• il y a 7 mois

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00:00 - Non, je ne parle pas du pluralisme. - Pardonnez-moi, mais Nicolas Demorand, c'est un très bon exemple.
00:04 Il était directeur de la rédaction de Libération. - Oui, je sais, oui.
00:07 - Il présente la matinale du 7/9 sur France Inter.
00:10 Vous imaginez, je ne parle même pas d'un directeur de Valeurs Actuelles,
00:13 mais simplement un directeur du Figaro présenter le 7/9 de France Inter.
00:18 Donc évidemment, vous écoutez M. Demorand, je n'ai rien contre lui, c'est sans doute un bon professionnel.
00:22 Il est juste marqué à gauche. - J'ai écouté.
00:24 - Et toute son éditorialisation est marquée à gauche. Et tous ses invités sont marqués à gauche.
00:28 Et tout le rapport entre Israël et Palestine aujourd'hui est vu sous l'angle plutôt de Gaza et de la Palestine que d'Israël.
00:37 Et tout est comme ça. Et tout est comme ça. Donc c'est le service public.
00:40 Et personne, d'ailleurs, il y a beaucoup de gens qui le disent, je ne suis pas le seul à le dire,
00:44 et toutes ces émissions du service public de France 5 le soir, de quelle époque, etc.,
00:49 c'est culturellement, ça penche à gauche. Voilà.
00:53 - Ce que vous voulez que je vous dise. - Pour le projet de fusion, il y est hostile.
00:56 Et Jean-Luc Essie est favorable. Donc on a du mal à faire la part des choses.
01:00 Je pense qu'on aurait pu s'en tenir à la création d'un holding, d'une société holding pour faire des économies,
01:06 de la mutualisation, de là à tout concentrer, à tout fusionner dans un énorme machin.
01:11 Je rappelle quand même furieusement l'ORTF. - Mais la BBC, c'est quoi ? C'est l'ORTF, la BBC ?
01:16 La BBC, c'est l'ORTF ? C'est ce qu'ils font ? Ça marche très bien ?
01:19 - Non mais ça coûte... Le problème, c'est la gabegie, chers camarades.
01:23 - Le problème, c'est la gabegie. - Ça marche très bien, le service public.
01:26 Ils ont des audiences très bonnes. - Alors, ça marche bien en termes d'audience.
01:30 Mais en gestion, il y a des gens que tu n'as jamais vus, qui ne sont jamais venus dans la Maison Ronde, bien sûr.
01:39 Il y a une émission qui s'appelle "La Terre au carré" sur France Inter. C'est juste une émission...
01:44 - Elle va être supprimée. - Non, elle ne va pas être supprimée, finalement.
01:46 Parce qu'elle devait être supprimée. Et ils ont cédé devant les syndicalistes.
01:51 C'est juste une émission écolo, radicale, ultra gauche.
01:55 - Mais dites pas... Voilà, c'est comme ça. - Et c'est sur le service public.
01:59 Ça s'appelle "La Terre au carré". J'invite tout le monde à le voir.
02:02 - D'ailleurs, l'Institut Thomas More a mesuré l'écologie.
02:04 Ils disent que les thèses décroissantes sur l'écologie concernent les deux tiers des avis exprimés sur le service public.
02:11 - Mais c'est effrayant. - Pour ne pas être d'accord.
02:13 - En fait, c'est juste effrayant. - Un rapport...
02:15 - Moi, je passe mon temps à... Nous, c'est le contraire. Il y a des gens qui ne veulent pas venir.
02:19 À chaque fois, moi, je reçois ici... Nous recevons quelqu'un qui a écrit un livre différent.
02:24 À chaque fois, je lui pose la question. Vous serez reçu sur le service public ? Non.
02:27 Gilles-William Golnaday, il n'a pas été reçu sur le service public.
02:30 C'est juste un des livres qui s'est le mieux vendu en France.
02:32 Vous trouvez ça normal ? L'intolérance de ces gens-là ?
02:35 Et personne ne dit rien que l'argent du contribuable...

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