▷▷ABONNEZ-VOUS ICI : https://tinyurl.com/yywkjyxd
Activez les NOTIFICATIONS pour ne pas manquer les prochaines vidéos
Retrouvez-nous sur https://www.SeneNews.com
Téléchargez notre App Android : http://bit.ly/2zzUxto
Téléchargez notre App sur IOS : http://apple.co/2zQjAco
Suivez nous sur Twitter : https://twitter.com/Senenews
Suivez nous sur Facebook : http://bit.ly/2zPqJJQ
Activez les NOTIFICATIONS pour ne pas manquer les prochaines vidéos
Retrouvez-nous sur https://www.SeneNews.com
Téléchargez notre App Android : http://bit.ly/2zzUxto
Téléchargez notre App sur IOS : http://apple.co/2zQjAco
Suivez nous sur Twitter : https://twitter.com/Senenews
Suivez nous sur Facebook : http://bit.ly/2zPqJJQ
Category
🗞
NewsTranscription
00:00 de la télé.
00:03 Voilà tout. Ami internaute de Saint-Nous TV, nous vous avons appellé à vous accueillir.
00:10 Vous savez que vous êtes toujours avec nous. Bienvenue dans votre émission sur la toile.
00:16 Comme nous l'avons fait lundi et samedi, nous vous suivons pour vous faire connaître l'actualité.
00:21 - Toujours avec maman. Maman bonjour. - Bonjour Amina.
00:24 Nous vous avons appellé à vous accueillir.
00:26 Vous pouvez nous rejoindre sur notre chaîne de télévision.
00:33 - On vous écoute maintenant. - Voilà, on commence avec cette mauvaise nouvelle pour Madjambal Diagne.
00:40 C'est le PDG de Avenir Communication.
00:45 On l'a appellé le journaliste qui lève les comptes du groupe.
00:52 On l'a appellé pour qu'il redresse le groupe.
00:57 Ce qui s'est passé aujourd'hui, on peut l'expliquer par une taxation d'office pour les impôts de 2020 à 2021.
01:10 À hauteur de 91 millions de francs CFA.
01:14 C'est ce qu'on a appellé le PDG de Avenir Communication.
01:18 On l'a appellé pour qu'il réunisse les éco-patrons de presse pour discuter de la taxation.
01:27 Le groupe Fisky a été très bien réunis par les médias IGFM.
01:32 On parle maintenant de le groupe quotidien Avenir Communication.
01:38 Le problème de la taxation est un problème de l'impôt et de l'unité.
01:45 On sait que les réunions sont en train de se dérouler.
01:55 Les Sénégalais vont s'y mettre comme d'habitude.
02:00 Il n'y a pas de journalistes.
02:03 Tout le monde sait qu'il y a des problèmes avec le Sénégal.
02:06 Mais si vous pouvez communiquer avec eux, vous pouvez faire une partie et vous négocier.
02:13 Il y a beaucoup de possibilités.
02:17 On peut aussi demander à l'état de Sénégal de faire un rapport.
02:22 L'impôt n'est pas une question de la liberté.
02:28 On peut le payer par force ou par mort à toi.
02:33 - On peut payer par le bouteil. - On peut payer par la maison.
02:37 On peut même payer par la maison.
02:43 On peut même payer par l'impôt.
02:47 On peut donc se battre contre les patrons.
02:56 On va parler de l'actualité avec Abdoulaye Ndiaye qui est l'ancien directeur général de l'AIBD.
03:05 Il a été défendu en tant que journaliste.
03:12 L'ex-directeur général de l'aéroport international a réagi aux rumeurs
03:20 selon lesquelles il avait recruté 600 agents par le biais de son service de communication
03:27 à dénoncer les accusations au rôle anti-déformatoire.
03:31 Lorsque Abdoulaye Ndiaye quittait ses fonctions, il y avait 905 agents.
03:35 Selon le journal Les Échos, dans sa parution du jour,
03:39 Abdoulaye Ndiaye a procédé au recrutement de 182 agents
03:44 à la suite de la mise en service des aéroports de Saint-Louis, Kédougou et Tamba.
03:50 Je l'ai dit, Abdoulaye Ndiaye était directeur général de l'AIBD.
03:55 Il a dit qu'il avait des techniques et qu'il était en affaires de bamboula au niveau de l'AIBD.
04:02 Il a dit qu'il avait recruté 600 agents.
04:06 Il a dit que c'était fictif.
04:10 Mais il a dit qu'il n'avait jamais recruté 600 agents.
04:18 Mais il a dit qu'il avait recruté 182 agents.
04:23 Ils étaient bien là et bien légals.
04:25 Abdoulaye Ndiaye était aussi dans le groupe de Maki Sal.
04:29 Il a été en charge de l'AIBD.
04:33 Il a fait des gestes très réels.
04:41 Il a fait des choses très difficiles.
04:45 Il a fait des choses très difficiles.
04:50 Il a recruté 905 agents.
04:56 Il a donc recruté 182 agents.
05:00 Il a fait des choses très difficiles.
05:06 Il a fait des choses très difficiles.
05:10 Il a fait des choses très difficiles.
05:16 Il a fait des choses très difficiles.
05:21 Il a fait des choses très difficiles.
05:27 Il a fait des choses très difficiles.
05:33 Les arrestations tombent dans l'affaire Crédit Mutuel.
05:37 Les scandales supposés se répètent au Crédit Mutuel du Sénégal.
05:41 Depuis quelques années, après les trois arrestations de la semaine dernière,
05:45 un ex-directeur du réseau qui avait démissionné de son poste le 16 avril dernier,
05:50 ainsi que le directeur régional de la banlieue de Rufusque,
05:53 ex-directeur régional de Saint-Louis et de Juginjor,
05:56 récemment licenciés, ont été arrêtés ce lundi.
05:59 D'après Dakar Actu qui donne l'information, la police aurait à partir de ce jour commencé à enquêter sur les bénéficiaires.
06:07 Selon la source, le fonds JIP établit des listes de bénéficiaires qu'il envoie au Crédit Mutuel du Sénégal pour les financements.
06:15 Cependant, il existe des listes inconnues du fonds JIP dont on se demande comment elles étaient constituées.
06:23 Cette affaire présumée de fraude liée aux lettres de la garantie entre ou quatre du Crédit Mutuel du Sénégal et du fonds JIP
06:30 devrait connaître d'autres développements dans les prochaines heures avec les enquêtes sur les bénéficiaires.
06:36 Maman, ce que vous savez aujourd'hui, c'est une nouvelle point com,
06:41 qui est aussi la première fois qu'il y a un fonds JIP au Crédit Mutuel du Sénégal.
06:45 A travers l'aide de fonds JIP, on peut savoir que dans le Crédit Mutuel, il y a des gens fictifs.
06:56 Ils n'existaient pas, on ne pouvait pas les récupérer.
07:00 On a donc démasqué le deal et ils ont arrêté trois personnes.
07:13 On a aussi arrêté deux autres personnes.
07:17 L'information judiciaire est là.
07:20 Ce que je propose, c'est de faire une enquête dans tous les secteurs.
07:23 Si le Sénégal était prêt à démolir la Scandvie, on pourrait faire une enquête.
07:30 On doit voir ce qu'il y a réellement.
07:32 On sait que les gens qui travaillent en relation avec la population sénégalaise,
07:38 ne sont pas en mesure de faire de la même chose.
07:43 On doit donc aussi se laisser faire.
07:48 C'est pourquoi on a demandé à la Sénégal pour qu'on puisse s'assurer de la sécurité des gens.
07:56 C'est la grande question à se poser.
07:58 J'ai gardé la meilleure pour la fin.
08:01 Le tribunal a aussi demandé à l'avocate de sortir avec un étudiant.
08:11 J'ai laissé le travail à l'avocate mais vous pouvez voir ses vidéos intimes sur les réseaux sociaux.
08:18 Pour le tribunal, il a annoncé qu'ils ont fait un concubinage.
08:27 Est-ce que la fille est musulmane ou pas?
08:33 Je pense que c'est possible car la fille est de la religion musulmane.
08:45 La religion musulmane interdit le concubinage.
08:50 La religion interdit le concubinage.
08:57 On peut peut-être vous en donner des informations sur les religions mais
09:05 ce qui est déplorable c'est de ne pas pouvoir publier ses vidéos intimes.
09:11 C'est la même chose pour les musulmans.
09:15 - C'est vrai que c'est difficile. - Oui, c'est très difficile.
09:22 C'est très difficile car on l'a vu dans le journal "l'observateur"
09:26 qui a été attaqué à maintes reprises par la jeune femme.
09:31 Un jour, il lui a cassé le nez et lui a donné une incapacité temporaire de travailler 5 jours.
09:38 Donc, il a été attaqué.
09:40 On doit aussi se faire compter des avocats, des journalistes
09:48 et la jeune femme qui n'a pas de profession.
09:52 Elle doit se faire compter de ce qu'elle doit devenir.
09:55 Elle doit jouer dans sa vie professionnelle.
09:57 Si tu es avocate, tu dois te défendre de tes propres intérêts.
10:03 On doit aussi se faire compter des avocats comme les femmes.
10:11 - Mais qu'est-ce qui se passe? - Je ne te le dis pas, je ne suis pas d'accord.
10:16 On doit se faire compter des avocats car les hommes aussi ont des objectifs.
10:22 - Je ne te le dis pas. - C'est vrai.
10:25 - Je ne suis pas d'accord. - On doit se faire compter des avocats.
10:31 Ne fais pas de vidéos sur les réseaux sociaux car ça peut te faire mal.
10:37 - On ne sait jamais. - Les réseaux sociaux sont en puissance.
10:41 On va faire un verdict sur le budget de la compagnie.
10:51 On va faire des vidéos intimes sur les vidéos de la compagnie.
10:58 On va le mettre en prison pour 10 ans de réclusion criminelle.
11:02 - Travaux forcés. - On va le faire et on ne va pas le laisser dans la société.
11:10 On va le laisser dans la société et la sanction va continuer.
11:13 On va parler de l'actualité sur internet.
11:21 La chanteuse a déjà vu un message sur la toile.
11:29 Tout est fait à gauche ou à droite, on peut l'interpréter comme on veut.
11:33 On peut aussi le malinterpréter, on peut le challenger, on peut le consommer.
11:40 Au bout d'une semaine, il y a eu plus de 2 millions de vues.
11:47 On va retourner sur l'émission avec Khusha.
11:52 "Mia Gissée n'est pas encore à prendre"
11:55 "La chanteuse avoue qu'elle dit que ce morceau au marié est précis"
12:03 "Qu'elle n'est pas au célibataire"
12:05 "Mais elle dit que ce n'est pas le cas"
12:11 "Mais elle dit que ce n'est pas le cas"
12:16 - Elle est juste fiancée. - On ne l'a pas entendu.
12:22 - On ne l'a pas entendu. - C'est juste une blague.
12:26 - On ne l'a pas entendu. - Je ne suis pas célibataire.
12:31 - Mais c'est le célibataire qui est enceinte. - Peut-être qu'elle est dans une relation...
12:37 - Mais elle n'est pas célibataire. - Les deux célibataires sont enceintes.
12:43 On va l'appeler "Mia Gissée".
12:47 "Le chanteur Wali 2 de Bambaye a vécu un moment difficile"
12:51 "Après être sorti de la soirée de son idole Wali"
12:54 "Son téléphone a été volé. Invité par Cher Sarr de la ITV"
12:59 "L'artiste originaire de Bambaye est revenu sur les faits"
13:03 "Je n'ai pas eu ce que je voulais et on m'a volé mon téléphone portable"
13:08 C'est une blague pour les gens qui ne veulent pas se faire la bouteille.
13:14 "Le chanteur Wali 2 a vécu un moment difficile"
13:18 "Après être sorti de la soirée de son idole Wali"
13:22 "Son téléphone a été volé. Invité par Cher Sarr de la ITV"
13:26 "Je n'ai pas eu ce que je voulais et on m'a volé mon téléphone portable"
13:32 "Je n'ai pas eu ce que je voulais et on m'a volé mon téléphone portable"
13:36 - C'est un peu difficile. - C'est vrai.
13:40 C'est un peu difficile car on veut que les Sénégalais voient Wali.
13:45 - On veut qu'il y ait une audience. - Pourquoi pas?
13:48 Je ne pense pas à l'audience. C'est une invitation.
13:52 - Mais on ne peut pas le voir sur le téléphone. - C'est vrai.
13:57 Parfois, on a un amour pour un artiste.
14:01 On ne peut pas dire qu'on n'a pas d'amour pour lui.
14:05 On doit suivre ses pas, son rythme, ses pas, son rythme.
14:11 Il faut le suivre et le déplacer.
14:15 Il faut le suivre et le laisser en retour.
14:19 Cher Sarr a dit qu'on allait le voler pour avoir une audience.
14:23 - On promet. - C'est difficile.
14:26 - Mais c'est bien. - C'est bien.
14:29 On vous laisse faire ce que vous voulez.
14:32 - C'est bien. - En tout cas...
14:35 On a bien entendu.
14:38 Son rôle dans "Beté-Beté" est très intéressant.
14:42 On l'a vu dans le dernier épisode de "Beté-Beté".
14:54 Il a eu des problèmes de caste.
14:58 Il a fait un effort de ne pas laisser son fils en cas de casse.
15:05 Il a été très féroce.
15:08 Il a demandé à ses parents de le laisser en cas de casse.
15:14 - On ne va pas laisser le casseur? - Non.
15:17 C'est juste un rôle qu'il a fait pour tourner un épisode.
15:24 Il a été très féroce.
15:28 On sait que sa mère et son père ont vécu deux époques.
15:34 Ils ont toujours été féroces.
15:38 On ne veut pas laisser ça se passer.
15:42 On a vu que sa mère a fait un bon exemple.
15:46 Je veux dire que ne soyez pas fâchés contre moi ou mon personnage dans la série.
15:53 C'est juste un rôle et nous sommes tous ensemble.
15:56 C'est ce que l'on a dit dans le dernier épisode de "Beté-Beté".
16:00 Amina, on vous laisse sur la toile.
16:04 Ce fut un plaisir de vous partager le même plateau.
16:08 On vous laisse sur la chaîne de CNNews TV et sur la chaîne de CNNews Premium.
16:16 Abonnez-vous à la chaîne pour avoir les nouvelles en temps réel.
16:24 Vous pouvez aussi voir les nouvelles sur le site de la chaîne.
16:32 Le président Diomaye est venu.
16:36 On va le traiter pendant une semaine.
16:40 - On va y aller. - On a un signal.
16:44 - On a un signal. - On ne peut pas laisser ça se passer.
16:48 C'est grave, on va le faire.
16:50 Abonnez-vous rapidement à la chaîne de CNNews Premium pour avoir des nouvelles exclusives.
16:57 Vous pouvez aussi partager la chaîne en temps réel.
17:01 On vous laisse sur la toile pour que les journalistes puissent collecter des informations.
17:09 Comme vous le savez, on parle de manière plus étroite sur la chaîne.
17:15 On vous laisse les informations.
17:19 On se revoit demain sur une autre émission sur la toile.
17:24 D'ici là, portez-vous bien et gardez le sourire.
17:28 - C'est le mien.
17:30 Sous-titrage ST' 501
17:33 ...