:56 Mais ce dessin résume tout parce que c'est désormais l'OMS qui va être la directrice des États.
00:46:10 Ce nouveau traité va créer quoi ? Le traité de pandémie. Il va créer des nouvelles structures. On ne va pas en rester là. Il va créer un organe directeur avec un bureau qui est appelé secrétariat.
00:46:28 C'est une espèce de politburo. Dans les premiers écrits, il était question qu'il y ait 6, 2 vice-présidents et 4 vice-présidents. Mais dans les deuxièmes versions, il n'y avait plus les 6 personnes.
00:46:43 Parce que ça devait être trop visible. En tout cas, ça ne leur plaisait pas. Ils l'ont fait disparaître. Mais dans les premiers, ça existait. Donc il y a un bureau de 6 personnes sous l'autorité de Tedros qui vont décider pour les États.
00:47:00 Il y a quelqu'un derrière là aussi. Vous l'avez vu ? Il crée une nouvelle conférence des partis. Les États se réunissent en assemblée. De nouveau, une réunion.
00:47:16 De nouveau, des États. Et ce sera une fois par an. Mais le bilan, ils le feront tous les 3 ans. Donc on voit bien que qui va gouverner ? C'est l'organe administratif permanent qui sera une espèce de politburo.
00:47:32 Exécutif, si vous voulez. Alors évidemment, ces traités sont des atteintes à la souveraineté des États. Ils renforcent les contraintes sur les États. Et on a un petit exemple en voyant comment est rédigée, par exemple, au niveau des définitions.
00:47:54 Vous voyez ? La recommandation temporaire, c'est avant et c'est après, une fois qu'ils sont intervenus pour modifier. Donc là, ils mettent "avant" et "c'est celui qui existait avant".
00:48:04 Donc il y a écrit "recommandation temporaire s'entend de l'avis non contraignant émis par l'OMS en vertu de l'article 15".
00:48:13 Bon, avis non contraignant. Désormais, dans la nouvelle version, "recommandation temporaire s'entend de l'avis émis par l'OMS". Le non contraignant a été supprimé.
00:48:29 Cela veut dire que si on supprime le non contraignant, a priori, ce sera un petit peu plus contraignant.
00:48:39 Pareil, atteinte à la souveraineté. C'est peut-être l'endroit où on voit mieux à quel point la souveraineté des États va être attaquée. C'est un nouvel article qui est créé, qui est l'article 13, qui s'appelle "Action de santé publique internationale dirigée par l'OMS".
00:48:57 Je ne ferai pas ça pour tous les articles, mais là c'est important. Les États partis reconnaissent l'OMS comme l'autorité coordinatrice chargée d'orienter l'action de santé publique internationale
00:49:16 lors d'une urgence de santé publique de portée internationale, une USPPI, et s'engagent à suivre les recommandations de l'OMS dans leur action de santé publique internationale.
00:49:29 C'est contraignant. Et c'est l'OMS qui dirige. Ensuite, l'opacité est organisée. Depuis les drafts zéro, c'est-à-dire les projets zéro qui existaient,
00:49:48 ils ont expurgé parce qu'ils ont dit que c'était trop visible, que ça faisait réagir les gens. Donc l'idée, c'est qu'il ne faut pas que ça les fasse réagir.
00:49:59 Dans le projet zéro, vous aviez la définition de la souveraineté. En gros, les États sont libres, ils ont le droit de gérer eux-mêmes la façon dont ils abordent la santé publique.
00:50:15 À condition que les activités exercées dans la limite de leur juridiction ou sous leur contrôle ne nuisent pas à leur population ni aux autres pays.
00:50:32 Donc à partir du moment où l'OMS estime que la gestion de santé d'un État nuit à un autre pays, elle s'estime en droit d'intervenir et de lui interdire de gérer sa santé publique comme elle le veut.
00:50:50 Ça veut dire que par exemple la Suède, qui a été la seule à avoir une politique indépendante, ne pourrait plus. Mais ça, c'était trop visible.
00:51:02 Donc dans le projet final, ça a disparu. Ils disent que les États ont le droit de gérer eux-mêmes leur santé. Mais en fait, la liberté des États va être effectivement reniée, limitée.
00:51:20 Et ce sont des critères subjectifs de l'OMS qui vont décider si, oui ou non, une politique d'un État nuit aux autres États.
00:51:31 À ce moment-là, ils feront réagir les autres États qui iront se plaindre à l'OMS en disant "Ah bah oui, mais nous, ça nous gêne que tel État n'ait pas fait telle mesure de confinement ou telle mesure de masque ou de distanciation sociale".
00:51:45 Ils vont monter les États les uns contre les autres. Ensuite, il y a des atteintes aux libertés fondamentales.
00:51:53 Donc avant, c'est là, dans les principes, le règlement sanitaire disait "le présent règlement est mis en œuvre en respectant pleinement la dignité des personnes, les droits de l'homme et les libertés fondamentales".
00:52:12 Bon, ça c'est ce qui était dit. Voilà ce qui arrive après. On a barré "en respectant pleinement la dignité des personnes, les droits de l'homme et les libertés fondamentales".
00:52:25 Donc elles sont passées à la trappe. Et on l'a remplacée par une espèce de jargon. Je vous le lis mais franchement, il faut s'appliquer.
00:52:38 Donc ça devient "le présent règlement est mis en œuvre sur la base des principes d'équité, d'inclusivité et de cohérence et conformément aux responsabilités communes mais différenciées des États partis en tenant compte de leur développement social et économique".
00:53:02 Voilà les droits de l'homme ce qu'ils sont devenus. Voilà. Les droits de l'homme. Les libertés fondamentales. Voilà ce qu'ils deviennent.
00:53:11 Mais ça c'est écrit. On pourrait dire "bon c'est du complotisme". Eh ben non, c'est écrit.
00:53:18 Alors les libertés fondamentales, atteinte aux libertés fondamentales dans ces traités, et bien mise en place des QR codes. Ici, article 35.
00:53:31 "Mise en place des QR codes et interopérabilité des fichiers". Donc ça c'est très important parce que tout généocide commence par un fichier. C'est très clair.
00:53:44 Vous commencez par faire des fichiers et ensuite vous allez chercher les gens de façon différenciée en fonction de ces fichiers.
00:53:51 Et là, vous voyez ces fichiers. Maintenant, à notre époque, ça s'appelle des QR codes. Et l'Europe a donné à l'OMS les systèmes de fichage de la population en juillet 2023.
00:54:07 Donc le pass sanitaire vaccinal est devenu mondial en juillet 2023. Et Tedros a remercié l'Union européenne et en particulier M. Thierry Breton pour ce cadeau qu'il lui fait
00:54:23 de pouvoir avoir un système informatique de numérisation très efficace de la population. Donc on s'avance vers un fichage mondial de la population.
00:54:33 Les libertés fondamentales, c'est aussi la censure. Censure industrielle et propagande généralisée. Et avec un nouveau mot qui débarque, je pense qu'il va falloir l'apprendre si vous ne le connaissez pas déjà.
00:54:49 Ça s'appelle infodémie. Donc vous avez dedans « information » et « pandémie », c'est-à-dire beaucoup d'informations pendant les pandémies.
00:55:01 Et surtout, si on lit, voilà ce qui se passe. Les États devront lutter et concevoir des communications et des messages destinés au public pour contrer les informations fausses et trompeuses
00:55:17 et la désinformation, et renforcer ainsi la confiance du public. Donc en gros, c'est l'attaque de la liberté d'expression qui est institutionnalisée et qui rend les États responsables de leur application.
00:55:37 Ça s'appelle la censure industrielle et institutionnelle. Et ils ajoutent en plus « y compris par une collaboration et une coopération internationale efficace ».
00:55:56 C'est-à-dire qu'il faudra se mettre à plusieurs États pour chasser et pourchasser tous les contrevenants. C'est-à-dire ceux qui n'auront pas un bon QR code.
00:56:10 Donc ils ont tout mis en place pendant le Covid et là maintenant, ils le légalisent. Si vous voulez la définition officielle d'infodémie, on peut vous la donner.
00:56:22 Infodémie, un excès d'informations et des informations fausses ou trompeuses qui circulent dans les environnements numériques et physiques pendant une flambée épidémique.
00:56:33 Cette situation est source de confusion et provoque des comportements à risque susceptibles de nuire à la santé.
00:56:40 Elle conduit également à une méfiance à l'égard des autorités sanitaires et sape les mesures sociales et de santé publique.
00:56:49 Ce sont les divergents, ceux qui pensent mal, ceux qui pensent différemment de l'OMS ou de M. Bill Gates.
00:57:01 Et bien eux, ils sont pourchassés. Mais ceux qui désinforment, les vrais désinformateurs, à savoir l'OMS, parce qu'on peut le voir après,
00:57:11 l'OMS n'a pas cessé de désinformer pendant toute cette crise. Et bien eux, on les laisse tranquilles.
00:57:17 Donc là, avec cette notion d'infodémie et de malinformation, l'OMS détient la vérité.
00:57:29 L'OMS devient Dieu sur Terre, l'OMS n'a jamais tort, l'OMS a toujours raison.
00:57:35 Et ceux qui ne sont pas d'accord, ils vont commencer à risquer quand même des petits problèmes, y compris des problèmes de nature pénale.
00:57:46 Parce qu'on l'a vu dans l'article 4, ils veulent mettre en prison, disons les choses concrètement.
00:57:54 Soit ils vous critiquent un médicament, et bien ils vous mettent une amende de 35 000 euros et puis 2-3 années de prison.
00:58:04 Donc je dis, le petit livre rouge, à quand la révolution culturelle à la Mao ? On en est là.
00:58:12 Bientôt. Alors, élargissement du champ d'action au système de santé.
00:58:18 Je le disais tout à l'heure, ce n'est plus seulement la santé humaine, mais c'est aussi les systèmes de santé.
00:58:23 Article 2, on va aller plus vite. Il faut savoir que la pandémie n'existe pas pour l'OMS.
00:58:33 Ce qui existe pour l'OMS, c'est les médicaments pandémiques et les produits pandémiques.
00:58:40 Mais juridiquement, ils ne déclarent pas une pandémie. Ils la constatent.
00:58:45 Mais c'est surtout ce qui déclenche la pandémie, c'est ce qu'on appelle une USPPI.
00:58:51 C'est la seule décision juridique de l'OMS qui va lancer la pandémie.
00:58:56 C'est une USPPI, Urgence de santé publique de portée internationale.
00:59:01 En anglais, ça s'appelle FAKE, prononcé comme faux, mais qui s'écrit PHEIC, qui veut dire Public Health Emergency of International Concern.
00:59:14 Ce FAKE-là, il est décidé par qui ? Il est décidé par une seule personne, qui s'appelle M. Tedros, qui est le directeur général de l'OMS.
00:59:28 Et donc, ça, c'est l'article 49 qui dit "l'avis du comité d'urgence", qui est le comité qui est sous sa direction,
00:59:40 "et bien l'avis du comité d'urgence est communiqué au directeur général pour examen. Le directeur général décide en dernier ressort".
00:59:49 Mais ça, c'était déjà le cas dans le règlement sanitaire international.
00:59:54 C'est pour ça que pour 2019, le COVID, il a été tout seul à décider. C'est une personne qui décide.
01:00:02 Donc, il est le seul à décider et il restera le seul à décider.
01:00:08 Donc, le sort des Français dépendra de M. Tedros ou de celui qu'il remplacera éventuellement.
01:00:14 Alors, l'urgence elle-même, finalement, une urgence de santé publique de portée internationale, il suffit qu'elle soit potentielle.
01:00:23 L'urgence devient potentielle ou effective.
01:00:32 Donc, à la limite, il y a une urgence ou il n'y en a pas, ça ne change rien.
01:00:37 Si M. Tedros estime que c'est potentiellement une urgence.
01:00:44 L'urgence de portée internationale peut devenir désormais une urgence de portée régionale.
01:00:54 On va décréter des urgences comme on veut au niveau régional, par exemple aux Etats-Unis, en Amérique ou en Asie.
01:01:02 Et puis, ça peut être aussi une alerte sanitaire intermédiaire.
01:01:08 Donc, un petit peu potentielle, un petit peu intermédiaire.
01:01:14 On ne fait pas une urgence de portée publique internationale, mais on fait intermédiaire.
01:01:20 Comme ça, ça nous permet d'en faire plein de petites et tout le temps.
01:01:24 Et évidemment, de décider à la place des Etats.
01:01:29 Donc, tout devient potentiellement pandémique.
01:01:33 Conclusion. Faut-il donner les pleins pouvoirs à l'OMS sous influence ?
01:01:38 À vous de décider. J'ai juste mis un petit épigraphe à la fin.
01:01:43 Vous allez peut-être reconnaître un conte.
01:01:46 "OMS, comme vous avez de grandes dents, mais c'est pour mieux te manger, mon enfant."
01:01:53 Merci pour votre attention.
01:01:56 (Applaudissements)