Après avoir organisé la Coupe du Monde de Beach Soccer de la FIFA en 2008 à Marseille, la pratique devient une activité développée dans sa globalité depuis 2013 à la F.F.F.
Dans un but de structuration de la pratique, la F.F.F. a mis en place un plan de développement se reposant sur différents axes.
L’objectif est de déployer la pratique sur le territoire en s’appuyant sur les grandes lignes directrices : financement d’infrastructures, formations, promotion, détections, compétition, sélections nationales.
Vous trouverez ci-dessus, des témoignages des acteurs qui font le Beach Soccer en France.
Dans un but de structuration de la pratique, la F.F.F. a mis en place un plan de développement se reposant sur différents axes.
L’objectif est de déployer la pratique sur le territoire en s’appuyant sur les grandes lignes directrices : financement d’infrastructures, formations, promotion, détections, compétition, sélections nationales.
Vous trouverez ci-dessus, des témoignages des acteurs qui font le Beach Soccer en France.
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00:00Le beat-shocker est une scène de la Fédération Française et de la DTN et de la LFA que depuis
00:152013.
00:16C'est-à-dire qu'il y a eu un plan de développement qui a été mis en place.
00:19Il n'y avait que 12 terrains sur le territoire national, alors qu'aujourd'hui on est à
00:22peu près à 91 terrains.
00:24Convaincre nos dirigeants des bienfaits du beat-shocker, ça passe forcément par la
00:28création de structures, de terrains, on a des aides qui peuvent permettre la création
00:32de terrains.
00:33En fait, toute la difficulté pour nous c'est de trouver l'endroit, de convaincre les municipalités
00:39et les clubs.
00:40Quand on veut vraiment faire ce sport comme un sport et pas juste comme une activité
00:44de plage, il faut une infrastructure qui n'est pas juste une plage avec deux buts,
00:50mais qui ait quelque chose de lisse, qui ait quelque chose d'encadré, il faut des vestiaires
00:55et puis surtout il faut pouvoir jouer, pas seulement en juillet et août au cœur de
00:59la saison, il faut pouvoir jouer sur les ailes de saison.
01:02On a tout ce qu'il faut ici pour pouvoir exercer notre passion, donc ça nous permet
01:07à nous de pouvoir pratiquer régulièrement et de pouvoir faire des séances propres et
01:13de vraiment travailler consciencieusement.
01:15À Amneville, on a la chance d'avoir quelques passionnés du beat-shocker, donc ça aide
01:20pour démarrer.
01:21Le premier point c'est le stade, il a été fait, il a été construit, il est homologué,
01:25on y pratique en compétition et derrière l'équipement, il suit le développement.
01:31On ne pourrait pas avoir ces installations sans la participation de la commune de la
01:35Grande-Motte, qui au début du projet était un petit peu dans l'expectative, ce qui
01:40est normal, qui avec nos résultats nous pousse et nous aide de plus en plus.
01:44On est parti de seulement deux week-ends à la mise en place du terrain pendant une
01:48semaine de saison, donc six mois, au même titre que les Paillottes, donc voilà on avance
01:52pas à pas, mais c'est des relances, du travail au quotidien.
01:56Ce complexe a été construit évidemment en partenariat avec les services techniques
02:02de la ville et le service des sports, chaque élément a été étudié, jusqu'au sable
02:07par exemple, alors ça a été étudié en termes de pratiques mais aussi en termes
02:10de coûts.
02:11Ce complexe est entretenu par nos services techniques qui font un travail remarquable,
02:15l'essentiel c'est que ça profite aux contribuables et à nos administrés.