EXCLU VIDÉO - Jérémy Frérot reconnaissant : ce célèbre chanteur qui lui a apporté une grande aide
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00:00 Dans ce clip, tu arrives comme un sportif après un marathon.
00:03 D'ailleurs, c'est très touchant quand tu arrives comme ça, tu sais, de loin dans le noir.
00:07 Je vous invite évidemment à découvrir le clip "Adieu".
00:09 Tu arrives, on dirait un marathon, il y a le souffle court.
00:12 Et là, c'est là qu'on rentre vraiment dans l'émotion encore, on peut en l'entendre au fond.
00:17 J'arrive avec un suffoquement, parce que c'est comme ça que je me sens quand je vais chanter cette chanson.
00:25 Il y a beaucoup de pression, d'émotion et donc j'ai besoin d'être… je me sens comme ça, je suis à bout de souffle.
00:32 Oui, c'est ça, c'est ça qui est très touchant.
00:34 Alors nous deux, il faut tenir le coup pour eux, c'est deux petits bouts, une équipe, deux parents, deux enfants.
00:39 C'est très beau, je trouve.
00:40 Alors là, ça va être carrément, comme tout le monde, c'est une semaine sur deux, quoi, ça va être, c'est ça ?
00:45 Qu'est-ce qu'on s'en fout de ça ?
00:47 Ah bon ? Mais si, c'est vrai.
00:48 C'est comme ça, c'est classique.
00:50 Non mais…
00:51 C'est pas une nouvelle, hein ?
00:52 Oui, bien sûr, mais moi, c'est parce que c'est pas ce dont j'ai envie de parler dans une chanson comme ça.
00:57 Je parle pas de choses précises, je parle de ressenti, donc ce que je vis chez moi, je le laisse vraiment chez moi.
01:04 Ou alors j'écrirais une biographie un jour, si je veux parler vraiment.
01:07 Tu aurais envie d'écrire une biographie ?
01:09 Non, non.
01:10 Et le cinéma, ça te plairait pas, toi ?
01:12 Ouais, complètement.
01:13 Mais si, parce que t'as le physique.
01:14 Ça, oh !
01:15 Ah bon ?
01:16 Bah oui.
01:17 C'est vrai, tu crois ?
01:18 Non, moi ça me plairait beaucoup.
01:19 Moi j'ai la physique, je fais du cinéma.
01:20 C'est vrai.
01:21 C'est toute modestie.
01:22 Je les ai vus en plus, les films.
01:24 C'est quoi ? Tu veux pas donner les titres ?
01:28 Bien sûr, ça me plairait beaucoup.
01:31 Je sais pas si je serais bon, ça c'est sûr, j'en sais rien.
01:34 J'ai pas cette prétention-là du tout, mais en tout cas ça me plairait d'essayer.
01:39 T'as un côté naturel, et puis t'es extrêmement sympathique, tu peux rien y faire, ça.
01:43 Pourquoi tu rigoles ?
01:44 Faut être sympathique pour…
01:46 Non, c'est-à-dire que t'es un naturel, t'as un espèce de lâché-pris dans ton comportement en général,
01:51 et ça c'est important au cinéma.
01:52 Faut pas qu'on soit figé ou par un texte ou par la caméra.
01:56 T'as l'habitude maintenant.
01:57 Ah bah là je commence.
01:58 J'ai commencé ce métier avec les bras dans le dos.
02:01 Bah oui, j'imagine, la timidité.
02:03 J'étais bourré les bras dans le dos.
02:06 Sinon je pouvais pas me montrer.
02:09 C'est fou.
02:10 Ah oui, la timidité te figeait comme ça.
02:12 Les concerts, j'étais les bras dans le dos comme ça, et je bougeais plus, je savais pas quoi faire de mes mains.
02:15 Et puis plus ça avançait.
02:17 J'ai été dans The Voice et j'ai rencontré Mika, qui m'a fait du bien pour me déplacer sur scène
02:26 et comprendre ce que j'allais faire avec mon corps.
02:29 Il a été très fort là-dessus.
02:30 J'ai appris beaucoup à côté de lui à The Voice.
02:33 [SILENCE]