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Tournage dans le désert, explosions, cascades et soucis météo : Anya Taylor-Joy et Chris Hemsworth nous racontent le tournage (très intense) de "Furiosa: A Mad Max Saga"

Furiosa: A Mad Max Saga, en salle le 22 Mai prochain
Transcription
00:00 Agnath Taylor-Joy et Chris Hemsworth ont vécu un tournage vraiment intense sur Furiosa, A Mad Max Story.
00:05 Tournage dans le désert, explosions et cascades, soucis météo, ils nous racontent.
00:08 Je dois être honnête, je prendrais le fait que ce soit réel à chaque fois.
00:12 Parce que tout type de risque potentiel que tu as,
00:15 A, la beauté de tout ça, c'est que oui, on fait des choses très dangereuses,
00:20 mais quand tu travailles avec quelqu'un qui est aussi exact que George,
00:23 ça a été testé tellement de fois,
00:25 quelque chose devrait aller vraiment, vraiment, vraiment mal pour que quelque chose soit mauvais.
00:29 Mais ça te donne aussi tellement d'énergie.
00:32 Je ne pense pas que tu peux le matcher d'une autre manière.
00:34 Quand ton jour commence avec "Marche ton moteur" et tu écoutes 50 motos
00:39 qui se démarquent en même temps, tu te dis "OK".
00:42 J'ai été sur des gros sets avant qui ont une combinaison de sets magnifiques
00:46 ainsi que des effets spéciaux.
00:47 Et c'était dans un espace similaire, mais probablement un pas plus loin.
00:52 On a tiré dans Broken Hill, où le premier film a été tiré,
00:54 dans le désert, dans un paysage qui était si familier et nostalgique pour nous tous.
00:58 Et oui, c'était fort, bruyant et génial.
01:02 Ne me trompez pas, c'est toujours effrayant,
01:04 mais la peur te fait commettre.
01:06 Ça ne te fait pas envie de faire tes propres stunts
01:09 autant que possible à cause de la réalité ?
01:11 Absolument, mais je pense que c'est aussi quelque chose
01:13 qui est particulièrement important pour George.
01:15 Quand nous nous sommes rencontrés,
01:18 il m'a demandé beaucoup de questions sur ça.
01:20 Et j'ai dit "écoute, je ferai ce que tu me laisses faire.
01:22 Si je peux le faire, je le ferai".
01:23 C'est la partie amusante.
01:24 Même si tu fais tes propres stunts,
01:26 ton partenaire ou performant a passé des mois à préparer ça pour toi.
01:31 C'est une belle collaboration et une danse entre vous deux.
01:35 C'est comme être un enfant, tu joues au dress-up.
01:37 Tu dis "Laisse-moi y aller".
01:39 Parfois, le producteur ou quelqu'un dit "C'est un peu..."
01:42 "Laisse-moi y aller".
01:43 Les entreprises d'assurance sont là et disent "Non, non, non, ils ne font pas ça".
01:47 George est le plus nourrant, calme.
01:49 "Tout le monde OK ? Bien, oui."
01:51 C'est juste une action de fond.
01:52 Légitimement, tout explose.
01:54 Et il dit "Oh, c'était cool".
01:55 "Comment ça va ?"
01:56 L'intensité entre l'action et le coup est ce que vous voyez sur scène.
02:00 L'environnement qu'il crée autour de ça est très inclusif,
02:04 et il se sent en sécurité et en nourriture.
02:07 C'est difficile de le réconcilier quand vous le rencontrez.
02:09 Et vous vous demandez "Comment avez-vous produit
02:11 ce monde chaotique et violent de la pêche ?"
02:14 C'est ce que nous voyons quand nous le rencontrons.
02:20 C'est incroyable.
02:20 Tu sais ce qui est vraiment fou ?
02:22 Il y a ce genre de lois universelles bizarres
02:24 où chaque fois que George Miller veut faire un film de désert,
02:26 il y a de la pluie partout.
02:29 Honnêtement, si il y a de la pluie partout dans le monde,
02:31 envoyez-le faire un film de Mad Max,
02:33 ça va commencer à pleuvoir.
02:35 On a été tormentés de la pluie,
02:38 et c'était vraiment fou de le faire.
02:40 Je me souviens d'un jour où je suis arrivée
02:42 et le War Rig était sur des flottes,
02:45 parce que le studio avait plein de pluie.
02:47 C'était assez fou.
02:49 Le fait que ça ressemble à un endroit si sec et abondant,
02:52 certains jours, c'était comme ça.
02:54 Mais c'était en hiver en Australie,
02:57 on avançait dans la pluie,
02:59 en comparaison avec Fury Road où c'était très chaud.
03:01 Avez-vous ressenti un peu de pression
03:04 de faire un personnage qui a été introduit avant
03:07 et qui devient un instant classique dans un film ?
03:10 Je pense que le cerveau fait une chose intéressante
03:13 où toutes les raisons de ne pas faire quelque chose,
03:15 elles restent vraiment loin jusqu'à ce que c'est trop tard.
03:19 Et puis tu finis le film et tu te dis
03:21 "Oh mon Dieu, oh non, oh non, oh non, oh non !"
03:25 Mais je pense que l'approche de la scène comme un fan
03:27 était magique.
03:29 Je n'avais pas eu cette expérience auparavant
03:32 où je pouvais être sur scène et regarder
03:34 et dire "Waouh, je suis tellement contente d'être ici comme actrice,
03:36 mais je suis aussi juste étonnée d'être ici comme fan
03:39 et j'ai des idées comme fan
03:41 que je peux juste dire "Je veux voir ça,
03:44 s'il vous plaît, faisons-le !"
03:45 Il y a toujours un peu ou beaucoup de peur
03:48 de marcher sur scène, de créer un personnage,
03:50 que ce soit un franchise pré-existant,
03:52 que ce soit quelque chose de tout nouveau.
03:53 C'est le genre "Ne le fous pas"
03:55 mais c'est aussi un bon motivateur.
03:57 Et c'est juste à propos de le tempérer
03:59 et de faire en sorte que ça ne se répand pas
04:01 dans une expérience complètement éclatée
04:04 mais que ça vous laisse occupé.
04:05 Bien, faites en sorte que vous vous en occupez,
04:07 faites en sorte que vous faites vos recherches,
04:08 que vous appreniez les lignes,
04:09 que vous connaissez tous les points et les ends du personnage.
04:11 Comme tu le dis, tu arrives au bout du film et tu te dis
04:14 "Oh mon Dieu !"
04:16 "Colmini ! Colmini !"
04:18 [Musique]

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