• il y a 6 mois
Transcription
00:00 On a profité d'être au festival de Cannes pour demander à tous nos interviewés
00:03 quels étaient leurs palmes préférées et c'était pas facile.
00:06 Les gagnants du Palme d'Or.
00:07 C'est dur !
00:09 Oh mon Dieu !
00:10 Parasite, wow.
00:12 Paris-Texas, wow.
00:13 Moi j'en ai deux, je peux dire deux.
00:14 J'ai Pulp Fiction et j'ai Parasite récemment.
00:16 D-Pan a gagné quand j'étais sur le jury,
00:19 donc j'ai une fondue avec ça.
00:20 Je ne me suis pas rendue compte que L'Adolte Vita
00:23 avait gagné le Palme d'Or, mais c'est un de mes films préférés.
00:25 Je pense que ça doit être,
00:28 et je vais juste vérifier
00:31 si je suis correct en pensant que ça a gagné le Palme d'Or.
00:34 J'avais 400 coups de feu.
00:38 Je vais dire, pour le moment, une conversation.
00:41 C'est La Leçon de Piano de John Compion.
00:43 Le piano ?
00:46 Oui.
00:46 Ouais, super.
00:48 Il y a un film que j'ai eu, le Palme d'Or,
00:50 qui a changé ma vie pour une autre raison.
00:53 C'est ceci.
00:54 Black Orpheus.
00:55 Black Orpheus que j'ai vu quand j'avais 7 ans.
00:59 Et j'ai commencé à rêver du Brésil
01:00 parce que la musique de Vinicius de Moraes,
01:02 Tanjo Bini,
01:04 et je n'avais pas l'impression de me chercher à ça
01:08 jusqu'à ce que je sois allé y vivre.
01:11 Donc ça a changé ma vie, je dirais.
01:13 C'est très gentil.
01:15 Bien sûr, je l'ai vu il y a de nombreuses années
01:17 et c'est un film merveilleux, pour ce fait.
01:19 Je pense que je vais aller à Paris, en Texas,
01:21 parce que j'aime Harry Dean Stanton.
01:23 Paris, en Texas.
01:25 C'est mon numéro 1.
01:26 Un film incroyable.
01:27 Il y a tellement de films incroyables maintenant.
01:29 Mais je dois dire M*A*S*H*
01:31 parce que je me souviens, j'étais un étudiant.
01:33 Je passais par un cinéma.
01:36 Je voyais ce poster,
01:38 qui était les jambes et le côté V.
01:41 Et M*A*S*H*.
01:42 Je n'avais aucune idée de ce que c'était.
01:44 Mais j'étais intrigué par ce poster.
01:46 Donc je suis allé dans le cinéma,
01:48 j'ai regardé le film,
01:50 je n'avais jamais vécu quelque chose de tel avant.
01:53 Je suis allé dehors du cinéma,
01:56 dans la lumière du jour,
01:58 je ne voulais pas être en réalité.
02:00 Je suis allé dehors du cinéma
02:02 et j'ai regardé le film une deuxième fois.
02:04 Je ne me souviendrai jamais de ce jour.
02:06 Parce que le ton,
02:08 l'autorité,
02:09 la façon dont c'était pendant la guerre de Vietnam,
02:12 et en même temps,
02:13 c'était réalisé pendant la guerre coréenne.
02:15 Et en même temps,
02:16 il avait un ton si merveilleux.
02:19 Il avait une ironie à ce sujet.
02:21 Et en même temps,
02:22 c'était profondément résonant avec les temps.
02:25 Je ne me souviendrai jamais de cette expérience.
02:27 C'est ce que je fais.
02:28 C'est fantastique.
02:29 Je dirais que j'ai vraiment aimé le quartier.
02:32 J'ai vraiment aimé le quartier.
02:34 Je dirais le danseur,
02:36 parce que je me souviens de le voir dans le cinéma
02:38 et j'étais juste choquée.
02:39 Je n'avais jamais été tellement éviscérée.
02:43 C'était fou.
02:45 Je dois dire que c'est quelque part
02:47 entre le troisième homme et l'apocalypse maintenant.
02:49 Je l'ai vu comme un étudiant de cinéma.
02:52 Ce film a une grande puissance.
02:53 Un film de toute manière meticuleux.
02:55 Je m'appelle Joseph Cotton et je suis artiste.
02:57 *Bruit de pas*
02:58 *Bruit de pas*
02:58 *Bruit de pas*

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