• il y a 7 mois
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Transcription
00:00 Dans la capitale économique ivoirienne, il est impossible de les rater dans la circulation.
00:10 Ces véhicules de transport communement appelés taxicompteurs se muent pour la plupart en
00:21 VTC, véhicules de transport avec chauffeur.
00:23 Sinali est l'un de ces conducteurs. Muni d'un smartphone, il sillonne les communes d'Abidjan
00:30 dans l'attente d'une commande.
00:32 On ne se promène plus comme ça, comme dans l'ancien temps pour chercher les clients.
00:35 Aujourd'hui, il y a tout un système qui est mis en place pour chercher les clients pour
00:41 nous.
00:42 Donc on n'a pas à se promener pour chercher les clients comme ça vite.
00:46 On n'a pas de clients, on s'arrête et puis il y a une commande qui va venir pour nous
00:50 et puis on va prendre le client.
00:51 C'est plus précis en fait. On va prendre le client et puis on le dépose.
00:55 Si le client a bien mis l'adresse, on va déposer le client.
00:59 Les VTC constituent aujourd'hui l'une des avancées dans le secteur du transport.
01:04 Téléphone et connexion internet sont les éléments clés pour garantir un trajet d'un
01:09 point A à un point B.
01:11 Franchement, j'apprécie l'évolution.
01:13 Lorsqu'on monte dans un taxi VTC, on se sent en sécurité.
01:18 Avec ça, l'entreprise est déjà au courant qu'il y a des gens qui sont à bord dans
01:23 ce véhicule.
01:24 Donc je pense qu'avec ça, on est en sécurité jusqu'à destination.
01:28 La sécurité, un aspect positif qui en fait un atout pour ces conducteurs.
01:34 Toutefois, ils appellent un regard bienveillant sur leur activité.
01:39 On ne peut pas continuer à travailler comme ça.
01:41 Puis demain, on est là, on est dans des problèmes.
01:43 Tant que les trucs que l'État met en place, on les glisse.
01:48 Et puis on est là, on se retrouve demain, il n'y a rien.
01:51 Ces préoccupations sont au centre d'un atelier co-organisé par le ministère de l'Emploi
01:56 et de la Protection sociale.
01:58 Il vise à élaborer des stratégies pour l'intégration des VTC au mécanisme de protection sociale.
02:04 Avec une seule pièce d'identité, leur permis de conduire seul suffit pour pouvoir les enrouler.
02:10 Une fois enroulés, ils sont immatriculés, ils vont pouvoir payer les cotisations.
02:15 Dans le cas de ce projet-là, nous voulons faire un prélèvement à la source à travers la plateforme.
02:19 Et c'est la plateforme qui va les réverser directement à la sienne pèse
02:23 sans passer par les adhérents eux-mêmes.
02:26 Il y a cinq ans de cela, les VTC étaient dans un corner de l'économie.
02:30 Aujourd'hui, les VTC prennent une place centrale.
02:32 Donc c'est important qu'on assure pour ces acteurs importants du VTC qui sont les chauffeurs
02:37 une couverture maladie universelle et une possibilité de retraite aussi.
02:41 Parce que c'est un métier noble et c'est un métier qui nourrit son homme.
02:45 Pour le ministre Adama Kamara, les acteurs de ce secteur en plein essor
02:50 doivent s'approprier les instruments de protection sociale.
02:53 Sans s'approprier ces instruments de protection sociale-là,
02:57 qui auront la réponse à la maladie ?
03:00 Qui auront la réponse à la retraite ?
03:03 Parce que la retraite n'est l'ennemi des personnes
03:07 si vous souscrivez à ces instruments de protection sociale.
03:13 En plus de la couverture maladie universelle,
03:16 le régime social des travailleurs indépendants s'ouvre ainsi aux conducteurs de VTC.
03:22 Ce produit de la CNPS offre une véritable opportunité de protection sociale
03:27 aux travailleurs libérales ou acteurs du secteur informel.
03:31 3 villages accueillent ces réfugiés et demandeurs d'asile.
03:38 Il s'agit de l'Aleraba, Nyonergue et Kadar Vogo.
03:47 Depuis leur arrivée dans ces villages, les 19 000 réfugiés et demandeurs d'asile
03:52 partagent leur quotidien avec les communautés autochtones.
03:55 L'atelier de Ferke Seydougou a pour objectif majeur
03:58 de rassembler toutes les forces vives de la région autour d'un vœu cher
04:02 au président de la République, la promotion de la coexistence pacifique.
04:06 Nous avons pour mission de faire une évaluation rapide des besoins de la communauté,
04:10 de discuter avec elle et d'apporter la solution qu'il va avec.
04:13 Donc le mouvement, il n'y a pas de député à la base.
04:16 Nous avons la vale d'appui du préfet de région,
04:19 des différentes autorités religieuses qui sont arrivées.
04:22 Le Tratement de Franquet nous a donné cette indication
04:27 et nous pensons qu'avec cela, on pourra mettre à jour la paix et la confiance aussi.
04:32 Au cours des travaux, la situation de ces réfugiés et demandeurs d'asile
04:36 a été présentée par le HCR aux décideurs et partenaires au développement.
04:41 D'importantes contributions apportées par les participants
04:44 pour une excellente prise en charge de ces personnes en situation de vulnérabilité.
04:48 On a amené ici plus de 60 tonnes de riz, on a donné au préfet,
04:52 il a partagé pour les réfugiés.
04:54 Mais c'est insuffisant, le Tratement de Colombo a fait beaucoup d'efforts pour ces réfugiés.
04:59 Mais nous attendons encore plus pour les aider.
05:02 À ce jour, 50 000 réfugiés et demandeurs d'asile en provenance du Burkina Faso
05:07 vivent dans 7 villages du nord, 4 dans le Bunkani et 3 dans le Tcholoko.
05:13 *Générique*

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