Mad Max : Fury Road est un film frénétique, bouillonnant, presque enragé. Normal, il compte pas moins de 2 700 plans en à peine deux heures qui s’enchaînent à toute allure. Pour Furiosa, le nouvel opus de la saga projeté au Festival de Cannes, c’est exactement la même idée. Car cette vitesse est devenue la marque de fabrique du réalisateur australien George Miller — il en a même fait un « critère » confie John Seale, chef opérateur de Fury Road.
Pour générer ce rythme ultra rapide, le film opère de différentes façons : des accélérés, des plans très courts, des images saccadées donnant un effet quasi stroboscopique… Tout cela participe à rendre la saga totalement addictive. Y compris pour Furiosa.
Mais comment tenir un rythme aussi effréné pendant cent vingt minutes de film sans perdre le spectateur en cours de route ? Le Monde vous explique la recette de fabrication de Mad Max : Fury Road, grâce aux éclairages de John Seale, chef opérateur du film, et de Vashi Nedomansky, monteur passionné, membre des American Cinema Editors.
Pour générer ce rythme ultra rapide, le film opère de différentes façons : des accélérés, des plans très courts, des images saccadées donnant un effet quasi stroboscopique… Tout cela participe à rendre la saga totalement addictive. Y compris pour Furiosa.
Mais comment tenir un rythme aussi effréné pendant cent vingt minutes de film sans perdre le spectateur en cours de route ? Le Monde vous explique la recette de fabrication de Mad Max : Fury Road, grâce aux éclairages de John Seale, chef opérateur du film, et de Vashi Nedomansky, monteur passionné, membre des American Cinema Editors.
Category
🎥
Court métrage