• il y a 6 mois
Pierre-Alain Berard, directeur général des montres LIP, nous raconte son parcours de fils d'horloger et sa passion pour l'horlogerie. Fondée en 1867, LIP se distingue par son design élégant et ses montres mécaniques assemblées à Besançon. Son rêve : réintégrer davantage de savoir-faire.

Category

🗞
News
Transcription
00:00L'horlogerie, je suis tombé dedans quand j'étais petit comme Obélix avec la potion magique
00:05puisque je suis fils d'horloger et j'ai vraiment grandi dans un atelier.
00:10J'ai été formé au métier d'horloger en 2001 après mon école de commerce
00:15et j'ai eu la chance d'être formé en interne par un maître horloger qui est aujourd'hui à la retraite
00:21et qui m'a patiemment transmis tout son savoir.
00:25Une belle montre, chez Lippe, c'est avant tout une montre qu'on est heureux de porter
00:30mais c'est aussi une montre mécanique.
00:33Le bruit d'une montre mécanique me fait penser au battement du cœur.
00:42Mon meilleur souvenir, aujourd'hui, ça reste la foire de balle 2015
00:47où nous avons annoncé le retour de Lippe à Besançon.
00:51C'est de loin mon meilleur souvenir en horlogerie.
00:54Ma plus belle œuvre aujourd'hui chez Lippe, c'est le modèle mythique
00:58avec une nouvelle façon de lire l'heure, une aiguille fixe et des index qui tournent.
01:04Mon rêve pour demain, c'est de pouvoir réintégrer d'autres savoir-faire chez Lippe
01:10et en particulier celui du mouvement.
01:13Je dis la vérité, moi j'ai eu une déformation professionnelle étant fils d'horloger
01:19et je suis très très rarement en retard.

Recommandations