DEFILE 138 FETE DU TRAVAIL - 1er Partie du Défilé - 1er Mai 2024

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00:00:00J'ai suivi eux. J'ai remarqué qu'ils étaient très durs, très très durs sur le compromis dans la langue et les idées qu'ils avaient à exprimer ici.
00:00:12Le ministre s'est mis sur cela et a dit que c'est exactement le type d'environnement social caractérisé par le discours libre,
00:00:25caractérisé par l'attitude de nous aider à progresser, à se développer.
00:00:34Et il m'a appelé à tous les membres du monde libre, tous les partenaires, pour travailler pour le dialogue social.
00:00:41Il a aussi parlé du SMIC, c'est le minimum interprofessionnel garanti,
00:00:48qui a eu un progrès très systématique, de 26 000 à 36 000, aujourd'hui à 45 000,
00:01:00et même l'autre secteur, la troisième catégorie, va jusqu'à 60 000, c'est le minimum.
00:01:08Et il a parlé de ces travailleurs de maison qui ne sont toujours pas bien traités par qui que ce soit qu'ils travaillent,
00:01:17pour s'assurer que c'est une situation préoccupante et qu'ils doivent s'occuper de ces personnes qui travaillent,
00:01:26et c'est leur travail qui leur permet de vivre une vie décente.
00:01:32Tout à fait, Kylian. Le travail est la clé d'une vie décente et épanouie.
00:01:42Vous avez écouté il y a quelques instants le ministre du Travail et de la Sécurité sociale,
00:01:48dont les discours donnent le ton de la grande marche des travailleurs ici, au boulevard du 20 mai.
00:01:55Faut-il le rappeler, la grande marche des travailleurs au boulevard du 20 mai,
00:02:00c'est bien pour ce qui concerne Yaoundé et les environs.
00:02:06La marche des travailleurs, c'est également à travers tout le pays.
00:02:11Le ministre, dans son allocution que vous avez suivie sur nos antennes et sur nos plateformes numériques,
00:02:18a félicité les forces syndicales pour les coups assénés.
00:02:22Vous avez écouté les allocutions des présidents des confédérations syndicales au début de cette retransmission en direct.
00:02:30Il a donc félicité ces forces syndicales pour les coups assénés,
00:02:34la reconnaissance des efforts faits par le gouvernement pour la promotion du dialogue social,
00:02:39mais surtout, il a invité les travailleurs à faire de cette journée un vrai moment d'évaluation objective.
00:02:48Nous ne serons pas seuls ici pour vous parler de cette journée,
00:02:55mais également vous décrire ce qui se passe ici.
00:02:59Nous serons accompagnés des experts venus du ministère du Travail et de la Sécurité sociale,
00:03:05avec nous, en ce moment, sur ce plateau, on dirait du Gloire du 20 Maillandé,
00:03:12M. Moindy Bohimo, il est le coordonnateur de l'Observatoire national du Travail.
00:03:18Monsieur, bonjour et bienvenue, bonne fête.
00:03:20Bonjour, bonne fête à vous aussi.
00:03:23Alors, vous avez été au cœur de la préparation de cette 138e édition de la Fête du Travail.
00:03:31Après ce que vous avez vu ici, notamment les issus des confédérations syndicales et M. le ministre,
00:03:39qu'est-ce qu'on peut retenir ?
00:03:42Non, c'est tout à fait, c'est la suite.
00:03:47C'est la suite logique de toutes les préparations,
00:03:51toutes les préparatifs qui ont lieu pendant toute la semaine,
00:03:56toute la semaine des travailleurs,
00:03:58notamment des réunions, des commissions,
00:04:02des activités menées sur le terrain pour le lancement de la fête,
00:04:07avec notamment le ministre du Travail et de la Sécurité sociale,
00:04:11qui allait lancer la fête en Comté.
00:04:17C'est une société, la Sociocam, qui était à l'honneur.
00:04:21Après, il y a eu des débats dans les entreprises et au ministère
00:04:31autour du thème de la 138e Fête internationale du Travail.
00:04:36Il y a eu la marche des travailleurs,
00:04:39j'allais dire la marche entre les différents travailleurs, les partenaires,
00:04:45la grande marche sportive qu'il y a eu le samedi.
00:04:49Aujourd'hui, c'est la protéose, avec des discours.
00:04:52Vous avez entendu les acteurs, les syndicalistes dans leur rôle,
00:04:59ne pas cesser de taquiner le gouvernement.
00:05:03Bon, ça c'est normal.
00:05:05C'est pour le gouvernement, c'est pour la marche des travailleurs,
00:05:07c'est pour la Sécurité sociale.
00:05:09M. Bouengi, c'est parti pour la marche des travailleurs.
00:05:12M. Bouengi, c'est parti pour la grande marche des travailleurs,
00:05:17notamment ouvert par le carré des syndicats,
00:05:24avec, comme vous pouvez le voir, l'effigie du Président de la République,
00:05:32le Président de la République, Son Excellence Paul Biya,
00:05:34à qui les syndicats ont envoyé un message clair,
00:05:37un message, Kylian a rappelé,
00:05:39qui sera transmis au acquis de droits par le ministre du Travail et de la Sécurité sociale,
00:05:45Végoa Onaka, situe ici, au canton.
00:05:49Beaucoup de membres du gouvernement et d'autres personnalités
00:05:53sont venus encourager les travailleurs qui vont battre le pavé,
00:05:57ici au boulevard du Veme Ayaude.
00:06:02Vous avez vu, par la magie de nos caméras,
00:06:07tous les membres du gouvernement et ceux qui se sont déplacés
00:06:13pour venir encourager les travailleurs.
00:06:16Et là, nous avons les confédérations syndicales avec des messages clairs.
00:06:23Là, c'est la Confédération syndicale des travailleurs du Cameroun
00:06:27qui rappelle le thème de cette année,
00:06:31Dialogue social constructif pour une justice sociale équitable.
00:06:40Et le thème de cette année, nous voulons bien le rappeler une fois de plus,
00:06:45Dialogue social constructif, facteur de promotion du travail décent et du progrès social.
00:06:50Kylian, on va le rappeler, le travail décent revient dans tous les discours.
00:06:58C'est l'idéal que souhaitent les travailleurs au Cameroun.
00:07:05C'est exactement ce que le travail doit être.
00:07:10C'est centré sur le travail décent.
00:07:14Chaque année, nous parlons du travail décent,
00:07:17parce qu'il est accepté qu'au Cameroun, nous nous battons pour y arriver.
00:07:21C'est seulement quand nous avons du travail décent que nous pouvons vivre une bonne vie.
00:07:28C'est pour cela que je pense que ce mot apparaît chaque fois que nous célébrons l'International Labour Day.
00:07:38En plus de M. Boyomo Moenji, qui est un de nos invités,
00:07:49nous avons aussi Roland Njamchi, qui est l'inspecteur général des services
00:07:56au ministère des Travailleurs et de la Sécurité sociale.
00:07:59Madame Bouzi Ahanda Angeline Ipouz Abba,
00:08:08elle est la chef de la division des normes et de la coopération
00:08:14au ministère des Travailleurs et de la Sécurité sociale.
00:08:20Voyons ce qui se passe au boulevard.
00:08:24C'est l'heure de vous accueillir.
00:08:27M. Njamchi, Roland, vous êtes bienvenue.
00:08:30Vous serez avec nous jusqu'à la fin du passe-marche.
00:08:37Merci, M. Njamchi.
00:08:39C'est notre honneur de partager ce moment spécial avec vous.
00:08:47C'est le jour des travailleurs.
00:08:50Nous voulons commencer par souhaiter aux travailleurs un joli jour.
00:08:53C'est ce jour-là.
00:08:55Vous pouvez voir ceux qui sont déjà au passe-marche.
00:08:58Merci beaucoup, M. Njamchi, Roland, l'inspecteur général.
00:09:03Nous voulons aussi souhaiter la bienvenue à Madame Bouzi Ahanda Angeline Ipouz Abba,
00:09:10la chef de la division des normes et de la coopération.
00:09:14Vous êtes bienvenue à Asset.
00:09:16Merci, M. Njamchi.
00:09:17Vous serez avec nous tout au long du passage-marche.
00:09:19Vous allez nous donner de la lumière sur des choses que nous ne connaissons pas.
00:09:23Comme vous pouvez le voir, le passe-marche est déjà en cours.
00:09:30Avec le thème de l'année sur votre écran.
00:09:35De temps en temps, vous devez le regarder.
00:09:38Nous regardons les messages, le dialogue social constructif,
00:09:41le vecteur du travail décent et du progrès social en Cameroune.
00:09:44C'est l'édition 138 du Jour des Travailleurs international,
00:09:50célébré en Cameroune.
00:09:52Madame Bouzi, vous allez nous dire pourquoi ce thème.
00:09:59Pourquoi ce thème ?
00:10:01Justifiez ce thème, le thème de cette année.
00:10:04Nous parlons du dialogue social,
00:10:08qui est une mesure pour promouvoir le travail décent et le progrès social.
00:10:14Ce que nous pouvons dire, c'est que le dialogue social est une institution
00:10:19qui constitue l'un des quatre piliers fondamentaux du travail descendant sa grande globalité.
00:10:27Le dialogue social est cette table des négociations permanentes
00:10:31qui existe entre les employeurs et les travailleurs dans une institution
00:10:37ou encore dans un état comme le nôtre,
00:10:40où les employeurs et les travailleurs s'assoient à la même table que le gouvernement
00:10:46pour faire avancer les politiques publiques en matière de travail.
00:10:50C'est justement ce concert de communication mutuelle,
00:10:55cette recherche permanente du consensus,
00:10:58cette recherche des décisions prises de façon collégiale et collatérale
00:11:04avec une approche consultative et participative
00:11:08qui constitue le dialogue social à travers plusieurs instances dont nous parlerons plus tard
00:11:14et qui font la force du tripartisme et qui donnent de bons points au monde du travail dans sa globalité.
00:11:21Merci beaucoup.
00:11:23Nous avons juste vu la réunion des transporteurs qui transporte les gens
00:11:29de Mendon, qui est un quartier de Yaoundé, au Centre Poste Office.
00:11:33Ils représentent tous les autres transporteurs.
00:11:36Sans ces transporteurs, si vous n'avez pas de voiture,
00:11:39si vous n'avez pas de personnel qui vous emmène à l'office
00:11:44ou à la maison ou où que vous travailliez,
00:11:47ce serait très difficile pour vous.
00:11:49Ils sont ici et ont été donné le droit d'exprimer leur place.
00:11:52Ils sont les premiers à marcher.
00:11:56Oui, Kilamda Defence, c'est toujours les confédérations syndicales
00:12:02qui défilent ici devant les personnalités, les invités
00:12:08venus pour les encourager.
00:12:11L'UGTC a fièrement porté le drapeau du Kermouna.
00:12:18Avec une mascotte, comme on peut le voir,
00:12:25des travailleurs qui défilent fièrement,
00:12:29qui défilent fièrement ici, au boulevard du 20 Mai,
00:12:34pour exprimer leur voie d'appartenir à la classe des travailleurs.
00:12:40Parce que figurez-vous, c'est quand même un privilège
00:12:46d'avoir un travail.
00:12:50Maintenant, le travail descend, c'est une longue lutte
00:12:53et je crois que c'est l'idéal vers lequel le gouvernement tend.
00:13:15Nous devons aider les travailleurs, les unionistes,
00:13:18tous les autres travailleurs, pour s'assurer
00:13:21qu'ils soient responsables, qu'ils soient patriotes
00:13:24dans toutes les activités qu'ils portent,
00:13:27pour qu'ils deviennent des bâtisseurs nationaux.
00:13:30Nous bâtissons notre pays ensemble.
00:13:33Si quelqu'un a des difficultés, ce qui est son droit,
00:13:38il devrait les apporter au ministère du Travail,
00:13:42ils s'interviendront et décideront le cas des enseignants.
00:13:46Le cas des enseignants, les enseignants ont été
00:13:50soignés à un très grand niveau.
00:13:53Le ministre de l'Éducation secondaire est ici,
00:13:56le professeur Nalova Lyonga,
00:13:58le ministre de l'Éducation supérieure est ici,
00:14:01le ministre de l'État, le professeur Jacques Pham Dungo,
00:14:06le ministre de l'Éducation basique,
00:14:08le professeur Laurent Sege,
00:14:11ils ont fait en sorte que certains de ces choses se produisent.
00:14:16En tant que solution aux problèmes des enseignants,
00:14:20il a été dit qu'une fois qu'ils ont gradué de l'école,
00:14:24avant de le faire,
00:14:26leurs salaires seraient processés,
00:14:28puis ils sortiront et obtiendront leurs salaires.
00:14:31Le ministre en charge du service public
00:14:34et des réformes administratives
00:14:36fait exactement cela.
00:14:38Il nous a dit que ce sont les réformes
00:14:41qui permettent aux enseignants et aux travailleurs
00:14:45qui sont très importants dans leur vie,
00:14:47d'être bien traités.
00:14:49Le ministre de la fonction publique et de la réforme administrative
00:14:54qui a donc obéi ou respecté les instructions de la haute hiérarchie
00:15:02pour la facilitation de toutes ces procédures
00:15:05a d'ailleurs appelé il y a quelques jours
00:15:08et le gouvernement essaie de le marteler.
00:15:11On n'a plus besoin de se déplacer à Yaoundé
00:15:16pour venir suivre les dossiers.
00:15:18Tout a été décentralisé et ça ne se fait pas sans preuve.
00:15:22Nous avons d'ailleurs couvert il y a quelques temps
00:15:25la mise en place d'un dispositif
00:15:28qui permet à tous les agents de l'État et aux fonctionnaires
00:15:33d'avoir accès à leurs documents
00:15:36sans besoin de se déplacer.
00:15:40Angeline Abba, vous êtes au cœur de l'organisation
00:15:44de cette 138e édition de la fête des travailleurs.
00:15:50On a entendu tout à l'heure les confédérations syndicales
00:15:56qui n'ont pas cessé de plaider
00:16:01et même de crier au respect
00:16:07notamment des conventions collectives
00:16:10mais également pour l'ouverture des discussions
00:16:13pour la révalorisation des pensions retraites.
00:16:16Est-ce qu'ici, en quelques mots,
00:16:19vous pouvez nous dire à quel niveau est-ce qu'on en est
00:16:23notamment pour les discussions
00:16:25en ce qui concerne la révalorisation des pensions retraites ?
00:16:30Je vous remercie de me passer la parole.
00:16:34Il convient tout de même de faire un petit feedback
00:16:39et de dire qu'en général les plus grandes victoires
00:16:43s'obtiennent après des revendications.
00:16:47Nous saluons déjà l'ouverture de ces centrales syndicales
00:16:51à pouvoir revendiquer.
00:16:53Nous saluons même également la confiance
00:16:56qu'elles mettent dans la mise en œuvre de la politique du gouvernement
00:17:00en matière de réparation.
00:17:02Partant donc de ce postulat,
00:17:05nous disons que des réflexions profondes sont en cours.
00:17:09La révalorisation des pensions retraites
00:17:11ne peut pas se faire en un jour
00:17:13étant entendu que le champ est vaste.
00:17:17Il y a plusieurs strates et plusieurs secteurs d'activité.
00:17:21Il y a plusieurs catégories professionnelles
00:17:25qui rentrent en jeu avec toutes les implications
00:17:28qui découlent en termes de salaire, etc.
00:17:32La révalorisation ne se fera qu'au terme d'une série d'études actuarielles
00:17:37qui peuvent être adaptées à chacune des catégories.
00:17:41Mais il nous revient tout de même de rassurer
00:17:47les représentants syndicaux mais aussi les travailleurs
00:17:50qui restent en attente en leur disant
00:17:53que cette préoccupation sera résolue.
00:17:55Le ministre du Travail a à cœur à chaque fois
00:17:59de sauvegarder les intérêts des travailleurs
00:18:02pour leur garantir davantage d'apaisement
00:18:05et continuer à maintenir la paix sociale au Cameroun.
00:18:09Je vous remercie.
00:18:10Après vous, Mme Abba, on va mentionner
00:18:13et le ministre l'a souligné tout à l'heure dans son discours
00:18:16la présence du représentant de l'Organisation internationale du Travail au Cameroun,
00:18:20Claude Yaokouamé, pour la première fois
00:18:23qu'il vient assister à la marche des travailleurs
00:18:26ici au boulevard du 20 mai.
00:18:29On va également mentionner ces ministres
00:18:34qui sont autour du ministre du Travail et de la Sécurité sociale,
00:18:38notamment le ministre Issachirouma Bakary,
00:18:41le ministre Joseph Lé,
00:18:43le ministre Rozemba Acha Fomoundam.
00:18:47Ils sont très nombreux.
00:18:48Comme ça, nous aurons le temps de les citer.
00:18:51Tout à l'heure, le train du défilé qui se poursuit
00:18:55avec la Chambre d'agriculture, des pêches,
00:19:02des levages et des forêts
00:19:05qui, on l'a vu, s'est déployé ces derniers temps,
00:19:09notamment à l'intérieur du pays et même à l'extérieur
00:19:13à la recherche des financements
00:19:15pour le bien-être des travailleurs de ces secteurs.
00:19:46J'aimerais aussi mentionner le ministre du Travail, Thalba Mala,
00:19:51qui est ici.
00:19:53J'ai eu l'occasion de le saluer,
00:19:55le secrétaire général du ministère, Jean-Celac O'Takem.
00:19:59Un directeur qui est très proche de moi,
00:20:03M. Inka Mbena.
00:20:05Bonne journée à tous ceux qui sont à Guéret,
00:20:08dans la région du Nord,
00:20:10c'est un endroit où j'ai été en mai dernier.
00:20:16Sans vous couper, on a vu la Société Sucrière du Cameroun
00:20:22qui est passée il y a quelques instants,
00:20:24que les téléspectateurs ont pu voir.
00:20:26C'est la Société Sucrière du Cameroun, la Sociucam,
00:20:29qui a reçu le ministre du Travail et de la Sécurité sociale
00:20:33et sa délégation la semaine dernière
00:20:36pour le lancement officiel des activités
00:20:39marquant la 138ème édition de la Fête internationale du Travail.
00:20:45La Société qui existe depuis 1965
00:20:48et qui est basée en Côte d'Ivoire,
00:20:51dont les usines sont à Banjoc,
00:20:54et qui procure aux Camerounais
00:20:57un sucre de qualité certifié FFC 22000
00:21:01pour la sécurité des denrées alimentaires,
00:21:04aussi la norme camerounaise à Nord dédiée.
00:21:08La Société Sucrière du Cameroun a reçu comme ses plus de 7000 emplois directs
00:21:12qui fait de l'entreprise le deuxième plus gros employeur au Cameroun.
00:21:38Ce sont ceux du secteur des activités agricoles,
00:21:42élevage et production.
00:21:45C'est un secteur très important pour nous.
00:21:48C'est un secteur très important pour nous.
00:21:51C'est un secteur très important pour nous.
00:21:54C'est un secteur très important pour nous.
00:21:57C'est un secteur très important pour nous.
00:22:00C'est un secteur très important pour nous.
00:22:03C'est un secteur très important pour nous.
00:22:06C'est un secteur très important pour nous.
00:22:09C'est un secteur très important pour nous.
00:22:12C'est un secteur très important pour nous.
00:22:15C'est un secteur très important pour nous.
00:22:18C'est un secteur très important pour nous.
00:22:21C'est un secteur très important pour nous.
00:22:24C'est un secteur très important pour nous.
00:22:27C'est un secteur très important pour nous.
00:22:30C'est un secteur très important pour nous.
00:22:33Fourth father illustrated
00:22:35Today my feelings are different.
00:22:37The rest of my time is all about you,
00:22:40the rest of my time is all about you.
00:22:43The whole time, you're here,
00:22:46it's inside me when you don't hear me,
00:22:49It's available everywhere.
00:22:52It's there inside of you.
00:22:55It's there inside of you.
00:22:58I beware you,
00:23:01aussi l'un des secteurs les plus accidentogènes en termes de maladies professionnelles et
00:23:07d'accidents du travail, parce que c'est un secteur où il y a beaucoup d'intrants
00:23:11chimiques qui sont utilisés.
00:23:14Mais je pense que le SMIC ne signifie pas le salaire, le SMIC c'est le salaire minimum
00:23:24qu'une entreprise pourrait payer, mais ça ne voudrait pas dire que tous les employeurs
00:23:29devraient payer ce qui a été pris par le décret du Premier ministre.
00:23:33Donc en réalité c'est un débat qui est souvent faussé, parce que les gens pensent
00:23:39que lorsque le gouvernement prend un décret sur le SMIC, alors toutes les entreprises
00:23:46devraient se mettre à payer ce salaire-là.
00:23:48Non, c'est le salaire minimum, c'est la base à partir de laquelle on peut voir extrapoler
00:23:54les autres salaires.
00:23:55Bon, maintenant, il y a des employeurs certainement qui en profitent pour faire des abus et le
00:24:01ministre du travail et la sécurité sociale veillent au grain à travers l'inspection
00:24:04du travail qui essaie de suivre, et nous à l'Observatoire National du Travail d'ailleurs,
00:24:09nous avons une application qui permet de suivre ce travail sur le terrain, les inspecteurs
00:24:15remontent les données, nous disons au ministre ce qui se passe sur le terrain et cela nous
00:24:19permet.
00:24:20C'est l'occasion pour moi de vous dire que le salaire conventionnel au Cameroun est
00:24:26quand même de 48%, 48% d'entreprises suivent à peu près le salaire qui est produit par
00:24:34les conventions collectives dont vous avez parlé tantôt.
00:24:37Oui, merci beaucoup, M. Boyomo, nous parlons de l'agriculture qui vient de passer, ok,
00:24:46Boyomo, merci beaucoup pour la correction de ce nom, nous parlons de l'agriculture,
00:24:54je vais juste parler de Habileporte à la directrice générale du Centre pour l'étude
00:25:04et l'expérimentation de l'agriculture mécanisée.
00:25:07Vous savez, notre agriculture ne peut pas nous emmener n'importe où, je parle de
00:25:11M. Eikoto Minkuna, oui, Mme Eikoto Minkuna, André Karolini, qui fait en sûre que l'agriculture,
00:25:29l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture,
00:25:36l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture,
00:25:39l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture,
00:25:40l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture,
00:25:41l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture, l'agriculture,
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00:28:35Nous avons déjà discuté avec les partenaires sociaux pour voir comment ils peuvent réviser l'ITK
00:28:40Mais pour l'instant, ce que nous pouvons dire, c'est que seulement les employés de l'agriculture sont prêts à rembourser de leur moyenne actuelle
00:28:54Alors pourquoi les autres sont-ils encore en retard? Nous voulons donc appeler sur eux pour qu'ils s'adaptent à la situation
00:29:07En ce qui concerne le secteur bancaire, il est bien organisé. Si ce n'était que le secteur bancaire, le révisage ou l'augmentation de la moyenne actuelle n'aurait pas posé de problème
00:29:24L'équipe de cette année parle du dialogue social en tant que vecteur de travail décent. Parce qu'il n'y a pas que les secteurs de l'insurance et de la banque
00:29:44En ce qui concerne le secteur informatique, il y a beaucoup à faire. Dans le contexte international, il y a une crise. Il y a des besoins.
00:29:57Nous travaillons avec les banques commerciales. Quand on regarde la façon dont elles fonctionnent, on sait qu'elles fonctionnent bien. Dans le secteur bancaire, il y a toujours des gens bien traités.
00:30:12Nous voulons dire que le système bancaire doit être contrôlé. Il y a la banque NFC qui doit être contrôlée dans la manière dont elles donnent des lois aux clients. Le gouvernement doit toujours regarder ce qui se passe dans les banques
00:30:34Les banques contrôlent aussi les lois de l'argent. Elles contrôlent la corruption. Elles contrôlent l'argent qui peut entrer dans le financement des groupes dangereux dans le pays. Le secteur bancaire est donc très sensible. Nous avons vu plusieurs d'entre eux passer par là.
00:30:54Nous savons que les autorités compétentes font tout pour s'assurer qu'on ne dépose pas de l'argent. C'est un bon mouvement pour contrôler l'argent. Nous avons des problèmes avec le financement des groupes dangereux dans notre pays.
00:31:19C'est pourquoi le secteur bancaire doit être contrôlé.
00:31:49C'est un secteur où les employés peuvent faire face à ce que nous appelons le burn-out. Ce sont des problèmes de sang de burn-out. C'est l'excès de stress lié au travail.
00:32:09C'est pour cela que les délégués doivent continuer et ne jamais cesser de militer pour un cadre de travail décent et pour un dialogue social inclusif qui permette aux travailleurs d'être épanouis et de fournir les services que les usagers méritent.
00:32:35Le secteur bancaire est un secteur très délicat. La plupart des travailleurs passent par les banques, même si c'est uniquement pour ouvrir des salaires. La plupart de ces banques financent d'énormes projets.
00:32:56C'est vrai. C'est pour cela qu'il y a des structures comme le Quebec qui contrôlent ce genre de choses. Nous avons des services de gouvernement spécialisés. Ils s'assurent que certains mouvements financiers sont contrôlés.
00:33:16J'ai parlé de burn-out. Quand vous travaillez sans fatigue, vous travaillez jusqu'à la fin, il y a un moment où vous pouvez même mourir car toute votre énergie, tout ce qui vous concerne, vous êtes fatigué.
00:33:33Combien d'heures de travail est-il permis en Cameroune ? Que faites-vous en tant qu'officier du ministère de l'État pour contrôler et s'assurer que les Camerooniens ne travaillent pas moins, qu'ils ne travaillent pas plus pour ne pas mourir ?
00:33:54Vous avez parlé d'horaires de travail. 8 heures de travail par jour, 40 heures de travail par semaine. Voilà ce qui est autorisé. Dans le secteur agricole, il y a 16 horaires privilégiés.
00:34:18Le ministre a parlé tout à l'heure des travailleurs domestiques. Là, on voit vraiment qu'il y a souvent des entorses à cette réglementation. Certains travailleurs domestiques travaillent toute la journée et parfois même 14-15 heures par jour.
00:34:36Certains sont recrutés pour faire une tâche qui va prendre peut-être 4 heures et après finalement c'est 5 tâches et ça devient parfois 12 heures de travail. Donc il y a de sérieux efforts à faire dans ce domaine-là.
00:34:52Vous avez entendu le ministre du Travail tout à l'heure dire qu'effectivement le gouvernement a lancé tout un programme pour pouvoir essayer d'apporter un soutien à ces travailleurs domestiques, à ces travailleurs qui sont un peu délaissés, qui se considèrent comme laissés pour compte.
00:35:08Nous avons d'ailleurs avec le BIT, le ministère et le BIT à travers l'ONT, l'Observatoire National du Travail, nous avons mené une étude qui montre effectivement qu'il y a beaucoup d'abus qui sont faits dans ce cadre-là.
00:35:23Et le secteur bancaire qui s'enrichit tous les jours de nouvelles institutions comme la BenchBank que vous voyez sur vos antennes en ce moment. La BenchBank qui existe depuis novembre 2020 avec à sa tête Emilio Moyo Avoro, le directeur général qui s'attelle à mettre les employés à l'abri de beaucoup de choses que nous décrions notamment tout à l'heure.
00:35:51La BenchBank c'est neuf agences. Désormais, il y a une des doigts, la Cribi San Berima qui aussi, les employés sont au nombre de 200 à peine. Et leurs activités c'est le financement agricole, on en parlait tout à l'heure, avec un accent sur les femmes, très important, sur les femmes et les jeunes.
00:36:14Mais également les financements des marchés publics sans oublier les activités commerciales et leur slogan c'est la banque pour tous. La banque pour tous c'est l'idéal que nous souhaitons pour tous, même les petits travailleurs comme les travailleurs domestiques que le ministre du Travail et de la Sécurité Sociale a mentionné tout à l'heure dans son discours.
00:36:38Camposte, vous pouvez voir Camposte marcher, fêter l'année passée. Camposte, cette année, je devrais dire, célébre son anniversaire 20e et c'est du 23 avril 2004 jusqu'au 23 avril cet an. C'était il y a quelques semaines.
00:36:56Son mission c'est d'assurer et d'opérer les réseaux postaux et les services, d'offrir des services postaux avec un caractère financier, de promouvoir les services postaux nationaux, d'offrir des services liés aux fonds, de transférer, de gérer les produits d'assurance et de leur héritage.
00:37:13Et ses valeurs sont la proximité, le professionnalisme, l'innovation. Camposte est l'institution officielle qui doit faire ce que nous avons aujourd'hui, les agences de voyage et le reste. Ils innovent pour s'assurer qu'ils continuent de faire ce qu'ils ont fait.
00:37:33Angélique, on parle de travail décent, on parle de dialogue social, mais pour que tout cela soit une réalité, il faut également penser la sécurité et la santé au travail. La journée africaine de la sécurité et de la santé au travail a été célébrée hier à la veille de cette 138e édition de la fête internationale du travail.
00:38:00Quels sont les critères qui sont prescrits aux entreprises pour juger qu'une entreprise respecte les mesures de sécurité et de santé au travail ?
00:38:14Je commencerai par dire que le cadre juridique qui détermine la pratique de la santé et de la sécurité au travail est régi par la convention 155 sur la santé et la sécurité au travail que le Cameroun a dû ratifier et que nous avons l'obligation de mettre en œuvre. Dans le cadre de cette mise en œuvre, le Cameroun a développé une politique nationale de santé et de sécurité au travail.
00:38:43Cette politique nationale de santé et de sécurité au travail est donc, dans une certaine mesure, déclinée à travers les comités d'hygiène et de sécurité qui se retrouvent dans chacune des entreprises, mais non en fonction du domaine professionnel dans lequel l'entreprise évolue.
00:39:01Si c'est une entreprise, je dirais par exemple l'agricole, il y a des déterminants particuliers qui peuvent intervenir non seulement en termes de posture, en termes d'outils, en termes de manipulation des produits agricoles. En fonction de cette spécificité, les médecins inspecteurs du travail du ressort de l'entreprise font des visites adaptées.
00:39:27Lorsque nous abordons d'autres domaines tels que le domaine des services, vous avez parlé tout à l'heure des banques, en fonction de l'ergonomie du travail, en fonction des dispositions qui sont prises pour que les employés ne se retrouvent pas face à des burn-out, étant donné que c'est un secteur hautement compétitif, les inspecteurs du travail du ressort, les médecins d'entreprise et les médecins inspecteurs du travail,
00:39:52tout comme les médecins spécialisés des centres, des comités d'hygiène et de sécurité de ces entreprises, ont des canons et des déterminants bien spécifiques qui permettent à ce moment-là davantage d'abord d'éduquer, davantage d'abord de conseiller.
00:40:10Mais le mécanisme de rétribution, je vais utiliser cette expression, qui permet de classer les entreprises est en train d'être développé, nous n'allons peut-être pas vers une norme.
00:40:21Mais il est important de rappeler quand même qu'au cours de cette journée africaine de la santé et sécurité au travail qui a été célébrée hier et qui faisait suite à la célébration, la co-célébration de la journée mondiale de lutte contre les accidents de travail et les maladies professionnelles, des entreprises spécifiques qui ont des CHS qui fonctionnent très bien ont été primées par la CNPS.
00:40:49C'est déjà ça, c'est une avancée venant d'un vide. Nous pensons que le meilleur est à venir et avec les contributions des divers partenaires sociaux, mais surtout des syndicats, des travailleurs, une amélioration sera certainement faite en vue d'affiner davantage et de rendre plus pertinente cette sélection qui est somme toute nouvelle en cette année 2024.
00:41:13Oui, mesdames et messieurs, c'est la 138ème édition de la Journée mondiale de la lutte contre les accidents de travail. Nous célébrons en Cameroun. C'est célébré sous le thème constructif, le dialogue social, le vecteur de travail décent et le progrès social.
00:41:35Et vous nous regardez, nous sommes ici au boulevard du 20 mai. Cet événement est présidé par le ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Grégoire Houna, qui est là avec un bon nombre de ministres qui représentent leurs départements gouvernementaux.
00:41:56Nous voulons s'assurer de leur approbation, de leur collaboration, de leur attachement à leur personnel. Je sais que chacun de ces ministres mènera leur personnel à l'arrière et à certains endroits où ils ont choisi de travailler après la fête du 1er mars.
00:42:22Nous avons ici le fonds national de l'emploi. C'est un fonds qui est en charge de l'emploi des Camerounais. Dans les circonstances normales, ceux qui cherchent des emplois doivent passer par le fonds national de l'emploi. C'est de là que nous connaissons les statistiques de l'emploi de Cameroun.
00:42:49Je sais que madame Angeline Bouzier-Abba nous a donné des statistiques sur le fonds national de l'emploi. Est-ce que c'est clair ? Combien de Camerounais passent par là ?
00:43:11Je ne vais pas avoir la prétention de détenir des statistiques fiables, donc je préfère ne pas m'aventurer. Ce que nous voulons dire de façon particulière avec ce passage du fonds national de l'emploi, c'est que c'est l'institution étatique opérationnelle en charge du service public de l'emploi. C'est le bras opérationnel de la mise en œuvre de la politique de promotion de l'emploi au Cameroun.
00:43:38Quand nous savons que le travail décent a quatre piliers, dont le principal porte sur l'emploi à travers la création d'emplois décentes, productifs et durables, nous pouvons mesurer l'impact que peut avoir le fonds national de l'emploi dans la promotion du travail décent.
00:43:58Beaucoup de personnes n'y vont peut-être pas. C'est l'occasion pour nous de profiter de votre tribune pour dire aux Camerounais que le fonds national de l'emploi fait un travail remarquable et il serait important que chacun puisse se donner la chance de pouvoir obtenir un travail décent à travers ce canal qui appartient à tous les Camerounais.
00:44:18Nous notons de façon très particulière l'ouverture du guichet à la migration qui existe depuis quelques années. Vous allez voir, il y a beaucoup d'entreprises qui font des propositions à travers Internet, à travers de l'affichage sur la garantie d'un meilleur travail à l'étranger, l'appel à l'étranger de plus en plus fort.
00:44:40Mais il est important de dire aux Camerounais que le fonds national de l'emploi a un guichet particulier dédié à l'accompagnement des travailleurs migrants. Un guichet particulier qui permet de protéger le travailleur Camerounais qui s'en va à l'étranger pour chercher du travail.
00:44:56Là-bas dans ce guichet, il a au moins la fonction de conseil lorsqu'il ne peut pas avoir une fonction d'accompagnement direct. Mais dans certains pays, il y a une fonction d'accompagnement direct. Il y a une fonction qui permet aux travailleurs Camerounais qui vont à l'étranger de pouvoir obtenir avant son départ un numéro d'immatriculation volontaire à la CNPS qui peut être suivi à travers ce guichet d'accompagnement à la migration qui est logique.
00:45:26Et quand on parle d'accompagnement, il y a également l'accompagnement des projets ici sur place au Cameroun. Et cela passe par les microfinances que nous voyons depuis quelques minutes ici au boulevard du 20.
00:45:41L'une de ces microfinances qui défile ici devant le ministre du Travail et de la Sécurité Sociale et les autres personnalités venues encourager les travailleurs, c'est l'ARENA-PROV-FA du groupe ARENA-PROV-Finance qui a été mis en place en 2016 et qui fonde sa vision sur les valeurs de l'économie solidaire et de lutte contre la pauvreté.
00:46:09Le groupe ARENA-PROV-FA-Finance qui accompagne l'état du Cameroun dans toutes ses politiques publiques en matière de lutte contre la pauvreté.
00:46:19Son promoteur, le révérend pasteur Bissaï Emmanuel, place l'homme, le travailleur, au centre de toutes les préoccupations.
00:46:29Le ministre du Travail et de la Sécurité Sociale ne cesse de le rappeler, les syndicalistes aussi, toutes les confédérations syndicales qui ont pris la parole ici ont insisté que l'homme soit mis au cœur de toutes les préoccupations.
00:46:51Un travailleur épanoui, c'est un travailleur dont la rentabilité sera irreprochable. M. Moindy, nous avons tous ces travailleurs ici qui défilent avec le sourire au visage.
00:47:11C'est-à-dire que c'est une journée qui représente pour eux quelque chose de très important parce que je suis certaine que beaucoup ne vont pas loin pour faire appel à l'histoire qui nous ramène à 1886. D'autres sont contents et même très fiers de voir qu'on marque un arrêt pour penser à eux.
00:47:38C'est une journée symbolique pour eux, c'est une journée de rêve de meilleures conditions de travail et je pense que les efforts déployés par le gouvernement, tous ces derniers temps, peuvent leur donner du sourire.
00:47:54Cela se voit d'ailleurs par leurs pas alertes, cela se voit par leur enthousiasme à participer à ce défilé et leur tenue aussi. Les entreprises n'y sont pas allées les mains mortes en leur donnant un peu plus.
00:48:08Mais il faudrait dire que les entreprises et les travailleurs sont des outils importants. C'est pour ça qu'on parle de dialogue social constructif. Lorsque le dialogue social est bien constructif, cela produit une productivité horaire du travail.
00:48:25C'est-à-dire que le travailleur qui est content commence à donner le meilleur de lui-même et cela bénéficie à l'entreprise en termes de productivité, en termes de performance économique et cela amène aussi beaucoup de joie dans les familles et vous comprenez que cela peut aboutir effectivement au progrès social.
00:48:43Le progrès social qui est l'idéal vers lequel nous tous tendons. Angélique Abba, les travailleurs se sont déplacés en nombre ici, mais on va le dire depuis quelques années. La grande marche des travailleurs est également décentralisée dans toutes les régions. Quels sont les retours que vous avez notamment ?
00:49:11La mobilisation est on ne peut plus forte. Il y a un véritable engagement de haute facture, de haut niveau. Les délégations régionales qui sont les démembrements du ministère du Travail et de la Sécurité sociale ont fortement été mobilisées à travers de la sensibilisation.
00:49:31Les sollicitations sont venues de plusieurs entreprises, quels que soient les secteurs d'activité. D'ailleurs, le lancement officiel de la semaine du travailleur a été fait la semaine dernière en Côté, dans une entreprise du secteur agricole qui se veut pour d'aucune entreprise du secteur tertiaire.
00:49:51Ça fait plaisir de voir ces chefs d'entreprise qui encouragent leurs travailleurs ici. C'est le cas de Dynamo AG, qui est le promoteur de People Finance, qui oeuvre pour accompagner le monde rural et les entrepreneurs. Le monde rural qui est au cœur de toutes les attentions ces derniers temps.
00:50:15Le président l'avait mentionné dans l'un de ses discours, la Terre ne trompe pas.
00:50:23En effet, l'avenir du travail, tel qu'il est désormais pensé par l'OIT, est centré sur l'humain. Le Cameroun a pris la pleine mesure et a décidé de s'aligner avec cette marche mondiale.
00:50:41Parce que nous avons constaté que ce soit à travers les inspections du travail, que ce soit à travers les instances du dialogue social qui se font à toutes les échelles, dans les départements, dans les régions, que le principal facteur de production en entreprise reste la ressource humaine.
00:51:01Et lorsque la ressource humaine se sent valorisée à travers une journée qui lui est dédiée comme celle-ci, lorsque le labeur de chacun d'entre nous est valorisé à travers cette célébration de la fête internationale du travail, on ne peut que trouver satisfaction.
00:51:15Parce que cette satisfaction est également l'un des éléments qui montrent que le dialogue social est effectif et opérationnel dans nos entreprises.
00:51:26Monsieur Roland Deban-Jamsy, inspecteur général au ministère du Travail et de la Sécurité sociale, il y a un engouement visible pour la marche des travailleurs.
00:51:45À la vue de ce train du défilé, nous notons une augmentation des participants. Est-ce que vous avez eu à faire des sélections ou alors c'était ouvert à tous ceux qui pouvaient s'inscrire ? Et combien de défilants pour les carrés cette année ?
00:52:05Oui, c'était ouvert, madame, et je pense que le ministre a été clair dans ses instructions qu'il devrait être libre. Pas de charges, pas d'impôts liés à ça.
00:52:19Parce que c'est la journée des travailleurs, ils doivent être donné l'opportunité de montrer, d'ajouter de la valeur à ce qu'ils font. Parce que notre pays ne peut se développer qu'avec l'effort de tous ceux qui sont ici.
00:52:37Parce qu'ils développent leur pays, ils doivent être heureux de le faire. C'est très important. La façon dont c'est organisé cette fois-ci, chaque entreprise qui veut marcher, doit juste aller et s'inscrire.
00:53:03On est heureux de voir le nombre qu'on a déjà vu, qui montre qu'ils reconnaissent qu'ils contribuent au futur de leur pays. Et l'État reconnaît aussi l'effort, parce que travailler c'est une chose qui nécessite beaucoup d'effort.
00:53:32Et je pense que le pays a besoin de tout le monde, où que vous soyez, dans le secteur agricole, le secteur bancaire, les écoles, les industries, un effort collectif de tout le monde pour développer.
00:53:51C'est vraiment nécessaire et on l'encourage, parce que s'ils étaient découragés, ils n'auraient pas pu travailler. En les voyant marcher ici, ça nous assure qu'ils sont motivés, qu'ils sont prêts à continuer, malgré tout, pour avancer, parce que notre pays doit se développer pour soi-même et pour le futur de nos enfants.
00:54:18Les institutions de microfinance, on a vu tellement d'entre elles marcher ici. Il y a une fois, un ambassadeur, je ne vais pas déclencher le nom ici, a dit en Cameroun que s'il y a une zone qui va transformer la vie des Camerouniens, c'est l'économie sociale et en particulier les organisations de microfinance.
00:54:43Et on a une très bonne concentration de ces institutions dans le nord-ouest, en particulier dans cette partie du pays. C'est une partie des gens, c'est devenu une culture dans ce lieu.
00:54:58Près de chaque quartier, je dirais, même si c'est un peu d'exagération, a une institution de microfinance, ce qui rend les choses plus faciles, ça rend les gens plus accessibles aux logements, ils ont accès à de l'argent, ils ont accès à d'autres avantages, aux facilités, quand l'argent est là.
00:55:23Ça rend aussi plus facile pour les gens de savoir où aller s'occuper de leur argent. Et c'est si bien organisé que c'est, comme on dit, transformant la vie des Camerouniens.
00:55:37Pas seulement transformant, vous pouvez imaginer, plus il y a d'institutions de microfinance, plus il y a d'employés. Une fois qu'une personne est employée en Cameroun, on est très sûr, et c'est un fait, qu'une personne emploie au moins 8 personnes.
00:55:57Quand vous avez 100 personnes employées, vous savez qu'il y a 800 personnes qui dépendent de celles-ci et leur vie devient également transformée.
00:56:27Tu vas voir plus ou moins les communautés, les villes ou les régions qui ont leur coopérative, Bafoot coopérative, Campoul, Taricon Credit, c'est...
00:56:57Ils s'organisent de telle manière qu'ils ont... C'est un niveau plus élevé de ce que vous connaissez comme tripte et loans. En Djangui, tripte et loans ont développé dans la microfinance, et vu que vous devez suivre les ordres et les réglementations du pays pour avoir une microfinance, vous êtes contrôlés.
00:57:20Je vous promets qu'ils ont beaucoup d'argent. Certains d'entre eux ont beaucoup d'argent. Ils donnent des lois, les gens achètent des voitures, les gens construisent des maisons, les gens investissent dans l'agriculture avec de l'argent de la microfinance.
00:57:33C'est plus facile d'obtenir, car les conditions ne sont pas aussi mauvaises que celles des banques. Pour être partenaire d'une microfinance, vous n'avez pas besoin d'avoir beaucoup d'argent pour déposer en sécurité.
00:57:48Vous n'avez probablement pas besoin d'avoir un passbook, et vous pouvez aller déposer aussi lentement que 500 euros par jour, et vous multipliez 500 par 365 jours. C'est beaucoup d'argent.
00:58:19Est-ce que c'est un secteur qui est bien organisé et exemple de plus proche lorsqu'on parle de travail, des centres de sécurité et de santé au travail ?
00:58:32C'est un secteur assez organisé, l'un des secteurs les mieux organisés, mais il y a quand même aussi beaucoup de risques professionnels. C'est un secteur à haut risque professionnel, parce que là-dedans, on manipule en même temps les engins, on doit utiliser, on doit creuser, on doit grimper, on doit faire monter des charges. C'est un secteur à très haut risque, et en même temps...
00:59:00Laissez-nous suivre ce qu'ils pensent, regardez-moi.
00:59:03C'est Isakama.
00:59:05...
00:59:29Wow, on vous permet de suivre cette vie d'eux ?
00:59:34Ils sont toujours présents. Ce sont ces travailleurs que nous rencontrons souvent au petit matin quand on va au travail, ou tard dans la nuit, pour rendre nos cités propres, même si tout n'est pas parfait. Ce sont quand même des hommes et des femmes qui se sacrifient pour que nos cités aient un beau visage.
00:59:58C'est également un secteur de travail très à risque, notamment en termes de santé, avec tout ce qu'ils peuvent manipuler comme déchets par jour.
01:00:10Ils sont fiers de voir qu'ils passent avec leurs équipements de protection individuelle, ça veut dire qu'ils sont au courant des risques qu'ils en courent, et ils sont au courant de la nécessité de se protéger.
01:00:23Bien que généralement il a été démontré que ce sont des jeunes travailleurs qui laissent leurs équipements de protection individuelle de côté, parce qu'ils veulent porter des casques de téléphone, des casques de musique, mais c'est un secteur très important, aussi sensible que les travailleurs domestiques, qui font un travail formidable pour les familles.
01:00:46Parce que sans les travailleurs domestiques, évidemment, il n'y aurait pas de familles mieux organisées en termes de couverture, de ménage, des travaux ménagers, en termes de prise en charge des personnes malades et autres. Et sans Isacam, évidemment, nos cités seraient des cités complètement pourries.
01:01:16Il y a des milliers de morts ici et là, nous devons reconnaître ce fait, mais nous devons aussi reconnaître qu'ils font un très bon travail.
01:01:28Il y a des milliers de morts ici et là, nous devons reconnaître ce fait, mais nous devons aussi reconnaître qu'il y a des milliers de morts ici et là, nous devons reconnaître qu'ils font un très bon travail.
01:01:48Il y a des milliers de morts ici et là, nous devons reconnaître qu'il y a des milliers de morts ici et là, nous devons reconnaître qu'ils font un très bon travail.
01:02:13Nous avons aussi appris qu'il y a un travail spécial, un travail de couverture, qui s'appelle un travail d'exercice spécial, qui doit aller directement à ces personnes.
01:02:22Il y a des milliers de morts ici et là, nous devons reconnaître qu'il y a des milliers de morts ici et là, nous devons reconnaître qu'ils font un très bon travail.
01:02:51C'est une bonne quantité d'argent, mais le problème c'est qu'il ne va pas directement à ces personnes, il va à la centrale-trésorerie, où le pays a tellement d'urgences à résoudre.
01:03:08Nous voulons que ce droit qui donne l'argent à la centrale-trésorerie soit révisé et que l'argent va directement à l'Assemblée régionale, à l'Assemblée spéciale de soutien pour l'assistance mutuelle, pour que nos villes puissent être nettoyées avec l'argent que l'on veut.
01:03:27Nous admirons ces femmes qui marchent contre Martine Noël, tellement engagées par la façon dont elles marchent, en disant que Yaoundé doit être nettoyée.
01:03:46Nous admirons aussi le maire de Yaoundé, Yann Amessi, qui marche contre les personnes qui travaillent sous lui, et qui montre son engagement par la façon dont ils marchent.
01:04:16C'est une entreprise privée qui se démarque pour un même objectif, faire de nos cités des villes propres, vivables et saines, pour la santé de tous.
01:04:31Nous sommes toujours avec les entreprises du secteur bâtiment et propriété.
01:05:01Ils ont leurs propres systèmes de nettoyage, leurs propres outils, leurs propres équipements, alors qu'ils attendent l'Assemblée régionale. Ils doivent aussi nettoyer les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les villes, les vill
01:05:31C'est l'entreprise Pizzaro aussi. Nous sommes toujours dans le secteur du bâtiment, Kilian Dadifone.
01:05:55Le bâtiment, c'est le bâtiment et le nettoyage. Nous décrions tant de bâtiments qui ne respectent pas les normes.
01:06:13Il y a eu des bâtiments qui ont collapsé parce qu'ils ne respectaient pas les normes. Les ministères compétents ont répété qu'il y avait des endroits où les gens ne devraient pas vivre.
01:06:36Les Camerooniennes ont toujours construit. Il y a eu un bâtiment qui a tué un certain nombre de gens. Plus de 20 Camerooniennes ont perdu la vie.
01:06:48Certains ne respectent pas les normes du bâtiment. Il y a eu des policiers qui ont été suspendus par l'administration publique.
01:07:04Il y a eu des policiers qui ont été suspendus par l'administration publique. Il y a eu des policiers qui ont été suspendus par l'administration publique.
01:07:34Il y a eu des accidents et les policiers ont commencé à vous dire de partir. Il y a eu des accidents et les policiers ont commencé à vous dire de partir.
01:08:04Il est temps de mettre un peu d'ordre dans ce secteur qui n'est pas mauvais. La police municipale doit être un appui à la police qui est chargée du maintien de l'ordre.
01:08:27C'est la mission d'aménagement et de gestion des zones industrielles. C'est l'aménagement et la gestion des zones, l'implantation des industries sur des terrains aménagés et dédiés à cet effet.
01:08:54La MAGSI qui existe depuis 1971 a été transformée en société d'État à capitale publique en avril 2019. Son directeur général actuel, Christol Georges Obranon, implémente le dialogue social.
01:09:19C'est l'idéal vers lequel tous les travailleurs tendent. La MAGSI c'est 160 employés à date sur l'étendue du territoire national et qui respectent l'équilibre régional tant prôné par notre gouvernement.
01:09:39Angélique Abba, comment ne pas souligner la toilette des femmes ici au boulevard du 20 mai. On voit de belles tenues, de belles coiffes et parfois même certains hommes qui accompagnent ces dames dans leur modèle, appelons ça comme ça.
01:10:01Est-ce que c'est quelque chose qui participe à agrémenter également la fête du travail ou tout spécialement la marche des travailleurs ?
01:10:11Oui, je vais être très cache, je dirais oui. Il faudrait que nous sachions que la revendication des droits de la femme a également connu la révolution du monde du travail.
01:10:27Lorsque nous voyons ces femmes bien coiffées, bien habillées, c'est aussi une manifestation du leadership au féminin, du management au féminin, de la présence des femmes désormais dans toutes les strates de la société, dans tous les secteurs de l'activité, du monde du travail, dans leur globalité.
01:10:47Vous avez des femmes qui conduisent désormais des engins lourds, nous avons nos grandes amazones du Cameroun, les femmes DG, nous avons nos grandes agricultrices qui aujourd'hui sont véritablement celles qui alimentent le grenier au Cameroun, nous avons des femmes qui sont dans le secteur bancaire,
01:11:07nous avons des femmes camerounaises dont le leadership n'est plus à démontrer au-delà de nos frontières dans des institutions privées du secteur public mais également à l'échelle internationale dans des organisations régionales, africaines, sous-régionales.
01:11:21Et pour cela nous disons oui, oui c'est important de célébrer les femmes le 8 mars mais c'est surtout important de se souvenir que les femmes ont revendiqué et les femmes sont désormais présentes dans le monde du travail.
01:11:35Et je tiens à saluer les initiatives spécifiques du ministre Grégoire Rouana, le ministre du Travail et de la Sécurité Sociale qui est un ambassadeur ONU Femmes, ambassadeur HeForShe parce que dans notre département ministériel, que ce soit dans les postes de haute direction, que ce soit dans les postes de sous-direction, l'équilibre est respecté et même parfois dépassé en faveur des femmes.
01:11:59Donc la fête du travail aussi c'est de montrer que le leadership, le management aboutit également à quelque chose de très pertinent lorsqu'il est conjugué au féminin. Merci Martine.
01:12:11Vous êtes un exemple, vous êtes chef des divisions au ministère du Travail et de la Sécurité Sociale. Vous avez parlé des femmes DG tout à l'heure, il y en a dans la tribune autour du ministre du Travail et de la Sécurité Sociale venu accompagner et encourager leurs collaborateurs ici.
01:12:29C'est le cas de Judith Yassonde, épouse d'Achidi ou encore de Caroline Mebandé et Koto Minkuna qui est le DG du cinéma. Nous continuons ici avec les travailleurs qui battent le pavé, encouragés par leurs responsables ici.
01:12:57Le Cameroun s'est également célébré avec leurs partenaires. En ce moment, l'ambassade de France et tous ses démembrements, notamment le lycée Fustel de Boulange, l'IRD, le CIRAT qui vient d'adifondre le travail. C'est une affaire de tous pour qu'on se trouve.
01:13:20C'est vrai, Martin. Ce que nous regardons maintenant, c'est ce qu'on appelle le secteur informatique. Nous voulons que l'inspecteur général des services au ministère du Travail et de la Sécurité Sociale nous dise que nous avons le secteur informatique. C'est le secteur informatique que Martin parle. Qu'est-ce que vous appelez le secteur informatique et le secteur informatique dans le monde du travail ?
01:13:47Ce sont des secteurs bien organisés, bien structurés, qui suivent les lois. C'est ainsi qu'il est possible de vérifier et d'obtenir des informations sur les lois en termes de lois respectées.
01:14:15C'est ainsi qu'il est possible d'obtenir des informations sur les lois respectées. Les gens savent que les lois respectées existent. Par exemple, on peut aller là-bas et dire que les gens savent qu'il y a un minimum de lois sur lesquelles on ne doit pas payer quelqu'un au-delà.
01:14:29C'est ainsi qu'il est possible de vérifier et d'obtenir des informations sur les lois respectées.
01:14:50Est-ce que vous pouvez citer certaines institutions ou zones ?
01:14:57Par exemple, les travailleurs domiciles. Ils travaillent dans des maisons privées. Nous ne savons pas les conditions dans lesquelles ils travaillent. Nous ne savons pas combien ils sont payés.
01:15:15Est-ce qu'ils sont payés ? Est-ce qu'ils respectent les lois minimums ? Travaillent-ils comme normal ?
01:15:27La première barrière que nous avons, c'est qu'il n'y a pas de droit légal pour les travailleurs domiciles d'aller dans une maison privée et de contrôler les travailleurs domiciles qui y travaillent.
01:15:45C'est déjà un problème très important. Nous espérons que le framework légal devienne plus efficace pour que les inspecteurs de travail soient donné plus de pouvoir.
01:15:59Parce que ce sont des travailleurs classiques, comme tous les autres travailleurs, et ils méritent des droits. Mais ce que je veux dire ici, c'est que si un de ces travailleurs dans le secteur informatique vient à l'inspecteur de travail, il est traité et donné tous les droits d'un travailleur.
01:16:20Donc, de ce que vous dites, j'ai compris que ceux qui travaillent dans les plantations, et ceux qui travaillent dans le secteur informatique... Madame Angélique Abba, vous avez quelque chose à me dire.
01:16:50Dans nos économies en cours de développement, et de façon particulière également au Cameroun, il a été observé que le phénomène de la dépriardise et la non-absorption de beaucoup de diplômés et de personnes qui sont formées dans les institutions privées ou publiques a créé à un moment donné une grosse vague de chômage. Et la plupart se sont versées dans le secteur informel.
01:17:13La particularité du secteur informel est que nous ne retrouvons pas dans ce type d'emploi les principaux piliers du travail décent dont nous avons parlé tout à l'heure. Certains travailleurs du secteur informel s'en sortent plutôt bien sur le plan salarial, mais ils ne sont pas toujours couverts par la protection sociale.
01:17:36Ils n'ont pas toujours la garantie d'un salaire constant qui peut donc permettre à leur emploi d'être productif et donc durable. Ils n'ont pas toujours un accompagnement nécessaire pour développer des mécanismes de dialogue social.
01:17:51Et c'est donc à ce moment que nous intervenons au niveau du ministère du Travail en disant que la solution du secteur informel a déjà été pensée par le Président de la République, son Excellence Paul Pierre, à travers la création d'un ministère spécifique dédié, le ministère des petites et moyennes entreprises, de l'économie sociale et de l'artisanat,
01:18:15qui permet de capter tous les petits métiers qui structurent véritablement le monde du travail dans notre pays. Et maintenant ces structures ont été amenées à réfléchir tout ensemble avec le gouvernement sur des mécanismes de sortie de l'informel.
01:18:36C'est dans ce cadre qu'en 2017 une feuille de route a été développée au niveau du ministère des PME afin de pouvoir voir dans quelle mesure le secteur informel peut, par certains mécanismes, sortir progressivement de l'informalité et garantir que les métiers qui se trouvent dans ce secteur peuvent se transformer en travail décent.
01:18:59Et à ce niveau l'une des innovations qui a été faite justement c'est l'assurance volontaire qui est faite par la CNPS. Cette assurance volontaire permet à l'artisan, permet aux travailleurs domestiques, permet à la baby-sitter, permet aux journalistes en freelance, permet à l'avocat qui n'est pas dans une structure formelle de pouvoir assurer ses vieux jours en allant s'affilier de façon volontaire à la CNPS.
01:19:27La structuration passe également par le regroupement en mutuel. La mutualité, les mutuels comme on l'a vu lorsqu'ils sont évolués deviennent pour certains des micro-finances qui permettent de mettre les revenus ensemble et de développer des mécanismes de protection sociale à travers peut-être des assurances maladie via certains services d'assurance.
01:19:51Mais également la création d'emplois à travers la création à un certain moment donné dans un certain regroupement d'entreprises qui relèvent du secteur de l'économie sociale et solidaire.
01:20:07Donc nous pouvons dire, sans toutefois mettre de l'emphase, dire que la marche vers la sortie de l'informalité a déjà été pensée par le gouvernement camerounais. Il revient maintenant à chaque camerounais du secteur informel de se mettre avec leurs collègues, de se structurer même en syndicat, de pouvoir se rassembler même en mutuel et d'aller tous ensemble vers un progrès social global parce qu'ensemble on va plus loin.
01:20:37J'imagine que le message important que vous avez passé et que dire des conseils même ont atteint la cible qu'il y a dans les fonds. Parfois les gens se posent des questions mais ils ne savent pas vers qui se tourner, ils ne savent pas quel chemin prendre.
01:20:58Surtout les travailleurs du secteur informel dont la plupart vivent souvent dans une certaine précarité.
01:21:28Tout à fait. Ils ont un objectif principal, le travail. Le ministre Issa Thiroma Bakary qui est ici aux côtés de son homologue du travail et de la sécurité sociale Grégoire Ouana.
01:21:57Le ministre de l'emploi et de la formation professionnelle qui est le responsable de l'élaboration et de la mise en oeuvre de la politique du gouvernement en matière d'emploi, de formation et d'insertion professionnelle.
01:22:12On va en parler plus longuement lorsqu'ils passeront ici devant nous pour nous et même et surtout pour nos téléspectateurs et nos followers parce que, rappelons-le, la CRTV a déployé de gros moyens pour que vous puissiez vivre la grande marche des travailleurs ici à Yaoundé mais également à travers le pays.
01:22:39Monsieur Bohimo, coordonnateur de l'Observatoire national du travail, vous êtes avec nous depuis le début de cette retransmission en direct.
01:22:49Si vous étiez donné d'évaluer un peu l'évolution du dialogue social dans le secteur du commerce qui défile ici maintenant devant nous, quel serait votre avis ?
01:23:13Bon, merci Martin. L'évaluation ne s'arrête pas vraiment à un secteur parce que le dialogue social il est global, il peut être sectoriel mais il est aussi multisectoriel. Il faut dire que le dialogue social est organisé par Strat au niveau national.
01:23:33Nous avons la commission nationale consultative du travail qui permet au gouvernement de discuter avec ses partenaires sociaux sur les différents textes législatifs et réglementaires à proposer au gouvernement.
01:23:57Nous avons la commission nationale de santé et de sécurité au travail qui traite des questions spécifiques liées à la santé et à la sécurité au travail.
01:24:09Au niveau national, nous avons aussi un comité qui a été mis en place par le Premier ministre qui est le comité de consultation et de suivi du dialogue social qui permet effectivement de gérer les problèmes du dialogue social en général.
01:24:24Le problème d'incompréhension entre le gouvernement et ses deux partenaires sociaux qui sont les travailleurs et les employeurs. Maintenant au niveau des entreprises, il y a des comités locaux qui peuvent être organisés et il y a surtout des instances telles que le CHS, le comité d'hygiène et de sécurité au travail qui va justement spécifiquement regarder les aspects de sécurité et de santé au travail.
01:24:53Il y a le collège des délégués du personnel qui est là pour effectivement regarder les questions générales du travail dans l'entreprise. Donc on ne peut pas dire véritablement que ce soit lié à un secteur mais c'est un mouvement d'ensemble.
01:25:13Maintenant, vous me demandez si le secteur du commerce, effectivement, lui dit oui. Ce secteur-là aussi connaît véritablement un essor en termes de dialogue social.
01:25:43Vous nous avez dit que le travail n'est pas respecté dans beaucoup d'endroits. L'inspecteur général des services et le ministère du travail et de la sécurité sociale. Il y a certaines de ces personnes que vous avez dit qu'elles pouvaient répondre.
01:25:57Comment peuvent-ils répondre? Quel est le moyen pour qu'ils répondent? Si il y a quelqu'un qui a été maltraité, qui a été abandonné abusivement, qu'est-ce qu'ils devraient faire?
01:26:17Ceux qui ont été abandonnés, qui n'ont pas eu le droit d'être payés ou qui ont des problèmes, s'il vous plaît, n'ayez pas le temps d'aller à l'inspecteur général des services. Ce sont les services décentralisés du ministère du travail.
01:26:37Vous pouvez aller à la délégation divisionnelle ou à la délégation régionale. S'il vous plaît, n'ayez pas le temps d'aller à l'inspecteur général des services. Votre problème ne sera pas résolu là-bas.
01:26:51Vous pouvez aller directement à l'inspecteur général des services. Nous voulons vous assurer qu'il y a un mécanisme pour suivre leurs activités. Si vous allez à ces délégations, si vous avez un problème, il y a un canal qui vous indique la hiérarchie.
01:27:19Ce que je veux dire aux gens, c'est que ces services sont mis en place par les États-Unis pour les aider. S'il vous plaît, n'ayez pas le temps d'aller à l'inspecteur général des services. Si vous avez un problème, vous pouvez venir nous aider, mais n'ayez pas le temps d'aller à l'inspecteur général des services.
01:27:44Ils ne sont pas détruits. Généralement, il y a des gens qui vont là-bas et ne reçoivent pas ce qu'ils veulent. Je vais vous donner un exemple. Nous avons des multinationales et des grandes entreprises nationales.
01:28:00Si vous allez là-bas, vous n'êtes qu'une personne. Vous avez été détruite. Votre contrat a été terminé abusivement. Vous allez là-bas et vous êtes une petite chose devant une grande entreprise. Nous savons de la corruption. L'entreprise est corrupte.
01:28:16Vous dites qu'il y a des inspecteurs, mais vous ne pouvez pas tous les contrôler. Est-ce qu'il n'y a pas une ligne d'accueil où vous pouvez aller et que vous pourriez réussir ?
01:28:30C'est un fait. J'ai travaillé dans l'inspecteur général des services depuis quelques années. Il y a deux ans que je suis parti. La tendance générale, c'est que les cas qui arrivent, la plupart d'entre eux sont traités amicablement.
01:28:50Ils sont signés avec une consolation totale, ce qui signifie que les droits des travailleurs sont payés. La plupart des cas qui arrivent là-bas. J'ai discuté avec des gens de la délégation régionale et la tendance n'a pas changé.
01:29:12Pour les trois premiers mois de l'année, ils ont pu signer 246 consolations totales et 46 non-consolations. La tendance est donc vers des cas qui sont pratiquement traités et les travailleurs sont payés leurs lois.
01:29:38Je ne veux pas que les gens s'inquiètent qu'on est face à des multinationales. S'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a
01:30:08un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un problème, s'il y a un
01:30:17problème , s'il y a un problème , s'il y avait un problème shipped with the files,
01:30:24l'indication qu'il n'y avait pas de problèmeador simple.
01:30:34et il va vous suivre.
01:30:37Ok, je ne voulais pas vous arrêter,
01:30:40mais nous avons juste regardé les différentes entreprises
01:30:43qui produisent des boissons.
01:30:45Nous avons parlé de l'eau,
01:30:47qui est la première et la meilleure boisson
01:30:51que le corps humain peut avoir besoin.
01:30:55Nous avons vu un bon nombre d'entreprises
01:30:57démonstrer leurs marques et marchés
01:31:02Nous avons aussi vu d'autres entreprises
01:31:05produisant du jus et d'autres formes de boissons sucrées.
01:31:10Ce sont les boissons que j'ai vu.
01:31:12Je n'ai pas vu de boissons chaudes marcher.
01:31:16Juste pour dire, c'est une autre zone
01:31:21où nous devons être très prudents
01:31:24avec ce qui est produit,
01:31:28parce que la façon la plus facile
01:31:32de contracter les malheurs
01:31:35est grâce aux boissons.
01:31:37En général, c'est l'eau.
01:31:39L'eau est la vie,
01:31:41mais quand elle n'est pas exactement ce qu'elle doit être,
01:31:45l'eau devient une source de mort.
01:31:48Les boissons deviennent une source de mort.
01:31:50Comme nous l'avons dit, CRTV est sur le podium.
01:31:54C'est le secteur des communications
01:31:59qui va enchaîner avec le lancement privé
01:32:03et les autres.
01:32:06A l'antenne, dans quelques instants,
01:32:11la Cameroon Radio Television,
01:32:15la CRTV au cœur de la nation,
01:32:18au cœur des grands événements.
01:32:21La CRTV a accompagné les travailleurs
01:32:25tout au long de la semaine du travail
01:32:28en termes de préparatifs,
01:32:30couverture de toutes les activités
01:32:33en prélude à cette 138e édition
01:32:36de la fête internationale du travail.

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