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Transcription
00:00Musique
00:30Ces matchs-là, c'est déjà à ce niveau-là qu'il faut les gagner dans l'intensité qu'on met à la fois dans les courses, dans les duels, pour gagner le ballon mais aussi pour le faire circuler rapidement, pour envoyer des courses à haute intensité, longues, répétées, etc.
00:50Ça se joue aussi là-dessus, d'abord là-dessus, et puis après, évidemment, il y a l'utilisation du ballon qui peut faire la différence, bien sûr.
00:58De toute façon, quand t'es engagé physiquement, derrière, ça suit, parce que la qualité technique qu'ils ont, c'est indéniable.
01:04Dès que t'as envie de faire des efforts dans les deux sens, le reste, ça suit.
01:10Voilà ce qu'on attend, qu'ils soient dans les mêmes dispositions et qu'ils débarrent le match de la même manière.
01:17On verra combien de temps ça tient en face.
01:21Et puis, si on est équilibré également, ce qui est extrêmement important pour ne pas se faire surprendre.
01:27Ça peut bien se finir, mais il faut mettre quand même pas mal d'ingrédients dans la marmite pour que ça fonctionne.
01:34C'est presque une appalissade de le répéter à chaque fois, mais de toute façon, on a tellement été surpris les uns et les autres par des équipes soi-disant plus faibles
01:44que si vraiment on ne faisait pas gaffe, on serait vraiment des idiots.
01:50C'était pas gagné après le Danemark, parce qu'on avait raté pas mal de choses, même dans l'esprit.
01:56On n'était pas très fiers après le match.
01:59Et le fait de dire demain, si on gagne, on est qualifié, rien que ça, c'est bien.
02:05Une équipe comme l'Angleterre, par exemple, ils ont une très belle équipe, mais ils sont dans une situation très difficile.
02:12Ça se fait pas comme ça, c'est pas si simple que ça.
02:15Nous, on connaît le chemin.
02:17Voilà, c'est ça. Il passe par là et par l'investissement dont on parlait tout à l'heure.