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Révélations sur la vie de Johnny Hallyday

Un immense talent, une allure unique et une personnalité solaire… Voilà ce qui distinguait Johnny Hallyday ! Figure phare de la période yéyé, l’ex-mari de Sylvie Vartan a marqué plusieurs générations avec son univers musical. Se réinventant sans cesse, l’artiste n’a cessé de captiver son public.

Nouvelles révélations choc sur Johnny Hallyday

Mais en décembre 2017 à Marnes-la-Coquette, Johnny Hallyday a tiré son ultime révérence laissant derrière lui des milliers de fans et proches éplorés. Et parmi eux, Maître Jacques Verrechia qui a vertement défendu ses intérêts pendant plus de deux décennies. Dans son nouvel ouvrage baptisé « Avocat du Patron » (Mareuil Editions ndlr), l’homme de loi décortique avec transparence leur belle relation passée.

« On l’a surnommé ‘Jojo’ avec familiarité »

Très apprécié des Français, Johnny Hallyday pouvait parfois être tourné au ridicule dans les médias… Bien malgré lui ! « On l’a pris pour un imbécile, on l’a surnommé ‘Jojo’ avec familiarité. Mais à ses débuts, il était surtout timide », a précisé Jacques Verrechia à Gala ce jeudi 30 mai 2024. « Avec les années, il a pris de l’assurance. C’est bien lui qui menait les entretiens avec les journalistes. Il n’a cessé de me bluffer. En ma qualité d’avocat, je lui disais parfois des vérités que les autres lui cachaient ».

Un homme de l’ombre d’une loyauté sans faille

Toutefois, le Taulier pouvait parfois lui en vouloir lorsqu’il se montrait un peu trop franc. « Il pouvait bouder pendant quinze jours ou un mois. Mais il revenait. Il y avait entre nous une confiance absolue », a confié l’avocat. C’est dans les années 80 que Johnny Hallyday a d’ailleurs décidé de faire appel à ses services comme il l’a rapporté : « J’étais conscient qu’il fallait que je lui apporte quelque chose. Je lui ai demandé ce qu’il attendait de moi. Il m’a répondu qu’il ne voyait son avocat qu’en cas de problème. J’ai pensé qu’il ne fallait pas attendre ce genre de situations ».

Un duo de choc uni contre vents et marées

Ayant été lui-même « musicien », Jacques Verrechia en a « connu » des « tournées mal organisées » et des « promoteurs véreux ». « Je l’ai incité à déposer le nom Johnny Hallyday, et à en faire une marque. C’était assez inédit en France. Certains dans son entourage s’en sont offusqués. Plus lucide, Johnny m’a dit : « Ce qui compte, c’est que tu me fasses gagner de l’argent, tu fais comme tu veux, e

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