Qué Importa | Programa Completo 16/mayo/2024
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00:00 -Buenas noches, buenas.
00:01 -Esto es que importa.
00:02 -Esto es Eduardo.
00:04 -Y este es José Ramón.
00:05 Bueno, esto soy yo.
00:07 Buenas noches, ¿cómo están?
00:08 Vamos a hablar de un hombre
00:10 que connecta principalement
00:11 con los jóvenes,
00:12 pero que ya ha crecido, ha madurado.
00:15 Luisito Comunica,
00:16 que ya es un adulto
00:17 y ahora reporta el basurero
00:18 en el que han convertido
00:20 el país entero, los partidos políticos.
00:22 Disfrute usted del habla picante
00:24 de Don Comunica.
00:25 Adelante.
00:26 -Eh, eh.
00:28 -¿Estás nerviosa?
00:30 -Por todos lados, vean, vean.
00:32 Ahí hay otro, ahí hay otro.
00:34 Qué verdadera mamada, eh.
00:36 Yo voy a votar por el carnal
00:38 que menos ponga de estas mamadas.
00:39 Y molesta también,
00:41 ahorita que están las elecciones,
00:43 es como ver...
00:44 No, no, no, todo el circo que es
00:46 y los payasos que están ahí de candidatos.
00:48 ¿Por qué tengo que caminar
00:50 por las calles y ver la cara de ese imbécil?
00:52 Vean ese otro cara de verre.
00:54 Ese güey mandó a recortar sus anuncios.
00:57 -Véanlo, véanlo.
00:58 -Y luego ese otro cara de...
01:00 Cara de mi nies.
01:01 -¡Véanlo!
01:02 -¡Véanlo!
01:03 -¡Cara de mi...
01:04 -¡Cara de mi nies!
01:06 -Lo que ni es una cosa ni es otra.
01:08 -Sí.
01:09 Lo que entiendo, entonces,
01:11 es que el nies del ingeniero Comunica
01:13 es panista.
01:14 Es azul.
01:15 -A ver, pero...
01:16 Don Luis Comunica muy bien, ¿no?
01:18 Su enojo.
01:20 Yo me sumo, me sumo a tu enojo, Luisito.
01:22 -Pero siempre tan tranquilo,
01:24 tan ecuánime, Luisito.
01:26 Se nos volvió loco.
01:27 Y después de esto, Luisito me parece
01:29 un poco menos morenista que cuando fue a Laifa.
01:32 -Correcto.
01:33 -¿Sabes qué?
01:34 Yo creo que el problema este de los pendones
01:37 es la gente que sale en los pendones.
01:39 O sea, igual si tapizan la ciudad de pendones de Chayanne,
01:42 a lo mejor no molestaría tanto, ¿no?
01:45 O sea, algo bonito, algo que agrade.
01:47 -Qué diferencia. Cosas bonitas.
01:49 Pero, Luisito,
01:51 no les digas payasos a los políticos.
01:53 ¿Qué culpa tiene gente como Platanito
01:55 o la Grimita o le pauvre Costel?
01:57 -Otros payasos. Exacto.
02:00 Otros payasos que conocemos.
02:03 -Y tú también.
02:04 -Y tú también, sino todos ustedes.
02:07 -Sí, tú.
02:08 -Bueno, no sabemos si a este candidato del PRI
02:12 se le traba la lengua.
02:13 Es que esto es increíble.
02:15 Si estaba muy nervioso,
02:16 si no acabó la primaria
02:18 o si no estaba preparado para la pregunta que le hicieron,
02:21 pero entenderlo fue complicado.
02:23 Le rêve, que vous compreniez.
02:25 Impulsera réformes
02:27 pour le soin des animaux maltraités et de la rue ?
02:30 Adelante, tient un minute con Treita.
02:33 Si nous impulsons le maltraitement animal,
02:37 nous voulons les emmener tranquillement dans une société.
02:42 Nous devons avoir des peines
02:46 pour ceux qui maltraitent les animaux.
02:50 Parce que ce ne sont pas des êtres vivants
02:52 qui sentent,
02:54 qui mangent et tout.
02:57 Ces perros de la rue,
02:59 nous devons les emmener à l'adoption
03:03 et donner ces lois à tout le Gouanajuato
03:08 pour qu'ils arrivent directement
03:12 où ils devraient être.
03:14 -Où ils doivent être.
03:15 -Au lieu de les emmener à la rue pour les sacrifier,
03:18 ils doivent être emmenés pour que ce soit plus tranquille.
03:21 -Un peu plus tranquille.
03:24 -Ces perros vont bien.
03:26 -Tous les êtres vivants ont le droit de vivre.
03:29 -C'est clair !
03:30 -Tous les êtres vivants ont le droit de vivre.
03:33 -Je me réjouis.
03:35 -Il y a maltraitement.
03:37 -Il n'y a pas de maltraitement.
03:39 -Non au maltraitement.
03:40 -Non au maltraitement.
03:42 -C'est bon.
03:43 -Vous ne l'avez pas compris ?
03:46 Il a dit que le maltraitement animal est bon,
03:49 sauf quand c'est mauvais.
03:50 Même si parfois, il n'est pas si mauvais,
03:52 il peut être un peu bon.
03:54 -Quand il veut, il mange.
03:56 -Quand il mange...
03:58 -Il ne mange pas.
03:59 -C'est vrai.
04:00 -C'est ce qu'il a dit.
04:02 -Un peu similaire.
04:04 Les pauvres perros qui ont regardé ce débat sont terrés.
04:07 Ils pensent que si le candidat gagne,
04:10 ils vont vivre des choses horribles.
04:12 Il n'a pas compris ce qu'il a dit.
04:14 S'il vous plaît !
04:15 -Les perros de la rue sont des animaux qui mangent.
04:19 Jusqu'à ce qu'ils mangent d'autres animaux
04:21 au poste de Wakoa.
04:22 -Oui.
04:23 -Ceux qui vendent des tacos à 3,50.
04:26 -Pauvre interprète.
04:28 Ceñas.
04:29 Qu'ont-ils compris ?
04:31 Qu'est-ce qu'il a dit ?
04:33 Qu'est-ce qu'il parle ?
04:35 -Je ne sais pas.
04:36 Je voyais l'interprète et il faisait presque un oignon avec un ballon.
04:40 Après avoir fait des mouvements sur les mains.
04:43 -Un chien qui le trompe.
04:44 -On va soutenir le maltraitement animal.
04:47 -Ne jugeons pas ce monsieur.
04:49 Il a grandi en regardant des films de Cantinflas.
04:52 Il a appris ses habiletés oratoires.
04:54 Il a appris à parler au public.
04:56 C'est là que se trouve le détail.
04:58 -Non, non, pas de la fun.
05:00 Mettez-le à ce monsieur, à ce candidat,
05:03 pour qu'il nous explique le changement climatique.
05:06 Ou l'inflation.
05:07 -Quelque chose.
05:08 -La bourse de valeurs.
05:10 Que nous explique comment ça fonctionne.
05:12 -Ce serait bien.
05:13 Mais maintenant,
05:15 imaginez un groupe d'Américains
05:18 qui met leurs vêtements sur le sol,
05:20 en les changeant par l'uniforme de la Chivas.
05:23 -Non, non.
05:24 -Ca ne se ferait jamais.
05:26 -Impensable.
05:27 -Mais dans le monde de la politique,
05:29 ça se passe.
05:31 Un groupe de morénistes de Coraza
05:34 a répudié, a négé son parti,
05:36 a retiré sa casquette et l'a tiré au sol.
05:39 Regardez ça.
05:40 -Vraiment ? -Oui.
05:41 -Bienvenus ! Bienvenus !
05:44 Bienvenus !
05:45 -Ca ressemble à un rallye de Moré.
05:47 -Il est trompé.
05:48 -Voilà.
05:49 -Ce casquette !
05:50 -Ils en prennent des casquettes.
05:52 -Ils en prennent des casquettes.
05:54 -Ils se mettent les épaules.
05:56 -Bienvenus à la transformation.
05:59 Bienvenus à la transformation de vrai.
06:02 -Ca ressemble à un rallye de Moré.
06:04 -Ca ressemble à un rallye de Moré.
06:06 -Il y en a beaucoup.
06:08 -Ca ne peut pas être réel.
06:09 C'est faux, non ?
06:11 -Ca ne peut pas être réel.
06:12 -Il y a plus de casquettes que de personnes.
06:15 Il y a 20 personnes et il y a 80 casquettes.
06:18 -La vérité, Rick, me parait faux.
06:20 -A moi aussi.
06:21 -Pourquoi changer de match à cette époque ?
06:24 Convéniment, survie,
06:25 faim d'une autre torte de jamon de porc ?
06:28 -Mange quand il y a.
06:29 Mange quand il y a.
06:31 -Le jamon de porc est le bon.
06:33 -Le jeu de la porc.
06:34 -Le jamon de porc, laïs, chinois.
06:36 -OK, c'est bon.
06:37 -C'est réel, ce sont des balles de manger quand il y a.
06:40 Tu les veux vraiment dans ton match, Santiago Taboada ?
06:44 -Exactement.
06:45 -Qu'ils se changent de vestes
06:47 et se changent de match ?
06:48 -Les trahédors, les chaqueteros, les chalequeros.
06:51 -Les balles de Judas, les chalequeros.
06:53 -Cette scène me rappelle la scène du Titanic,
06:56 où les rats se lèvent pour s'en baisser.
06:58 Je ne sais pas pourquoi.
07:00 Je ne sais pas pourquoi.
07:01 -Ce n'est pas vrai.
07:02 Ces gaurres n'avaient pas le logo de Morena.
07:05 Les vests non plus.
07:07 -Laisse-moi faire ton rôle.
07:09 Ce qui se passe, c'est que les gaurres n'avaient pas de logo.
07:12 Elles sont austères.
07:14 Hein ?
07:15 -Ca montre la congruence.
07:17 -L'austérité républicaine.
07:18 -Ce que fait Morena.
07:20 -Très bien.
07:21 -Comment va ma marome ?
07:23 -Une marome dégueulasse.
07:24 -Viva, viva !
07:25 -Atolini serait fier de toi.
07:27 Le véritable gagnant de tout ça, ce n'est pas Taboada.
07:30 C'est le pépénateur qui va déclencher 77 vests,
07:33 9-mètres.
07:34 Beaux, très élégants.
07:36 -Avec le chaleur qu'il fait,
07:38 il va bien se plaire à ces vests.
07:40 Il va les plaisirer.
07:41 Pourquoi il les veut ?
07:42 -C'est le premier meeting de Morena.
07:45 -Exact.
07:46 -Je me suis impressionné de voir
07:48 que les vests et les chalets ont continué à tomber.
07:51 -Très rare.
07:52 Ce qu'il nous restait, c'était de faire un pentagramme,
07:55 une grande campagne, de le brûler, de danser,
07:58 de manger un des présents.
08:00 C'est vraiment horrible.
08:02 -Algo d'antique.
08:03 -Algo d'antique.
08:04 -On va voir quelque chose de plus beau.
08:06 Sofia Rivera Torres.
08:08 -Bienvenue à "Les spectaculaires".
08:10 Je vous raconte que Dana a tombé.
08:12 -Quoi ?
08:14 -C'est un acte de la vie.
08:15 -C'est un acte de la vie.
08:17 -C'est un acte de la vie.
08:18 -C'est un acte de la vie.
08:20 -C'est un acte de la vie.
08:21 -C'est un acte de la vie.
08:23 -C'est un acte de la vie.
08:24 -C'est un acte de la vie.
08:26 -C'est un acte de la vie.
08:27 -C'est un acte de la vie.
08:29 -C'est un acte de la vie.
08:30 -C'est un acte de la vie.
08:32 -C'est un acte de la vie.
08:33 -C'est un acte de la vie.
08:35 -C'est un acte de la vie.
08:37 -C'est un acte de la vie.
08:38 -Bien !
08:39 -Waouh !
08:40 -Il faut tomber, mais il faut savoir se lever.
08:43 -Exactement.
08:44 -Bien, Dana Paula.
08:46 -Je suis contente de voir qu'elle n'a pas perdu le sol.
08:49 -Momentanément, mais après, elle est de retour.
08:52 -Exact.
08:53 -C'est bien que ce soit encore Dana, et pas Cindy.
08:56 -Pourquoi Cindy ?
08:57 -C'est que c'est... Tu ne l'as pas vu, pauvre fille.
09:00 -Cindy est...
09:02 -Elle s'est bien levée.
09:03 -Pauvre Dana.
09:04 Faites attention,
09:06 vous avez laissé le sol plus imparable que Marcelo Ebrard.
09:09 -Pauvre.
09:10 -OK.
09:11 Elle n'a pas cassé.
09:12 Il faut juste un moment pour faire une lagartija.
09:15 Elle n'a pas terminé son retour.
09:17 Et c'est comme ça que Dana est encombrée.
09:19 -C'est bien.
09:21 Je le vois.
09:22 Mais pauvre Dana,
09:23 elle s'est bien levée,
09:24 et elle a même cassé la paula.
09:26 -Exact.
09:27 -C'est juste Dana.
09:28 -C'est juste Dana.
09:30 Et maintenant, Dana, tu es avec les grands.
09:32 Fer de Manar,
09:33 Juanga,
09:35 et toi.
09:36 -Bien sûr.
09:37 On change de sujet et on va dans les sports.
09:40 Ce joueur est très fervent en plein match.
09:43 Il a tellement de fierté
09:45 qu'il n'a pas l'intérêt de la bonne manière
09:48 et il crie à tous les joueurs.
09:50 "Touche-toi, il y a quelqu'un qui est plus fort que toi."
09:54 -Bien.
09:55 -Et qui est le joueur ?
09:58 Prenez la carte, faites ce que vous voulez avec elle.
10:01 -Al prof Daniel Martínez,
10:03 personne ne lui dit comment faire son travail.
10:06 -Maintenant, fils de p...
10:07 Tu ne lui mets pas la main.
10:09 Tu ne lui mets pas la main.
10:12 Non, la...
10:13 -Qu'est-ce que tu fais ?
10:14 -Laisse la mère de...
10:17 Tu es amonété et tu vas te faire mal.
10:20 -Non, non.
10:21 -C'est suffisant.
10:23 -Il y a des enfants.
10:25 -Au-delà de la fleuriture,
10:26 ce que j'aime le plus, c'est le précaution,
10:28 le préparation.
10:30 Il a le ballon dans la tête, et la gorge.
10:32 -Il a une caméra.
10:33 -Il a une caméra et il peut sortir.
10:35 -Un peu de sécurité.
10:36 -C'est ça.
10:37 -Il a la caméra.
10:38 -La caméra, si quelqu'un lui brûle le cul,
10:42 il le demande.
10:43 -Exactement.
10:44 "Qu'est-ce qu'il m'a dit ?"
10:45 Et la dernière prise,
10:47 dans les dents.
10:48 -Il a l'impression que comme il n'a pas le temps de faire de la thérapie,
10:51 il utilise la courbe comme un moment de désespoir.
10:54 -Correct.
10:55 -C'est un homme occupé.
10:56 -Je sens que ce joueur ne recevrait pas
10:59 un petit prix en Amérique.
11:01 -C'est le type de compromis qu'il a besoin.
11:03 -C'est ce qu'on a besoin.
11:05 -Les arbitres, c'est ça.
11:06 -Il me semble qu'il ne peut pas dire autant de grossoiries
11:09 qu'il ne peut pas juste prendre le pitié dans la bouche et le faire souffler.
11:12 -Pour indiquer les joues.
11:14 -Bien sûr.
11:15 -C'est ce qu'on dit aux silvantes.
11:17 -Pour piter.
11:18 -Piter.
11:19 -Piter, c'est une nouvelle bouteille.
11:21 -Pitir.
11:22 -C'est ça.
11:23 -Il a pitié.
11:25 -Il a pitié.
11:26 -Il a pitié.
11:27 Il sait que ce qui lui importe,
11:30 c'est que personne ne puisse le molester ni l'expulser.
11:33 -C'est un abus de pouvoir.
11:34 -Un abus de pouvoir.
11:35 -C'est un abus de pouvoir.
11:37 -Parlant d'arbitres,
11:39 passons à celui qui a probablement laissé un enfant
11:42 embarassé sur une piste.
11:43 Comme tu le vois,
11:45 comme tu le vois, Eduardo.
11:47 Regarde la sensualité
11:50 que lui porte.
11:52 -Il l'a déjà dans la bouche.
11:53 -Voilà.
11:55 -Ah !
11:56 -Ah !
11:57 -Ah !
11:58 -Oh, mon Dieu !
12:00 -Waouh !
12:01 -Tu penses qu'il a mal à la douille ?
12:03 -Il a mal à la douille.
12:04 -A la douille, non ?
12:05 -A cet arbitre,
12:07 il a été payé un double
12:08 dans son autre travail,
12:09 la nuit, dans le tube.
12:10 Il devait le voir.
12:11 Il se dirigeait et il tournait.
12:13 -Je rêvais de devenir une joueuse de football,
12:16 mais maintenant, en tant qu'adulte,
12:18 en regardant ce vidéo,
12:19 je me sens plus à faire du football.
12:21 -Oui, oui.
12:22 -Quels mouvements, arbitre !
12:24 -Je vais me faire sortir la rouge.
12:26 -Ah !
12:27 -Oui.
12:29 -Voilà, docteur.
12:30 Rires
12:31 -Rouge, rouge.
12:32 -Il a envie de jouer dans ce match.
12:34 Il veut juste mettre la main.
12:36 -Exactement.
12:37 -Pour voir ce qui se passe.
12:38 -La conduite de cet arbitre est terrible.
12:41 Il a demandé son consentement à la cour.
12:44 -Non !
12:45 -La cour est de plus en plus âgée.
12:47 Il faut se demander.
12:48 -Il faut se demander.
12:49 -Je vois que Pasto est déjà dans le manchon de pénal.
12:52 -OK.
12:53 -Tu sais ce qu'il dit.
12:54 Si il y a Pasto, il n'y a pas de Lidl.
12:56 -C'est ça.
12:58 -Si il y a Pasto, il n'y a pas de Lidl.
13:00 -En ce qui concerne la cour.
13:01 -En ce qui concerne la cour, bien sûr.
13:03 Mais si ce n'était pas assez,
13:05 nous avons deux arbitres
13:07 qui ont sorti tous les prohibitions
13:09 et nous ont laissé avec envie de plus.
13:11 -Il est arrivé.
13:12 -Eh, eh, eh.
13:13 -Il est arrivé.
13:15 -Le danseur arbitre.
13:16 Rires
13:17 -Waouh !
13:18 -Oh, mon Dieu !
13:19 -Oh, mon Dieu !
13:20 -Prends-le, papa.
13:21 Ne t'en amoures pas.
13:23 -C'est comme le thème blanc.
13:24 -Total.
13:25 -Niééé.
13:27 -OK, OK.
13:28 Il y a du rythme, de la liberté.
13:30 -Eh, eh, eh.
13:31 -Il y a du mouvement.
13:32 -Waouh !
13:33 -Maquillage, maquillage.
13:35 -Des prohibitions.
13:36 -Waouh !
13:37 Quelle barbarité.
13:38 -Tous ces arbitres,
13:39 tu ne peux pas les acheter,
13:41 tu dois les vendre pour les fêtes.
13:43 -Je les vois avec beaucoup d'énergie.
13:44 Plus qu'arbitres, je crois qu'ils sont comme...
13:47 -Jouets de lignes ?
13:48 -Jouets de lignes.
13:49 -Non !
13:51 -De quelle ligne ?
13:52 -Je suis le chinois.
13:53 -De quelle ligne ?
13:54 -C'est vrai.
13:55 -Ils sont très enthousiastes.
13:57 -Ils sont très heureux.
13:58 -Ils te donnent des lignes ?
14:00 -C'est pas les années 90.
14:02 -Ah !
14:03 -C'est pas les années 90.
14:05 -OK.
14:06 -Bonne nuit, mon public.
14:08 -Merci, Sophia.
14:09 -Bien.
14:10 Si vous pensiez que les tennis phosphophospho
14:13 étaient le dernier cri de la mode politique nationale,
14:17 vous avez été malin.
14:19 -Non.
14:20 -Les autres partis ont copié l'estratégie.
14:22 -Il y a aussi des tennis qui disent
14:24 "T'en vas,
14:25 avec vous,
14:27 les très puissants
14:28 "Shanevers".
14:29 -Quoi ?
14:30 -Tu les as ?
14:32 -Oui, je les ai.
14:33 "Shanevers".
14:34 -Tennis de Claudia Shane,
14:36 on va encore.
14:37 -La silhouette de Claudia Shane.
14:39 Je les veux, ils sont très élégants.
14:41 -Je te dis une mauvaise nouvelle.
14:43 -Quoi ?
14:44 -Quand tu les achètes,
14:46 tu n'as qu'à trouver les gauches.
14:48 -Ah !
14:49 -Ils ne font pas l'autre.
14:51 -C'est pas un problème.
14:52 Je me dis toujours que j'ai trois pieds gauches.
14:55 -Ah !
14:56 -Les "Shanevers",
14:58 "Shanevers" pour croire.
14:59 (Rires)
15:00 "Shanevers" pour croire.
15:02 -C'est votre proposition de slogan
15:04 pour la campagne de "Shanevers" ?
15:06 -Tu n'aimes pas ?
15:07 -Je n'aime pas.
15:08 En fait, ces tennis sont idéaux
15:10 pour marcher sur un sol pas pareil.
15:12 Il y a de la chance, il y a de la chance,
15:15 les courses, et non.
15:16 Oui, oui, il n'y a rien de mal.
15:18 -Un autre salut à l'ex-chanciller,
15:20 Marcel Abrard.
15:21 Et si vous les utilisez,
15:23 rien ne vous arrêtera.
15:24 La continuité de vos pas est assurée.
15:27 -Ah !
15:28 -C'est idéal pour marcher
15:30 sur un sol pas pareil.
15:31 -Tu sais quoi ?
15:32 Après tout ça,
15:33 il te manque juste de dire quelque chose
15:36 comme "Calme-toi et on t'inclut
15:38 des plans de rêves de l'opposition
15:40 pour que tu les pisses
15:41 pendant que tu marches."
15:43 (Rires)
15:44 -Vraiment.
15:45 -Des plans de rêves de l'opposition
15:47 pour que tu les pisses.
15:49 -Pour les pisser.
15:50 -Et pour contrarrester les "shamers",
15:53 il y a ces tennis
15:54 avec lesquels tu peux courir
15:56 plus vite qu'un rat.
15:57 -A voir ?
15:59 Ah, c'est de l'Esprit !
16:00 Bien sûr !
16:01 -Oui !
16:02 -Waouh, mes premiers tennis !
16:04 C'est joli !
16:05 C'est joli.
16:07 Si vous n'êtes pas très hauts,
16:08 il y en a avec des plateformes.
16:10 Le modèle de Enriquito
16:12 qui vient avec un coup de pied
16:14 pour que tu le mettes plus gros.
16:15 -E.Uniesta s'unit
16:17 en groupe de motomamis.
16:18 -On va jouer au rôle
16:19 avec des motos.
16:21 Ils vont nous dire
16:22 notre classe de moto.
16:23 -On sait tous notre classe,
16:25 mais on va voir.
16:26 -Avec son étudiant.
16:27 (Rires)
16:28 -Mes gens...
16:29 -Des femmes en filmant !
16:31 -Ca va être intéressant.
16:33 Allons-y !
16:34 (Musique)
16:35 -Ariana,
16:36 pourquoi faire du motocycle
16:38 et pas de la sécurité
16:39 et la confort d'une voiture ?
16:41 -La vérité, c'est que l'expérience,
16:43 l'aventure, l'adrénaline,
16:44 c'est ce qui nous attrape,
16:46 c'est pour ça qu'on fait du moto.
16:48 Bien sûr, avec précaution,
16:50 mais c'est la joie et l'endorphine
16:52 que nous avons besoin
16:54 pour être tous les jours
16:55 avec cette sourire.
16:57 -Ariana, c'est un mot de peril ?
16:58 -Bien sûr, mais aussi d'aventure
17:01 et de nombreuses autres choses.
17:03 (Musique)
17:06 -Comment faire une motocycle
17:08 en tant que femme ?
17:09 -Votre présence.
17:10 -Si tu devais choisir
17:12 entre un motocycle
17:13 et un motocycle,
17:14 quel serait ton choix ?
17:16 -La moto, bien sûr.
17:17 Un homme avec une moto, c'est mieux.
17:19 (Rires)
17:20 (Musique)
17:21 -Stephy, si Eduardo Videgaray
17:23 était une motocycle,
17:25 quelle motocycle serait-il ?
17:26 -Je pense que c'est un double but,
17:28 comme cette 1300.
17:30 Je vais t'expliquer pourquoi.
17:31 C'est très curieux.
17:33 Je n'ai pas le plaisir de le connaître
17:35 ou de vivre avec lui,
17:36 mais je pense qu'il est super adaptable.
17:38 Cette moto s'adapte à tout,
17:40 à tout, à la partie sportive,
17:42 à la partie sportive,
17:43 à la partie sportive,
17:45 à la partie sportive,
17:46 à la partie sportive,
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