• il y a 5 mois

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Transcription
00:00 Louis, quand il y a autant d'occasion, qu'est-ce qui vous passe par la tête ?
00:09 Il y a une malédiction, c'est de la malchance ?
00:12 C'est le football.
00:14 Et beaucoup de fois c'est merveilleux et d'autres fois ça arrive comme ça.
00:21 On aurait préféré être dans une meilleure situation, mais il faut analyser les occasions des deux équipes.
00:31 Ça a été une partie équilibrée.
00:33 Quelle était l'idée avec le positionnement d'Embele aujourd'hui ?
00:38 Ousmane, avec sa manière de défendre, on savait qu'il pourrait défendre sur Renaud-Recham.
00:50 Et les trois attaquants avec trois défenseurs, avec un pivot.
00:58 On voulait avoir un peu de profondeur derrière et bloquer les longs ballons sur Fulcrook.
01:05 Vous avez des bonnes nouvelles sur Lucas Hernandez ?
01:08 Je n'ai aucune nouvelle pour la santé de Lucas Hernandez.
01:12 Ça n'a pas l'air très positif, mais on va attendre que les docteurs l'analysent.
01:18 Vous gardez le sourire pour le match retour ?
01:22 Bien sûr.
01:24 Tout le monde savait que ce ne serait pas facile, c'est une demi-finale de Ligue des Champions.
01:28 Le vestiaire est un peu affecté, parce qu'en plus on a eu une action avec des potos.
01:34 Mais à Paris, on a vu nos 3000 supporters qui nous ont supporté tout le match.
01:40 Il faut reconnaître que c'est un stade exceptionnel, qui a su supporter son équipe.
01:46 Mais à Paris, on sera très forts et on n'a rien à perdre.
01:51 [Générique]

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