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[#Exclusif] Gabon : Droit de réponse de Blaise Jean Joseph Migolet

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00:00 Droit de réponse de Blaise Jean-Joseph Migolet, suite à la vidéo d'Agnès Pandy intitulée
00:07 "Exclusive interview de Mme Agnès Pandy, victime d'un AVC et menace d'expulsion",
00:12 mise en ligne par le média numérique Gabon Media Times sur les plateformes YouTube, Dailymotion,
00:18 X-Enseignement, Twitter, etc.
00:28 Mesdames et messieurs les internautes, mesdames et messieurs les abonnés de plateformes numériques,
00:32 mesdames et messieurs les compatriotes intéressés par les tribulations de la famille Migolet
00:37 et le dévoiement de sa succession, contrariés depuis 37 années par les opportunismes, les fraudes
00:45 et les obstructions illégales commises par leurs complicités au nom de l'autorité judiciaire de l'État.
00:50 Tout d'abord, je dois exprimer ma gratitude à la haute autorité de la communication,
00:56 cette haute institution qui est en charge de la bonne tenue de l'information à l'égard de la loi,
01:01 pour son intervention dans le débat juridique qu'il y a eu au lendemain de la publication des articles diffamatoires
01:07 entre Gabon Media Times et moi concernant le régissement de ce droit de réponse.
01:12 Ce d'autant que ma saisine avait tout l'allure d'une bouteille d'éspérément jetée à la mer.
01:17 Cela a le mérite d'être souligné, car il est très rare dans notre État de "droit"
01:23 qu'une administration d'une si grande importance citoyenne digne s'inquiéter de l'observation de l'équité des droits d'un individu,
01:32 diabolisé à volonté et à dessein, et veille à imposer l'application stricte de la loi.
01:38 Ordinairement, les institutions, les ministères compétents et leurs administrations d'inspection ministérielle, etc.,
01:45 souvent se contentent de s'informer à la diffamation et à la rumeur, lesquelles rumeurs diffamatoires retiennent prisonniers,
01:51 les oirs migolets dans les obstructions administratives et judiciaires intempestives
01:56 qui l'amènent impuissamment à son dépouillement depuis 37 ans.
02:02 C'est généralement contre le mur bétonné d'un mutisme narquois et armé d'une inertie procédurale
02:10 que se fracassent nos requêtes et plaintes hasardeusement emportées par les bouteilles jetées à la mer de l'espérance
02:17 de l'application rigoureuse et stricte du droit. Sans la HAC, mon droit de réponse n'aurait pas été appliqué
02:23 comme le pressait la loi gabonaise qu'elle trouve ici l'expression de ma gratitude citoyenne.
02:27 De l'environnement insalubre, conséquences boomerangs des agressions de Mme Pendi.
02:34 Dans la vidéo d'une durée de 20 minutes 34, une dame affirmant être née le 17 janvier 1955 et disant se nommer Agnès Pendi,
02:43 compatriote et dépourvue judiciellement de toute qualité délitière,
02:48 dans les successions Pendi et Migolet qu'elle revendique illégalement ou incrimine ignominieusement,
02:54 dénuée de toute qualité à agir en leur nom et intérêt respectif,
02:59 porte de graves et diffamatoires accusations à l'encontre de ma personne et de la mémoire de mon père Jean-Sébastien Migolet,
03:05 tout en prétendant malicieusement être de ma famille.
03:08 Elle fonde ses protendus droits sur deux fondements. Premièrement sur une narration outrageusement mensongère et audacieusement diffamatoire,
03:17 constamment démentie par les faits, les événements, les documents fonciers et cadastraux et les décisions de justice.
03:23 Deuxième point, sur l'opprobre qu'elle jette sur la mémoire de mon père et son nom, son fils et la famille de sa première épouse.
03:31 Ce dans l'espoir de susciter un apitoyement dans l'opinion publique auprès des autorités nouvelles
03:41 susceptibles de lui attribuer des biens immobiliers qui ne lui ont jamais appartenu.
03:45 Le début de la vidéo commence par la vision d'un environnement insalubre qui n'existait pas il y a quelques années,
03:52 comme le prouvent les photos à différentes époques.
03:56 Ce que n'avoue pas Agnès Pendi dans ses calomnies et ses diffamations prises en images,
04:00 c'est que cet environnement est le fruit de son action batailleuse, querelleuse, provocatrice.
04:06 La conséquence boomerangue de ces nombreuses et récurrentes violations débutait en 1993
04:12 par son installation violente dans la parcelle 1L, suivie de la construction non autorisée sur les fosses septiques de son abri
04:19 au moyen de revenus volés à l'exploitation hôtelière de l'immeuble par son proche parent Eugène Meligou.
04:25 Créant et manœuvrant le 30 octobre 1992 un conseil des sages de la commune de Libreville,
04:31 une sorte d'association de prédateurs d'ézoars migolets, et recrutant un certain malien nommé Tankara
04:38 pour gérer le dit hôtel et répartir les recettes d'exploitation en trois groupes,
04:43 dont le compte de la succession Pendi et domicilier au compte BICIG 176211/25.
04:51 Selon la note datée du 7 juillet 1993, écrite de la main d'Eugène Meligou lui-même.
05:00 Elle ment donc, comme une arracheuse de dents, lorsqu'elle dit avoir construit son appentis par la seule force de ses propres moyens.
05:08 En effet, Eugène Meligou profita de mon absence à Libreville.
05:12 Je devais professionnellement achever des études de niveau Bac+4,
05:16 interrompue d'une part sept ans plus tôt par le décès de mon père,
05:21 et d'autre part empêchée par la coalition de la rivalité à ma mère, première épouse de mon père,
05:26 combattue par les notaires partiaux, les beaux-frères en vieux,
05:30 et les opportunistes comme Meligou et Agnès Pendi pour la seule raison qu'elle était la mère des fils aînés migolets.
05:36 Mon départ, notamment de l'immeuble de Petit Paris, où j'avais élu domicile après le décès de mon père,
05:42 permis à Eugène Meligou d'installer sa parente Agnès Pendi dans la parcelle 1L.
05:46 Lui-même, accamparant et occupant violemment la parcelle 201KB,
05:51 dont la propriété nous est attestée par titre foncier, qui, rappelons-le, est une décision judiciaire du tribunal de Libreville.
05:57 Ces violations à la loi, ces violences physiques sur les biens appartenant aux joueurs migolets,
06:02 se sont poursuivies en 2012, suivant le procédé choisi par Agnès Pendi,
06:07 consistant à occuper agressivement la parcelle 1L au moyen de la construction anarchique et de la destruction de l'existant.
06:17 En 2024, soit 12 ans plus tard, on mesure l'étendue des dégâts contre les constructions et les droits de jouissance de la parcelle 1L,
06:25 dont Agnès Pendi est responsable.
06:27 On y voit des effondrements de bâtiments, dont celui ayant emprêté l'espace des entraînements du célèbre groupe d'animation Mokoga,
06:34 une stagnation permanente des inondations dans les sous-sols du bâtiment hôtelier,
06:39 les fondations et les arrières-cours provoqués par la destruction des canalisations d'évacuation d'eau de pluie et des eaux usées,
06:46 la condamnation et la privation des fosses sceptiques des immeubles et bâtiments,
06:50 dont les vidanges sont rendus impossibles par la construction non autorisée de son abri sur les fosses sceptiques.
06:57 Reste à redouter des effondrements mortels, dont assurément cette fois les oirs migolets seront tenus pour responsables,
07:06 parce que cette fois-là, hypocritement, l'unanimité malveillante se sera faite sur la reconnaissance de leurs droits de propriété sur la parcelle 1L.
07:16 « Nul ne peut se prévoir loin de ses propres turpitudes », dit un proverbe bien connu de la sagesse universelle.
07:23 Pourtant, immoralement et impudiquement, Agnès Pandy et sa complicité est disséminée à travers les publications,
07:29 les milieux politiciens et judiciaires qui la soutiennent dans les tribunaux civils aux moyens de décision à la ponce pilate,
07:34 comme l'illustre Le Jugement Civil n° 505/19/20, daté du 22 septembre 2020,
07:41 qui, quoique reconnaissant la propriété des oirs migolets sur leur parcelle 201KB,
07:46 déboutent néanmoins ceux-ci de leur demande d'expulsion et de paiement de somme, au motif absurde que l'existence du trouble à leurs droits de propriété ne transpirait pas dans le dossier.
07:58 Le manque à gagner de la somme de 300 000 francs CFA par mois, multiplié par 384 mois, partant de 1988 à 2020, soit 115 200 000 francs, n'étant pas, apparemment, de nature à transpirer dans le dit dossier.
08:14 Ainsi encouragée, Agnès Pendi continue impunément de troubler la paix de l'âme de feu Jean-Saint-Nicolas,
08:21 tout en me collant une cible meurtrière dans le dos, à l'adresse de tous les haineux de mon nom patronymique.
08:28 S'agissant de la parcelle 201KB, je souligne une fois encore, comme d'habitude, le mensonge érigé en vertu chez Agnès Pendi,
08:35 lorsqu'elle affirme que l'ézoar migolé réduit opportunément à ma seule personne ne défendrait que la parcelle 1L, alors que la parcelle 201KB est occupée par ses petits frères selon sa volonté.
08:47 Mieux, elle persévère dans son mensonge lorsqu'elle déclare qu'elle et ses frères Milingus ne sont informés ni des procédures ni des actes des tribunaux,
08:55 alors que l'ordonnance de fixation en date du 19 novembre 2020 signifiée successivement par exploit du siège n° 946/EEON/HJ/2022/2023, daté du 7 décembre 2022,
09:09 de 13h04 à 13h25, à Arsène Milingu, Roger Tiguet, Benoît Mangaka et Guy Milingu sont là pour démentir de leur ignorance supposée des procédures passées ou en cours au tribunal.
09:22 De la menace d'expulsion qui procéderait d'un chantage.
09:26 De fil en aiguille, tout ce qui précède a conduit à la procédure pénale, l'ayant condamné à payer la somme de 7 303 152 francs, suivant l'arrêt de la Cour d'appel n° 50/2020/2021 du 1er avril 2021,
09:42 expédié au Plaignant, c'est-à-dire moi-même, le 16 novembre 2021, signifiée la condamnée, c'est-à-dire elle, le 7 décembre 2021 par exploit du siège n° 067/CAB/HB/HJ/2021/2022,
09:59 rendue définitive par la certification de non-pouvoir datée du 9 février 2022, consolidée par la formule exécutoire portée par la Grosse n° 114/CAB/GEC/2023 datée du 19 juillet 2023.
10:19 Le tout faisant objet du commandement de payer et avant saisie n° 540/EEON/HJ/2023/2024 datée du 8 novembre 2023.
10:29 La menace d'expulsion décrite dans ces titres est écrite et mensongère en soi, en ce qu'elle ne procède pas, ni de ma souveraine volonté,
10:37 digne d'un chantage ordinaire de ma part dans le but de la contrainte à me céder une parcelle, d'autant que la loi n°19/89 modifiée en son article 662 me reconnaît déjà comme propriétaire des parcelles 1L et 201/CAB.
10:52 Donc je ne vois pas la raison pour laquelle je pourrais mener un tel chantage.
10:57 La menace d'expulsion procède plutôt de la procédure pénale sanctionnant les violences que Mme Pendi ne cesse de commettre tant à l'égard des droits immobiliers que moraux d'Ézouard Migollet.
11:10 Le début du litige débute en 1987 au décès de mon père et il porte une revendication d'héritage ouverte en 1964 et l'épilogue date de 2004.
11:26 Mon père est décédé le 6 juillet 1987 à Libreville au Gabon, précisément à la fondation Jeanne et Bory.
11:32 Deux successions de nature différentes voient le jour, l'une de nature politicienne, l'autre de nature patrimoniale.
11:39 Le 2 août 1987, un conseil de famille Migollet se tient à l'insu de la première épouse Mouyege Marie-Louise, ma mère et de nombreuses individuelles dont moi-même,
11:51 pour créer un comité provisoire de la succession Migollet, lequel s'imposa à tous dans ce moment naturel de grande solitude.
11:58 Le dit comité provisoire de gestion fut composé de Martin Fidel Magniaga, administrateur provisoire, assisté de Eugène Minigaud et de Françoise Migollet.
12:06 L'ordonnance du 20 octobre 1987 du tribunal de Libreville valida la dite composition.
12:11 Toutefois, un autre conseil de famille excluant cette fois les successibles égaux de la première épouse fait Migollet, à savoir ma mère Mme Marie-Louise Mouyege,
12:22 se réunit cette fois le 20 décembre 1987 à l'effet de distribuer les parcelles de la succession Migollet à qui justifie son histoire.
12:30 A la requête de Jeanne Marie-Emme Milingu, qui est liée d'homicide à l'Ecole nationale de la machiastrie puisqu'il en fut le secrétaire général,
12:38 le jugement de l'obligation numéro 146 daté du 2 mars 1988 valide une distribution dans laquelle Albert Dupannot est donc retenu pour recevoir la moitié de la parcelle 27 5G,
12:53 Honoril Bupenga pour ce qui concerne la parcelle 19S à Libreville et Jeanne Milingu lui-même pour ce qui est des parcelles 201KB et 1L à Libreville.
13:03 La même ordonnance enjoignait le notaire Robert Anguillet à transférer les parcelles à ces individus.
13:09 Suite à ma saisine de la Cour d'appel en date du 28 novembre 1990 contre le jugement d'homologation du 2 mars 1988,
13:16 la Cour d'appel de Libreville rendit l'arrêt informatif numéro 074/91/92 en date du 17 février 1992,
13:25 annulant toutes les décisions de transfert de propriété en direction des individus précités dont Eugène Milingu Makaka,
13:32 héritier de la succession Gabriel Pendi ouverte le 7 novembre 1964 par le jugement d'hérédité numéro 320/EC du 12 décembre 1964,
13:45 rendu par le tribunal de premier degré de Libreville à la demande d'Eugène Milingu lui-même en sa qualité de neveu de Gabriel Pendi,
13:53 en présence de ses témoins qui furent Yabba Patrice, Kapa Cyprien et Pendi Jean-Paul.
14:01 Tous ces témoins ont déclaré que Milingu et Eugène est le seul héritier de la succession Pendi Gabriel décédée le 7 novembre 1964.
14:10 Alors on se pose la question de savoir d'où Agnès Pendi tient-elle ses droits puisqu'elle se dit héritière de son père.
14:16 Le jugement d'héritier ne fut donc jamais judiciairement contesté par Agnès Pendi qui revendique aujourd'hui l'héritage de son présumé père Gabriel Pendi.
14:25 Frustrée d'avoir été contrariée dans sa volonté de dépouiller la succession migolaire de ses parcelles 1L et 201KB,
14:32 Eugène Milingu demanda à son avocat Akumbu Moulana de saisir le tribunal de Libreville par une requête datée du 2 mars 1998
14:39 aux fins d'amnésies, restitution de sommes de biens immobiliers et de parcelles de terrain.
14:43 La dite requête fut enregistrée à la date du 24 avril 1998 aux grèves civiles du tribunal judiciaire,
14:49 statuée en matière civile sous le numéro 653/97-98.
14:54 Par ordonnance datée du 28 avril 1998 de la vice-présidente du tribunal judiciaire de première instance de Libreville,
15:02 Milingu Mangaka fut autorisé à m'assigner moi personnellement en qualité de représentant de la succession Jean-Sanitas Migole.
15:09 L'ordonnance du 28 avril 1998 me fut signifiée le 29 mai 1998 pour une comparution devant le dit tribunal à la date du 23 juin 1998 à 8h30.
15:20 Un débat contradictoire se tint judiciairement devant la barre du tribunal de Libreville.
15:25 Entourée de leurs avocats respectifs, la succession migolaire ouverte le 6 juillet 1997,
15:32 représentée par moi-même en ma qualité d'héritier légal et d'initiateur des procédures ayant annulé les tentatives de captation des parcelles 1L et 200KB,
15:41 se défendit victorieusement des allégations infondées exprimées par la succession Pandy,
15:48 représentée par jeune Milingu en sa qualité d'unique héritier de la succession Pandy ouverte le 7 novembre 1964.
15:54 Ce débat contradictoire et judiciaire dura presque six longues années, précisément de 1998 à 2004.
16:01 2004 est l'année au cours de laquelle le tribunal de première instance dénia rendre le jugement n°023/03-04 du 27 octobre 2023,
16:11 par lequel il débouta, jeune Milingu, de toutes ses demandes, celui-ci s'étant révélé incapable de prouver les allégations mensongères et diffamatoires
16:20 portées contre ma personne et la mémoire de mon père, qui fut pourtant son mentor durant toute sa vie, tant personnel que professionnel.
16:29 Le jugement n°023/03 du 27 octobre 2004 marque la fin du litige foncier entre la succession Gabriel Pandy et la succession Migolet.
16:41 Il se trouve que Mme Pandy va donc reprendre les mêmes argumentations, mais cette fois en on ne sait trop comment.
16:51 Le litige foncier imposé par l'héritier de la succession Gabriel Pandy, jeune Milingu, Osward Migolet, a connu son dénouement le 27 octobre 2004,
17:01 par la décision de justice évoquée plus haut.
17:04 Du jugement d'hérédité n°320/ECI, il ressort que tous les témoins présents au tribunal en 1964,
17:16 qui ont été présentés par jeune Milingu, ont déclaré que Milingu et jeune étaient le seul héritier de la succession Pandy, décédé le 7 novembre.
17:25 Alors la question est que, comment Mme Pandy Agnès peut-elle se dire héritière dès lors que dès 1964, elle est exclue de la succession de son père ?
17:36 Et d'où lui vient donc toute cette construction narratoire qui vise à salir des personnes qui ne lui ont rien fait, sinon du bien de leur vivant ?
17:47 Donc une conclusion s'impose à l'intelligence de tous selon laquelle Agnès Pandy n'a pas la qualité d'héritière de la succession Pandy,
17:53 et que son occupation violente de la parcelle NL et de la parcelle 200 MKB n'est que le fait de ses complicités,
18:00 qui l'encouragent et la soutiennent en marge de la loi et dans la pénombre de l'abus du pouvoir.
18:05 Et surtout, les dits "bien" n'ont jamais appartenu à la succession Pandy.
18:10 En résumé, en mes triples qualités de concerné par la diffamation d'héritier de la succession Migole et de président honoraire fondateur de l'association pour la préservation du droit de succession à l'Au-Garbon,
18:22 je fais mien l'appel à l'aide adressée au président de la Transition, président de la République,
18:28 chef de l'État, le général Brice Cotter Olinguine-Guemma et à son épouse, la première dame Zita Olinguine-Guemma.
18:35 L'expérience des 37 années d'interdivision successorale et de fréquentation quasi assidue de nos tribunaux pour la seule cause successorale
18:42 m'amène à les inviter à poser leur attention sur le traitement judiciaire des successions au Gabon.
18:47 L'application de la loi successorale est partisane, tant par les notaires et les juges,
18:52 qui résistent difficilement à l'envie de jouer les justiciers, les redresseurs de torts dans les familles et parmi les successibles.
19:02 Le problème est qu'en s'écartant délibérément de l'esprit et de la lettre de la loi,
19:07 ils créent des injustices, cette fois légalement répertoriées, dont ils ont toutes les peines à remédier,
19:14 d'où la réputation méritée de notre système judiciaire en matière successorale notamment.
19:19 Aussi, la solution n'est pas, comme le suggère sans intelligence Agnès Pandy,
19:24 d'arracher les biens aux propriétaires régulièrement et légalement inscrits pour les remettre à l'adaptation successorale
19:29 usant de diffamation, de violence et de fraude.
19:32 La solution consisterait plutôt à rassembler les successions immobilisées à travers le pays
19:38 pour les soumettre à l'examen rigoureux et expert d'une commission composée de juristes intègres,
19:46 le dernier critère étant à l'heure des charges le plus difficile à remplir.
19:50 Je vous remercie.
19:51 [Musique]

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