Le film commence par des images très dures d'une centaine de travailleurs du tiers monde au travail, à ciel ouvert, portant sur leur dos en terrain escarpé des sacs apparemment lourds, sur une musique rythmée et aride. Le titre du générique défile alors.
Le reste du film va osciller autour de trois pôles récurrents :
1 La vie simple, mais harmonieuse de plusieurs peuples du monde avant que ceux-ci ne soient au contact avec la technologie : activités traditionnelles sous toutes les latitudes, que l'on devine façonnées par des siècles ou des millénaires de pratique.
2 Des images de séduction, majoritairement d'origine publicitaire, vantant quelques charmes de la vie à l'occidentale et se superposant aux premières.
3 Des scènes symbolisant la vie qui résulte de la transition en cours : certaines reflètent simplement l'inégalité ou les effets secondaires pénibles de l'industrialisation (l'image du jeune garçon qui disparaît dans les fumées d'échappement d'un poids lourd constitue un rappel à la scène de dégagement de poussière marquant le début de la séquence « technologique » de Koyaanisqatsi), d'autres carrément le désespoir, mais un désespoir d'une autre nature que celui de ce premier film, car motivé par la destruction d'une culture et non par le simple vide des existences.
Conformément aux principes de la trilogie, le film ne se veut ni directement politique au sens traditionnel du terme, ni moralisateur. Il se contente de présenter, en évitant la caricature (des aspects positifs du changement sont également montrés), le monde vu par les yeux des réalisateurs, et laissent le spectateur libre de mener sa propre réflexion.
http://www.dailymotion.com/playlist/xx914_nature-boy-79_trilogy-qatsi-powaqqatsi
Le reste du film va osciller autour de trois pôles récurrents :
1 La vie simple, mais harmonieuse de plusieurs peuples du monde avant que ceux-ci ne soient au contact avec la technologie : activités traditionnelles sous toutes les latitudes, que l'on devine façonnées par des siècles ou des millénaires de pratique.
2 Des images de séduction, majoritairement d'origine publicitaire, vantant quelques charmes de la vie à l'occidentale et se superposant aux premières.
3 Des scènes symbolisant la vie qui résulte de la transition en cours : certaines reflètent simplement l'inégalité ou les effets secondaires pénibles de l'industrialisation (l'image du jeune garçon qui disparaît dans les fumées d'échappement d'un poids lourd constitue un rappel à la scène de dégagement de poussière marquant le début de la séquence « technologique » de Koyaanisqatsi), d'autres carrément le désespoir, mais un désespoir d'une autre nature que celui de ce premier film, car motivé par la destruction d'une culture et non par le simple vide des existences.
Conformément aux principes de la trilogie, le film ne se veut ni directement politique au sens traditionnel du terme, ni moralisateur. Il se contente de présenter, en évitant la caricature (des aspects positifs du changement sont également montrés), le monde vu par les yeux des réalisateurs, et laissent le spectateur libre de mener sa propre réflexion.
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🎥
Court métrage