• il y a 4 mois
À l'approche des élections législatives anticipées, les électeurs sont sommés de choisir entre les trois principaux blocs politiques qui structurent la campagne et peut-être, bientôt, l'Assemblée nationale: la majorité présidentielle et ses soutiens, l'alliance de gauche et d'extrême gauche qui a pris le nom de Nouveau Front populaire, et enfin le camp du Rassemblement national et de ses alliés.

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Transcription
00:00Oui absolument, nous sommes dans le Val-d'Oise, alors Rachida Dati qui a déambulé les allées du marché qui se trouve juste derrière moi,
00:07et puis là elle est en train de prendre un café dans cette brasserie.
00:10Alors Rachida Dati, écoutez, à l'inverse de son collègue de la justice que j'ai pu suivre hier matin,
00:15qui était tout sourire, très loquace avec les personnes sur le marché,
00:20eh bien c'était un peu plus tendu avec Rachida Dati ce matin qui a pu discuter avec les habitants,
00:27mais de manière un petit peu plus froide.
00:29Alors elle a discuté avec des gens de gauche en leur demandant s'ils étaient d'accord avec ce Front Populaire,
00:35s'ils n'avaient pas honte de cette alliance, parfois les débats étaient calmes,
00:39et puis elle a été rappelée alors par quelques personnes ici en disant on veut des sanctions fortes, on veut des mesures fortes.
00:45Oui, je suis d'accord avec vous, nous a-t-elle dit.
00:48Lors de son point presse, eh bien Rachida Dati a passé de longues minutes à taper sur la gauche,
00:54sur le Front Populaire, notamment sur François Hollande en expliquant qu'elle était déçue.
01:00Que va-t-il faire avec Monsieur Poutou, nous a-t-il dit ?
01:03Il a fallu que je lui pose la question sur le Rassemblement National pour qu'elle,
01:07finalement elle accepte de nous dire quelques points de programme qui bien sûr ne lui conviennent pas,
01:14mais elle a surtout pour le Rassemblement National expliqué Rachida Dati qu'elle ne voulait pas donner de leçons de morale.

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