• il y a 6 mois
Transcription
00:00 Je connais beaucoup mieux Jordan Bardella que Gabriel Attal, que je crois simplement à l'Assemblée nationale.
00:04 Mais voilà, Jordan Bardella est fidèle, enfin cette image est fidèle à ce qu'il est,
00:09 voilà, quelqu'un d'avenant, de souriant, de très cordial à l'écoute des autres.
00:13 Il faut dire que la photo, juste, les deux hommes s'entendent très bien.
00:17 En privé, ils se tutoient.
00:18 Ils s'entendent très bien.
00:19 Oui, ils s'entendent très bien, ils se tutoient, ils se connaissent bien, c'est la même génération.
00:22 Il y a un effet un peu miroir entre les deux, on l'a souvent dit, la guerre des clones.
00:26 C'est vrai qu'il y a beaucoup de points de convergent entre les deux, pas sur le fond, je vous l'accorde, mais sur la forme.
00:31 Et donc hier même, Le Parisien, un journal qui était présent dans les colises du débat,
00:37 a expliqué qu'il ne voulait pas montrer qu'ils s'entendaient bien, qu'ils se tutoyaient,
00:41 donc ils se vouvoyaient, mais ça faisait un petit peu forcer,
00:44 parce que dans la vie, on le voit avec cette image qui est en dit plus lent qu'une langue chronique.
00:48 Ils se tutoient, ils se connaissent bien.
00:48 C'est qu'ils s'entendent très bien, oui.
00:49 Et ça, c'est vu pendant le débat, pardon, parce qu'effectivement, il y avait quand même un ton astigmatois utilisé par l'un et par l'autre.
00:55 ils se sont même renvoyés des... là dessus je suis d'accord avec vous...

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